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Le remplaçant Cristiano Ronaldo quitte le stade avant la fin du match de Man U, Ten Hag “n’y prête pas attention”

Ce mercredi soir, Manchester United s’est imposé dans le choc face à Tottenham (2-0), mais après le match, le principal sujet de discussion était le geste de Cristiano Ronaldo en fin de match. Remplaçant toute la rencontre, le Portugais est parti du banc de touche avant même le coup de sifflet final. Selon The Athletic, l’attaquant a même directement quitté le stade sans même passer par les vestiaires.
 
Erik ten Hag, l’entraîneur néerlandais de United, n’a pas voulu s’épancher sur le cas Ronaldo après la belle victoire à domicile contre les Spurs. Le Néerlandais a confirmé que CR7 n’avait pas reçu de lui la permission de partir avant le coup de sifflet final. “Mais je n’y fais pas attention. Je ne lui ai pas parlé après”, a déclaré Ten Hag. “Je m’en occuperai demain, pas aujourd’hui. Aujourd’hui, nous fêtons cette victoire et nous devons récupérer pour samedi (à Chelsea, 18h30)”.
 
Cristiano Ronaldo est très régulièrement remplaçant à Manchester United depuis le début de la saison et ce statut ne plaît évidemment pas au Portugais. Il n’a joué que 38 % des minutes de jeu possibles en Premier League et ne compte que deux buts et une passe décisive toutes compétitions confondues. Dans la hiérarchie, il se place derrière Marcus Rashford, qui a joué l’intégralité du match contre Tottenham.
 
CR7 avait souhaité quitter Man U cet été. Le Portugais rêvait d’un transfert dans une équipe qui jouait la Ligue des champions, et il avait fait part de ses intentions à la direction. Mais Ronaldo n’a pas trouvé de nouveau club, une offre concrète ne parvenant même pas aux dirigeants de United. Sa situation ne s’étant pas améliorée, le quintuple Ballon d’Or devrait une nouvelle animer le mercato hivernal.

Accusé de trois viols : la version de Kabirou Mbodje

Le journal Le Parisien rapporte sur son site que le PDG de Wari, Kabirou Mbodje, est accusé de viol en France par trois femmes. Celles-ci sont âgées de 22 ans, 23 ans et 24 ans.

Les faits présumés se seraient déroulés le 6 octobre dans l’appartement de Kabirou Mbodje situé à l’avenue d’Iéna, Paris XVIe.

D’après Le Parisien, le patron de Wari a catégoriquement nié les faits. Il affirme être plutôt la victime d’une tentative d’extorsion de fonds. «D’après le mis en cause, c’est au contraire les femmes qui se seraient jetées sur lui. Et d’avancer l’hypothèse d’escort girls qui seraient mises d’accord pour inventer ces viols et en tirer un avantage financier», écrit le journal français.

Mexique : un Sénégalais abattu et dépouillé à la frontière avec les États-Unis

Un Sénégalais de 39 ans nommé Ibrahima Guèye a été retrouvé abattu à Tijuana, au Mexique, aux abords du mur séparant ce pays aux États-Unis. Le drame est survenu mardi dernier peu avant 12 heures. Trois douilles d’un 9 millimètres ont été retrouvées sur le lieu du crime.

La police mexicaine croit savoir que Ibrahima Guèye a été tué par un gang dénommé «De la Castillo», actif dans le trafic de personnes et opérant autour de la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Le téléphone portable de la victime a été dérobé, d’après les enquêteurs.

Les Échos, qui donne l’information, rapporte que la police croyait avoir découvert le corps d’un Haïtien. Mais après des recherches, elle a appris que Ibrahima Guèye est un Sénégalais et qu’il était originaire de Keur Massar.

Pikine Icotaf : un homme de 40 ans surpris viole le fils de son voisin, un sourd-muet de 13 ans

A. Bah a échappé de peu au lynchage. Cet homme de 40 ans a été surpris dimanche dernier sur une terrasse à Pikine Icotaf en train de violer un garçon de 13 ans sourd-muet. C’était vers 18 heures. C’est un certain Cheikhou Oumar Th qui l’a dénoncé. Revenu chez lui vers 18 heures, le jour des faits, ce dernier se retire dans sa chambre pour se reposer. Subitement il entend des gémissements et des soupirs sporadiques qui lui paraissaient suspects. Il sort de sa chambre et tend l’oreille pour situer l’origine des bruits. Il se rend compte qu’ils proviennent de la terrasse. D’après Les Échos, qui donne l’information, grande fut sa surprise lorsqu’arrivé au sommet de la maison il tombe sur A. Bah en train de violer le garçon de 13 ans. Ils étaient tous les deux nus. Cheikhou Oumar Th alerte le voisinage. Une foule se forme. Les positions divergent. Les uns crient au lynchage tandis que d’autres proposent que le mis en cause soit conduit à la police. La deuxième option sera retenue. Contactés, les éléments du commissariat de Guinaw-Rails rappliquent et arrêtent A. Bah. Libération informe que ce dernier a reconnu avoir pénétré le garçon de 13 ans. Mais il a cru devoir souligner, sûrement pour s’en sortir, qu’il y avait consentement et qu’il entretenait une relation amoureuse avec sa victime présumée. Lequel, selon le journal, n’est autre que le fils de son voisin. A. Bah a été déféré au parquet lundi dernier pour acte contre nature, viol et pédophilie.

Kolda : Un véhicule des sapeurs-pompiers heurte mortellement un boutiquier

Un drame s’est passé vers 19 h30 ce  mardi dans la commune de Kolda, précisément au quartier Hilèle non loin du cantonnement des soldats du feu. Un véhicule des sapeurs-pompiers qui revenait au camp, a heurté un jeune boutiquier qui rentrait chez lui à bord d’une moto. 
Selon des témoins interrogés sur les lieux du drame, le chauffeur du véhicule des sapeurs-pompiers a d’abord percuté un Jakartaman avant de perdre le contrôle du véhicule. Et c’est là qu’il a, dans sa course, heurté violemment le boutiquier au bord de la route. La victime âgée de 23 ans, a rendu l’âme sur le coup. Son corps est évacué et déposé à la morgue de l’hôpital régional. Une foule immense s’est vite retrouvée sur le lieu de l’accident pour constater d’abord les dégâts avant de s’insurger contre les excès de vitesse sur axe trop fréquenté. Elles sont nombreuses les populations du quartier Hilèle à réclamer des ralentisseurs pour éviter ces accidents mortels. La police et les hommes en bleu étaient aussi sur les lieux pour les formalités d’usage.

Linguère : Un quinquagénaire retrouvé mort dans la rue, un pistolet à la main

Les habitants de Samaly, un village situé dans la commune de Barkedji dans le département de Linguère sont sous le choc.
En effet, un individu âgé de 52 ans et connu sous le nom d’Alioune Adama Ba a été retrouvé mort avec un pistolet à la main et un saignement du nez.
La découverte macabre a été faite hier lundi vers quinze heures dans une rue du village.
Si d’aucuns parlent de suicide, la famille du défunt soupçonne un meurtre.
Toutefois, elle réclame que toute la lumière soit faite autour de la mort suspecte d’Alioune Adama Ba qui selon ses proches ne souffrait pas de troubles mentaux. 
La gendarmerie et les sapeurs-pompiers  de Linguère se sont déplacés sur les lieux du drame pour les besoins de l’enquête et l’évacuation du corps sans vie d’Alioune Adama Ba à la morgue de l’hôpital Magatte Lo.

Erosion côtière : Mbao et Thiaroye-Sur-Mer frappées de plein fouet

L’érosion côtière est bel et bien une réalité au Sénégal. Elle est devenue un phénomène récurrent au 21e siècle. Assurément, des villages et villes côtières sont menacés par cette calamité naturelle. Mbao et Thiaroye-Sur-Mer, deux vieux villages lébous situés dans la périphérie du département de Pikine en portent les stigmates. Depuis plusieurs années, la grande bleue avance obstinément et hante le sommeil des habitants de ces localités.
Mbaye Sarr, un pêcheur septuagénaire regrette que l’érosion côtière ait effacé toute une manne de souvenirs de son royaume d’enfance. “L’avancée de la mer est une menace sérieuse. J’ai vécu presque sept décennies ici et je peux vous le garantir, l’État du Sénégal doit mettre en place des digues de protection pour protéger les populations de Mbao. C’est un danger rampant à éviter, il faut qu’il agisse le plus vite possible. Notre terrain de football se trouvait à 50 mètres, maintenant, il est englouti par les eaux maritimes. Si rien n’est fait d’ici peu, Mbao village risque de  disparaître”, alerte-t-il.
Face à cette situation alarmante aux conséquences néfastes, des mouvements de protection de l’environnement se sont mis debout pour dénoncer le danger qui guette leur localité. La psychose s’installe chez les populations. Ces dernières estiment que l’ex-ministre de l’Environnement Abdou Karim Sall n’a pas respecté sa promesse faite au moment où une houle dangereuse frappait le village. Elles en imputent la responsabilité à celui qui est devenu maire de Mbao. “A l’époque, l’ex ministre de l’Environnement Abdou Karim Sall avait promis de travailler sur un projet. Mais jusqu’ici on n’a rien vu. Il y a de cela trois à quatre ans, quand la houle avait fait des ravages à Mbao, l’ancien chef du gouvernement Mouhamed Boun Abdallah Diop était venu ici pour s’enquérir de la situation mais en vain. Nos problèmes perdurent. C’est pas sérieux “, se désole André Coly, riverain.
 
Pour se protéger de l’avancée de la mer, les populations de Mbao village et Thiaroye-Sur-Mer demandent leur part des fonds d’adaptation au réchauffement climatique. Ainsi, elles réclament des digues de protection afin de lutter efficacement contre l’érosion côtière qui gangrène les zones côtières.

Ghana: les commerçants ferment boutique pour dénoncer une inflation record

Les commerçants d’Accra, capitale du Ghana, ont fermé boutique mercredi dans le cadre d’une manifestation de trois jours pour protester contre la flambée du coût de la vie aggravée depuis l’invasion russe en Ukraine.
 
Dans le quartier des affaires et de pièces détachées de véhicules d’Accra, habituellement paralysés par les embouteillages, seuls les vendeurs de nourriture ambulants étaient visibles devant les commerces fermés.
 
Accablé par une lourde dette, le Ghana a enregistré en septembre une inflation historique de 37%, tandis que la monnaie locale – le cedi – s’est effondrée par rapport au dollar américain.
 
Le président Nana Akufo-Addo est critiqué pour sa gestion économique du pays et notamment pour avoir entamé des discussions avec le FMI – lui qui avait autrefois promis un “Ghana sans aide” – pour obtenir un prêt de trois milliards de dollars.
 
Cette décision a fait naître la crainte que le gouvernement impose des mesures d’austérité qui accableraient un peu plus la population, déjà confrontée à l’explosion des prix.
 
Kwesi Amoah, vendeur de pièces détachées à Abossey Okai, dans la banlieue d’Accra, a expliqué à l’AFP que les commerçants n’émettaient plus de factures, les prix augmentant trop vite, parfois en quelques heures.
 
“Nous comprenons que les temps soient durs pour dans le monde, mais nos voisins en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso ne souffrent pas comme nous”, s’est-il lamenté.
 
Le syndicat des commerçants du Ghana (Guta) a déclaré que la fermeture des commerces était un appel à l’aide au gouvernement et une manière d’exprimer leur frustration.
 
“Il est évident que nous ne pouvons plus supporter (cette situation) plus longtemps”, a déclaré le président du Guta, Joseph Obeng.
 
Le Conseil d’État, un organe consultatif du président mandaté par la Constitution, a tenté de convaincre les commerçants d’annuler la grève, en vain.
 
Le gouvernement n’a fait aucun commentaire.
 
“M. Akufo-Addo nous déçoit. On a voté pour un changement et un meilleur mode de vie”, a soufflé Doris Andoh, un commerçant de 37 ans.
 
“J’ai quatre enfants, et à l’heure où l’on parle, deux sont à la maison parce que je ne peux pas payer leurs frais de scolarité.”
 
La banque centrale du Ghana a augmenté son principal taux directeur de 10 points de pourcentage cette année, le portant à 24,5%, afin de tenter de maîtriser la croissance des prix. Mais cela a augmenté les coûts d’emprunt pour les commerçants.

Trafic de haschich : Un réseau d’étudiants cerné par la police des Parcelles-Assainies

Une belle prise à l’actif des éléments du commissariat des Parcelles-Assainies qui ont porté un gros coup dans le milieu interlope. Selon des sources de Seneweb, les hommes du commissaire Balla Kébé ont démantelé un réseau de trafic intense de haschich, avec l’arrestation de trois étudiants et un boulanger. Bilan de la prise :  180 g de haschisch et 6 cornets de chanvre indien. Détails ! Suite à un renseignement relatif à un trafic intense de haschich dans leur secteur, les policiers du commissariat des Parcelles-Assainies se sont mobilisés vers 4 h du matin pour démanteler le gang. Après filature jusqu’au environ de Dalifort, les hommes du commissaire Balla Kébé ont fait tomber quatre dealers pour détention et trafic en association portant sur 180 g de haschisch et six cornets de chanvre indien. Selon des sources de Seneweb proches du parquet, il s’agit de trois étudiants de nationalité malienne et un boulanger sénégalais qui étaient au cœur de cette mafia. A. O. Diallo, étudiant domicilié à Dalifort ; M. W. Ba, étudiant ; M. Simbara, étudiant et le boulanger sénégalais S. M. Cissokho ont été pris la main dans le sac. En effet, deux mis en cause ont été interpellés à la devanture d’une maison sise à Dalifort avant d’être conduits à l’intérieur où se trouvaient les nommés S. M. Cissokho et M. Camara. La fouille de la chambre a permis de découvrir deux paquets de haschisch et six boulettes de haschisch ainsi que six cornets de chanvre indien dissimulés dans une valise. Entendu sur procès-verbal, S. M. Cissokho a reconnu la paternité de la drogue, en précisant qu’ils se sont cotisés tous les quatre dealers pour l’acheter. Mais ses complices ont tenté de nier leur implication dans ce trafic. Le trio affirme s’être rendu à Dalifort pour rendre visite à leur ami Cissokho. Au terme de l’enquête, les trois étudiants et le boulanger ont été présentés au procureur ce mercredi matin, d’après des sources de Seneweb proches du parquet.

Université : Le Mouvement des jeunes d’avenir et d’espoir du Sénégal rappelle les priorités au directeur du Coud

Ces étudiants ont tenu aujourd’hui une conférence de presse pour déplorer les conditions jugées désastreuses dans lesquelles les étudiants évoluent dans le campus social. Sur les ondes de la RFM, Abdou Mbaye Faye, Coordinateur du mouvement, a salué la réfection des pavillons par le Centre des oeuvres universitaires de Dakar.
 
Cependant, ce dernier affirme que les urgences sont l’achèvement de ces travaux dans les plus brefs délais, l’eau, le logement et la restauration.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention