Pikine : Il mange une mandarine chez son ami et meurt, son pote arrêté
Horreur à Wakhinane Nimzatt: Un voleur lynché à mort, un autre blessé
Un cas de vol a viré au drame à Wakhinane Nimzatt. Un gang de six malfaiteurs avait soustrait un mouton et un téléphone portable ce dimanche vers l’aube. Ces voleurs ont été surpris au moment de commettre leur forfait. Si quatre d’entre eux ont réussi à s’échapper, les deux deux autres ont été neutralisés puis lynchés selon des sources de Seneweb.
Malheureusement, l’un de ces deux voleurs torturés a fini par succomber à ses blessures suite à cette bastonnade.
Les policiers du poste de Wakhinane Nimzatt ont ouvert une enquête pour élucider cette affaire.
1,5 milliard FCFA détourné à La Poste : Nouvelles arrestations
Plusieurs personnes ont été arrêtées après l’épuisement du délai des mises en demeure pour rembourser les fonds détournés à Postefinances.
Le juge du deuxième cabinet avait donné un délai d’un mois à tous les bénéficiaires de rembourser les prêts, à défaut de croupir en prison. Ce délai épuisé, le magistrat instructeur a ordonné l’arrestation de tous les bénéficiaires de chèques frauduleux.
Deux mis en cause ont été déjà cueillis et présentés au juge. L’homme d’affaires et marabout Cheikh Alioune Souané chanté par la diva Kiné Lam, a échappé de justesse à la prison, après avoir bénéficié d’un retour de parquet, jeudi 25 aout 2022, pour non-paiement d’un prêt d’une dizaine de millions de FCFA.
Cheikh Seck, de son côté, dort à la Maison d’arrêt de Rebeuss pour une quarantaine de millions de FCFA. D’autres bénéficiaires des prêts commencent à solder leurs dettes par moratoire. C’est le cas de plusieurs employés de La Poste dont certains ont remboursé intégralement leur prêt.
La police a notifié à plus de 50 bénéficiaires des prêts à rembourser dans un délai d’un mois sous peine d’être placés sous mandat de dépôt. Rappelons que 1.033 chèques couvrant des montants de 100.000 à 50 millions FCFA ou plus ont été saisis lors des perquisitions effectuées dans les bureaux des postiers mis en cause.
Ces chèques constituaient les garanties des « prêts » accordés à des fournisseurs comme Business partners (55 millions FCFA), Alamine multiservices (65 millions F CFA), Général d’entreprise (13 millions FCFA), Samassa distribution (25 millions CFA, Ac Consulting Sarl (25 millions FCFA).
Les prêts ont été aussi octroyés à des personnes décédées. Les mis en cause bénéficiaient aussi des « prêts » pour eux-mêmes en versant dans le dossier des garanties des chèques en bois dont la plupart ont été faits avec des signatures falsifiées.
Le DG de Postfinances Saliou Fédior a été viré pour avoir réclamé la lumière sur le déficit de 1,5 milliard FCFA. Le DG de la Poste motive le limogeage de Fedior par l’insubordination et le déficit de confiance.
Les postiers Alexandre Xavier Manga, chef de l’Agence principale de Dakar, Abdoulaye Faye, chef du centre financier de Dakar et Kéba Diédhiou caissier dans ce centre mis en cause dans cette affaire, ont été inculpés et placés sous mandat de dépôt.
Pr Meissa Babou, économiste sur l’inflation : « rien ne justifie l’augmentation des prix de certains produits locaux »
De plus en plus, au Sénégal on constate que les prix de certains produits locaux notamment l’oseille (Bissap), le niébé et le mil ne cessent de grimper. Les commerçants au niveau des marchés ont tendance à justifier cette hausse par la crise Ukrainienne et l’inflation sur le marché international. Interpellé sur la question, l’économiste Meissa Babou soutient que rien ne justifie cette flambée des prix de ces produits locaux. Selon lui, certains profitent de la situation pour se faire une santé financière.
Depuis un certain temps, on constate une dynamique inflationniste sur certaines denrées de consommation courante notamment l’oseille (Bissap), le niébé, le mil entre autres. Sur le marché national, les prix de ces produits, qui sont cultivés au Sénégal, sont pratiquement passés du simple au double. Les producteurs et les vendeurs justifient souvent cette hausse par l’inflation ou la crise Ukrainienne. Pourtant, ces produits ne sont pas importés donc n’ont pas été taxés. Selon le professeur Meissa Babou, économiste à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, rien ne justifie cette inflation sur les produits non importés surtout les céréales locales. « Les produits qui ne sont pas importés sont entrés dans la même dynamique inflationniste. C’est comme si maintenant les producteurs et les vendeurs voulaient reporter l’inflation venue d’ailleurs sur les produits locaux. Je ne vois pas à la base quelque chose qui pourrait expliquer cette flambée des prix », soutient-il. Il souligne qu’on est dans une phase inflationniste psychologiquement acceptée. Ce qu’il trouve anormal : « Si c’est des produits industriels, on peut comprendre parce que dans les coûts, il y a l’énergie, les matières premières et autres.Par contre, ce qui est étonnant, ce sont les prix des produits comme le Bissap, le niébé, le mil qui ont été reportés sur une inflation qui semble se généraliser. On est dans une phase inflationniste psychologiquement acceptée. Ce qui ouvre la porte à toutes les dérives », relève-t-il. Il pense qu’il appartiendra au ministère du Commerce avec ses démembrements de réguler le marché dans la mesure où certains profitent de cette dynamique pour se faire une meilleure santé financière.
Promotion canapé : 3 agents du Coud soldent leurs comptes à la barre
Au-delà des chiffres, la passion de la République ! (Thierno Lo)
Nous sommes submergés par les chiffres…
Les chiffres des résultats des dernières élections Législatives. Le nombre, jugé étriqué, des députés de la nouvelle Majorité présidentielle par rapport à celui des nouveaux élus de l’Opposition. Les résultats, département par département, des dernières joutes électorales qui, dans la bouche des « chroniqueurs » de la presse de Dakar, mettent fin à des carrières construites sur plusieurs décades de conviction et d’engagement politiques. Ou mettent au firmament des profils politiques qui n’ont pas encore eu le temps, ou l’opportunité, d’exprimer un potentiel indiscutable…
Nous sommes submergés par les chiffres…
Au point d’en oublier la République ; finalité de l’exercice démocratique qui a généré ces chiffres.
Les chiffres, ces chiffres, ne sont que la photographie de l’état de l’opinion du Sénégal de nos Ambitions. C’est un Moment. Un de ces Moments sacrés de l’Histoire de notre Démocratie.
Au-delà des chiffres, nous devons revenir à ce qui fait les fondamentaux de notre «Commune envie de vivre Ensemble » ; la République…
N’est-ce-pas la victoire de la République que d’avoir un système démocratique qui permet ; élection après élection, aux Sénégalais d’exprimer leur volonté de voir leur pays prendre la voie qu’ils lui souhaitent ? Le système électoral, malgré les contestations épisodiques du fichier et de l’organisation des scrutins par un ministre de l’Intérieur suspect de parti-pris a montré une robustesse indiscutable.
Les chiffres, dont nous submergent aux lendemains de chaque joute électorale les médias présents devant chaque bureau de vote, montre à l’envi que le Sénégal a définitivement atteint l’âge de la maturité électorale et que cela ne devrait plus être sujet à polémique…
Cet acquis, si nous acceptons d’en faire consensus devrait, aussi, exclure la violence du champ politique. Définitivement.
Si une masse critique du personnel politique donne confiance aux Institutions qui organisent le jeu démocratique, qu’est ce qui pourrait expliquer que nous continuions à noter ces accès de fièvre du corps social qui nous a mené, il y a quelques mois, à mettre en danger la stabilité de notre République ?
Il est temps que nous prenions conscience de la chance que nous avons, en tant que nation, d’être au-dessus de la mêlée de pays africains sujets à une « instabilité structurelle » qui les éloigne, chaque jour un peu plus, du développement socio-économique de populations désespérées.
Les chiffres résultant des élections tenues au Sénégal depuis les Indépendances doivent nous rassurer quant à l’avenir de la République de nos Ambitions.
Les chiffres. Ils nous disent que nous avons, depuis les dernières élections Législatives, une Assemblée Nationale dans laquelle Majorité et Opposition sont à une voix près. C’est là, une preuve de la vigueur d’un système politique qui va obliger les acteurs à plus d’implication dans le quotidien de la Représentation Nationale. Les débats parlementaires, n’en doutons pas, seront âpres en obligeant les Députés à une présence vigilante et à une implication studieuse dans le vote de chaque projet (ou proposition) de Loi présentée à l’Assemblée.
Toutes les voix vont compter. Chaque voix comptera…
Des chiffres.
Les chiffres de la Démocratie.
Pour une République forte et éternelle !
Nous allons vers de nouvelles échéances politiques. Celles des élections présidentielles de 2024. Les oiseaux de mauvais augure nous prédisent le pire.
Notre République nous protégera de ce pire pour nous réserver le meilleur.
Par la magie du Chiffre. Des chiffres de notre Démocratie.
Il ne se passera rien de funeste pour notre pays si chacun de nous, sénégalais, garde à l’esprit qu’il n’aime pas ce pays plus que le plus modeste de nos compatriotes.
J’exhorte chacun des acteurs du landerneau politique (chaque citoyen de nos villes et campagnes) à cette forme de « modestie républicaine » qui fera bouclier à toute tentative de déstabilisation de notre Nation. Nous aimons, chacun à sa manière, le Sénégal d’une façon qui met en partage notre ferme et commune volonté de ne jamais le voir en difficulté ou disparaitre…
Nous avons le patriotisme en héritage. Cela est notre plus grand dénominateur commun et nous devons savoir qu’aussi longtemps que le chiffre de ceux qui aiment, passionnément le Sénégal, sera supérieur à celui de ceux qui lui souhaitent un sort funeste, la République vivra. Eternellement.
Les chiffres.
Les chiffres du Patriotisme qui s’opposent aux ceux de la Déstabilisation.
Les chiffres.
Les chiffres d’une Représentation Nationale miroir d’une société multiculturelle. Contre les chiffres, en minorité, de l’Ethnicisme et du Séparatisme mortifères.
Les chiffres.
Les chiffres d’un Budget National, de plus en plus important, consacré exclusivement à faire mieux vivre chaque pan d’une Société où TOUT est URGENCE pour les populations. Opposés aux chiffres de multinationales et autres vautours qui n’ont d’yeux que pour le pétrole et le gaz (indispensables au fonctionnement de leurs économies) qui seront les leviers d’une accélération de notre marche vers le développement.
Les chiffres.
Les terribles chiffres de nos enfants morts en voulant trouver, ailleurs, meilleurs avenirs. Face aux chiffres des possibilités infinies d’investissements dans l’Education, la Formation et l’Emploi de nos jeunes compatriotes…
Les chiffres. Les chiffres de la République.
Au-delà des chiffres, la passion de la République.
Thierno LÔ
Ancien Ministre de la République
Président du Conseil d’administration de SEN-TER SA
PAPE THIAW AVERTIT LA GUINÉE «Les années se suivent et ne se ressemblent pas…»
«Je ne crois pas au signe indien. On sait que la Guinée est une bonne équipe, mais on sait aussi que les années se suivent et ne se ressemblent pas. Nous sommes bien prêts pour affronter cette équipe. La manche aller c’est chez nous, on a envie de partir au Mali avec des points positifs. Je dirais non parce qu’il reste un match de football. On sait que la Guinée est une bonne équipe qui a terminé 3e lors du dernier Chan. Même si elle nous a éliminés 3 fois, on fera tout pour éviter la répétition. C’est important de ne pas prendre de buts ici. Et de partir avec un avantage».
LAPPE BANGOURA, SÉLECTIONNEUR DU SYLI NATIONAL LOCAL «Le Sénégal va chuter mentalement comme…»
Lappe Bangoura respire la sérénité à la veille du match aller Sénégal vs Guinée. En conférence de presse, le technicien du Syli local lance des piques et sous-entendus dans son discours. Il est venu pour le «4-0» face au Sénégal et compte jouer avec volonté et prudence et respect. Il a éliminé le Sénégal de la course pour le Chan lors des 3 précédentes éditions. Lappé Bangoura, 60 ans, est un fin connaisseur de cette compétition, surtout du Sénégal. L’objectif pour ce match aller est simple pour la Guinée : une victoire ou un match nul. «C’est notre souhait que l’histoire se répète (éliminer le Sénégal). Il faut reconnaître qu’on a eu des joueurs très courageux, qui ont suivi les consignes et rester à l’écoute. Ils se sont donnés sur le plan technique et quelque part cela nous a réussis. Nous voulons nous qualifier, et la qualification doit partir du match aller. À défaut de la victoire, on doit trouver un bon résultat. Nous allons venir au stade avec beaucoup de respect Il n’y a pas trop de commentaires. Savoir se protéger, chercher le résultat ou maintenir le bon résultat».
RETROUVAILLES DE LA FAMILLE LIBÉRALE Wade – Macky : Impossible réconciliation ?
Le Président, Macky Sall, et Abdoulaye Wade vont-ils fumer le calumet de la paix et sceller leurs retrouvailles ? Cette question taraude bien des esprits. Pape Diop, qui est un fervent défenseur de ces grandes retrouvailles de la famille libérale, est pour le moins sceptique quant à la réalisation d’un tel scénario.
«Les contacts sont maintenus, assure Pape Diop dans Jeune Afrique. En l’état actuel des choses, je vois mal comment on pourrait y arriver». Même son de cloche chez une autre ancienne figure du Parti démocratique sénégalais, El Hadj Amadou Sall, qui a depuis rallié Macky Sall : «Est-il possible de revenir ensemble ? Autour de qui et pour faire quoi ?», s’interroge-t-il avant d’évoquer des «blessures violentes» et «mal cicatrisées».
Les deux compères sont d’ailleurs confortés dans leur analyse par un responsable de l’Apr qui préfère garder l’anonymat : «À ce jour, la réconciliation entre l’Apr et le Pds me semble impossible. Et donc reconstruire la famille libérale semble également impossible».
DIAMAGUÈNE SICAP MBAO Un étudiant et un commerçant tombent avec 8 kg de cannabis
Les policiers du poste de Diamaguène Sicap-Mbao ont démantelé un réseau de trafic de cannabis. En effet, les hommes du lieutenant Salla Niang ont interpellé deux dealers en possession de 8 kg de drogue. Cette belle prise a été réalisée ce vendredi vers 2 heures à Diamaguène. Tout est parti lorsque les limiers ont reçu une information relative à un vaste réseau de trafic de drogue. Aussitôt, les éléments de la brigade de recherches dudit service ont investi les lieux indiqués. Suite à une filature, les hommes du lieutenant Niang ont surpris deux dealers, dont un étudiant, dans un véhicule stationné. Selon des sources de Seneweb, la fouille minutieuse s’est soldée par la découverte de 8 kg de cannabis dissimulés dans la malle arrière de la Ford 4×4. Cuisinés par les enquêteurs, le commerçant M. Cissé et l’étudiant S. Ndiaye ont reconnu la paternité de la drogue saisie. Au terme de l’enquête diligentée par les policiers du poste de Diamaguène Sicap-Mbao, le duo a été présenté au procureur, ce vendredi vers 11 heures, d’après nos sources proches du parquet.









