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UN RESPONSABLE DE PASTEF INDISPOSE LES LEADERS

C’est un fait anecdotique mais d’une portée implosive qui a indisposé hier la délégation des leaders de la coalition de Yewwi askan wi (Yaw), en visite au khalife de Médina Baye, Cheikh Mahi Niass. Baye Mbaye Niass, un responsable de Pastef, a présenté Sonko comme candidat de Yaw à la Présidentielle de 2024. Installant ainsi un véritable malaise au sein de la délégation.

Sous le rythme du Gamou, dans son salon de réception, Cheikh Mahi Niass, le khalife de Médina Baye, a reçu hier la visite de la délégation de Yaw composée, entre autres, de Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Ahmed Aïdara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Youm. L’audience est solennelle, l’ambiance cordiale jusqu’au moment où le préposé aux présentations se redresse pour prendre la parole.

« Ousmane Sonko est notre candidat à l’élection présidentielle de 2024. Cette candidature, il l’a d’ailleurs clamée. Donc, nous sollicitons vos prières afin que se réalisent ses souhaits pour le pays », lâche-t-il comme un coup de tonnerre, plongeant Sonko lui-même dans le choc. Pris de cours par la bourde, Khalifa Sall n’aura eu comme réaction que d’incliner son bonnet pour se gratter le crâne. Pantois face à la situation, les autres leaders de remplir le décor de la salle par des yeux hagards. Il n’aura fallu qu’une fraction de seconde pour que, sur la toile, la scène devienne virale. « Sonko humilie Khalifa Sall », « Vers l’implosion de la coalition Yewwi askan wi », se sont déchainés les uns, tandis que, dans la tornade de commentaires, d’autres ont préféré dédramatiser.

Sur les pas de Baye Mbaye Niass, l’auteur de la bourde

Auteur de la bourde, Baye Mbaye Niass, petit-fils de Baye Niass, est connu à Kaolack pour son engagement politique au sein du Pastef. Parti qu’il a rejoint depuis 2018 après un périple politique ponctué par un passage à l’Afp de Moustapha Niasse. Militant acharné, c’est sans tarder qu’il gravit les échelons pour diriger, en 2019, lors de la Présidentielle, la com’ de la coalition Jotna qui portait la candidature de Sonko. Convaincu de la suprématie politique de son parti face aux autres de la coalition, Baye Mbaye Niass n’a pas hésité à rejeter le choix porté sur un responsable du Pur aux dernières élections municipales à Kaolack. Les dés étant déjà pipés, il rejoint la mouvance conduite par Serigne Mboup avec qui il remporte le scrutin et rafle un poste d’adjoint au maire en charge de l’environnement. Sans toutefois se départir de son idée selon laquelle, le Pastef est l’alpha et l’oméga au sein de la coalition Yewwi askan wi. Position qu’il a réaffirmée, hier, en d’autres termes.

AVEC EMEDIA

Muezzin lynché à mort à Pire : Les aveux de l’Imam du village

Il y a quelques jours, la construction d’une mosquée a viré au meurtre dans le village de Dieyene, situé dans la commune de Pire (département de Tivaouane). Bassirou Mbaye, muezzin, a décidé de quitter la moquée principale du village après un conflit, pour construire sa propre mosquée. Accusé d’avoir volé la fenêtre de la mosquée qu’il fréquentait, il sera lynché à mort par plusieurs personnes.

Les enquêteurs de la Brigade de Gendarmerie de Tivaouane, en charge de l’affaire, ont ensuite arrêté 12 personnes, avec l’aide d’une vidéo amateur filmée sur un smartphone. Parmi eux, l’Imam du village. Entendu sur procès-verbal, l’imam a tenté de nier les faits dans un premier temps avant de craquer suite à sa confrontation avec les éléments en possession des enquêteurs.
Dans ses aveux, il a confié qu’il est le commanditaire de cette attaque perpétrée contre le muezzin. Le chef suprême de la mosquée de ce village avait recommandé aux habitants du village d’aller s’opposer physiquement au projet de Bassirou Mbaye. Mais armés de bâtons, de machettes, entre autres, les hommes qu’il a envoyés vont mettre à mort le muezzin Bassirou Mbaye

Ce dernier est mort sur le site même de sa mosquée en construction.

Explosion de chaudière à Nébé : le bilan s’est encore alourdi !

La semaine dernière, l’explosion de la chaudière d’une usine de transformation agroalimentaire avait fait un mort sur le coup à Nébé. Malheureusement le bilan s’est alourdi

Le bilan s’est alourdi dans l’affaire de l’explosion de la chaudière de l’Usine dans l’explosion de l’usine agroalimentaire de Nébé s’est alourdi. Un autre des blessés a finalement succombé. Le bilan est désormais de trois morts. Les 7 autres blessés sont toujours en soin à l’hôpital Idrissa Pouye, ex Cto.

Rentrée scolaire 2022-2023 : le «ubbi tay jang tay» éclipsé par le Gamou

Le concept «Ubbi tay jàng tay» n’a pas été effectif dans les écoles visitées hier, jeudi 6 octobre, jour de rentrée scolaire des élèves. Aux Parcelles-Assainies, l’école élémentaire publique PAR A de l’Unité 21 et le Collège d’Enseignement moyen (CEM) de l’Unité 18, ont connu une ouverture des classes particulièrement timide, avec notamment la «totale» absence des apprenants. Expliquant le pourquoi d’un tel fiasco, les responsables de ces établissements scolaires publics sont unanimes à relever le fait que le rapprochement entre la date de la rentrée et celle du Gamou, prévue ce samedi ce 8 octobre a contribué à empêcher d’avoir le résultat escompté. Car beaucoup de musulmans sénégalais se rendent dans différentes cités religieuses pour y célébrer cet événement, dédié à la célébration de la naissance du Prophète Mahomet (PSL).

Des élèves aux abonnés absents en pleine rentrée scolaire. C’est le constat pour le moins étonnant qui a été fait hier, jeudi 6 octobre, date de l’ouverture des classes. La formule «Ubbi tay jàng tay» n’est qu’un vain slogan dans les établissements scolaires publics suivis aux Parcelles-Assainies. Des responsables d’administration scolaire ont pointé du doigt le rapprochement entre la date d’ouverture de classe et celle du Gamou, cérémonie consacrée à la célébration de l’anniversaire du Prophète de l’Islam, et qui draine pas mal de fidèles musulmans sénégalais vers diverses cités religieuses du pays, pour expliquer les raisons d’un tel échec. Le Gamou étant prévu ce samedi 8 octobre, soit seulement deux jours après la date de la rentrée. Mouhamed Abdou Latif Seck, le directeur de l’école élémentaire publique PAR A de l’Unité 21 de la commune partage cette idée. «La rentrée est très timide. Ceci est dû au chevauchement avec le Gamou. Peut-être les parents et les élèves sont pris pour cette fête religieuse. C’est en vertu de ça qu’on n’a pas reçu d’élèves du tout, aujourd’hui», regrette-t-il. «Même les enseignants sont au nombre de 7 présentement sur un total de 14. Surtout ceux qui habitent loin, peut-être ils ont eu des difficultés à rallier l’école du fait qu’il n’y a pas de moyen de transport lié au Gamou», poursuit-il, dans son bureau rempli de documents.

«LA DATE EST MAL CHOSIE»

Poursuivant son argumentaire, M. Seck dénonce une date inappropriée. «La date est mal choisie, on ne devrait pas la caler à la veille du Gamou. Le concept de  Ubbi tay jàng tay  n’a pas été du tout une réalité chez nous. Aucun élève ne s’est présenté. Quelques parents sont venus inscrire leurs enfants, ils sont au nombre de 6 pour le CI (Cours d’Initiation, Ndlr) et une dizaine pour les autres classes», dit-il pour le fustiger. Enseignant de son état, M. Sagna fait état d’une journée «infructueuse», comparée à l’année académique précédente. «L’année dernière, à pareille heure, toutes les classes avaient fonctionné, malheureusement avec le Gamou, on n’a pas vu d’élèves cette année-ci. Nous lançons un appel aux autorités par rapport au choix des dates», souligne-t-il.

«JOURNÉE PERDUE»

Sous un arbre à palabre, situé dans la cours de l’école, l’instituteur de l’école PAR A dénonce une journée inutile non sans conséquences sur le quantum horaire. «Aujourd’hui, c’est une journée perdue; et ça va se répercuter sur le quantum horaire. C’est malheureux !», regrette-t-il. Après longue attente à la salle des Professeurs, Priska Yacine Faye, adjointe au principal du Collège d’Enseignement moyen (CEM) de l’Unité 18 des Parcelles-assainies, décide finalement de venir répondre aux questions sur les coups de 13H. «C’est une rentrée très timide, comparé à l’année dernière. Cela pourrait être lié au Gamou», estime-t-elle. Non sans ajouter : «de toute façon, les Professeurs étaient là, ainsi que toute l’administration, sauf qu’il n’y a aucun élève. Les parents viennent à compte-goutte pour inscrire leurs enfants, mais il n’y a pas d’affluence, quoique toutes les conditions soient réunies pour faire du « Ubbi tay jàng tay » une réalité. Les salles de classes déjà sont nettoyées et les toilettes sont propres». Selon Mme Faye, «au total, 39 professeurs officient au CEM Unité 18, étant composé de 23 classes, réparties de la 6ème à la 3ème». La rentrée scolaire 2022-2023 des élèves est une catastrophe suivant le concept «Ubbi tay jàng tay».

Trafic de visa : Kilifeu et Simon vont retourner au tribunal

Rebondissement dans l’affaire de trafic présumé de passeports diplomatiques. Le premier étant celui qui éclabousse des gendarmes de la Présidence et du ministère des Affaires étrangères ainsi que deux anciens députés.

Les Échos informe qu’hier, jeudi, le tribunal correctionnel de Dakar a renvoyé au 17 novembre prochain le procès des rappeurs Kilifeu et Simon. La raison ? Un retour de citations, d’après le journal.

Kilifeu est poursuivi pour association de malfaiteurs, corruption, tentative de faux dans un document administratif, tentative de trafic de migrants et complicité d’usage de faux.

Simon est également visé pour le premier et les deux derniers chefs reprochés à son camarade de Y’en a marre.

En dehors de Simon et Kilifeu, cette affaire concerne aussi le nommé Thierno Diallo alias Thiers. Ce dernier apparaît dans une vidéo où Kilifeu promet de lui délivrer des visas.

Il est poursuivi pour association de malfaiteurs, complicité de corruption, complicité de tentative de faux, usage de faux dans un document administratif et complicité de trafic de migrants.

Sommet Cedeao à Dakar : les dessous d’une annulation

Le sommet extraordinaire de la Cedeao prévu à Dakar le 14 octobre 2022 a été annulé. La réunion était censée être consacrée à la question sécuritaire ouest-africaine, notamment sur la situation au Burkina Faso et l’affaire des militaires ivoiriens emprisonnés au Mali.

Il n’y aura pas de sommet de la Cedeao à Dakar », a confirmé jeudi 6 octobre l’ambassadeur ghanéen, Abdel Fatau Musah, commissaire aux Affaires politiques, à la Paix et à la Sécurité de la Cedeao.

La ministre sénégalaise des Affaires étrangères Aissata Tall Sall explique les raisons de ce report : « Il y avait un sommet extraordinaire de la Cédéao sur la situation au Burkina à la suite du second coup d’État. Entre-temps, nous avons tous suivi la déclaration du capitaine Traoré (Ibrahim) qui accepte de mettre en œuvre l’agenda de la Cedeao. Alors, à partir de ce moment, on se serait réuni pourquoi faire ? », explique la cheffe de la Diplomatie sénégalaise, précisant qu’il n’était pas opportun pour les chefs d’État de se réunir à Dakar pour discuter d’une question déjà réglée ».

Aissata Tall Sall assure que l’organisation sous-régionale se réunira en session ordinaire en décembre prochain pour évaluer « les progrès qui ont été faits par le Burkina, mais examinera aussi la situation au Mali et en Guinée ». Et selon des sources proches du Président Bissau-Guinéen Embalo, le président en exercice de la Cedeao souhaite en faire un rendez-vous d’importance.

Meurtre de Nafissatou Diédhiou à Liberté-6 : son mari inculpé et placé sous mandat de dépôt

Nafissatou Diédhiou, âgée de 37 ans a été retrouvée morte dans sa chambre à Liberté-6 Extension. Suite à ce drame, son mari a été inculpé et placé sous mandat de dépôt par le juge du 7 ème cabinet. Selon ‘’Libération’’ qui donne la nouvelle dans sa livraison de ce vendredi, le suspect avait déclaré que son épouse s’est suicidée à l’aide d’un filet de bain alors qu’il dormait à côté sans avoir rien entendu. Mais sa version a été balayée au fil de l’enquête des éléments du commissariat de Grand-Yoff.

Aussi, renseigne le journal, les enquêteurs ont d’abord souligné que vu sa petite taille, la victime ne pouvait pas s’attacher seule au plafond de sa chambre. Ensuite, les vêtements qu’elle portait le jour supposé de son décès sont introuvables. En plus, l’autopsie a conclu à une mort par asphyxie mécanique consécutive à une strangulation. Tous ces éléments, selon la même source, ont conforté les policiers ainsi que le parquet que l’auteur du crime n’est autre que le mari de la victime.

Après le Forum civil, c’est au tour du Fmi de dire ses vérités sur la passation des marchés !

Mercredi dernier, le coordonnateur du Forum civil avait alerté de nouveau sur la “déstruction” du système de passation des marchés publics. Birahim Seck avait surtout dénoncé le décret sortant les sociétés nationales liées au pétrole, au gaz et à l’énergie, du champ du code des marchés publics. À présent, c’est au tour du Fonds monétaire international (Fmi) d’emboucher la même trompette.

Dans le communiqué de presse qui a sanctionné sa dernière revue, le Fonds monétaire international (Fmi) a souligné que le renforcement de la résilience de l’économie sénégalaise, face aux multiples chocs et la constitution de marges de manœuvre pour faire face aux chocs futurs, dépendent de l’avancement des réformes structurelles clés.

Et parmi ces réformes, l’institution de Bretton Woods a mis le curseur sur un point qui fait débat: le système de passation des marchés publics. En effet, elle a souligné que l’Etat doit “rationaliser les dérogations au code des marchés publics pour le secteur de l’énergie et finaliser la révision de son cadre juridique pour limiter strictement les dérogations aux appels d’offres ouverts et concurrentiels.”

En effet, les sociétés nationales se mouvant dans le secteur pétrolier et gazier (Senelec, Petrosen Holding et ses filiales, Petrosen Exploration & Production et Petrosen Trading & Services SA, la Société Africaine de Raffinage, le Réseau gazier du Sénégal et même l’Institut national du Pétrole et du Gaz) ont toutes été extirpée du champ des marchés publics le 12 aout dernier.

Ces entreprises, selon le ministre, ont un besoin constant en équipement et services pointus à bref délais et évoluent dans un environnement fortement concurrentiel. D’où, de son avis, «la nécessité de leur assurer l’efficacité, la réactivité et la célérité exigent l’aménagement de règles de passation des marchés publics souples.»

Mercredi dernier, Birahim Seck s’en était offusqué : “Le 12 aout passé, le gouvernement n’a-t-il pas extirpé du champ du Cmp tous les achats liés au secteur extractif. Autrement dit, les achats effectués dans les secteurs du pétrole, du gaz et de l’énergie sont extirpés du champ des marchés publics», avait fustigé le coordonnateur du Forum civil. Pour lui, par ce décret, “on a créé un boulevard de commandes directes au profit du gouvernement et au détriment de la transparence.”

Relation entre Mame Maodo Malick Sy et ses parents : l’histoire jamais racontée

C’est à Tivaouane que l’histoire est racontée aux différentes générations. Le père d’El Hadj Malick Sy avait un autre nom différent de celui que l’histoire raconte très souvent : Sidy Ousmane Sy. Qui était Demba Khourédia Sy ? Pourquoi Mame Fa Wade Wélé avait renoncé au mariage avant de rencontrer le père de Mawdo ? Le cadeau de la mère d’El Hadj Malick à El Hadj Omar Foutiyou ? Quelles seraient les circonstances du décès de Mame Ousmane Sy ? Autant de questions auxquelles ‘’SourceA’’ tente d’apporter des éléments de réponses.

Plus qu’un érudit, El Hadj Malick Sy avait le destin déjà tracé avant sa naissance vers 1855. Son père, Sidy Ousmane Sy, venait de la Mauritanie où il était parti apprendre. La tête pleine, il décida de rentrer au bercail. Mais, Mame Ousmane Sy avait un souhait : faire escale à Gaé, voir son marabout d’antan, Thierno Malick Sow à qui il donnera plus tard le nom à son fils.

Arrivé à Gaé, Mame Ousmane Sy partaga son vœu, devant Alpha Mayoro Wélé, de vouloir quitter le célibat une fois arrivé chez lui à Boundou (Sénégal oriental). C’est ainsi que Alpha Mayoro Wélé décida de lui proposer sa sœur, Sokhna Fatoumata Wade Wélé. Et l’union fût scellée.

Mame Fa Wade Wélé ne s’attendait pas à se remarier une nouvelle fois, a dit, un jour, à son aîné Alpha Mayoro que si elle était un homme, elle allait l’accompagner dans son Jihad

Mame Fatoumata Wade Wélé venait de sortir déjà de deux unions auxquelles elle eût, chacune, une fille. Même s’il convient de préciser que Sokhna Fatoumata Wade Wélé fût séparée de ses deux premiers époux par la mort de ces derniers. D’ailleurs, l’on raconte que la mère d’El Hadj Malick Sy avait renoncé au mariage après la mort de son second époux. Ou, du moins, elle se voyait comme étant malchanceuse en matière de mariage. Seulement, elle allait plus tard mettre au monde celui qui fera propager l’Islam et la Tarikha Tidiane, après El Hadj Oumar Foutiyou Tall et ses disciples.

D’ailleurs, le grand-père de Seydou Nourou Tall avait reçu de Mame Fa Wade Wélé un pagne, en guise de Hadiya (cadeau) pour l’affection qu’elle portât pour le Saint homme. Elle dit à son aîné, Alpha Mayoro, à qui elle avait remis le tissu destiné à El Hadj Omar, que si elle était un homme, elle allait l’accompagner dans son Jihad.

El Hadj Malick a deux demi-sœurs aînées

De retour de La Mecque, El Hadj Oumar Foutiyou Tall recevra plusieurs délégations à Horé Fondé (dans le département de Podor). Parmi ces délégations, figurent celle venue de Gaé, avec à leur tête, Mame Alpha Mayoro Wélé. C’est ainsi qu’il recevra des mains de El Hadj Omar le secret de la Tarikha Tidiane pour le remettre à son tour à Malick quand ce dernier le réclamerait plus tard.

 

 

 

Au détour d’une altercation avec des ‘’Peuls’’ du Djolof, Mame Ousmane Sy finit par être assassiné

El Hadj Malick Sy ne verra jamais son père. Qui, après avoir épousé Mame Fa Wade Wélé, décida de laisser cette dernière à Gaé, le temps qu’il rende visite à sa famille à Boundou (au Sénégal oriental). Il avait confié, avant son départ, qu’il allait avoir un enfant. Et il avait décidé de lui donner le nom de sa mère si l’enfant est une fille ou le nom de son marabout s’il est un garçon. Mais en cours de route, une altercation l’aurait opposée aux Peuls du Djolof. Et au cours de laquelle, il serait assassiné par ces derniers.

Après avoir mémorisé le Saint Coran à l’âge de 10 ans seulement, El Hadj Malick Sy décida de rebaptiser son père qui portait, en réalité, le nom de Demba Khourédia Sy

Devenu plus mûre et suffisamment sage, même si, à l’âge de 10 ans seulement, il avait déjà mémorisé le Livre Saint, El Hadj Malick Sy décida de rebaptiser son père qui portait, en réalité, le nom de Demba Khourédia Sy au motif que ce prénom avait la sonorité de Ceddo (guerrier en Ouolof).

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention