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Bataille rangée à la mosquée de Karack : quatre personnes dont les deux imams à la police

Dimanche dernier, la mosquée de Sicap-Karack était le théâtre d’une violente bataille rangée. D’un côté le camp de l’imam ratib, Ousmane Diop. De l’autre, celui de l’imam Khalifa Ndiaye. La cause de leur différend ? Les jours des faits, les fidèles de la mosquée devaient tenir une Assemblée générale (AG) au cours de laquelle le bureau du Comité de gestion devait être renouvelé. Fils de l’imam ratib, Cheikh Diop décide de filtrer les entrées. Le camp de Khalifa Ndiaye s’y oppose. Le ton monte. La mosquée est transformée en ring. Il a fallu l’intervention des éléments du commissariat de Dieuppeul pour un retour au calme. L’Observateur, qui revient sur cette affaire, informe que le sous-préfet des Almadies, a reporté l’AG avant de convoquer les deux parties pour une conciliation. Mais au même moment, informe le journal, le procureur de la République s’est emparé de l’affaire. Le maître des poursuites ayant demandé au commissariat de Dieuppeul d’ouvrir une enquête pour faire la lumière sur la bagarre et l’histoire de détournement de fonds présumé. L’Observateur renseigne que dans le cadre de cette enquête, des convocations ont été adressées aux deux imams, Ousmane Diop et Khalifa Ndiaye, au fils du premier, Cheikh Diop, et au président du Comité de gestion du lieu de culte, Birane Mbengue, accusé de détournement. Les auditions de ces derniers débutent ce mercredi, d’après le journal du Groupe futur média. Qui rapporte que de nouvelles convocations seront distribuées, notamment aux autres membres du Comité de gestion de la mosquée.

«Pourquoi j’ai tué mon bébé» : la confession de la fille de 20 ans qui trompait son mari avec un maçon

Le mariage de C. G a été célébré en grande pompe à Ganguel, un village de la commune d’Orkadjiéré (Matam). C’était le jour de la Tabaski, en juillet dernier. Quatre mois plus tard, la nouvelle mariée, 20 ans, a donné naissance à son premier enfant. Dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 octobre, C. G réveille sa mère et lui demande de la conduire à la structure de santé du village. Elle lui fait savoir qu’elle est sur le point d’accoucher. Mettant de côté sa surprise, la vieille dame s’exécute. D’après L’Observateur, qui relate cette affaire dans son édition de ce mercredi, l’accouchement se passe bien. C. G met au monde une fille. Le lendemain, vers 9 heures, elle rentre chez elle avec son nouveau-né. Interpellée par sa maman sur l’identité du père de son bébé, C. G s’emmure dans le silence. Le journal rapporte qu’elle attendra que sa mère tombe dans les bras de Morphée pour tuer l’enfant et jeter son corps dans un ravin situé à 300 mètres du village. La dépouille du nouveau-né sera découverte par des enfants qui jouaient alentours. Ces derniers alertent les habitants de la localité. À son tour, le chef du village informe les gendarmes de Semme. Les enquêteurs arrêtent C. G, qui reconnaît les faits sans détour. La mise en cause confie aux gendarmes qu’elle ne pouvait pas garder l’enfant qui est issu d’une relation adultérine avec un maçon, qui était de passage dans le village. Elle a été déférée au parquet de Matam hier, lundi, pour infanticide.

«Je l’ai giflée, mordue et rouée de coups» : le chauffeur de Dakar Dem Dikk avoue avoir battu sa femme

O. Ndiaye, chauffeur à Dakar Dem Dikk (DDD), a été condamné hier, lundi, à deux ans de prison dont 45 jours ferme et 100 000 francs CFA d’amende. Il a été reconnu coupable de coups et blessures volontaires sur sa femme, H. Sambou.

Selon les comptes-rendus des journaux qui ont assisté au procès, H. Sambou a eu le tort d’avoir demandé à son époux de lui remettre la dépense quotidienne. En guise de réponse, O. Ndiaye lui a lancé des coups de poings.

O. Ndiaye, chauffeur à Dakar Dem Dikk (DDD), a été condamné hier, lundi, à deux ans de prison dont 45 jours ferme et 100 000 francs CFA d’amende. Il a été reconnu coupable de coups et blessures volontaires sur sa femme, H. Sambou.

Selon les comptes-rendus des journaux qui ont assisté au procès, H. Sambou a eu le tort d’avoir demandé à son époux de lui remettre la dépense quotidienne. En guise de réponse, O. Ndiaye lui a lancé des coups de poings.

Accident sur la VDN 3 : un mort et un blessé enregistrés

Un camion de ramassage d’ordures a percuté une moto bagage .Selon les informations, le bilan est de 1 mort et un blessé.
 
Le conducteur du camion a pris la fuite.
 
Nous y reviendrons !

Accident sur la VDN 3 : un mort et un blessé enregistré

Un camion de ramassage d’ordures a percuté une moto bagage .Selon les informations, le bilan est de 1 mort et un blessé.
 
Le conducteur du camion a pris la fuite.
 
Nous y reviendrons !

Le Sénégal devient membre de «l’Opep du gaz»

Le Sénégal intègre ce mardi, comme un pays observateur, le Gas Exporting Countries Forum (Gecf). Le pays de la Teranga est le 20ème membre de l’organisation qui réunit les principaux exportateurs de gaz du monde. Cette adhésion du Sénégal coïncide avec la tenue de la 24ème conférence ministérielle du Gecf au Caire.

Le Sénégal s’intéresse depuis un moment à cette organisation regroupant les exportateurs du gaz. La ministre Aïssatou Sophie Gladima avait pris part à la 22e conférence interministérielle du GECF.

L’évènement organisé du 9 au 12 novembre 2020 à Alger avait permis à Dakar de manifester son intérêt pour la production et la gestion des ressources pétrolières.

Actuellement, huit pays africains dont l’Algérie, la Libye, l’Égypte, la Guinée équatoriale et le Nigeria sont déjà membres ce cercle.

Le Gecf, appelé aussi « l’Opep du gaz » pèse 72% des réserves mondiales de gaz naturel, 43% de la production et 55 % des exportations par gazoduc.

Acte contre-nature à Mbour : un homosexuel se fait passer pour une femme pour draguer le chef de village

Une rocambolesque affaire de mœurs pollue l’atmosphère à Nguérigne un village situé dans le département de Mbour. Selon l’observateur qui donne l’information dans sa livraison du jour, D. Kane, homosexuel et neveu du chef de village a voulant satisfaire sa libido avait tenté de draguer son propre oncle en lui envoyant des images pornographiques suivies d’une invite à une partie de jambes en l’air quelque part à Saly Portudal. Comme son oncle ne répondait à son invite, il a envoyé les mêmes images au vendeur de lait caillé du quartier. Ce dernier qui ne soupçonner rien du pendant homosexuel du jeune homme à accuser une de ses voisines du village comme étant la seule femme du village capable de faire des avances malsaines à des hommes. Interpellée, la dame qui ne comprenait guère ce qu’on lui reproche, va porter plainte pour diffamation. Après investigations, les enquêteurs ont découvert que c’est le neveu du chef de village qui était l’auteur des messages.

Arrêté, D. Kane a avoué lors de son audition qu’il était un homosexuel et a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés. Il a indiqué cependant qu’il pensait que son oncle, de même que les deux autres hommes du village, allaient répondre favorablement à ses propositions. Poursuivi pour outrage aux bonnes mœurs, collecte et diffusion de données à caractère pornographique, le mis en cause a été déféré au parquet de Mbour au terme de sa durée légale de garde à vue.

Rapport d’audit sur l’eau et l’assainissement : La Cour fait les comptes

La Cour des comptes de­mande au ministre des Finances et du budget de «veiller à préserver l’équilibre financier de la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones) par une maîtrise de ses charges financières liées aux prêts rétrocédés et la fixation de ratios pour le fonctionnement et les investissements».

En effet, relève l’institution supérieure de contrôle dans le rapport d’audit du secteur de l’eau et l’assainissement qu’elle a rendu public hier, une insuffisance de ses ressources propres pour faire face à ses char­ges.

«De 2015 à 2019, la moyenne des charges d’investissement, de fonctionnement et de la dette,qui s’établit à 66,8 milliards F Cfa rapportée à celle de la redevance de 22,8 milliards de francs Cfa, est trois fois plus élevée que cette dernière. Cette situation n’a pas permis à la Sones de couvrir globalement ses charges, qui augmentent plus rapidement que ses revenus. La couverture de ces charges par la redevance a été satisfaite à concurrence de 68% et 81% pour 2015 et 2016 et à moins de 50% pour les exercices 2017, 2018 et 2019 en raison des investissements importants consentis dans la construction de la troisième usine de Kms3 et de l’usine de dessalement des Ma­mel­les.

A cet égard, la Sones n’a pas été en mesure de financer le développement de ses infrastructures à travers la redevance, mais grâce aux concours financiers des Ptf (Partenaires techniques et financiers : Ndrl). Ce constat a pour conséquence un recours significatif à l’emprunt pour financer les investissements dont la charge devient de plus en plus lourde. Par conséquent, l’équilibre financier de la Sones est encore précaire, en particulier du fait de l’importance des charges de remboursement de la dette», mentionne la Cour.

Remboursement des dettes
Les dettes de la Sones, souligne la Cour des comptes, «comprennent les prêts qui lui ont été rétrocédés par l’Etat à l’issue de la réforme du secteur de l’eau intervenue en 1995, ainsi que les prêts directement contractés par elle. La dette rétrocédée contractée par l’ancienne Société nationale d’exploitation des eaux du Sénégal (Sonees) concernait, pour une grande partie, aussi bien l’hydraulique urbaine et rurale, que l’assainissement. Les montants rétrocédés sont compensés dans le cadre de la convention de dettes croisées qui lie l’Etat à la Sones. En vertu des accords de rétrocession, la Sones demeure subrogée aux obligations de l’Etat vis-à-vis du bailleur à des taux variant entre 1 et 7%».

Ainsi note le document, «jusqu’en 2015, les prêts contractés au titre du Programme sectoriel eau (Pse), du Projet eau à long terme (Pelt) et du Programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire (Pepam) ont continué à être remboursés par la Sones dont l’endettement s’est alourdi en raison de la prise en charge d’une partie de la dette des sous-secteurs de l’assainissement et de l’hydraulique rurale. Pour éviter de compromettre l’équilibre financier

de la Sones, l’Etat a signé quatre conventions d’apurement de dettes croisées avec la Sde, la Sones et l’Onas au titre des arriérés de paiement des factures d’eau pour les gestions 2011, 2012, 2013 et 2014».

Cette compensation, d’après les contrôleurs, «a permis à l’Etat et à la Sones de renoncer réciproquement à leurs créances respectives pour un montant global de 26 milliards 389 millions 284 mille 759 francs Cfa».

Mais, estiment les collaborateurs de Mamadou Faye, président de la Cour des comptes, «ces conditions de rétrocession devraient être bien étudiées pour en limiter les impacts sur l’équilibre financier de la Sones». Dans ce sens, le ministère des Finances et du budget a expliqué aux vérificateurs de la Cour que «ces conditions de rétrocession sont généralement plus douces, sans compter le recours systématique à des conventions de dettes croisées pour leur apurement et qu’il veille à apporter sa contribution au dénouement rapide des soldes en faveur de la Sones, résultant desdites conventions».

Forum national de l’aquaculture :Papa Amadou Mbodje innove et lance une plateforme de …

La  première édition du forum national de l’aquaculture à Sédhiou a été une grande réussite . Une rencontre marquée par la  présence du gouverneur de Sédhiou ,de la directrice de l’agence nationale de l’aquaculture et la mairie de Sédhiou . Et d’autres  acteurs du secteurs de l’Aquacole.

Ainsi Pape Amadodou Mbodjie par ailleurs promoteur  de l’événement a saisi l’occasion pour lancer  une plateforme d’information sur le secteur aquacole. Ainsi une boutique  E-commerce  du nom senaquaculture.sn est mise en place pour faciliter les vendeurs et acteurs pour un bon écoulement de leurs produits  halieutiques . Une première au Sénégal .

Arrestations de 25 membres du collectif des impactés du TER

Malgré l’arrestation de 25 de ses membres, le collectif national des impactés de la deuxième phase du Train Express Régional (TER) poursuit la lutte. Le collectif dirigé par Macodou Fall dénonce ces arrestations arbitraires et exige la libération immédiate et sans conditions des 25 personnes arrêtées samedi dernier par la gendarmerie. D’ailleurs, elles ont été déférées au parquet hier. Le collectif invite l’Etat du Sénégal à un traitement diligent du dossier des impactés du Ter

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention