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Spéculation foncière, marché de gré-à-gré, ressources pétrolières et gazières : ces casseroles d’un régime que Bougane avait déjà diagnostiquées

Sous le régime de Macky Sall, les tensions ont été vives sur le foncier. Aujourd’hui, non seulement la vente des 3 hectares de l’hôpital Le Dantec remet au goût du jour la question des marchés de gré-à-gré, mais 2023 avec ses premières productions ravive le débat sur les contrats portant sur les ressources pétrolières et gazières. Pourtant depuis 2018, Bougane Guèye et la Coalition Gueum Sa Bopp avait déjà diagnostiqué et proposé des esquisses de solutions sur ces casseroles d’un régime avec ses « dossiers sous le coude ».

Depuis des semaines, la reconstruction de l’hôpital Le Dantec, mais surtout la vente de ses 3 hectares pour financer les travaux sont les faits dominants de l’actualité sénégalaise. Et certaines organisations sidérées par le manque de transparence ont même promis d’internationaliser le combat.

Mais ironie du sort, comme pour attiser le feu, en conseil des ministres, le président Macky Sall a sorti une autre décision : soustraire du Code des marchés publics du gaz et du pétrole, certaines sociétés publiques

Réagissant à cette décision, Birahim Seck, le coordonnateur national du Forum Civil s’est dit scandalisé par ce décret qui soustrait du Code des marchés publics les sociétés publiques en charge de l’application de la politique pétrolière, de l’exploration, de l’exploitation des ressources pétrolières, gazières, du raffinage et de la commercialisation des produits pétroliers et gaziers etc. (Sar, Senelec, Petrosen etc).

Et dans un tweet, il a même interpellé Macky Sall, pour lui dire que son décret modifiant le Code des Marchés publics est synonyme «d’une casse organisée pour enrichir directement des entreprises car l’exclusion des achats mentionnés dans le décret du 12 août 2022 est en contradiction avec la Constitution et les Directives de l’UEMOA sur les marchés publics ».

Pourtant dans son programme affiché en 2019, sur le volet « Bonne Gouvernance, Lutte Contre la Corruption et la Spoliation Foncière, Bougane Guèye et la Coalition Gueum Sa Bopp avait non seulement diagnostiqué, mais aussi proposé des de solutions sur ces casseroles du régime actuel.

Là où Birahime Seck récuse foncièrement cette décision du président Macky Sall qui consiste à extraire les entreprises pétrolières et gazières du contrôle des marchés publics, Bougane avait préconisé il y a presque 4 ans de renforcer les pouvoirs et élargir les compétences de l’ARMP et de l’OFNAC, les mettre au cœur du dispositif anti-corruption dans l’administration publique.

Et mieux, il exigeait aussi l’audit de certains grands travaux de l’Etat, au besoin, renégocier les accords sur les contrats relatifs à nos ressources minières et pétrolières ainsi que tout autre contrat douteux sur les 20 dernières années. Ce qui nous fait penser à l’actualité du moment avec la reconstruction de l’hôpital Le Dantec et cette retouche du code des marchés publics.

Mais mieux, le leader de la coalition Gueum Sa Bopp, s’est même engagé, une fois élu, à inscrire dans la Constitution, la lutte contre la corruption pour plus de transparence dans la gestion des deniers publics. Un bureau et un site internet seront mis en place pour renseigner les citoyens sur toutes les dépenses effectuées avec l’argent du peuple.

Une solution radicale pour éviter d’avoir des « dossiers sous le coude », car du bruit la fin du régime de Macky Sall ne manquera pas d’en soulever…

Mbappé envisage une plainte contre…

Des propos du journaliste Daniel Riolo relayés puis supprimés du compte Twitter de RMC Sport provoquent l’ire du clan Mbappé. « On étudie une plainte pour diffamation », assure la mère du champion du monde.

Le compte de RMC Sport a repris mardi soir sur Twitter ce qu’a dit Riolo à l’antenne mardi, avant de supprimer ce post. Mais l’extrait est réapparu sur le compte d’un suiveur du PSGqui en avait fait une capture. Riolo y évoquait des rumeurs autour du comportement de Mbappé.

Dans une réponse au compte qui a récupéré le message, la mère de Kylian Mbappé, Fayza Lamari, assure mercredi, toujours sur Twitter, que son clan « étudie une plainte pour diffamation ».

Le joueur lui-même veut des poursuites

Jointe par L’Équipe, elle précise que c’est Kylian Mbappé lui-même qui souhaite cette action en justice pour faire taire les rumeurs.

La menace de plainte vise à la fois « ces personnes » (la radio et son journaliste), mais aussi l’auteur de la capture et son« informateur zlataneur (qui n’est autre (que) l’ancien copain de Kylian) », dont Fayza Lamari donne le nom. « C’est vrai (que) Kylian et son entourage l’ont mis de côté… mais lui, il sait pourquoi ».

Selon nos informations, ce proche du champion du monde a été écarté de l’entourage du joueur l’année dernière. Sous plusieurs identités, il aurait distillé des informations sur sa vie privée sur les réseaux sociaux. « Vous commencez à aller trop loin », écrit encore la mère de Mbappé en s’adressant à l’auteur de la capture, EsamB2Back, et donc à cet ex-membre de l’entourage de son fils.

Affaire Paul Pogba : Révélations sur la maman du joueur

De révélations en révélations. Le président du Tours Football club a raconté avoir été victime de la famille Pogba en 2018. Il s’agirait de la mère du champion du monde, Yéo Moriba, qui lui aurait demandé de recruter son fils. Une demande que le dirigeant Tourois aurait refusé de satisfaire. Mais c’était sans compter la détermination.

« On nous a dit de prendre Mathias et Paul paiera son salaire, ses charges. Et en plus il vous propose de venir faire un match (amical) à Tours, et il viendra deux fois voir jouer son frère à Tours », a-t-il déclaré à Le Figaro, précisant ensuite que l’argent n’avait jamais été touché par le club, laissant un trou dans les caisses de 80.000 euros. L’homme de 71 ans a déclaré avoir pris connaissance de l’affaire, désignant même Yeo Moriba comme étant la « cheffe de gang », l’ultime décisionnaire.

Pour détournement: Mamadou Kassé, ex DG de la Sn/HLM, poursuivi

L’ancien DG de la Sn/Hlm Mamadou Kassé cité dans une affaire de détournement estimé à hauteur de plus d’un milliard de francs CFA, est dans de sales draps. Mamadou Kassé cité est dans de sale draps. En effet il est cité dans une affaire de détournement estimé à hauteur de plus d’un milliard de francs CFA. Par le billet de Ramatoulaye Sina Gaye, déléguée Syndicale, les syndicalistes de la boite avaient déposé en mars dernier une plainte sur la table du Doyen des juges pour association de malfaiteurs et détournement de deniers publics. D’après Rewmi, dans cette plainte, l’actuel DG de la Sicap, est accusé d’avoir vendu deux immeubles bâtis sur deux terrains distincts. Le parquet de Dakar a demandé l’ouverture d’une information judiciaire contre Kassé, en visant l’infraction de détournement de deniers publics, informe Les Echos. A cet effet le dernier mot revient au Doyen des juges. Mamadou Kassé justifie cette opération laquelle, selon lui, ne souffre d’aucune infraction. « C’est une opération qui s’est déroulée dans les règles . Je ne vois pas en quoi viser un délit de détournement », a-t-il confié.

Nouveau scandale médical: Une césarienne tourne mal et cause deux décès…

Kédougou, la terre des hommes, est secouée par une gravissime histoire dite de négligence qui alimente les différentes conversations. Une dame en état de grossesse très avancé et à terme, a été évacuée au district sanitaire de Kédougou. La césarienne qui s’en est suivie a mal tourné. La maman et son enfant ont rendu l’âme dans des conditions effroyables. Saisi, le procureur Baye Thiam a ordonné l’ouverture d’une enquête.  Selon des informations de Seneweb les mis en cause qui ont réalisé l’opération (gynécologue, anesthésiste…) sont présentement dans les locaux de la gendarmerie pour les besoins des auditions. 
 
Nous y reviendrons.

Nouvelle suspension des livraisons de gaz russe, les Européens en alerte

Trois jours sans gaz russe: les Européens sont de nouveau en alerte après une interruption des livraisons via le gazoduc Nord Stream mercredi pour des travaux de maintenance dans un contexte de flambée des prix de l’énergie. Annoncée cet été par le géant russe Gazprom, cette interruption est liée à des travaux “nécessaires” dans une station de compression, située en Russie, de cette conduite qui relie directement les champs gaziers sibériens au nord de l’Allemagne, d’où le gaz est ensuite exporté à d’autres pays européens. Le flux de gaz est effectivement tombé à zéro aux première heures de la matinée mercredi, selon les données mises en ligne par le réseau européen de transport de gaz Entsog et par le site de la société Nord Stream. Gazprom a annoncé de son côté mercredi avoir “entièrement” suspendu ses livraisons de gaz vers l’Europe via Nord Stream. Les travaux “prévus sur une station de compression de gaz ont débuté”, a indiqué le groupe russe dans un communiqué publié sur son compte Telegram. Ces travaux de maintenance, programmés jusqu’à samedi, doivent être effectués “toutes les 1.000 heures”, avait assuré précédemment Gazprom, propriétaire du gazoduc. Mais dans le contexte de la guerre en Ukraine, l’énergie est au cœur d’un bras de fer entre Moscou et les Occidentaux qui accusent régulièrement la Russie d’utiliser le gaz “comme une arme”. Gazprom a réduit de 80% les quantités livrées par Nord Stream au fil des derniers mois. Pour le patron de l’Agence allemande des réseaux, Klaus Müller, les travaux qui débutent sont “incompréhensibles sur le plan technique”. L’expérience montre que la Russie “prend une décision politique après chaque soi-disant +maintenance+”, a-t-il observé. Les prix bondissent Aux craintes de pénuries énergétiques l’hiver prochain –conséquence des baisses de livraisons de gaz– s’ajoute un nouveau bond des prix de l’électricité qui ont atteint ces derniers jours des sommets, risquant de faire flamber les factures des consommateurs européens. Interrogé sur la reprise des flux à l’issue des trois jours de pause, le porte-parole du gouvernement russe Dmitri Peskov a observé que les capitales occidentales “ont imposé des sanctions contre la Russie, qui ne permettent pas d’effectuer des travaux normaux d’entretien et de réparation”. Des déclarations peu rassurantes au regard des événements passés: en juillet, Gazprom avait déjà procédé à dix jours de travaux de maintenance sur Nord Stream. L’entreprise avait rouvert le robinet du gaz à l’issue de ces travaux, mais en réduisant un peu plus les quantités livrées qui s’établissent actuellement à 20% de la capacité normale du gazoduc. La faute, selon Moscou, à une turbine manquante et qui ne pourrait être renvoyée en Russie à cause des sanctions. L’Allemagne, où se trouve la turbine, assure au contraire que c’est Moscou qui bloque le retour de cette pièce-clé. Avant l’invasion russe de l’Ukraine, Nord Stream acheminait environ un tiers des 153 milliards de m3 de gaz achetés annuellement par l’UE. Les efforts payent A Lubmin, port de la mer Baltique où aboutit le gazoduc, l’incertitude est également de mise: “En juillet, il s’agissait d’une maintenance régulière prévue de longue date, cette fois-ci, ce n’était pas prévu et nous ne savons pas ce qui se cache derrière cette opération”, a expliqué à l’AFP un responsable de Gascade, entreprise qui transporte le gaz livré par Nord Stream à travers l’Allemagne. Face au risque d’une crise énergétique majeure cet hiver, la première économie européenne se démène depuis plusieurs mois pour trouver des alternatives au gaz russe, dont elle est particulièrement dépendante, et pour réduire sa consommation. Ces efforts commencent à payer, a estimé mardi le chancelier Olaf Scholz, selon lequel l’Allemagne est désormais “dans une bien meilleure position” pour affronter les mois qui viennent. L’objectif de stockage de gaz fixé par Berlin pour octobre, à 85%, devrait être atteint “dès le début du mois de septembre”, selon le gouvernement. Dans le même temps, l’industrie allemande, particulièrement gourmande en énergie, a consommé en juillet 21,3% de gaz en moins par rapport à la moyenne des mêmes mois entre 2018 à 2021. Et la hausse du recours au gaz naturel liquéfié (GNL) est en bonne voie: plusieurs terminaux flottants devraient entrer en fonction cet hiver. Le premier d’entre eux doit équiper le port de Lubmin et lui permettre de compenser une partie des volumes qui n’arrivent plus via Nord Stream. “Nous espérons pouvoir injecter du gaz dans le réseau de distribution le 1er décembre”, a déclaré Stephan Knabe de Deutsche ReGas, la société qui porte ce projet de terminal GNL.

Grand Angle] Gaz : Le Sénégal, bouée de sauvetage de l’Europe…

En 2023, le Sénégal va devenir un pays producteur et exportateur de pétrole et de gaz naturel. Le pays compte, fortement, s’appuyer, sur la deuxième ressource citée dans son processus de développement, en partie grâce à son exportation. Et les potentiels clients se manifestent déjà, en nombre. Avec des réserves de gaz estimées à 1400 milliards de m3, La Grande Tortue Ahmeyim (GTA) est considérée comme l’un des plus grands champs gaziers d’Afrique. Ce projet gazier, né d’une initiative commune entre le Sénégal et la Mauritanie, pourrait rapporter aux deux pays sur les 20 prochaines années entre 80 et 90 milliards de dollars. Un potentiel énorme qui nourrit des ambitions et aiguise des appétits surtout de pays européens. L’exemple le plus récent est la première sortie africaine du chancelier allemand, Olaf Scholz, au Sénégal le 22 mai dernier. Cette visite, bien loin d’être qu’une simple prise de contact, a été l’occasion pour l’homme d’État allemand d’aborder, avec le Président Macky Sall, la question du gaz sénégalais dans l’optique d’une future coopération entre les deux Etats. Une demande que son hôte, Macky Sall a assuré être prêt à satisfaire et à faire bien plus encore : « Nous sommes prêts, nous au Sénégal en tout cas, à travailler dans une perspective d’alimenter le marché européen en GNL (gaz naturel liquéfié). Le chancelier allemand a, par ailleurs, promis que des discussions se poursuivront « de manière intensive ». Toujours au cours de cette année 2022, la République Tchèque a, elle aussi, manifesté sa volonté de nouer un partenariat avec le Sénégal pour l’exportation de son gaz. Le 15 juillet dernier, le ministre du pétrole et des énergies, Aïssatou Sophie Gladima a reçu le Vice-Ministre Tchèque des Affaires étrangères pour les questions économiques, Martin Tlapa. Ce dernier a confié que la Tchéquie était particulièrement intéressée par le gaz sénégalais. « Tenant compte de la situation actuelle due à la crise ukrainienne, la République Tchèque est à la recherche de partenaires et souhaiterait ainsi investir en Afrique, dans le domaine de l’énergie et des mines et spécialement au Sénégal », a-t-il indiqué, assurant que son pays souhaite investir au Sénégal dans le domaine de la coopération interuniversitaire. Poutine dispose, Sall propose Il faut dire que cette succession d’opérations de charme effectuées au cours de cette année est loin d’être un hasard. Elles interviennent au moment où l’Union Européenne a pris la décision d’infliger à la Russie une cascade de sanctions en réponse à son opération militaire russe entamée en Ukraine en début d’année. Des sanctions qui touchent plusieurs secteurs et se répercutent sur l’approvisionnement en énergie russe. En effet, la Russie a décidé de contre-attaquer en exigeant aux pays ayant adopté ces sanctions de régler leurs achats de gaz en roubles et non plus en dollars ou en euros au risque de couper les livraisons.  Une proposition déclinée par les Etats de l’UE qui ont préféré se tourner vers des alternatives. Une décision compréhensible au vu de la dépendance vis-à-vis de la Russie en matière d’approvisionnement en gaz, soit 45%. Raison pour laquelle, bon nombre de pays européens se rabattent sur le continent africain notamment le Sénégal, l’Algérie,  l’Egypte et le Nigéria. Sans oublier l’alternative américaine qui reste moins avantageuse que le Sénégal à cause du temps d’acheminement de 12 à 15 jours vers l’Europe contre 5 à 6 jours pour le pays de la Teranga. L’engrais, l’autre enjeu du gaz Cette volonté à vouloir trouver des options au gaz russe ne découle pas de la simple raison d’un désir de se tenir au chaud durant l’hiver, il se trouve  qu’elle a, également, une importance alimentaire. Le gaz est un élément essentiel dans la production d’engrais minéraux. Ces fertilisants sont fabriqués à partir d’ammoniac, obtenus en combinant l’azote de l’air et l’hydrogène provenant du gaz naturel. Cet enjeu a, d’ailleurs, été évoqué par le colonel de gendarmerie Patrick Martzinek lors d’un atelier à Dakar sur la crise alimentaire dans le contexte de la guerre en Ukraine et de la pandémie de Covid-19.  « Il faut aussi savoir que la Russie est l’un des plus gros producteurs d’engrais dans le monde et il faut retrouver une certaine indépendance. Et quand on sait que le Sénégal va devenir un gros producteur de gaz, il faut anticiper. C’est d’ailleurs logique et c’est une bonne chose pour le Sénégal de savoir qu’il aura de nouveaux clients », a-t-il analysé. Une double dépendance corollaire (gaz et engrais) qui se fait d’ores et déjà ressentir en raison de la flambée du prix de ces fertilisants. Conscient de cela, le gouvernement russe a recommandé à ses producteurs d’engrais de suspendre leurs exportations. Dilemme entre transition écologique et développement économique Depuis plusieurs années déjà, les questions liées au réchauffement climatique et à la raréfaction des ressources sont au centre de toutes les tables rondes entre Etats. Des conséquences sur le plan climatiques qui invitent ces pays à agir en adoptant des plans de transition écologique. Chose qui a poussé une vingtaine d’Etats à s’engager d’ici fin 2022 à mettre un terme au financement à l’étranger de projets d’énergies fossiles lors de la COP 26 en 2021. Une feuille de route désavantageuse pour de nombreux pays africains dont le Sénégal qui n’a pour le moment pas encore démarré la production de ses hydrocarbures. A ce sujet, le Président de la République Macky Sall, en sa qualité de Président en exercice de l’Union Africaine, n’a eu de cesse de porter la voix du continent en déplorant ce choix drastique. “Dans le cadre d’une transition d’une durée de 20 à 30 ans, nous devrons développer le gaz, et permettre que les banques de développement financent des projets gaziers. Les pays africains devraient investir dans des énergies propres, tout en continuant à avoir des énergies de base qui permettent le développement et l’accès à l’électricité aux 600 millions de personnes qui en sont encore privées. Nous interdire l’exploitation du gaz serait injuste”, a-t-il rappelé au cours du forum annuel de la fondation Mo Ibrahim sur le changement climatique en mai 2022. Une position sans doute confortée par le faible taux de pollution du continent s’élevant à 4% contre 95% pour les pays développés. “À partir de 2030, le Sénégal espère percevoir jusqu’à 400 milliards de francs CFA par an de recettes directes” Pour le colonel Mbarick Diop, ancien conseiller technique à la présidence de 1994 à 2003, le Sénégal doit faire fi des avis extérieures : « si nos intérêts au Sénégal c’est d’utiliser notre gaz pour notre développement propre grâce à la production d’électricité et à l’exportation nous ne pouvons pas nous en passer.  Nous avons besoin d’engranger des ressources ». Le Colonel Diop a été, aussi, le premier président  du comité national du changement climatique, poste qu’il a occupé pendant 7 ans. « Mais on doit les encourager à développer parallèlement des énergies renouvelables telles que le solaire et l’éolienne », ajoute-t-il. Toujours sur ce point, le Sénégal, avec le parc éolien de Taïba Ndiaye, a entamé lentement sa transition. Ce projet d’une puissance de 158,7 MW fournira de l’électricité à près de 2 millions de foyers Sénégalais. Diversification des revenus du gaz : la clé du succès Il est clair qu’au vu du potentiel de cette ressource naturelle (le gaz), elle sera considérée comme une véritable rampe de lancement pour l’essor de l’économie sénégalaise. Selon Mamadou Fall Kane, conseiller du président Macky Sall en matière d’énergie : « À partir de 2030, le Sénégal espère percevoir jusqu’à 400 milliards de francs CFA par an de recettes directes. La clé de répartition du gaz entre la Mauritanie et le Sénégal est de 50-50, puisque les experts estiment que le gisement se situe dans les mêmes proportions de chaque côté de la frontière maritime ». Il précise que dans la phase 1 du projet GTA, la production de gaz sera destinée à l’exportation. Par la suite, elle alimentera les centrales d’électricité de la Senelec qui jusque-là tourne grâce au gaz importé. A cela s’ajoute l’ambition pour l’Etat du Sénégal de créer 300 000 emplois par an pour les jeunes grâce à l’industrialisation financée par le gaz. Le colonel Mbarick Diop estime qu’un réinvestissement rationnel des bénéfices tirées de ces ressources est un impératif pour créer une dynamique vertueuse du gaz : « Il faut qu’il y ait des projets structurants qui vont permettre au Sénégal de se développer. Je pense à la construction de chemins de fer mais aussi à la construction d’infrastructures d’exploitations du phosphate de Matam. Mais aussi à l’éducation car le capital humain est très important ». « Il nous faut avoir une identification de tout notre potentiel humain », Mactar Sylla Jusque là, les personnes et les structures chargées de l’exploitation et de la gestion des ressources naturelles sénégalaises étaient perçues comme des grandes muettes en raison de leur déficit criard en communication. Pour tenter de rectifier le tir, un panel de haut niveau a été organisé ce 29 juillet 2022 à Dakar par Petrosen Trading and Services. L’occasion a été saisie par le directeur général de la structure de prendre à revers certaines idées reçues sur la répartition des revenues sur l’exploitation des énergies sénégalaises. « Je vous dis clairement que cette communication est fausse. Les 10% dont on parle, c’est la part de Petrosen avant les découvertes. Pendant la phase d’exploration, on a voulu nous faire croire que c’est ce que le Sénégal récupère. On est tous conscient aujourd’hui que le minimum sera 52% sur l’un de nos champs et l’autre à 64%. Il faut alors oublier les 10% », a expliqué, Manar Sall.  Le DG de Petrosen Trading and Services a, aussi, loué la qualité  de la ressource humaine en charge de la gestion de ces ressources. Dans le même sillage, Mactar Sylla, expert en communication et l’un des concepteurs du plan stratégique Gabon émergent, estime que l’Etat doit se tourner vers l’expertise sénégalaise en la matière présente à l’international. « Il faut qu’on tire le plus grand profit de tous ces experts que nous avons au niveau international », dit-il. Il ajoute : « Il y a beaucoup de sénégalais qui sont dans les structures gazières et pétrolières et qui connaissent ces marchés. Il nous faut véritablement avoir une identification  de tout ce potentiel humain et les associer à la démarche en termes de concertation, en termes de conseils et en termes d’orientation ».

Affaire des 11 bébés calcinés de Tivaouane : Tous les mis en cause sont libres

Les personnes inculpées dans l’affaire de l’incendie survenu au niveau du Service de néonatalogie de l’hôpital Mame Abdoul Aziz Sy Dabakh de Tivaouane sont toutes libres. Fodé Dione, le chef de la division maintenance de l’établissement est le dernier à être relâché, après la sage-femme Awa Diop et l’aide-soignante Coumba Mbodj inculpées pour «délaissement d’enfants» dans un lieu solitaire. Fodé Dione, inculpé pour «homicide involontaire», a obtenu une liberté provisoire ce mardi, selon la Rfm.
Pour rappel, le 26 mai dernier, un incendie a causé la mort de 11 bébés à l’hôpital Mame Abdoul Aziz Sy Dabakh de Tivaouane. Le feu aurait été causé par un court-circuit, selon les témoignages recueillis sur place.

Surpris dans un bâtiment en construction à Tivaouane Peulh : C. B. Diallo tentait de violer une gamine de 6 ans

C’est ‘’Libération’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce mardi. D’après le journal, le présumé prédateur, Cheikh Boubacar Diallo, surpris par des ouvriers dans un bâtiment en construction, avait sorti son sexe après avoir déshabillé A.B.

A en croire nos confrères, le mis en cause qui avait donné 100 F Cfa aux deux amies d’A.B avant de partir avec cette dernière, soutient que la gamine l’aurait suivi alors qu’il entrait dans le bâtiment pour uriner.

Confondu par les témoins, renseigne le journal, Cheikh Boubacar Diallo a été écroué par le juge du 6 ème cabinet pour tentative de viol sur mineure de moins de 13 ans, pédophilie, corruption de mineure et détournement de mineure.

Kolda : 135 Kg de cannabis saisis dans une ambulance

135 kg de chanvre indien ont été saisis dans une ambulance du centre de santé de Colobane à Kalifourou dans la région de Kolda. Une ambulance du district sanitaire de Colobane a été détournée de sa fonction première qui consiste à évacuer d’urgence des malades ou à transporter des personnes décédées.
L’ambulancier n’a, en effet, trouvé qu’en faire usage comme moyen de transport de briques de cannabis.
C’est ce que les gendarmes du poste de Mandat Douane, dépendant de la Brigade de gendarmerie de Kalifourou ont constaté en inspectant l’ambulance avec son contenu.
L’ambulance revenait d’une évacuation sanitaire et devrait normalement rejoindre son service d’attache, vide de toute cargaison.
Il est minuit passé. Alors que les hommes en bleu patrouille la zone, soudain, ils aperçoivent l’ambulance immatriculé AD 27286 qui surgit et s’immobilise devant le dispositif sécuritaire.
Même si les contrôles des ambulances, les pandores intiment tout de même l’ordre à l’ambulancier de se garer sur le bas-côté de la chaussée.
Ils ouvrent la portière arrière et à la place des malades, ils tombent sur quatre sacs remplis de chanvre indien d’un poids total de 135 kg.
Mis devant le fait accompli, le conducteur de cette ambulance affectée au district de santé de Colobane (Dakar) passe aux aveux et déclare qu’il avait embarqué la drogue à Médina Wandifa, dans le département de Bounkiling (région de Sédhiou).
Le conducteur de l’ambulance tente de soudoyer les pandores en leur proposant de l’argent. Mais les gendarmes cachent sur l’offre, l’arrêtent et le conduisent au poste.
Le chauffeur incriminé a été placé en garde à vue pour les besoins de l’enquête. La drogue et l’ambulance ont été mises sous scellés.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention