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Cambriolage au Trésor public : Les ordinateurs connectés au serveur central volés

L’affaire défraie la chronique et suscite une onde de choc au sein de l’administration publique. Comme le rapporte L’Observateur repris par dakaractu , un vol d’une rare précision s’est déroulé à la Direction de l’informatique du Trésor public, située au 15, rue Malenfant, à Dakar. Dans la nuit du 3 mars, des malfaiteurs ont pénétré dans ces locaux hautement stratégiques et sont repartis avec plusieurs ordinateurs contenant des données ultra-sensibles. Un coup de maître qui alimente toutes les spéculations, tant l’opération semble avoir été méthodiquement planifiée.

Un ciblage chirurgical : trois bureaux, trois ordinateurs volés

L’alerte a été donnée au matin du 3 mars, lorsque le personnel a découvert que trois bureaux avaient été visités. Comme l’explique L’Observateur, les enquêteurs de la Sûreté urbaine (SU), accompagnés des experts de la Division de la police technique et scientifique, se sont rapidement déployés sur les lieux pour constater l’ampleur des dégâts.

Parmi les bureaux ciblés, celui du chef de la Division informatique financière a attiré toutes les attentions, car son occupant était décédé quelques jours plus tôt. Un hasard troublant qui vient épaissir le mystère entourant cette affaire. Quant aux autres bureaux, l’un était dédié à l’«Exploitation et administration de bases de données», tandis que l’autre abritait un ordinateur directement connecté au serveur central du Trésor public.

Les voleurs ne se sont pas intéressés aux objets de valeur habituels. Ils ont emporté uniquement trois ordinateurs portables de marque HP et Surface Pro, en plus d’une liasse de 200 000 FCFA. Un butin qui en dit long sur leurs intentions : il ne s’agit pas d’un simple cambriolage opportuniste, mais bien d’une intrusion précise et ciblée, visant des informations financières critiques.

Un crime « commandité » ? L’hypothèse qui fait trembler le Trésor public

Selon les sources de L’Observateur, plusieurs éléments poussent les enquêteurs à privilégier la thèse d’un cambriolage sur commande. D’abord, la parfaite connaissance des lieux dont ont fait preuve les malfaiteurs. Ils ont précisément ciblé les bureaux contenant des ordinateurs connectés au serveur central, où sont stockées des données financières stratégiques. Ensuite, leur mode opératoire : ils auraient utilisé les balcons ouverts des bureaux situés au deuxième étage pour s’introduire sans éveiller de soupçons.

Mais c’est une autre découverte qui pourrait tout changer. Toujours selon L’Observateur, les caméras de surveillance de la Direction et celles d’un multiservice voisin ont été exploitées par les enquêteurs. Ces images pourraient livrer des indices cruciaux pour remonter jusqu’aux auteurs de ce braquage numérique.

Une enquête compromise par une erreur fatale ?

Alors que l’enquête avançait à grands pas, un imprévu est venu compliquer le travail des policiers. D’après les informations de L’Observateur, les empreintes laissées par les cambrioleurs ont été effacées par le personnel d’entretien des locaux. Un coup dur pour les enquêteurs, qui misaient sur ces indices pour identifier les coupables. Toutefois, des traces de pas et d’autres éléments ont été prélevés avant cette malencontreuse disparition.

Parallèlement, plusieurs personnes ont déjà été auditionnées, notamment le vigile J. M. Niakhl’agent de police du GMI A. Goudiaby, et M. Badji, le premier à avoir découvert le cambriolage. L’enquête se poursuit sous l’autorité du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Dakar, qui suit de près cette affaire explosive.

Vol de données financières : un séisme à venir ?

Derrière ce vol spectaculaire se cache peut-être un scandale d’une ampleur insoupçonnée. Les ordinateurs dérobés contenaient des informations hautement confidentielles sur les finances du Trésor public. S’agit-il d’une tentative de sabotage ? D’une fuite orchestrée ? Ou d’une cyberattaque maquillée en cambriolage ?

Une chose est sûre : cette affaire ne fait que commencer, et elle pourrait révéler des ramifications bien plus profondes que ce simple vol d’ordinateurs.

JAMRA LANCE UNE FATWA CONTRE LA LOI D’AMNISTIE

L’Ong Jamra a exprimé une opposition catégorique à toute loi d’amnistie qui exonérerait des actes criminels commis volontairement. Mame Matar Guèye & Cie sont catégoriques : « Jamra n’a jamais cautionné (et ne cautionnera jamais) une quelconque loid’amnistie en faveur de quiconque aura volontairement commis un acte criminel ! »

L’Ong dénonce l’idée que des agents des forces de l’ordre puissent être amnistiés après avoir tué des manifestants. Elle s’interroge : « Comment peut-on amnistier un policier qui a tué volontairement, et de sang- froid, à balle réelle, un manifestant désarmé ? » Jamra souligne également la violence exercée par certains manifestants, évoquant des exactions ayant causé la mort d’innocents. Elle cite en exemple l’attaque au cocktail molotov qui a coûté la vie à deux fillettes, Fatimata Bineta Diallo et Oumou Kalsom Diallo, brûlées vives dans un minibus à Yarakh. « Comment peut-on amnistier des fanatiques qui ont terrorisé les populations, détruit les biens publics et privés, assassiné au cocktail molotov
deux innocentes fillettes ? »,s’indigne Jamra.

« QUE CHACUN ASSUME LES CONSÉQUENCES DE SESACTES CRIMINELS ! »

L’organisation met aussi en avant la destruction des infrastructure publiques et privées, notamment l’incendie de 20 bus de Dakar Dem Dikk, le pillage des supermarchés et la destruction de stations-services… qui ont provoqué d’importantes pertes économiques et des suppressions d’emplois. Jamra rappelle que l’incendie volontaire est un crime,
tout comme le viol, le vol à main armée ou le trafic de drogue, qui sont sévèrement réprimés. « Jamra n’a jamais été favorable à l’amnistie d’actes criminels commis sciemment », insiste l’Ong, faisant référence à la “Loi Latif Guéye de Jamra”, qui avait renforcé la criminalisation de la drogue en 2007. Enfin, l’organisation conclut einvoquant une référence religieuse pour appuyer sa position : « La vie humaine est sacrée : “Quiconquetue volontairement son prochain, c’est comme s’il avait assassiné l’humanité entière” ! (Sôratul Ma’ida, Verset 32). » Face à ces arguments, Jamra refuse toute clémence envers les auteurs de crimes volontaires et appelle chacun à assumer ses actes : « Que chacun assume les conséquences de ses actes criminels ! »

Dernière minutes : Report du Point de Presse du SUTT

Le point de presse du Syndicat Unique des Travailleurs du Trésor (SUTT), initialement prévu cet après-midi à 15h00, est reporté. La nouvelle date est fixée au lundi 10 mars à 15h00.
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Le COSCE installe ses ambassadeurs de la paix et l’Observatoire national de la Démocratie

Ce 4 mars 2025, au NOOM Hôtel, s’est tenue une rencontre clé pour la paix et la gouvernance démocratique au Sénégal.

Les Ambassadeurs de la Paix ont été officiellement présentés et ont reçu leurs titres d’accréditation citoyenne, marquant leur engagement à promouvoir le dialogue et la cohésion sociale.

Par ailleurs, le lancement de l’Observatoire National de la Démocratie (OND) a permis de mettre en avant cet outil essentiel de suivi et d’évaluation des pratiques démocratiques. Un événement marquant qui a réuni acteurs institutionnels, société civile et partenaires internationaux pour bâtir ensemble un Sénégal plus uni et inclusif.

La cérémonie s’est tenue en présence, entre autres, de Moundiaye Cissé de l’Ong 3D du Pr. Babacar Guèye du Cosce. Y ont aussi pris part l’Union Européenne, l’Ambassade de Grande Bretagne et la présidence de l’Assemblée nationale représentée par le député Amadou Bâ du Pastef.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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