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Voici les 6 aliments à bannir pour préserver son foie

Les excès en tout genre ne sont jamais bons pour l’organisme. Et le foie est souvent celui qui trinque le plus. Certains aliments lui mènent particulièrement la vie dure.Le foie est l’organe qui filtre les toxines et qui produit des enzymes digestives. Pour en prendre soin, l’activité physique est recommandée. Mais il faut aussi surveiller son alimentation de près. Voici les 6 aliments à bannir pour préserver son foie.
 
LE CAFÉ

La caféine est métabolisée par le foie. Aussi, en abuser risque à la longue de l’épuiser. Inutile pour autant de rayer le café de son alimentation. Mais les spécialistes recommandent de ne pas consommer plus de deux tasses par jour.
 
LES FRITES

Là encore tout est question de modération. En effet, la friture est particulièrement mauvaise pour le foie. A partir du moment où la quantité de graisse dépasse les besoins du corps, le foie verra ses cellules surchargées. Les frites, qui contiennent de l’huile de cuisson, sont donc à éviter : une fois par semaine maximum.
 
 L’ALCOOL

La consommation excessive d’alcool est très mauvaise pour le foie. Si ce dernier est contraint de neutraliser en permanence l’alcool, les cellules hépatiques vont peu à peu se détruire. Une consommation modérée est donc recommandée par les autorités sanitaires.
 
LES SODAS

Ils sont si mauvais pour le foie qu’une maladie porte leur nom : la NASH, aussi appelée «maladie du soda», est une pathologie chronique du foie liée à une alimentation trop sucrée et trop grasse. Elle peut évoluer en cirrhose et touche principalement les gros consommateurs de boissons sucrées de type soda. Cette accumulation anormale de graisses dans les cellules du foie touche de plus en plus de personnes en France.

LES CÉRÉALES BLANCHES

Le pain, les pâtes, les biscuits à la farine blanche entraînent une hausse rapide et brutale des taux de glucose suivie d’une chute. Ces chocs affaiblissent à la longue le foie. A l’inverse, une alimentation riche en céréales complètes et en fibres réduirait le risque de développer un cancer du foie.
 
LES PÂTISSERIES INDUSTRIELLES

Les aliments qui contiennent beaucoup de cure ajoutée sont mauvais à la longue pour le pancréas. Mais une fois que ce dernier est fatigué, c’est le foie qui prend le relais. Les pâtisseries industrielles doivent donc être consommées avec modération. Elles contiennent de mauvaises graisses et beaucoup de sucre.

Coupe du monde 2022 : Boub’s coopté par la FIFA

Boubacar Diallo alias Dj Boub’s sera à Doha, la capitale qatarie, en qualité de speaker lors de la Coupe du Monde au Qatar prévue du 21 novembre au 18 décembre prochains. Dans son communiqué, la direction de la communication du Groupe E-media, ne cache pas sa joie, estimant que ce choix confirme la notoriété de Dj Boub’s sur le plan international et son entrée dans le Happy few des personnalités les plus en vue du Show Biz.

Boubacar Diallo occupe le poste de Directeur Commercial, de la Production et du Marketing, au sein du Groupe Emedia Invest, lancé en octobre 2018.

Bignona : Un jeune d’une vingtaine d’années mortellement poignardé

C’est dans la localité de Soutou, commune de Tanghory qu’un drame s’est produit, ce week-end. Une dispute entre jeunes, qui a viré malheureusement au drame, selon Zig Fm. 
 
L’identité du jeune poignardé n’a pas été livré par la radio locale qui a brièvement parlé de l’incident. C’est juste au cours d’une dispute que le jeune taximan de profession, d’une vingtaine d’années environ a été poignardé par un autre considéré comme son ami, selon nos confrères. Cette dispute s’est déclenchée, informe-t-on, au cours d’un Xawaré organisé dans cette localité de Soutou ce week-end. Affaire à suivre.

Bougane Gueye Dany dans une tournée de massification: pourquoi cette stratégie du silence et de la discrétion ?

Le leader de la coalition Geum Sa Bopp en compagnie de ses militants et responsables est entrain de sillonner différentes localités du Sénégal des profondeurs comme à l’accoutumée.

La surprise reste que cette tournée est totalement discrète et Bougane Gueye Dany ne semble pas trop en détailler les perspectives. Arrivé à Ranènou hier, nous avons appris par notre source qu’il a pu rassembler l’élite des éleveurs de la localité et installé des cellules de sa coalition.
D’après toujours cette source, Bougane Gueye Dany est dans un programme de massification très pratique et dense, il gagne des cœurs discrètement en vu de surprendre très prochainement pour sa campagne aux présidentielles 2024.

EDITO COMMUN DE LA PRESSE SENEGALAISE : Le monstre trahit encore son serment

Sur une chaîne de télévision française en octobre 2015, Macky Sall, alors président de la République depuis 3 ans et demi, prenait l’engagement solennel suivant : « Vous ne verrez jamais au Sénégal pendant ma gouvernance, un journaliste mis en prison pour délit de presse. Les journalistes n’ont aucun risque au Sénégal. Ça, je le dis très clairement et je ne serai pas démenti. »


Sept ans plus tard, précisément le 9 novembre 2022, le journaliste Pape Alé Niang, directeur du site d’informations Dakarmatin.com, est raflé puis jeté en prison pour des… délits de presse. Rattrapé par l’histoire, le Président Macky Sall a bel et bien été démenti par ses propres services. En effet, c’est le procureur de la République, le bras judiciaire tout-puissant du pouvoir politique, qui a fixé les réquisitions ayant précipité l’emprisonnement de notre confrère à la prison de Sébikhotane.

On ne se consolera pas de constater que ce n’est pas la première fois que le Président Sall est pris en flagrant délit de violation de ses propres engagements devant le peuple sénégalais et même devant la Communauté internationale. Mais l’agression du 9-novembre contre la presse sénégalaise qui aboutit à priver de liberté un journaliste dans l’exercice de ses fonctions est autrement plus grave. Il s’agit d’une atteinte délibérée et intolérable aux droits sacrés et inaliénables que la Constitution du Sénégal, la Déclaration universelle des droits de l’homme et des Chartes internationales comme celle de Munich reconnaissent expressément à ceux et celles qui exercent le métier de journaliste. C’est clairement inacceptable !

L’arrestation de Pape Alé Niang en pleine rue alors qu’il vaquait à ses occupations – violence symbolique – et la diligence avec laquelle il a été privé de liberté est une opération politique kamikaze. Son but ultime est, au pire, de neutraliser les plumes et voix encore attirées par le réflexe professionnel de fouiner dans les placards à cafards des détenteurs de responsabilités publiques, au minimum de susciter une épidémie d’autocensures et de renoncements dans les rangs de notre profession. C’est inenvisageable ! Cette tentative d’assignation à résidence du journalisme de qualité entre les geôles de la médiocrité et les souterrains pénitenciers de la révérence est un mépris et une insulte à l’endroit de tous ceux qui ont fait le serment d’informer vrai en toutes circonstances. Dans son ouvrage « La valeur de l’information », Edwy Plenel, directeur co-fondateur de Mediapart, identifie « deux éléments décisifs » qui donnent sens au journalisme : « L’obligation envers la vérité et la loyauté vis-à-vis du public. » Au regard de cela, Pape Alé Niang doit-il rester encore en prison ? NON !

Cette affaire-ci est un véritable tournant porteur d’une jurisprudence fondatrice soit d’un musellement légalisé de la presse sénégalaise, soit d’un environnement de travail où les journalistes continuent de s’épanouir sous le contrôle de leurs pairs et des principes de liberté/responsabilité conformes aux fondamentaux de leur métier. Ce qui se joue ici et maintenant est donc d’une gravité exceptionnelle pour l’avenir de la presse, des journalistes, de la liberté d’information, du droit à l’information pour le public. Avons-nous encore le pouvoir d’informer les Sénégalais en toute liberté ? Avons-nous toujours le pouvoir de choisir, en toute liberté, les orientations d’une mission de service public chevillée à la défense de l’intérêt général ? Avons-nous le pouvoir de refuser les injonctions – aimables ou directrices – qui infiltrent notre profession en la caporalisant au service d’intérêts privés couverts du manteau de la puissance publique ? Les « OUI » à ces questions ne dépendent que de nous, journalistes, et de tous les démembrements du peuple sénégalais attachés aux libertés de presse et d’expression. Les « NON » aussi.

Les soubassements politico-revanchards qui caractérisent ce dossier puent à dix mille lieux. Leur évidence est grotesque et manifeste. Ils sont les préliminaires d’une offensive visant à réduire au silence toutes sortes de contestations de nature à mettre en cause la volonté de puissance qui sous-tend la gouvernance actuelle du Sénégal. Les puissants enjeux politiques qui pointent à l’horizon, en particulier l’élection présidentielle de février 2024, en sont LA RAISON ESSENTIELLE. Les médias encore libres en sont LES CIBLES.

Après avoir fait semblant de dormir, le « Monstre » a dû quitter l’état de somnolence pour reprendre du service. La violence et la détermination avec lesquelles il a fait boucler en quatre jours l’étape d’incarcération de Pape Alé Niang menace fondamentalement la profession de journaliste, mais aussi le droit à l’information des Sénégalais. Du reste, il se satisferait bien que les journalistes sénégalais se transforment en chroniqueurs de chiens écrasés, de ragots de comptoir, de faits divers spectaculaires… loin des problématiques qui structurent l’état réel du pays.

Mais « Le Monstre » doit se convaincre – et définitivement – que les journalistes sénégalais n’acceptent pas d’être les victimes expiatoires des dysfonctionnements de ses pratiques politiciennes. Les hommes et femmes des médias qui ont fait le choix de servir l’intérêt public général n’ont pas vocation à être les otages de concepts fourre-tout dont les finalités servent en fin de compte l’affairisme de groupuscules privés de politiciens publics. C’est rigoureusement impensable !

Pape Alé Niang ne méritait pas un instant de passer une seule nuit en prison. Les motifs inavoués de son embastillement relèvent de l’instrumentalisation flagrante d’une justice au sein de laquelle l’hyper-puissance d’une marionnette enchantée dénommée Parquet a décidé de réduire nos libertés à leur plus petite expression, sur ordre d’un pouvoir politique en stage d’autoritarisme. Ce ne sont pas seulement les journalistes et les activistes qui font les frais de ces dérives liberticides, c’est aussi une certaine idée de la démocratie et de la séparation réelle des pouvoirs qui est en train d’être anéantie.

Avant d’être assassiné par des mercenaires du régime de Blaise Compaoré, le journaliste d’investigation burkinabè Norbert Zongo écrivait en 1993 que « les peuples comme les hommes finissent toujours par payer leurs compromissions politiques : avec des larmes parfois, du sang souvent, mais toujours dans la douleur. »

Pour nous Sénégalais, il est encore temps de réagir !

Libérez Pape Alé Niang !
PAN ! A bas le monstre !

Louga : le faux ministre Moustapha Diop condamné

Ndiaga Sow, traiteur de formation, a été condamné à un an de prison par le Tribunal de grande instance de Louga. D’après L’Obs, tout est parti de la plainte d’un commerçant accusant Sow d’escroquerie sur la somme de 12 millions F CFA.

« Il m’a garanti que c’est le ministre Moustapha Diop qui doit lui envoyer de l’argent pour qu’il me paie », a confié le plaignant aux enquêteurs. Selon lui, le prévenu est allé plus loin. « Pour mieux me convaincre, il m’a appelé avec un autre numéro, narre-t-il. Quand j’ai décroché, il a commencé à imiter la voix du ministre. Il m’a donné toutes les assurances. »

C’est ainsi qu’appuie-t-il, pensant avoir affaire au ministre du Développement industriel et de la Petite et Moyenne Industrie (Pmi), il lui a remis la somme demandée. Ce qu’il n’a pas tardé à regretter. Le prévenu a avoué les faits.

CAN HANDBALL 2022 : Les Lionnes enchaînent et se qualifient pour les quarts de finale 

48 heures après une première victoire contre Madagascar, l’Équipe nationale féminine de handball continue son parcours sans faute dans sa Coupe d’Afrique des Nations. Elles se sont imposées facilement face à la Côte d’Ivoire (15-31).Avec deux victoires, le Sénégal valide son billet pour les quarts de finale de cette CAN. Il jouera son troisième match de poule ce lundi face au Cameroun, qui compte également deux victoires. Ce duel de Lionnes déterminera ainsi la première place du groupe C.

Aliou Cissé sur la non sélection de Saliou Ciss : «Je sais que sa situation est difficile, mais…»

«Depuis 7 ans que je suis là, il m’arrive d’avoir des décisions difficiles à prendre. Le cas Saliou Ciss en fait partie. L’Équipe nationale du Sénégal a atteint un certain niveau qui fait que nous devons être très attentifs sur les critères de sélection. Aujourd’hui, il est difficile de sélectionner un joueur qui n’a pas de club. Je sais que sa situation est difficile, mais depuis le départ on est avec lui. Je n’ai aucun doute qu’il reviendra quand sa situation se règlera», a-t-il déclaré, en conférence de presse. Pour rappel, Aliou Cissé a retenu 26 joueurs pour la Coupe du Monde au Qatar qui se déroulera du 20 novembre au 18 décembre 2022.

Qatar 2022 : Le Sénégal tente le pari Mané, malgré sa blessure 

Le Sénégal respire un peu mieux, mais n’est toujours pas rassuré : malgré sa blessure, Sadio Mané, meilleur joueur africain et deuxième du Ballon d’or 2022, figure sur la liste des joueurs retenus vendredi par le Sélectionneur Aliou Cissé pour le Mondial-2022. En présentant sa liste des 26, Cissé est allé jusqu’à se dire «optimiste» quant à la possibilité que l’attaquant-vedette du Bayern Munich et des Lions du Sénégal, touché au péroné droit mardi en Championnat d’Allemagne, puisse jouer. Pour autant, le doute est tout sauf dissipé et les supporteurs sénégalais, qui voyaient bien les derniers champions d’Afrique aller loin dans ce Mondial-2022 au Qatar (20 nov-18 déc), vont continuer à trembler. Et l’entraîneur du Bayern Munich, Julian Nagelsmann, a clairement signifié de son côté que son club n’était pas prêt à prendre le moindre risque.

Baisse des prix de l’huile, du riz, du sucre … Ça va chauffer entre commerçants et consommateurs

Les nouveaux prix entrent en vigueur ce samedi 12 novembre à partir de 00h à Dakar. Une annonce du ministère du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises, à travers un communiqué. Les autorités ont publié, vendredi, des arrêtés pour officialiser la baisse des prix des produits concernés. Pour rappel, les mesures ont été prises à l’issue d’un Conseil national spécial sur la consommation, tenu le 5 novembre dernier, pour soulager les ménages face à la hausse vertigineuse des prix de certains produits.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention