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Hydrocarbures : projet Sangomar, un grand bond en avant réalisé

Une étape importante vient d’être franchie dans la réalisation du projet Sangomar. Woodside, l’opérateur australien qui assure la mise en valeur du champ d’hydrocarbures, a annoncé l’arrivée sur le site du navire de pose Seven Vega. Ce navire permettra d’assurer «la mise en service des installations du vaste réseau de pipelines composé de lignes de flux et d’ombilicaux afin d’acheminer les flux d’hydrocarbures vers le FPSO (Unité flottante autonome, capable de traiter le pétrole brut et de la stocker avant son transbordement sur un navire de transport, NDLR)». Woodside compte en ce moment neuf navires dans le champ Sangomar. L’un d’entre eux, l’OceanBlackHawk, a récemment démarré le forage d’un puits d’exploration dans les blocs de Rufisque Offshore, Sangomar Offshore et SangomarDeep Offshore. L’opération entre dans le cadre de l’exécution de la Phase 1 du projet Sangomar avec 23 puits à forer. Le début de l’exploitation du champ est fixé au second semestre de 2023. Le 1er septembre, lors d’un séjour à Dakar, le vice-président exécutif de Woodside chargé des opérations internationales, Shiva McMahon, avait annoncé que les travaux de la première phase du projet Sangomar sont bouclés à 60%. Lors de sa phase d’exploitation, la plateforme devrait traiter quotidiennement 100 000 barils de pétrole brut, 130 millions de pieds cubes standard de gaz et 145 000 barils d’eau pour injection. Elle sera en outre dotée d’une capacité de stockage d’au moins 1,3 million de barils de pétrole brut.

Koumpentoum : Pour distraire les policiers, elle tente de faire disparaitre la drogue sur ordre de son fournisseur

Les éléments de la brigade régionale des stupéfiants de Tambacounda ont encore frappé. Dans le cadre de leur mission de lutte contre le trafic illicite de stupéfiants, les hommes de l’adjudant Diallo ont appréhendé vendredi vers 1 heure du matin au village de Sil Escale, trois individus dont une dame avec 61 cornets de chanvre indien de la variété dite « verte »  et une quantité en vrac de cent (100) grammes du même produit. La dame A. C a tenté de faire disparaître la drogue sur son ordre de son fournisseur M. D.

Il résulte des éléments de l’enquête que c’est suite à une information faisant état d’un intense trafic de drogue au quartier Sil Escale de la commune de Koumpentoum. Selon leur informateur, le trafic serait animé par une dame du nom d’A.C qui travaille en étroite collaboration avec I. D et M. D. Informés ainsi d’une livraison qui devait s’opérer, les hommes de l’adjudant Diallo, commandant la brigade régionale des stupéfiants de Tambacounda ont mis en filature la dame qui avait donné rendez-vous à ses acolytes dont le fournisseur M. D. La dame avait fini de transformer sa maison en lieu de trafic et d’usage de drogue au grand dam des riverains, impuissants face à cette situation. Au cours de cette transaction, les limiers en civil ont lancé l’assaut après avoir aperçu M. D. pénétrer dans la maison. Pour planter les policiers au moment de l’intervention, la femme du maitre de maison, la nommée A.C. ayant senti la présence des limiers s’est ruée dans la chambre conjugale et s’est emparée de la drogue et a tenté de la faire disparaitre. Seulement, elle n’en aura pas le temps ; grâce à leur perspicacité, les limiers ont réussi à maîtriser toute la bande.

La fouille minutieuse opérée séance-tenante, s’est soldée par la découverte de deux pots contenant, après décompte, soixante et un (61) cornets de chanvre indien et une quantité en vrac accusant un poids de cent (100) grammes.

Soumis à un interrogatoire des policiers, le nommé I. D. a déclaré être le propriétaire de la drogue avant de rajouter que la totalité d’un poids initial de cinq cent (500) grammes lui aurait été vendue à trente mille (30 000) FCFA par son co-interpellé et fournisseur le nommé M. D. Pour la destination de cette drogue, il déclare la revendre par cornets à deux cent cinquante (250) FCFA et cinq cent (500) FCFA, selon le format.  Quant à la nommée A. C., elle reconnaît avoir tenté de faire disparaître le produit sur ordre de son fournisseur le nommé M. D.  Pour ces faits, ils ont été placés en position de garde à vue pour offre et cession de chanvre indien, complicité de trafic de drogue et entrave à l’action de la justice, chacun en ce qui le concerne.

La drogue est provisoirement consignée aux fins d’être mise sous scellés distincts.

Un agent de police s’aplatit sur un véhicule en marche : les détails de l’affaire…

Une scène fait le tour des réseaux sociaux, depuis vingt-quatre heures. Un agent de la circulation s’est carrément aplati contre un véhicule qui roulait pour tenter de le stopper.  L’incident s’est déroulé à environ trente mètres après le rond-point de Colobane.

D’après quelques témoignages, le policier a fait signe à l’automobiliste de s’arrêter bien avant qu’il n’arrive à son niveau. Le propriétaire du véhicule avait même donné des signes d’obtempération. Il a, ainsi, ralenti cinq mètres avant d’arriver à hauteur de l’agent de circulation.

Toutefois, quand ce dernier s’est approché pour les formalités d’usage, le gars, à la surprise générale, a foncé directement sur lui. Pris de panique, le policier s’est jeté sur le capot du véhicule en marche, visiblement pour éviter que la voiture lui écrase les jambes. D’après nos sources, c’est parce que la voiture lui a foncé dessus que l’agent s’est précipité dessus.

L’automobiliste a, ensuite, entamé une course folle de quelques mètres. Ce qui a valu cette scène insolite et ubuesque.

Un spécialiste en questions sécuritaires nous renseigne toutefois que le policier aurait pu user d’une autre méthode et qu’il a mis en danger sa vie inutilement. “Il aurait pu se dégager et prendre le numéro d’immatriculation. Ou bien sortir son arme. Ce qu’il a fait n’est pas ce qu’on enseigne dans les écoles de police.”

 

 

 

Migration clandestine : Une deuxième embarcation interceptée au large de Djifer

La gendarmerie a encore intercepté au large des bolongs de Djifer, dans les iles du Saloum (région de Fatick) une embarcation transportant des migrants à destination des côtes européennes, rapporte Libération. Senenews.com qui relaie l’info rappelle que le 9 septembre dernier, une centaine de migrants clandestins, dont 68 Sénégalais et 43 d’origine étrangère ont été arrêtés et un important lot de matériels logistiques destinés à l’alimentation et à la navigation maritime saisi. Les opérations menées par les enquêteurs, à la suite d’un renseignement, ont abouti, après le déploiement d’une patrouille fluviale, à la localisation et à l’arraisonnement d’une pirogue en détresse dans les eaux territoriales de Djifer avec, à son bord, plus d’une centaine de migrants et un important lot de matériel logistique destiné à leur alimentation et à la navigation Le principal convoyeur, précise la note, a été également arrêté à Kayar. Il a été mis à la disposition des autorités judiciaires. Il avait encaissé des sommes comprises entre 200 000 et 500 000 F CFA par personne embarquée. Divers matériels dont une grande embarcation, deux moteurs hors-bord de 40 et 60 chevaux, 2 500 l de carburant, des denrées alimentaires et des accessoires de cuisine ont également été saisis.maritime durant leur voyage. Sur les 111 candidats à l’émigration irrégulière interpellés, 68 sont de nationalité sénégalaise et 43 d’origine étrangère.

Me Khoureychi Ba” Le mandat de maire n’est pas en question. C’est le mandat de député de Barthélémy qui nous préoccupe “

De nombreuses interrogations planent autour du mandat de député de barthélemy Dias après sa condamnation ce matin par la Cour d’appel de Dakar, dans l’affaire du meurtre de Ndiga Diouf. C’est du moins, ce qu’il faut comprendre suite à la sortie de son avocat Me Khoureychi Ba qui affirme que, la décision rendue par le tribunal met en péril met en péril son mandat de député de son client.

« Nous allons continuer la lutte. Et je vous dis que nous allons nous pourvoir en cassation. Parce que c’est une décision qui mérite un pourvoi. L’aspect relatif à la question du maire est déjà évacué. Le maire ne peut plus faire de révocation. Mais cette condamnation met en péril son mandat de député  » a-t-il confié .

Me Khoureychi ba ajoute que : « le juge a débouté la partie civile puisqu’en Première instance, le juge avait accordé une condamnation de 20 millions à la partie civile. C’est un cadre d’ouverture de pourvoi pour la partie civile et même pour nous. C’est vrai qu’on n’a pas intérêt à le faire d’autant moins que le mandat de maire n’est pas en question. C’est le mandat de député qui nous préoccupe »

L’avocat de l’actuel maire de Dakar precise tout de même que, «la loi organique permet au bureau de l’Assemblée nationale de demander la suspension des poursuites lorsqu’un député fait l’objet de poursuites. Et ces poursuites peuvent être suspendues jusqu’à la fin de son mandat. On est peut-être dans ce cadre de figure parce qu’il y’a un équilibre des forces à l’Assemblée nationale. C’est une voie hasardeuse mais le pourvoi étant suspensif il faut exercer la voie du pourvoi ».

Vélingara : La gendarmerie détruit un champ à Saré Moussa

La culture du chanvre indien est une réalité dans le département de Vélingara. En fin de semaine dernière, les éléments de la Brigade de gendarmerie de Vélingara ont découvert 2 champs dans le village de Saré Moussa, situé dans la commune de Némataba, à la frontière avec la Gambie. Ils appartiennent tous à la même personne. Des informations concordantes ont poussé les hommes du Commandant de brigade, Pierre Dione, à faire une descente dans le village et de découvrir dans l’arrière-cour de la maison de S. Nioké, lesdits champs : l’un d’une surface de 36 m2 et l’autre de 16 m2. Les hommes en bleu n’ont pas eu de peine à mettre la main sur le maître de céans, âgé de 42 ans, puis de le placer sous surveillance dans leurs locaux. Les 2 surfaces sont détruites au feu alors que S. Nioké a été transféré à la Maison d’arrêt de Kolda mardi passé.

Nouveau blocage à l’Assemblée: Thierno Alassane indigné : “Il n’y a aucune rupture, ce qui se passe est pire d’ailleurs que ce qui se faisait avant.”

Bis repetita à l’Assemblée nationale ! Depuis 10 heures que la séance dédiée à la mise en place des commissions devait démarrer, les travaux sont bloqués. Par qui ? Ou par quoi ? Le député Thierno Alassane Sall pousse un coup de gueule et explique…

«Nous sommes là depuis 10 heures et il est 17heures.  Certains groupes ont encore des difficultés pour proposer leurs membres dans les commissions et surtout les présidents de commission.»

Les raisons d’un blocage

«Les premiers et deuxième jours, c’étaient des rixes et des batailles, non pas autour des principes, parce que finalement les gens ont voté conformément aux principes qu’ils avaient répudiés, mais pour des postes. Quand on s’est entendus sur les postes, les procédures et les motifs sur les procédures sont tombés.»
Dans l’incertitude.

Aujourd’hui, on est là jusqu’à 16 heures, et on ne sait pas jusqu’à quelle heure on sera là, pour des histoires de poste, si je comprends bien. Il n’y a aucune autre raison. Et le plus scandaleux, c’est qu’à 10 h, on aurait dû, au moins, ouvrir la séance. Et dire aux députés ce qui se passe (…)»

“Il n’y a aucune rupture, ce
qui 
se passe est pire d’ailleurs…”

«C’est mauvais signe pour le Sénégal. Les urgences sont importantes et nombreuses. L’opposition comme le pouvoir avaient tous dit qu’il y a les inondations, la vie chère, les jeunes qui attendent avec espoir, espérant que celle-ci sera l’Assemblée de rupture. Il n’y a aucune rupture, ce qui se passe est pire d’ailleurs que ce qui se faisait avant.»

Les présidents des groupes

«Vers 11 heures, j’ai eu l’occasion de rencontrer les trois présidents de Groupe et je leur ai dit : ‘‘Vous avez la responsabilité de faire en sorte que nous ne soyons pas dans le ridicule, et que nous puissions aller très vite, manifestement les choses bloquent dans vos groupes respectifs’’.»

Une bagarre entre deux jeunes bergers ivres vire au drame

C’est la consternation et l’émoi dans le village de Fanouille situé dans la commune de Tessekré, département de Linguère. En effet, deux bergers, Demba Sow et Galle Ba se sont donnés en spectacle lors d’un mariage en état d’ivresse. C’était dans la journée du lundi 19 septembre, Après échange une bagarre s’en est suivie. Le nommé Demba Sow a donné plusieurs coups de coupe-coupe à son collègue Galle Ba jusqu’à ce que dernier perde la vie sur place. Suite au drame, le présumé meurtrier a pris la poudre d’escampette.

D’après les informations de seneweb, la dépouille de Galle Ba a été déposée à la morgue du centre de santé de Dahra.

Sans une loi d’amnistie : comment Khalifa Sall et Karim Wade peuvent recouvrer leurs droits civiques et politiques

Beaucoup invoquent une loi d’amnistie pour redonner vie à Khalifa Sall et Karim Wade sur la voie qui nous mène à la Présidentielle de 2024. Mais attention ! Il n’y a pas que cette alternative pour que le chef de ‘’Taxawu Sénégal’’ et le fils de l’ancien président Me Abdoulaye Wade puissent assister au prochain soleil électoral.

D’après un spécialiste du Droit interrogé par ‘’SourceA’’ «une nouvelle loi modifiant les articles L29 et L30 du Code électoral suffit à réinsérer Khalifa Sall et Karim Wade sur le fichier électoral».

Selon lui, «la jouissance des droits civiques et politiques ne peut être perdue que par une sanction pénale explicitement prononcée par une Juridiction de condamnation comme peine accessoire aux termes de l’article 34 du code pénal».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention