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Vie Chère : Macky va bientôt annoncer la baisse de certains produits et services

Le gouvernement va bientôt annoncer la baisse des couts de plusieurs produits.

Selon «L’As», le gouvernement va bientôt procéder à une baisse substantielle des prix des denrées et services de première nécessité. Plus de dix produits seront concernés par cette mesure qui sera rendue publique par le chef de l’Etat lui-même dans les jours à venir.

Ceci intervient après plus de trois semaines de conclave, de discussions entre acteurs de toute la chaîne. Le rapport sur la baisse des prix est désormais bouclé. Le ministre du Commerce et de la Consommation a officiellement remis le document au Premier ministre Amadou Bâ, lors du dernier conseil des ministres.

D’après «L’As», plus d’un dizaine de produits et services, y compris les frais de scolarité, devraient faire partie de la mesure de baisse.

Kaliphone libre : Maty 3 Pommes loue le courage de l’influenceur et tacle “Oussou Bébé” (Ousmane Sonko)

D’après le site Diaspora Bii Tv, Kaliphone Sall est libre depuis ce matin. Une information largement partagée par ses camarades amis à l’image de Maty 3 pommes. 
 
“Ce qu’on peut retenir c’est qu’il a été courageux et a assumé ses responsabilités jusqu’au bout contrairement à Oussou bébé ( Ousmane Sonko)”, lance Maty Fall. 
 
Pour rappel, Kaliphone a été condamné à six mois de prison dont un mois ferme avec une amende de 500.000f Cfa pour les motifs de coups et blessures sur Adja Thiaré Diaw.

Trafic de drogue: La gendarmerie de Joal saisit 100 kg et arrête 2 individus

Une belle prise à l’actif de la Légion Centre-Ouest de la gendarmerie avec le démantèlement d’un trafic de chanvre indien. La brigade territoriale de Joal a mis la main sur une quantité de 100 kg de drogue dans la nuit du 26 octobre vers 22h. Les trafiquants de chanvre indien sont tombés dans le piège mis en place par la légion centre-Ouest de la gendarmerie. La brigade territoriale de Joal a arrêté deux individus suite à l’exploitation d’un renseignement. Ces informations faisaient état d’un éventuel débarquement de chanvre indien dans le secteur de Nianing. C’est ainsi, qu’un dispositif a été mis en place dans le village de Ndianda.

Vers 21h, une charrette avec deux individus à bord est entrée dans le dispositif à vive allure. Poursuivi, le charretier a jeté deux sacs remplis de chanvre indien avant de prendre la fuite. Il ne réussira pas à s’échapper. Il a été interpellé. Suite à d’intenses investigations, les pandores ont fait tomber deux mis en cause selon des informations transmises à  Seneweb. Vous pouvez regarder les détails à travers cette vidéo ci-dessous. 

 
https://youtu.be/atfVkPOxKBE

Le DAF d’une compagnie d’assurance vole 83 millions et disparaît pendant ses congés

Fin de cavale pour Adama Sylla. Directeur administratif et financier (DAF) de la compagnie d’assurance «Astuces Assurances», ce dernier a été arrêté par les éléments de la Brigade des affaires générales de la DIC après des jours de recherches.
 
D’après Libération, qui parle de cette affaire dans son édition de ce samedi, les policiers se sont lancés aux trousses de Adama Sylla à la suite d’une plainte du directeur général d’«Astuces Assurances», Othman Benryane. Ce dernier ayant relevé, au détour d’un audit, que son DAF avait détourné 83 millions 910 mille 53 francs CFA.
Othman Benryane précise que l’argent a été retiré par chèques et par cartes bancaires de différents comptes de l’entreprise.
 
Son forfait accompli, d’après son patron, Adama Sylla a pris des jours de congés. En partant, poursuit la même source, il avait emporté l’ordinateur portable de service mis à sa disposition qui contenait des données confidentielles de l’entreprise.    
 
Constant que son DAF n’a pas repris son poste au bout de ses congés, Othman Benryane saisit la DIC d’une plainte.
 
Adama Sylla a été déféré au parquet.

Comment certains enseignants sont pénalisés par le scandale à La Poste

C’est l’Union des enseignants du Sénégal (UES) qui sonne l’alerte. Ce syndicat, repris par L’AS, révèle que certains enseignants pâtissent des difficultés de La Poste où sont domiciliés leurs salaires. Les concernés, précise l’UES, n’ont pas touché leur paie de septembre.
 
Pis, signale la même source, ceux qui ont changé de lieu de domiciliation ont subi des ponctions de 100 000 francs CFA sur leurs salaires. Une situation dénoncée par l’UES, qui demande à l’État d’intervenir contre «cette injustice». 

“On a torpillé un Africain pour privilégier des non-Africains” : Kabirou Mbodje accuse l’État, un ancien PM et l’OFNAC

Kabirou Mbodje ne digère pas les déconvenues de Wari. L’homme a même une dent contre l’État du Sénégal.  Wari a longtemps été perçu comme un fleuron et fierté nationales.  Elle était active dans une soixantaine de pays, dont quarante sur le continent, et comptait 212 millions d’utilisateurs.
 
Aujourd’hui, Wari n’est plus l’ombre de ce qu’elle fut, et Kabirou Mbodje le concède, volontiers, dans un entretien accordé à Jeune Afrique. « La partie africaine de l’activité est tombée à zéro. On a torpillé un Africain pour privilégier des non-Africains, alors que j’ai énormément œuvré pour l’inclusion financière sur le continent et que j’ai créé des milliers d’emplois », regrette le chef d’entreprise, en dénonçant la responsabilité des hommes politiques africains, des administrations et des institutions continentales.
Ses démêlés avec les pouvoirs publics sont d’ailleurs à l’origine du transfert du siège de Wari de Dakar à Lomé, en 2015. « Racket », « hostilité », « malveillance »… Kabirou Mbodje ne mâche pas ses mots à l’égard du Sénégal. « L’agence de promotion des investissements nous avait, au début, donné des exonérations, mais le fisc est ensuite venu nous demander de payer des impôts. J’étais allé voir le président Macky Sall pour me plaindre », justifie-t-il.
Son courroux à l’égard des autorités sénégalaises s’explique, surtout, par l’échec de sa reprise de l’opérateur télécom Tigo, en 2017. « J’avais signé un accord avec Millicom afin d’acheter leur filiale parce que j’avais compris que c’était vital pour poursuivre le développement de Wari face à la concurrence, notamment celle d’Orange. Le chef de l’État m’a d’abord soutenu. Puis, alors que le financement avec Afreximbank était bouclé, à la dernière minute et sous la pression du Premier ministre de l’époque (NDLR: Mahammed Boun Abdallah Dionne), la banque a modifié un passage du contrat qui indiquait que leur engagement était irrévocable. Et tout a capoté », détaille l’entrepreneur.
 
L’OFNAC en prend pour son grade
 
Dans sa diatribe contre le Sénégal, l’homme d’affaires n’épargne pas non plus l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) qui avait saisi le  procureur de la République concernant des fraudes fiscales supposément commises par Wari. « Cet organisme est totalement sorti de son rôle. Son travail porte en principe sur des sociétés publiques ou sur des entreprises privées qui travaillent avec l’État. Ce qui n’est absolument pas notre cas », explique-t-il en confirmant avoir aussi porté plainte contre l’Ofnac.
 
Néanmoins, Kabirou Mbodje assure que « de beaux projets sont en préparation ». Il évoque, sans plus de précision, de possibles développements en Europe de l’Est, au Moyen-Orient, et même une cotation au Nasdaq, quand ses ennuis seront derrière lui.

Escroquerie et usurpation de fonction : Elle faisait croire aux détenus qu’elle pouvait les faire sortir de prison moyennant de l’argent

Une incroyable histoire d’escroquerie et d’usurpation de fonction a atterri au tribunal de Saint-Louis. Une dame répondant au nom de Yacine Mbaye a été attraite à la barre pour les délits d’escroquerie et d’usurpation de fonction.
Yacine Mbaye est une personne vraiment très téméraire. L’histoire remonte au mois septembre dernier. Un magistrat voyant les activités de la dame qui avait l’habitude de fréquenter le  tribunal, a décidé d’alerter la police. Cette dernière a débarqué dans le temple de Thémis pour cueillir Yacine Mbaye. Les limiers  qui ont ouvert une enquête, vont découvrir que la dame se faisait passer pour une collaboratrice de magistrats et des greffiers et faisait croire à certains  détenus et parents de détenus la possibilité d’une libération ou l’obtention d’une liberté provisoire moyennant de l’argent. Des parents de détenus qui ont fait preuve d’une naïveté incompréhensible, ont eu à verser de l’argent dans l’espoir de voir leurs fils ou frères recouvrer la liberté. Mais malheureusement pour eux, ils attendront en vain la réalisation de l’espoir. Avec toutes ces informations en main, le parquet de Saint-Louis a interpellé une victime Yacine Mbaye. Interrogé comme témoin, Oumou Kaltoum Dia a déclaré que cela fait un an et demi que son fils Mamadou Ndiom est en prison. Elle ajoute que c’est allant voir son fils à la maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis qu’elle est tombée sur une vieille connaissance en la personne de Yacine Mbaye. Cette dernière lui a demandé une somme de 200 mille francs CFA pour aider son fils à sortir de prison.
Oumou Kaltoum Dia affirme que c’est sa fille Arame Ndao qui a remis ladite somme à Yacine Mbaye pour qu’elle s’occupe du dossier. Interpellé sur les graves accusations des parents et autres détenus qui disent lui avoir remis d’importantes sommes d’argent, Yacine Mbaye a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés. L’aveu étant la reine des preuves, le tribunal a eu la main lourde en la condamnant à une peine de 5 ans ferme.

Notto Gouy Diama : Le cri de cœur des producteurs de la zone des Niayes

La coopérative pour la promotion des produits agricoles du Sénégal qui réunit plus d’une dizaine d’organisations, était en conclave à Notto Gouy Diama. Ses membres demandent aux ministres en charge du Commerce et de l’Agriculture de poursuivre les concertations pour tirer d’affaire les acteurs qui rencontrent en ce moment d’énormes difficultés. Lesquelles ont pour noms : l’accès au foncier, le stockage, la hausse des prix de l’engrais entre autres problèmes. Il s’y ajoute le rétrécissement du foncier pour mener à bien les activités. Les organisations paysannes demandent aussi l’annulation des dettes des producteurs.

« Koun Fa Ya koun : les épitres du buisson ardent » : Récit d’un être en quête d’élévation spirituelle

La foi, il y a ceux qui la vivent et ceux qui la vivent pleinement. Dr Moussa Diop s’inscrit dans la deuxième option avec la volonté de parcourir les lointaines contrées de la spiritualité. Ce titulaire en science de l’information et de la communication s’est penché sur la question de l’élévation spirituelle dans son recueil de 33 textes intitulé « Koun Fa Ya Koun : Les épitres du buisson ardent ». Dans ce livre, l’auteur se base sur des enseignements soufis pour raconter son périple « inabouti » vers cette graduation de l’âme. Pour Seneweb, l’homme revient de fond en comble sur les raisons qui l’ont poussé à rédiger cet ouvrage. Il revient par la même occasion sur les BA B.A de cette élévation spirituelle et son importance pour le croyant. « Koun Fa Ya Koun, les épitres du buisson ardent », de quoi est-il question dans ce livre ? J’ai terminé mon premier manuscrit, j’avais alors 12 ans. C’est depuis cet âge-là que j’ai commencé à écrire. Écrire étant pour moi, un procédé par lequel j’interrogeais mon monde et au-delà. Beaucoup de questions sur la vie, le monde, la nature humaine, Dieu sa nature, sa fonction etc… .. Dès lors Koun fa yakoun représente la matérialisation de toutes ces questions inscrites cette fois-ci dans un cheminement, cette fois-ci spirituel. En évoquant le terme « buisson ardent », nos regards sont naturellement tournés vers la révélation de Dieu à Moïse sur la montagne. Ce titre est-il une référence à ce passage ? Oui, ce titre est une référence à l’histoire du prophète Moussa asws notamment dans sa qualité de « Kalimoullah » : celui qui parle avec Dieu. “On n’attend pas d’être parfait pour aspirer à Dieu, c’est dans nos imperfections que nous allons vers Lui : là est la beauté de la rencontre” Dans votre résumé, vous précisez que cette œuvre n’est point « un traité d’initiation » mais « un témoignage ». Quel est l’intérêt, pour vous, de vous confier à présent surtout que vous affirmez que ce « processus alchimique »-que vous avez entamé-est inabouti ? Je ne me confie pas, je témoigne. Il y a une différence. Je partage  avec les publics mon parcours dans le cheminement soufi, mes questionnements, mes tiraillements, mon désir d’amour, ma recherche active de la présence divine ainsi que ses signes. Cette démarche de vie est inscrite pour ma part, dans l’éternité. On n’attend pas d’être parfait pour aspirer à Dieu, c’est dans nos imperfections que nous allons vers Lui : là est la beauté de la rencontre. Mon témoignage est une note d’espoir pour toutes ces personnes qui aimeraient prendre le chemin de la marche vers Dieu, en Dieu et pour Dieu mais dont le vécu de leur état de pécheur, faible et déviant empêche toute quête de la présence sanctissime. Revenons à l’essence de votre livre, le Soufisme. Qu’est-ce donc ? Il existe plusieurs définitions du soufisme. Des définitions qui adoptent plusieurs perspectives : linguistiques, historiques, religieuses (Cora, Sunna, pratique des sahaba). J’ai laissé des indications détaillées dans l’introduction de mon ouvrage. Cela dit le soufisme est appelé « Ilm al akhawal » (la science des états spirituels) ou encore (ilmoulma’anrifa) la science de la gnose divine…Je vais vous citer les paroles de notre vénéré maître Cheikh Ahmad Al Mbacky ( serigne tuuba) dans son ouvrage « Massaalikul jinaan » (Les itinéraires du paradis). Pour lui  : « La science se divise, selon les savants, en deux parties, ésotérique et exotérique. L’exotérique régit l’action des hommes, l’ésotérique, les états d’âme. La première est connue sous le nom de “fiqh” ou jurisprudence et la deuxième est appelée “tasawwuf” ou soufisme. Puis il est obligatoire à l’homme de commencer par le “fiq.h” avant d’aborder le soufisme. Quiconque omet le “fiq.h”, périt ici-bas par le jugement des docteurs de la loi. Celui qui omet la deuxième, périra demain par le jugement du Seigneur Très-Haut. Il est donc obligatoire à tous les serviteurs de les rallier afin de réaliser la récompense escomptée. Celui qui applique le “fiq.h” et fait fi du soufisme est un véritable fripon. Il faut le savoir 88. Celui qui fait l’inverse, est un “zindîq” (hérétique), affirme-t-on. Mais qui arrive à réunir les deux, (le “fiq.h” et le “tasawwuf”) est un beau modèle; il faut suivre son exemple. Cette affirmation a été faite par le grand Imam Malick (qu’ALLAH lui fasse miséricorde et lui accorde son agrément). “Tout le monde n’est pas voué à la spiritualité. Ce n’est pas une obligation religieuse. En outre, il faut de la sincérité, de la lucidité sur soi, de la patience” Quels sont les fondamentaux nécessaires pour parvenir à cette élévation spirituelle? Je ne suis pas un maître spirituel, je ne suis qu’un adepte de la voie. Ce que je peux dire c’est qu’il faut sans doute l’élection divine : être choisi par Dieu pour cette forme très particulière du vécu religieux. Parce qu’en réalité tout le monde n’est pas voué à la spiritualité. Ce n’est pas une obligation religieuse. En outre, il faut de la sincérité, de la lucidité sur soi, de la patience. Sans oublier la compagnie d’un maître véritable de la voie. Que représentent les confréries pour le soufisme ? Il y a un principe (le soufisme c’est-à-dire le cheminement) et ses manifestations, autrement dit les multiples moyens de vivre le soufisme (les confréries ou voies spirituelles). Dès lors, les confréries sont autant d’écoles pour une seule et même discipline. L’atteinte de cette élévation spirituelle ne peut-elle se faire que sur orientation d’un guide, d’un maître ? Il y a plusieurs versets du coran qui précisent de manière explicite la nécessité de rechercher la compagnie ou le suivi de ceux qui sont arrivés à Dieu. Par exemple : sourate al Kahf verset 28 « Fais preuve de patience [en restant] avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir, désirant Sa Face. Et que tes yeux ne se détachent point d’eux, en cherchant (le faux) brillant de la vie sur terre. Et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le cœur inattentif à Notre Rappel, qui poursuit sa passion et dont le comportement est outrancier ». Ou encore Sourate Luqman verset 15 : « Et si tous deux te forcent à M’associer ce dont tu n’as aucune connaissance, alors ne leur obéis pas; mais reste avec eux ici-bas de façon convenable. Et suis le sentier de celui qui se tourne vers Moi. Vers Moi, ensuite, est votre retour, et alors Je vous informerai de ce que vous faisiez ». Il y a de même des hadiths (parole prophétique) qui informent sur cette injonction divine. La vraie question c’est qui est maître ou guide spirituel, celui qui est véritablement tourné vers Dieu ? A quel moment peut-on savoir que nous touchons au but ? La spiritualité s’inscrit dans une pratique active du corps, du cœur et de l’esprit dans une perspective éternelle. On vise Dieu, or Il est immuable, sans début ni fin. L’Homme qui s’engage dans le cheminement s’insère dans la perspective d’une marche spirituelle marquée du sceau de l’éternité. Cheikh Ibrahim Niass disait :« ManzaakahaYassiirousayrilabadiyadjnilma’anrifi bi fadliMadad », celui qui a goûté en la gnose divine s’inscrit dans une marche éternelle, puisant ainsi des connaissances divines (ma’anrif). Une fois atteinte, l’élévation spirituelle est-elle impérissable ou s’entretient-elle perpétuellement ? L’élévation, l’évolution spirituelle peuvent se perdre. D’ailleurs la Fitrah  précédant notre venue sur terre, si elle ne s’entretient pas par la pratique religieuse, nous la  perdons. Comprenons-donc que l’élévation spirituelle si elle existe s’entretient pour l’éternité et toutes les vies. La voie spirituelle n’a pas de contradiction avec la shariah (la voie ou la loi musulmane fondamentale). Dès lors toute élévation spirituelle s’obtient par une pratique spirituelle active doublée d’un respect scrupuleux des préceptes de la religion. Il n’y a d’évolution que dans la conformité au modèle prophétique sws. Dès lors dans ce cheminement, pas de salut en dehors de la shariah et de la sunnah. C’est dans ce sens que nous pouvons comprendre la chute spirituelle, la déchéance spirituelle d’un individu.
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