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Prix des matériaux: Les consommateurs interpellent Macky

Confrontés à une hausse sans fin des prix des matériaux de construction, les consommateurs sont au pied du mur. Les organisations de défense des consommateurs déplorent la hausse des prix des matériaux de construction comme le ciment, le fer, le béton.

L’Union nationale des consommateurs du Sénégal estime que cette augmentation est d’autant plus insensée et incompréhensible que les autorités n’ont jamais cessé de manifester leur volonté de baisser le coût du loyer. L’Uncs rappelle que le 09 janvier 2014 le Président Macky Sall avait signé le décret 2014-09 du projet de loi portant baisse des loyers n’ayant pas été calculé suivant la base de surface corrigée.

Une loi qui a été adoptée par l’Assemblée Nationale le 15 janvier 2014 et qui stipule en son article premier que les loyers inférieurs à 150.000 F baissent de 29% alors que ceux compris entre 150.000 et 500.000 baissent de 14%. La tonne de ciment qui valait environ 56.000FCFA revient aujourd’hui à 68.000F au consommateur soit une hausse de plus de 20% et le fer qui coûtait 42000 est vendu aujourd’hui à 62000 soit une hausse de 47,6%. Aujourd’hui, c’est tous les matériaux de construction qui ont connu une nette augmentation, occasionnant dans la foulée une augmentation des prix du loyer, malgré les dispositions de la loi.

L’Union nationale des consommateurs du Sénégal trouve que c’est à la fois incohérent et inadmissible qu’au même moment que l’Etat manifeste sa volonté de baisser les loyers, on assiste à une telle hausse des prix des matériaux de construction. Avec la présence de trois cimenteries dans le pays, l’Uncs trouve incompréhensible cette forte hausse du ciment avec des prix qui ne répondent pas à la concurrence.

« Les consommateurs nourrissent le sentiment que l’Etat s’oppose inconsciemment à tout changement de statut social de la classe moyenne, remettant ainsi en cause la politique du gouvernement de l’accès au logement pour tous », constate l’Uncs. Elle invite le gouvernement et le Président de la République à prendre toutes les mesures qui s’imposent pour soulager les consommateurs dans leur volonté d’accéder à un logement décent.

Petrotim: Transparency enquête

Transparency International demande des autorités d’au moins de six pays d’ouvrir une enquête sur des transactions suspectes concernant deux importants blocs pétroliers au large des côtes du Sénégal.

« Compte tenu de la réticence apparente des autorités sénégalaises à mener une enquête approfondie et à demander des comptes aux responsablesil est essentiel que les informations disponibles soient rapidement examinées par les autorités des pays qui ont compétence sur cette affaire : l’Australie, la Roumanie, la Malaisie, Singapour, le Royaume-Uni et les États-Unis« , peut-on lire sur le communiqué de Trransparency International, une organisation non gouvernementale internationale d’origine allemande ayant pour principale vocation la lutte contre la corruption des gouvernements et institutions gouvernementales mondiaux.

L’Organisation de rappeler dans sa note qu’en 2019, des enquêtes indépendantes menées par l’Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP) et BBC Africa Eye ont révélé des détails jusqu’alors inconnus entourant la vente en 2012 des droits de concession des blocs offshore Deep St. Louis et Deep Cayar, situés au large des côtes du Sénégal.

Et pourtant dit-elle « Ces révélations mettent en cause le président actuel du Sénégal, Macky Sall, son frère, Aliou Sall, et le fils de l’ancien président » et les « rapports accusent l’homme d’affaires roumano-australien controversé Frank Timis d’avoir soudoyé des fonctionnaires sénégalais afin d’obtenir l’accès à des réserves lucratives de pétrole et de gaz à des conditions extrêmement favorables. Selon ces mêmes rapports, son partenaire commercial Eddie Wong, qui détient des passeports de Malaisie et de Singapour, aurait facilité certaines de ces connexions et serait venu représenter les sociétés de Timis au moment de la vente. Timis a nié tout acte répréhensible. »

Sans oublier que la publication de ces enquêtes avait entraîné des manifestations au Sénégal. En réponse à la pression publique, le frère du président, Aliou Sall, a démissionné de ses fonctions publiques mais a rejeté les allégations selon lesquelles il aurait reçu des paiements secrets. L’enquête sur le rôle d’Aliou Sall a abouti à un non-lieu en décembre 2020, de la part des autorités judiciaires.

Transparency International soutient qu’il est essentiel que les autorités des autres pays concernés par cette affaire agissent.
« Les Sénégalais méritent la transparence et l’intégrité dans la gestion de leurs ressources naturelles. Ces réserves de pétrole et de gaz ont le potentiel de transformer le Sénégal et de sortir des millions de personnes de la pauvreté. Et pourtant, elles ont été vendues à un délinquant condamné qui aurait menti à plusieurs reprises aux communautés et aux investisseurs, tout en s’engageant dans des transactions commerciales douteuses avec des fonctionnaires« , a déclaré Birahim Seck, coordinateur du Forum Civil, la section nationale de Transparency International au Sénégal.

Le commerçant dévalise la chambre de son marabout après ….

Reconnu coupable des délits d’abus de confiance et de vol, Birahim Diagne a été condamné hier, à deux mois de prison ferme. Le commerçant avait subtilisé des portables, talismans et autres effets personnels dans la chambre de son marabout béninois, Youssouph, après y avoir passé la nuit avec sa petite amie.

Le courant est très vite passé entre Birahim Diagne et le ressortissant Béninois, Youssouph. Les deux hommes qui se sont rencontrés fortuitement dans une mosquée de la place au mois d’avril dernier, avaient de suite noué une relation d’affaires. Dans un premier temps, Youssouph remet à son collaborateur la somme de 165.000 francs pour qu’il lui trouve un appartement à Keur Massar. Entre-temps, ils décident d’un commun accord de louer un studio meublé à Castors et de se partager les frais de voyance. Trois jours après, Birahim qui était chargé de démarcher des clients, reçoit sa copine, Ndèye Khady dans l’appartement et demande au charlatan de lui céder la chambre. « Ce que j’ai accepté par humanisme. Durant toute la nuit, je les ai entendus faire des choses pas du tout catholiques parce que j’étais couché au balcon. Lorsque je me suis réveillé le lendemain à 11h, la porte du balcon était toujours verrouillée. J’ai toqué à la porte, mais personne n’a répondu. Après l’avoir défoncé, j’ai trouvé la chambre sens dessus-dessous. Mon sac à dos, mes téléphones, mes talismans et autres effets personnels avaient disparu », a expliqué Youssouph hier, à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar.

« Il faisait ses selles devant nous et nous les donner à manger… »

Poursuivi pour abus de confiance et vol, Birahim Diagne qui a balayé d’un revers de main les accusations, fait des révélations qui font froid dans le dos. A l’en croire, le plaignant lui avait proposé des bains de protection. « Il m’a donné un bain en pleine nuit dans la rue avant de me réclamer 50.000 francs. Envoûté, je lui ai donné ledit montant sans comprendre. Le surlendemain, il m’a encore remis un parfum et un savon moyennant le versement de la somme de 100.000 francs. Ensuite, je l’ai présenté à des amis. Ensemble, on lui a pris un studio meublé à Castors. Mais, il nous faisait faire des choses bizarres. Il avait un comportement vraiment effrayant », confesse le commerçant, né en 1974. « Il faisait ses selles devant nous et nous les donnait à manger. Il nous donnait également un mélange noirâtre, très nauséabonde et nous forçait à l’avaler. On était hypnotisés », a-t-il confié. « Au bout de 15 jours, mes amis ont arrêté de lui payer l’appartement, car ses promesses mystiques tardaient à se matérialiser. Après y avoir passé la nuit avec ma petite amie, j’ai aussi quitté le studio. Mais, je n’ai pas volé ses biens », a-t-il contesté. Le prévenu a également nié avoir encaissé les 165.000 francs du plaignant, lequel a réclamé 450.000 francs, à titre de réparation.

Entendu en qualité de témoin, la fille confirme que son copain avait remis 165.000 francs au prévenu. « Après constat du vol, il est venu chez moi complètement déboussolé pour me dire que Diagne est parti avec son argent, ses téléphones et ses effets personnels. C’est le lendemain qu’il l’a revu dans une veillée religieuse. Quand il m’a appelé, je l’ai rejoint sans tarder. On a trouvé Diagne en train de dormir dans un coin isolé de la tente, le sac à dos de Youssouph à ses côtés. On l’a réveillé et il s’est rebellé contre nous. Pour éviter le pire, un agent de sécurité est intervenu et nous a tous conduits à la police », a-t-il narré.

Après le parquet qui a requis l’application de la loi, le juge a condamné le prévenu à deux mois ferme et à payer 250.000 francs à la partie civile.

Trafic de visas : Voici pourquoi Kilifeu n’a pas bénéficié d’une libération provisoire

Dans l’affaire du supposé trafic de visas impliquant l’activiste-rappeur Kilifeu, la libération provisoire de Thierno Amadou Diallo, l’homme qui avait filmé Kilifeu, a surpris plus d’un. Ce, alors que le même privilège n’a pas été accordé au membre de Y’en A Marre.

Ainsi, cette décision qui a suscité beaucoup d’incompréhension et de polémique a fait réagir, Me El Hadji Diouf, avocat de Thierno Amadou Diallo.

“J’ai expliqué à la Chambre d’accusation comment se sont déroulés les faits. J’ai convaincu la Chambre pour libérer mon client. Thierno Amadou Diallo a donné son argent à Kilifeu et à Simon et il n’a pas vu de visa. Donc, on ne devait même pas emprisonner Thierno car il est victime », a expliqué Me El Hadji Diouf.

Ce dernier poursuit : « Simon a loué son passeport à Thierno. Comment on peut enfermer la victime et laisser les autres qui ont pris l’argent de Thierno Amadou Diallo, qui ne faisait que réclamait son argent. Une victime ne peut pas être égale à un bourreau“, a déclaré l’avocat. Par ailleurs, Me El Hadji Diouf a accusé le mouvement Y’en a marre et le leader de Pastef d’être des manipulateurs. “A chaque fois, ils font dans la pression pour manipuler les populations“,

Journée du tirailleur : la 17ème édition célébrée ce vendredi

Après le camp Leclerc,  Cette fois-ci, il s’agit de célébrer le sang de l’honneur et de la dignité versé par nos anciens combattants.

D’où la 17ème journée du tirailleur sénégalais qui sera célébrée, ce vendredi, sur l’ensemble du territoire national sous le thème « Lamine Senghor, le combat pour l’égalité d’un tirailleur sénégalais de la grande guerre ».

A Dakar, selon nos confrères, la cérémonie de recueillement aura lieu à Thiaroye, plus précisément au cimetière des tirailleurs sénégalais, sous la présidence du ministre des forces armées, Me Sidiki Kaba.Une présence qui montre l’importance de cette journée pour que les nouvelles générations se souviennent qu’à l’heure des grandes batailles pour la liberté de l’Afrique, le Sénégal était toujours présent !

Pour la petite histoire, les tirailleurs sénégalais sont un corps de militaires constitué au sein de l’empire colonial français en 1857. Ils ont été mobilisés pour la libération de la France lors des deux guerres mondiales (1914-1918 et 1939-1945). Ils ont également combattu lors de la guerre d’Indochine.

Proxénétisme et corruption de mineure : Mame Diarra Sarr formait deux petites filles à la prostitution

Mame Diarra Sarr, Fatou Ba, Ndèye Fatou Sow et Moussou Sidibe ont fait face hier au juge des flagrants délits de Dakar pour proxénétisme, corruption de mineure et de défaut de carnet de santé. Les prévenues ont été condamnées à 6 mois de prison ferme.Plus chanceuse, Moussou Sidibé a été relaxée.

Une maison de prostitution clandestine a été démantelée par la police au cours du mois de novembre dernier. Lors de leur descente sur les lieux, les limiers ont découvert 50 préservatifs, du lubrifiant et deux jeunes mineures de 16 ans.

C’est ainsi que la dame Mame Diarra Sarr, les deux mineures Fatou Ba et Ndèye Fatou Sow, ainsi que Moussou Sidibe, ont été arrêtées pour proxénétisme, corruption de mineure et défaut de carnet de santé. Les mis en cause ont comparu hier devantla barre du Tribunal de Grande Instance de Dakar où ils ont nié les faits qui leur sont reprochés.

Mame Diarra Sarr et ses deux protégées (Fatou Ba et Ndèye Fatou Sow) soutiennent qu’elles s’adonnent à la prostitution tout en ajoutant détenir des carnets de santé.

Considérée comme le cerveau de la bande, Mame Diarra Sarr affirme qu’elle n’a jamais incité les filles à la perversité. Toutefois, elle reconnaît être une travailleuse du sexe.

Sa co-prévenue Fatou Ba a révélé avoir fugué de son village natal pour venir à Dakar. C’est ainsi qu’elle a été hébergée par Mame Diarra Sarr.

«Mame Diarra nous faisait travailler comme réceptrice d’appel téléphonique. On gérait les appels des potentiels clients, fixait les prix et présentait les différents services qu’on leur offre. En contrepartie, on recevait des IPhones comme cadeaux de sa part», a-t-elle souligné.

Des propos niés par Mame Diarra Sarr, même si Ndèye Fatou Sow a abondé dans le même sens que Fatou Ba. Dans son réquisitoire, le ministère public a indiqué que les faits ne souffrent d’aucune contestation.

«Heureusement que ce sont les voisins qui les ont dénoncés suite à des va-et-vient incessants. Elles se prostituent sans être en règle», tonne le parquetier qui, pour le délit de corruption de mineure imputé à Mame Diarra Sarr, estime qu’il est avéré. D’autant que la dame a regroupé deux mineures de 16 ans dans le but de les pervertir.

Par conséquent, il a requis un mois avec sursis contre Moussou Sidibé et 6 mois dont 15 jours ferme contre les trois autres prévenues. La défense a plaidé la relaxe en faveur de ses clients.

Moussou Sidibé a été relaxée. Par contre, Mame Diarra Sarr, Fatou Ba et Ndèye Fatou Sow ont été déclarées coupables et condamnées à 6 mois dont 15 jours ferme.

La grève des transporteurs s’accélère: mot d’ordre prorogé, négociations boycottées par les transporteurs, les regrets de Mansour Faye

Les transporteurs, qui ont refusé hier de répondre à l’appel du ministre des Transports terrestres pour entamer les négociations, prolongent leur mot d’ordre de grève.

La galère continue, car la grève des transporteurs va se poursuivre. Surtout que les positions restent figées à cause d’un manque de concertations. Attendus à la réunion, hier avec le ministre des Infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, Gora Khouma et ses camarades ont boycotté l’invitation de Mansour Faye.

Selon M. Faye, ils ont exigé, avant de se présenter à toute réunion, la présence de tous les autres ministres dont les départements sont concernés par leurs plateformes revendicatives.

Il s’agit des ministères de l’Intérieur, des Forces armées, des Finances et du budget, de l’Environnement, du développement durable, des Collec¬tivités territoriales et du Travail. «Le gouvernement constate, pour le déplorer, la volonté délibérée du cadre de ne pas entamer de négociations», regrette Mansour Faye face à la presse.

Aujourd’hui, les usagers vont continuer à trinquer. «Le gouvernement regrette les lourdes conséquences engendrées par la grève des transporteurs sur l’économie nationale, exprime sa solidarité aux usagers dont les activités économiques et sociales sont impactées négativement par la grève», affiche le ministre des Transports.

Selon ses dires, le gouvernement est sensible aux nombreux désagréments subis par les populations privées ces derniers jours, d’heures de labeur et de revenus.
Mais, l’espoir reste toujours permis. Malgré la position très tranchée du cadre unitaire des transporteurs, le gouvernement reste ouvert au dialogue pour trouver des solutions «pertinentes et définitives» aux problèmes posés, d’après Mansour Faye.

Il révèle que dès la sortie du Conseil des ministres du mercredi, sur instruction du chef de l’Etat, les ministres concernés par les différents points de la plateforme revendicative se sont réunis. A l’issue de cette réunion, plusieurs propositions «concrètes» que le ministre des Transports terrestres est chargé d’exposer aux membres du cadre ont été retenues.

«Ces points, dit-il, portent essentiellement sur trois postes de contrôle routier, qui seront mis en fonction par corridor routier. D’ailleurs cette mesure a déjà commencé à être appliquée, un arrêt interministériel est en cours d’élaboration pour rendre effective cette décision du gouvernement», rassure Mansour Faye.
Quid de la concurrence déloyale ?

«L’Etat combat tous les jours, le transport irrégulier et illégal au regard de la réglementation en vigueur. Sur le contrôle de la charge à l’essieu, l’Etat respecte la feuille de route de l’Uemoa», affirme-t-il.

Après une première journée calme, des scènes de saccage ont par contre escorté le deuxième jour de grève, notamment à Diourbel où des bus de Ddd ont été incendiés. Bien sûr, il condamne «fermement» les violences commises contre certains acteurs, qui veulent exercer leur droit au travail.

Les transporteurs dénoncent les tracasseries policières, la concurrence déloyale, avec notamment l’intervention des véhicules particuliers dans le secteur, l’insécurité des transporteurs, surtout au Mali, l’implication illégale, dans le transport, des voitures guinéennes et gambiennes, le respect des accords conclus entre l’Etat et les syndicats, le retour aux prix des documents administratifs de transport routier pratiqués et des anomalies constatées au Centre de contrôle technique des véhicules automobiles (Cctva), avec la corruption, les multiples difficultés vécues dans la mise en œuvre du Règlement 14 de l’Uemoa.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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