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Axe Louga Dahra : Un car Ndiaga Ndiaye se renverse et fait 30 blessés dont 12 graves

Un car Ndiaga Ndiaye en partance de Thiaméne Cadior dans le département  de Louga pour convoyer des pèlerins à la ville sainte de Touba pour les besoins du Magal, s’est renversé à hauteur du village de Boulal sur la route Louga-Dahra. L’accident est survenu hier lundi vers sept heures du matin. Aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée mais les dégâts matériels sont énormes. 
 
Au total, 30 parmi les passagers qui étaient à bord du véhicule sont blessés et évacués au centre de santé de Dahra. Selon une source proche des forces de défense, le chauffeur qui voulait éviter un âne se trouvant sur la route a mal manœuvré et perdu le contrôle du volant. Le véhicule a fait un dérapage suivi de renversement. Le chauffeur est placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Dahra.

Cinq garçons violés par le boucher Thiaroye Léona 1

A TOUR DE RÔLE, ILS NOUS A SODOMISÉS

Un fait inédit c’est produit à Thiaroye Léona 1. Il y a deux semaines, le boucher Ndiassé Sow a été écroué pour actes contre-nature et viols sur des mineurs. Libération revient sur cette affaire dans son édition de ce lundi en rapportant les témoignages des cinq victimes présumées.

A. N, 14 ans, est la dernière victime de Ndiassé Sow. L’adolescent a croisé sa route le 26 août dernier. Il raconte : «Je me rendais au Tangana lorsque j’ai rencontré Ndiassé. Il promenait son chien. Il m’a proposé de l’accompagner chez lui pour qu’il dépose le chien. Nous sommes passés par la plage. Sur place, il m’a demandé d’enlever mes habits, m’a ensuite saisi et traîné dans l’eau avant de me sodomiser. Il m’a ensuite abandonné au niveau du terrain de football et me menaçant de me livrer à ses chiens si je le dénonce. C’est hier (ce dimanche) que j’ai informé mon père.»

M. S, 14 ans, et S. S, 13 ans, ont subi le même sort. «A tour de rôle, ils nous a sodomisés», raconte le premier. Le second détaille : «Les faits se sont déroulés lors du dernier mois de Ramadan. Ndiassé nous a trouvé au niveau d’une salle de jeux. Il nous demande de l’accompagner chez lui. Sa maison n’est pas loin de la plage. Arrivés à hauteur des filaos, il nous a demandé de nous déshabiller. Il nous menaçait avec ses chiens. C’est quand l’affaire a éclaté que nous avons informé nos parents.» B. S, 14 ans, confie aux enquêteurs avoir été, lui aussi, violé par le boucher «sous la menace».

Le mis en cause a employé le même mode opératoire avec A. N, 13 ans. Ce dernier révèle : «Il y a deux mois, Ndiassé m’a trouvé dans notre quartier. Il faisait  20 heures. Il m’a demandé de l’accompagner à la plage. Je l’ai alors suivi. Arrivé au niveau des filaos, il me demande de me déshabiller. Il m’a demandé de caresser son sexe avant de me pénétrer. Il a menacé de lâcher ses chiens contre moi si je le dénonçais.»

Ndiassé Sow a reconnu les faits en partie. Il jure n’avoir entretenu des relations sexuelles qu’avec A. N (14 ans), sous la menace. «Pour les autres, je n’ai rien fait», plaide le boucher.

14 ans sous une fausse identité : L’histoire incroyable L. A. Doucouré….

Incroyable ! Une histoire d’usurpation d’identité qui a duré 14 longues années. L. A. Doucouré est parvenu pendant ce temps à se faire passer pour B. Kanouté. Alors que le dernier nommé attendait avec espoir son certificat de nationalité française, l’autre s’en est emparé ainsi que de tous ses documents. Il a même vécu sa vie. En effet, L. A. Doucouré a même travaillé dans un hôpital en France. Il a été interpellé à l’aéroport international Blaise Diagne puis déféré au Parquet ce 08 août 2022 pour association de malfaiteurs, usurpation d’identité, et faux et usage de faux
 
 Retour sur les faits
 
Tout a commencé en 2008. B. Kanouté avait introduit une demande au niveau du Consulat général de France à Dakar pour obtenir un certificat de nationalité française de par son papa qui est naturalisé Français.. 
 
Quelques jours plus tard, le Consulat général de France à Dakar, lui a envoyé une convocation relative à sa requête vers la boîte postale attribuée à son papa et qui est également utilisée par le voisinage. Mais elle a été interceptée par un certain I. Ndiaye qui après a aidé L. A. Doucouré à se faire délivrer une Carte nationale d’identité et un permis de conduire sénégalais au nom du plaignant B. Kanouté 
 
Avec ces faux documents, L. A. Doucouré en compagnie de I. Ndiaye se sont présentés au Consulat général de France à Dakar à la date et à l’heure indiquée sur ladite convocation et ont réussi à se faire remettre le certificat de nationalité française au nom de B. Kanouté. 
 
La même année, Doucouré a rejoint la France via l’Espagne. Depuis, il vit dans l’opulence. Chaque année, il vient en vacances pour passer de bons moments avec sa dulcinée à qui il a d’ailleurs caché sa vraie identité. Vue qu’elle appelle son Roméo ‘’Kanouté’’,  
 
Visiblement le sieur Doucouré, a complétement oublié son nom de naissance pour adopter celui du plaignant
 
Pis, le modou modou présumé faussaire n’avait sûrement pas mesuré l’ampleur de ses dégâts. En effet, avant de fouler le sol français, il a eu à se procurer de faux extraits de naissance sénégalais, se présentant comme étant papa de plusieurs enfants. Il voulait déposer leur identité au niveau du Trésor public français et éviter les impôts.
 
Le modou modou faussaire cueilli à l’AIBD
 
 
A en croire nos sources, le plaignant avait déposé une plainte en 2010 au niveau de la DIC, sans suite. Il a formulé une autre plainte auprès du Procureur qui a jugé nécessaire de saisir pour enquête la Division Nationale de la Lutte contre le Trafic de Migrants et pratiques assimilées (DNLT).
 
Le mis en cause a été interpellé à l’aéroport international Blaise Diagne alors qu’il revenait de France pour les vacances. Devant les éléments du Commissaire Faye, il a, sans ambages, reconnu tous les faits.
 
Ainsi, Monsieur Doucouré devra encore patienter avant de refouler le sol français car il a été déféré au parquet ce 08 septembre pour association de malfaiteurs, usurpation d’identité, et faux et usage de faux. Sûrement, le dossier sera envoyé en Instruction vu toutes les zones d’ombre à éclaircir.
 
En attendant trois personnes qui auraient délivré les faux extraits de naissance à L. A. Doucouré pour ses supposés enfants sont activement recherchées.

Sensibilisation, formation, accompagnement : Le projet Njang du wess au secours de la pêche artisanale

Les difficultés auxquelles est confrontée la pêche artisanale ces dernières années ne laissent pas indifférents les acteurs du secteur. Alors que l’Etat du Sénégal est invité à se mobiliser davantage pour circonscrire les problèmes, des initiatives sont prises au niveau associatif et communautaire pour revitaliser ce poumon de l’économie sénégalaise. C’est dans cet esprit que s’inscrit le projet Njang Du Wess présenté   au Comité local de pêche artisanale (Clpa) de Joal réunit en conseil restreint. Ce projet, porté par un jeune mareyeur originaire de cette localité, en l’occurrence André Ndiaye, s’articule essentiellement autour de trois volets : la sensibilisation, la formation et l’accompagnement des acteurs. Il préconise un changement de paradigme pour sauver la pêche face aux chocs extérieurs (mondialisation, changement climatique) et intérieurs (responsabilité des acteurs de la pêche et des autorités) en mettant à contribution tous les acteurs de la chaine de valeur. Le volet sensibilisation consiste à la promotion des bonnes pratiques pour assurer la pérennité des ressources halieutiques, prévenir la surpêche, vulgariser le Code de la pêche. Le volet formation et accompagnement, en collaboration avec des partenaires clés, vise à permettre aux acteurs de la pêche de pouvoir diversifier leurs sources de revenus à travers des sessions consacrées à l’agriculture, l’élevage, l’aviculture, le micro jardinage, l’entrepreneuriat et la gestion de projet ou encore  la transformation et la commercialisation des produits halieutiques selon des normes adaptées à la grande distribution précise André Ndiaye. Ce projet a connu un écho favorable auprès des membres du Comité local de pêche artisanal de Joal. Ces derniers s’accordent sur le fait qu’il faut mener des actions d’urgence pour inverser la tendance de raréfaction des ressources. Avec 130 000 tonnes qui y sont débarquées en moyenne chaque année, le quai de pêche de Joal polarise un tiers des prises effectuées par la pêche artisanale au Sénégal (environ 400 000 tonnes par an). Le projet Njang du Wess compte apporter sa pierre à l’édifice pour un meilleur contrôle des pêches, la préservation des mangroves et des récifs artificiels, la gestion des aires marines protégées, le respect des cycles de repos biologique, le renouvellement et la modernisation des équipements ainsi que la valorisation des bonnes pratiques. Les 24 et 25 septembre prochains, le projet sera présenté aux acteurs de la petite-côte à travers des rencontres plénières avant de démarrer ses activités de formation au cours du mois d’octobre. L’objectif, à terme, est d’assurer un maillage de tout le territoire national précisent les initiateurs.

Incompatibilité ministre et député : Les précédents Tanor, Idy, Boun Dionne…

Les travaux de l’Assemblée ont été bloqués suite à une question liée à l’incompatibilité entre les fonctions de député et celles de ministres. Soulevée par le député de Wallu Senegaal, Abdou Bara Dolly Mbacké,

Pourtant ce ne sont pas les cas de jurisprudence ou de précédents heureux qui manquent à la riche histoire de l’Assem­blée nationale face au cas soulevé hier par le député Abdou Bara Doly Mbacké. Les faits qui jalonnent la vie de l’institution sise à la Place Soweto renseignent à suffisance et aident à résoudre la question posée par le jeune député du département de Mbacké.

Il suffit de regarder dans le rétroviseur du Parlement ou de rembobiner la bande des activités de l’Assem­blée nationale pour se rendre compte que vers la fin du premier semestre de l’année 1998, un certain Ousmane Tanor Dieng, alors ministre d’Etat, ministre des Services et affaires présidentiels, avait conduit la liste du Parti socialiste et remporté, du coup, les élections législatives cette année-là. Le défunt s’était présenté à l’Hé­mi­cycle comme député lors de la séance d’installation.

Mais après leur installation, OTD a rendu sa démission de l’Assem­blée nationale, préférant poursuivre ses activités gouvernementales.
Nombreux sont les exemples qui allongent la liste des situations similaires. Dans le même cas de figure, on peut citer l’exemple du tout-puissant ministre d’Etat, directeur de Cabinet du président de la République, produit de la première alternance du pays.

Idrissa Seck, faut-il le rappeler en passant, avait mené les troupes libérales ainsi que leurs alliés, avec l’ombre de Wade sur le bulletin électoral de la coalition Sopi, au succès électoral, en avril 2001, à l’issue des Législatives de ladite année. Autre temps, autres mœurs politiques, autre réalité pour celui qui était considéré comme le clone de Tanor Dieng au sein de la galaxie libérale. Idy dé­missionnera du Parlement, après avoir réuni tous les députés d’alors de la majorité libérale à l’Assemblée nationale pour leur délivrer le message et décliner les choix de son patron et chef de cette coalition. Lui aussi opta pour la poursuite de l’exercice de ses fonctions au sommet de l’Etat.
Le tout dernier exemple à évoquer et qui peut aider à trouver une réponse à l’interrogation posée par le député du groupe Liberté et démocratie, c’est le cas du 3ème Premier ministre de Macky Sall. Cas pour cas, comparaison pour comparaison, Mahammed Boun Abdallah Dionne a aussi eu l’honneur et le privilège d’être la tête de liste nationale de la coalition présidentielle, Benno bokk yaakaar (Bby), lors du scrutin des Législatives de juillet 2017. Pour le début de cette législature, l’enfant de Gossas avait aussi troqué son poste de député contre celui de chef du gouvernement, en décidant de quitter ceux qui devaient être ses collègues parlementaires. Des ministres comme Amadou Ba, Abdou­laye Diouf Sarr, Sidiki Kaba et tant d’autres en feront de même. M. Dionne sera reconduit à sa station par son patron, Macky Sall.

Mimi parle crache sur le “Macky” «Là, c’était l’injustice de trop…»

«Tout d’abord, je voudrais encourager les jeunes à continuer à croire aux valeurs de loyauté, de mérite et d’équité, même si pour l’élection du président de l’Assemblée nationale, aucune de ces valeurs n’a été mise en avant par le Président de la Coalition de Benno Bokk Yaakaar. J’ai passé ma vie à lutter contre l’injustice, j’en ai subi pas mal dans mon compagnonnage avec Macky Sall, mais là, c’est celle de trop. Celle qui privilégie les liens familiaux par-dessus le mérite militant, ce n’est plus tolérable.»

Le choix de Macky

«Il est clair et établi que le choix est strictement familial, c’est connu de tous. Mais à ce moment, il fallait que le cousin fasse le tour du Sénégal, 5175 km exactement et le travail préalable. Il n’y a pas de responsables pour aller au front et d’autres pour ramasser les fruits. La politique, ce n’est pas du servage où certains, forts de leur appartenance familiale, attendent que les autres
travaillent pour eux.»

Ces liens en question

«Ces liens familiaux sont connus et établis avec la famille de Mansour et Marième Faye. Je parle là au-nom de tous les indignés de l’Alliance pour la République (Apr) et de Benno bokk yaakaar (Bby). J’aurais pu laisser passer, négocier un poste honorifique, mais il y a des moments où il faut se regarder dans la glace et se dire si on vit pour les valeurs pour lesquelles on s’est battu toute sa vie.»

Pourquoi elle n’a pas voté

«Je me suis battue contre l’injustice  et le continuerai à le faire. Pour être très claire, je n’ai pas participé au vote, je n’ai pas voté pour le candidat du Président de la coalition Bby parce que c’est un choix injuste, subjectif et beau-familial. Ce n’est pas l’exemple à servir à notre jeunesse, il faut réhabiliter le mérite car tout le monde n’est pas gendre ou beau cousin du Président.»

Assemblée: Ce que l’on sait du «faux député» qui s’est invité aux débats

Hier à l’Assemblée, la 14e législature a été installée avec beaucoup d’incongruités. Un homme avec l’écharpe de parlementaire en bandoulière, s’est fait passer pour un député. Il s’est même permis de prendre la parole en ouvrant son discours par l’habituel «chers collègues».

Repéré par les gendarmes, il a été arrêté et expulsé de l’Hémicycle. Selon Libération, le faux député se nomme Coumba Ndoffène Ndiaye et il «croyait réellement» avoir été élu le 31 juillet dernier après avoir entendu «Coumba Ndiaye» parmi les nouveaux parlementaires.

Le journal d’ajouter que lorsqu’il s’est présenté hier à l’Assemblée, il a fait remarquer aux gendarmes qui filtraient les entrées, que devant sur nom, sur la feuille de présence, il est marqué «madame» à la place de «monsieur». Coumba Ndoffene Ndiaye a été libéré après son audition.

Les enfants gâtés de la République

L’installation des députés de la 14ème Législature a encore montré à la face du monde le manque de maturité de nos élus. Les acteurs n’ont pas pu une fois de plus s’entendre sur des questions basiques comme le déroulement du vote. La suite, on la connaît. Ce sont ces actes qui n’honorent pas notre Assemblée. Ce qui a obligé les forces de l’ordre à intervenir. C’est sûr que si c’était des Sénégalais ordinaires qui s’étaient comportés de la sorte ils auraient eu droit à une belle correction. Mais les députés savent qu’ils ne risquent rien en se comportant comme les enfants gâtés de la République. C’est en réalité ce qu’ils sont : des enfants gâtés. On les nourrit, les loge… mais ils ne nous honorent guère. Au contraire, la plupart deviennent méconnaissables.

3 dealers arrêtés à Grand-Dakar : La police saisit 581 capsules d’une drogue dangereuse

Très prisé par les jeunes dont les fils à papa, le protoxyde d’azote fait des ravages dans les quartiers huppés de Dakar. Dans leur croisade, les éléments du commissariat de Grand-Dakar ont fait chuter trois dealers en possession de 581 capsules de cette drogue hilarante et dangereuse, selon des sources de Seneweb.
 
Le démantèlement  de ce réseau de trafiquants de drogues est le fruit d’une étroite  collaboration entre les policiers de Grand-Dakar, sous la direction du commissaire Kimintang Ndao, et leurs collègues de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS).
 
Au cours d’une mission de sécurisation, ces éléments de la brigade de recherches  ont interpellé, vers 4 h du matin,  A. Diouf à bord d’un taxi, avec une boite entamée contenant 31 capsules de protoxyde d’azote.
 
Embarqué à la police de Grand-Dakar où il a été entendu, ce chauffeur de taxi a fini par livrer l’identité de son fournisseur résident aux Parcelles-Assainies. Le commissaire Ndao sollicité alors le concours d’une équipe de la DOCRTIS pour élucider cette affaire.
 
Avec ce renfort, les enquêteurs ont simulé une commande 50 capsules auprès du fournisseur S. K. Ndiaye. Ainsi, cet indélicat étudiant en informatique et gestion est tombé dans ce piège, selon des sources de Seneweb.
 
Mais ce fournisseur n’est pas tombé tout seul. S. K. Ndiaye a été interpellé avec son compère M. Dème, livreur de son état, au moment où ils tentaient de livrer la commande aux “clients” policiers.  Les limiers ont saisi également trois cartons de 50 capsules de protoxyde d’azote.
 
La perquisition effectuée dans la chambre de S. K. Ndiaye s’est révélée fructueuse. Les hommes du commissaire Ndao appuyés par des éléments de l’Ocrtis, y ont saisi huit autres cartons de 50 capsules du même produit, une bouteille de siphon à chantilly, une bouteille de crème Deluxe et des matières plastiques, tous destinés à l’utilisation du produit.
 
Poursuivi pour association de malfaiteurs, de détention et de trafic de produits psychotropes, le trio incriminé a été présenté hier au procureur de la République.
 

Mines – Restitution de terres après exploitation : La Gco démine ses terres

La Grande côte opérations (Gco), spécialisée dans la valorisation des sables minéralisés au Sénégal, vient, au bout de huit ans d’exploitation, de restituer 85 ha de terres réhabilitées à l’Etat du Sénégal. Une «grande première au Sénégal», remarque le ministre des Mines, Oumar Sarr, qui a présidé hier, à Diogo, la cérémonie, en présence du Comité exécutif du Groupe Eramet, avec à sa tête la Présidente-directrice générale, Christel Bories. Aussi de magnifier «ce geste de la première compagnie minière sénégalaise à rendre des terres après exploitation». C’est un geste inédit : une restitution de terres pleinement réhabilitées à l’Etat, après leur valorisation minière. A cette occasion, le Directeur général du Groupe Gco, Guillaume Kurek, n’a pas caché son enthousiasme : «Cette première pour Gco, intervient en 7 ans seulement (2015-2022), après le passage de la mine. Il signale que la restitution de ces 85 hectares de terres réhabilitées et replantées d’espèces choisies par les communautés locales elles-mêmes, est le lancement d’un processus continu qui va se poursuivre de façon graduelle avec un objectif de restituer 950 hectares de terres dans les 5 prochaines années.» Pour le directeur des Communautés, environnement et affaires publiques, par ailleurs Pca de Gco, Daour Dieng, «la restitution de ces terres s’inscrit dans une feuille de route Rse d’Eramet ; et le respect de cet engagement a amené Gco à être «la première compagnie minière» à être certifiée doublement». Il évoque «l’excellence des relations entre Gco et les communautés hôtes, à travers un dialogue permanent». Selon lui, Gco devient ainsi la «première compagnie minière sénégalaise à rendre les terres après exploitation». Une restitution qui, indiquent les responsables de la Gco, est «la première étape d’un processus graduel et continu. Au total, 950 ha réhabilités et revégétalisés seront restitués d’ici 2025». Selon Christel Bories, cette restitution «illustre parfaitement la vision et l’engagement du groupe Eramet pour la mine responsable». Aussi démontre-t-elle que «l’activité minière peut être compatible avec la préservation de l’environnement et de la biodiversité». Egalement, elle «illustre l’excellence de notre collaboration avec les communautés avoisinantes devenues actrices du projet». La patronne du groupe Eramet a dit toute sa fierté par rapport à «notre positionnement d’acteur de référence de la mine responsable». Et de remarquer : «Avec le climat, la défense de la biodiversité est une ambition forte de notre feuille de route. Concrètement, notre objectif vise à réhabiliter autant de terres que nous défrichons. Nous voulons laisser derrière notre exploitation minière, des régions au moins aussi riches que celles que nous avons trouvées.» Elle souligne que «l’ambition du groupe Eramet est de devenir une référence de la transformation des ressources minérales de la terre, pour le bien vivre-ensemble. Gco et ses équipes démontrent aujourd’hui que nous en prenons le chemin». 1700 emplois générés par Gco dont 97% sénégalais Le ministre des Mines et de la géologie, Oumar Sarr, considère que «la restitution des terres réhabilitées est un moment important qui démontre que les engagements pris par les sociétés minières en matière de gestion environnementale plus globalement et en matière de réhabilitation, dans le cadre du Code minier, peuvent et doivent être respectés». Il se réjouit du fait que «le projet d’exploitation des minerais lourds de la Grande Côte a su incontestablement relever de nombreux défis et a déployé d’importants efforts en termes d’ingéniosité et de persévérance pour venir à bout des obstacles qui n’ont pas manqué dans toutes les phases du projet». En plus de la restitution des terres réhabilitées des sites miniers, le ministre dit avoir constaté «une autre avancée significative de Gco». A savoir «la nouvelle unité de production de traitement des sables minéralisés de l’entreprise minière, d’un investissement de 20 milliards F Cfa». Un équipement minier qui permet de valoriser les sables minéralisés que la drague ne peut extraire dans les dunes, optimisant ainsi la valorisation de la ressource minière. L’investissement est accompagné du recrutement de 104 collaborateurs, ce qui porte à 1700, le nombre d’emplois générés par Gco dont 97% sont sénégalais. Le Comex du groupe Eramet a aussi visité les derniers sites de recasement des populations impactées par l’avancée de la mine. Avant d’annoncer le projet de la centrale solaire de la Gco qui devrait voir le jour en 2024 et permettre de verdir la croissance de l’entreprise avec 20% de rejet de Co2 en moins.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention