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Grève des contrôleurs aériens : une bonne nouvelle est tombée du ciel

L’on se dirige vers la fin de la grève des contrôleurs aériens, qui a débuté hier, vendredi, et chamboulé les activités de plusieurs compagnies aériennes. D’après Le Quotidien, une réunion de conciliation s’est tenue hier, sous la houlette du nouveau ministre des Transports aériens, Doudou Ka.
 
D’après le journal, il y avait autour du successeur de Alioune Sarr, le secrétaire général du Syndicat des aiguilleurs du Sénégal, François Gomis, et le directeur général de l’Asecna, Mohamed Moussa, «ainsi que toutes les autres personnes impliquées dans la résolution de cette crise».
Le Quotidien rapporte qu’à la fin de la rencontre, les parties ont porté leurs signatures au bas d’un procès-verbal «qui annonce la fin des turbulences».
 
La même source révèle que le directeur général de l’Asecna a promis d’inscrire «à l’ordre du jour du prochain Conseil d’administration de l’agence, les points qui n’ont pas fait l’objet d’accord et la levée des mesures prises par les Etats». Par ailleurs, Mohamed Moussa s’est engagé pour la «résorption du sous-effectif du personnel dans les centres ATS».
 
Ces engagements sont bien accueillis par le secrétaire général du Syndicat des contrôleurs aériens, qui les assimile à des «mesures d’apaisement». Mais «en vue de la suspension immédiate de la grève», François Gomis compte les soumettre aux autres organisations membres de l’Union des syndicats des contrôleurs aériens de l’Asecna (Usycaa), qui a déclenché la grève des aiguilleurs du ciel.
 
Les parties espèrent aller plus loin que la suspension de la grève en cours. Dans le procès-verbal de leur rencontre, informe Le Quotidien, elles «s’engagent à étudier les modalités d’une trêve sociale durable dans le secteur».

Autosuffisance en riz au sénégal : le PDC VR presse le pas en Casamance

La production agricole prend l’ascenseur en Casamance, dans le cadre du Projet d’autosuffisance en riz piloté par l’État du Sénégal. Le Projet de Développement de la Chaîne de Valeur Riz (PDC VR) a emblavé, cette année, 950 hectares dans huit (08) vallées des régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda. Ce qui dénote une hausse significative, comparativement aux deux dernières saisons où la production dans ces vallées était limitée à 339 hectares en 2020 et 425 hectares en 2021, a renseigné son coordonnateur national, Dr Wali Diouf. Ce dernier s’exprimait hier, vendredi 23 septembre, au terme d’une visite de terrain pour s’enquérir de la situation des cultures de riz à Ziguinchor et à Sédhiou.

La verte Casamance est-elle en train de devenir l’épicentre du Projet d’autosuffisance en riz de l’État du Sénégal ? Le Projet de Développement de la Chaîne de Valeur Riz (PDC VR) a emblavé, cette année, 950 hectares dans huit (08) vallées des régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda. Ce qui traduit une nette hausse par rapport aux deux dernières saisons où la production dans ces vallées était limitée à 339 hectares en 2020 et 425 hectares en 2021, selon son coordonnateur national, Dr Wali Diouf, qui s’exprimait hier, vendredi 23 septembre, au terme d’une visite de terrain pour s’enquérir de la situation des cultures de riz à Ziguinchor et à Sédhiou, rapporte l’APS. «Cette année, nous avons essayé de mettre l’accent sur huit vallées de Kolda à Ziguinchor en passant par Sédhiou (…) et nous avons pu constater que c’est 950 hectares qui ont été emblavées dans ces huit vallées», a-t-il déclaré.

Dr Wali Diouf était en compagnie du représentant de la Banque Islamique de Développement (BID), Bachir Diama, des chefs de services et des acteurs de l’agriculture. Dans son parcours, la mission a tour à tour visité les vallées des villages de Coubalang (Bignona) de Kadiamoor (Bignona) et de Soumakounda (Sédhiou). Elle a également visité l’Unité de transformation du riz de Kougne (Goudomp), réalisée en 2019 dans le cadre du Programme National d’Autosuffisance en Riz (PNAR) par le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural.

À cette occasion, M. Diouf a rappelé que le PDC VR est un projet de la BID, d’un montant global de 41 millions d’euros, soit près de 27 milliards de francs CFA pour soutenir les initiatives du Sénégal dans sa politique d’autosuffisance en riz. Selon lui, «les surfaces emblavées ont été ainsi triplées en trois ans grâce notamment à un important soutien pour les intrants, à savoir des semences de qualité, mais également l’apport en équipement et en conseil, mais surtout la mutualisation et l’harmonisation des interventions de l’ensemble des acteurs qui interviennent dans la zone».

À ce propos, il a indiqué que ces huit (08) vallées que le Projet de développement de la chaîne de valeur riz suit ont impacté 1235 ménages avec des bénéficiaires, tous du Sud, organisés en en coopératives de GIE composés chacun de 124 membres ou plus, dont 119 femmes. Revenant sur la qualité de la production, le coordonnateur du PDC VR a rassuré qu’à ce stade, «le riz se comporte très bien grâce aux intrants de qualité qui ont été apportés», ajoutant que «le projet va continuer à davantage augmenter les emblavures ainsi que les équipements».

Crime odieux à Yeumbeul-Nord: Le menuisier métallique M. L. Boye poignarde à mort B. H. Sall et se fait arrêter à Mbacké

La bagarre entre le menuisier métallique du nom de M. L. Boye plus connu sous le nom de «Ngom» et le maçon B.H. Sall dit «Cheikh Sall», a viré au drame à Yeumbeul-nord. En effet, le premier a poignardé à mort le second nommé. Les faits remontent au jour du Magal. Disciple de Bacchus, “Ngom” avait pris la fuite juste après son présumé crime.
N’empêche, souligne “L’As”, les éléments de la police de Comico de Yeumbeul Nord se sont déplacés sur les lieux pour faire le constat avant d’ouvrir une enquête. Avisés également du drame, les sapeurs-pompiers sont venus évacuer le corps sans vie de B. H. Sall dit «Cheikh», dans une structure sanitaire de la place pour les besoins de l’autopsie. Au cours de leurs investigations, les limiers de Yeumbeul ont été alertés de la présence du présumé meurtrier M. L. Boye dit «Ngom» à Mbacké, plus précisément dans un bar où il sirotait tranquillement son verre.
Aussitôt, ils saisissent leurs camarades du Commissariat Urbain de Mbacké, qui effectuent une descente dans le bar indiqué, pour interpeller le présumé meurtrier. M. L. Boye dit «Ngom» était ivre comme un Polonais au moment de son arrestation. D’après nos sources, «Ngom» qui est actuellement en détention dans les locaux du Commissariat urbain de Mbacké, ne va pas tarder à être conduit à la Police de Yeumbeul, qui a déjà ouvert une enquête.

Sénégal: 20 ans après le naufrage, les victimes du Joola se battent encore

Il suffit d’un nom, le Joola, et ses yeux s’allument, sa langue se délie, l’énergie afflue. Nadine Verschatse, Française de 69 ans, se bat depuis le naufrage de ce navire il y a 20 ans, pour sa fille et “tous les autres”, contre “le mépris”, “l’injustice” et “l’oubli”.
Elle s’installe à la table d’un restaurant de Dakar, sort une pochette verte, en retire une photo. “Regardez, je l’ai toujours avec moi. Il faut mettre des visages sur des noms”. Claire, sa fille, 20 ans, rayonnante. “Là, c’est Guérande, sa copine d’enfance”.
Elles sont jeunes. Elles veulent découvrir le monde. “Pour leur anniversaire, parce qu’elles travaillaient bien, on leur avait offert un voyage”. Ce sera l’Afrique, le Sénégal. L’avion, pour la première fois. Elles ne reviendront pas.
Le 26 septembre 2002, elles embarquent à bord du Joola, le ferry qui relie Ziguinchor, dans le sud du Sénégal, à Dakar. Quelques heures plus tard, le bateau chavire. C’est l’une des plus grandes catastrophes maritimes civiles connues: 1.863 morts et disparus selon un bilan officiel, plus de 2.000 selon les associations de victimes, de 12 nationalités différentes.
– Cauchemar –
Seules 65 personnes ont survécu. Parmi elles, Léandre Kindy Coly, un Sénégalais de 37 ans à l’époque, se souvient de cette nuit d’horreur, de cette “vision d’apocalypse”, de ce cauchemar qui le hante presque toutes les nuits.
Il raconte posément, sans omettre aucun détail. D’abord les scènes de joie sur le bateau. Un groupe qui joue à la belote, les rires, les retrouvailles avec des connaissances, la musique de l’orchestre.
Bientôt, le vent se lève et la pluie s’abat. Les passagers ferment les hublots. Le bateau s’incline dangereusement… “Et tout a glissé. Les instruments, les musiciens, les gens. L’eau a commencé à rentrer, la lumière s’est éteinte. Il y avait des cris partout”.
Par instinct, Léandre s’agrippe à un homme, trouve le chemin d’une ouverture. Il nage, ôte ses vêtements, perd ses forces. Il croit couler à trois reprises, reste là des heures durant. Il voit la mort. Il résiste.
Guidé par des voix, dans le noir, il rejoint un petit groupe, s’appuie à un objet flottant, un bateau pneumatique qu’ils finiront par ouvrir. Ils y attendront les premières pirogues de pêcheurs, au petit matin, synonymes de vie sauve.
Quand Léandre achève son récit, les larmes aux yeux, Nadine le regarde. Elle a eu l’élégance de prendre une autre table, pour lui laisser dire ses mots. “Nous sommes une grande famille”, dit-elle.
Derrière ces destins brisés se cachent tant de questions sans réponse, à commencer par les causes de l’accident, jamais élucidées. Avarie des moteurs, mauvais temps, erreur de pilotage, surcharge ? Un peu de tout, sans doute.
Ce jour-là, le navire transportait officiellement 1.928 personnes alors que la capacité était limitée à 536 passagers.
– Combat –
“Il y a eu des négligences, des manquements. C’est reconnu”, lâche Nadine, qui continue de se battre à travers l’association des familles des victimes françaises du naufrage pour éviter que ce drame “soit banalisé et méprisé”.
En 2003, la justice sénégalaise a classé le dossier sans suite en concluant à la seule responsabilité du commandant de bord, disparu dans le naufrage.
Les espoirs de justice en France ont ensuite été douchés par un non-lieu définitif après des années de procédure.
Malgré une enquête aboutie et l’existence de charges suffisantes contre sept responsables sénégalais, les juges ont constaté l’existence d’une “immunité de juridiction” qui leur permettait d’échapper à la compétence des tribunaux français.
Pour Nadine, “c’est comme avoir tué deux fois les victimes” et “anéanti” leurs familles avec.
Deux décennies plus tard, les associations de victimes française et sénégalaises poursuivent leur combat contre l’oubli. Elles demandent le renflouement de l’épave, qui repose à une vingtaine de mètres de profondeur, avec de nombreux corps emprisonnés dans ses entrailles.
Leur autre combat, c’est l’érection d’un mémorial. A Ziguinchor, capitale de la Casamance d’où venait la plupart des victimes, le monument devait être prêt pour le 20ème anniversaire lundi, mais le chantier est loin d’être achevé.
Les victimes françaises, elles, se battent depuis des années pour qu’une stèle soit érigée au cimetière du Père-Lachaise à Paris, un lieu de recueillement que les autorités leur refusent depuis des années.
“On n’abandonnera pas nos victimes, c’est pas possible. Ils méritent qu’on les honore. Moi, je serai tout le temps là, tant que je vis”, martèle Nadine.
Cette année, comme tous les ans depuis le drame, hors période covid, elle va participer aux commémorations avec ses pairs au Sénégal, “sa deuxième patrie”. “Sans eux je ne serais peut-être pas là aujourd’hui. J’aurais peut-être choisi de m’effondrer”, confie-t-elle, sa main chassant ses larmes.

Fraude bancaire : la CBAO victime de dangereux pirates

Attijari bank (ex-CBAO) a saisi le Doyen des juges d’une plainte. La banque vise les délits de faux, usage de faux en écritures privées de banque, escroquerie au service, manipulation et transmission frauduleuse de données d’identification de compte bancaire et blanchiment de capitaux. Cette plainte fait suite à la découverte d’une opération frauduleuse au préjudice d’un de ses clients nommé O. Diouf. Libération, qui relate cette affaire, renseigne que le gestionnaire du compte de ce dernier a reçu par mail deux ordres de virement supposés émanant de O. Diouf. Il les exécute en transférant, le 30 août puis le 1er septembre, plusieurs millions de francs CFA (le journal n’a pas précisé le montant) sur le compte de Joel Pegnel Spann Bombete, un consultant dans une société de téléphonie et disposant d’un compte courant à la CBAO. Il s’est avéré que O. Diouf n’a jamais émis le mail ordonnant les virements en question. Il dépose une plainte en soulignant que la dernière opération qu’il a effectuée sur son compte remonte au 7 août. Si le premier virement est passé, la banque a réussi à bloquer le second. Joel Bombete est arrêté par les éléments de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. Il a été déféré au parquet le 6 septembre puis présenté au juge du sixième cabinet, qui l’a placé sous mandat de dépôt. Libération rapporte que Joel Bombete n’a pas agi seul. Il a bénéficié de complicités. Le journal ajoute que la bande de pirates a pu émettre des ordres de virement en usant de manœuvres frauduleuses leur permettant de capter les données bancaires de leurs cibles. La même source indique que l’argent qui est récolté dans ces opérations frauduleuses est blanchi à travers divers business.

Tamba : à 15 ans, elle interrompt sa grossesse de cinq mois

Le boutiquier Alfousseynou Ba est condamné à un mois de prison ferme, assorti d’une amende de 20 000 francs CFA. Il est reconnu coupable de détournement de mineure par le tribunal d’instance de Tamba.
 
Alfousseynou Ba était jugé pour avoir entretenu des relations sexuelles avec F. Ba, sa petite amie de 15 ans. De leur liaison, qui a duré un an selon l’accusé, l’adolescente a contracté une grossesse.
 
D’après le père de la victime, qui a témoigné à la barre, le boutiquier avait dans un premier temps nié être l’auteur de la grossesse avant de revenir à de meilleurs sentiments lorsqu’il a reçu sa plainte.
 
Mais le couple ne verra pas le fruit de leur amour. «La fille était à cinq mois de grossesse avant d’avorter à l’hôpital régional de Tamba», a déclaré devant le juge le père de F. Ba.
 
Ce dernier s’est rétracté avant la fin de l’audience. Mais le mis en cause, qui est son employé au marché «Corona» de Tamba, a été reconnu coupable et condamné.

Bien moins traité que Kepa à Chelsea : Édouard Mendy demande un bon de sortie

Les premiers conflits naissent en interne à Chelsea. Cet été, les Blues ont réalisé une période de marché des transferts dantesque avec l’arrivée de huit recrues pour la modique somme de 282 millions d’euros. Un énorme investissement consenti afin d’offrir une équipe compétitive à Thomas Tuchel, un effectif capable de remporter toutes les compétitions dans lesquelles il est7 enregistré. Désormais, alors que le mercato a fermé ses portes, les Blues se tournent vers d’autres priorités et les prolongations de plusieurs cadres du vestiaire.

Qatar 2022 : Le Sénégal reçoit un avertissement des Pays-Bas

L’Équipe nationale des Pays-Bas a franchi une étape importante vers le Final Four de la Ligue des Nations jeudi soir. Contre la Pologne, l’effectif de l’entraîneur Louis van Gaal a décroché une victoire très facile 2-0, envoyant un message d’avertissement au Sénégal avant leur match d’ouverture à la Coupe du monde 2022. À Varsovie, il y avait 56.000 fans mais cela n’a pas empêché les visiteurs d’exhiber un jeu de classe mondiale. Un but de Cody Gakpo et un autre de Steven Bergwijn, respectivement de chaque côté de la mi-temps, ont fait la différence. Dans ce qui a été leur avant-dernier match vers le Qatar, les Néerlandais ont carrément rassuré les derniers pessimistes. À l’occasion, les Pays-Bas ont aussi envoyé un message d’avertissement aux hommes d’Aliou Cissé. Ils affronteront la Belgique dans deux jours, avant de défier le Sénégal de Sadio Mané le 21 novembre 2022. Selon Fakt, le plus grand journal de Pologne, «les Pays-Bas tels que nous les avons vus sont l’un des candidats pour remporter la Coupe du monde au Qatar». Après 13 matchs sur le banc des Orange depuis son retour le 4 août 2021, Van Gaal n’en a perdu aucun. L’entraîneur de 71 ans a remporté 9 victoires et fait 4 nuls. Un résultat qui impressionne pour ce troisième passage du Néerlandais à la tête des Pays-Bas. Vu sous cet angle, les Lions du Sénégal ont de quoi s’inquiéter.

Tivaouane Peulh et Jaxaay : Des centaines de pères de famille toujours en attente de recasement

Le calvaire des familles dont les maisons ont été démolies à Tivaouane Peulh ainsi que celui des sinistrés de Jaxaay continuent. À Tivaouane Peulh, les 20 hectares attribués aux victimes de démolition leur ont été retirés au profit de  Sipres tandis qu’à Jaxaay, 386 familles attendent toujours d’entrer en possession des maisons qui leur sont promises.

Par Ndiogou CISSÉ

Entre Tivaouane Peulh et Jaxaay, plus de 1500 familles qui attendent leur recasement, sont obligés de garder leur mal en patience. À Tivaouane Peulh, l’espoir des victimes de démolition n’a été que de courte durée. En fait, lorsque les pères de familles concernés avaient menacé de se suicider, ils avaient suspendu leur plan de lutte suite à leur rencontre avec le gouverneur de Dakar qui avait reçu une délégation des victimes. Pour taire leur ardeur, une assiette de 20 hectares leur sera attribuée. Un commencement de la délimitation des parcelles a été fait en présence de l’autorité administrative et du maire. Mais, contre toute attente, les victimes qui s’impatientaient depuis 2016 ne verront pas la concrétisation de cette volonté de l’État de leur restituer leurs parcelles. À la place, on leur a fait comprendre que les 20 hectares restent la propriété de la société Sipres. En rappel, à Tivaouane Peulh, une partie de la localité avait été rasée par des buldozers. Ce sont des habitations qui font face à la Vdn 3. Non loin de là, à Keur Massar notamment, dans la zone dite Jaxaay, 386 familles courent depuis 2006 derrière leurs logements de recasement. Leurs maisons ayant été démolies dans le cadre de la lutte contre les inondations, ils ne sont toujours pas recasés à Jaxaay. Sensible à la situation de ces pères de familles, Babacar Mbaye Ngaraf, le président de l’Alliance Sauver le Sénégal, lance un cri du cœur en leur faveur.  L’activiste de faire appel au Président Macky Sall pour une solution au calvaire de ces familles. «La façon dont le cas de Gadaye a été traité me pousse à remercier le directeur général des domaines, Mame Boye Diao, et le receveur de Pikine, Samba Bâ, qui se sont personnellement investis pour trouver une solution au calvaire de 253 familles de Gadaye. Je demande au Président Macky Sall qui s’est investi pour ce problème ainsi que pour celui de Ndinguèler, de le faire pour les victimes de Tivaouane Peulh et Jaxaay qui ont assez souffert», plaide Mbaye Ngaraf. Le président de l’ASS de citer le Projet Cent Mille logements sociaux pour dire que «c’est très bien mais que c’est encore mieux de penser à ces mille sans logement, allusion faites aux victimes de Jaxaay, aux oubliés ou abandonnés de Tivaouane Peulh.

 

Après 50 années dans le secteur : Le monde de la culture va célébrer Alioune Badara Bèye

L’Association des artistes comédiens du théâtre sénégalais (Arcots) va célébrer, les 28 et 29 septembre prochain, au Grand théâtre national Doudou Ndiaye Coumba Rose, les 50 ans de présence culturelle de l’écrivain  Alioune Badara Bèye, par ailleurs, président de l’Association des écrivains  du Sénégal. À cet effet, la rencontre avec la presse dans la matinée d’hier, a été une occasion pour le comité d’organisation de décliner les grandes lignes de cet évènement culturel.

L’événement, selon le président du comité, Pape Faye, aura une grande envergure avec la présence d’illustres personnalités du monde de la culture et des arts. «Il sera marqué par une touche artistique, avec la participation de l’Ensemble lyrique traditionnel du Théâtre national Daniel Sorano, une série d’expositions sur l’œuvre et la vie d’Alioune Badara Bèye et la présentation d’une pièce de théâtre», a fait savoir Pape Faye.

Un événement plein de couleurs et de rythmes des chants de la communauté Léboue et de la Musique principale des forces armées. Après la cérémonie officielle au Grand théâtre national Doudou Ndiaye Coumba Rose, une cérémonie de dédicace du dernier ouvrage d’Alioune Badara Bèye est prévue le 29 septembre à Keur Birago, la maison des écrivains.

Par Ndèye Fatou VARORE

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention