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GRIS BORDEAUX ET TAPHA GUÈYE SE RÉCONCILIENT

Gris Bordeaux et Tapha Guèye qui ne s’entendaient plus depuis un moment qui étaient en conflit aussi ont finalement fumé le calumet de la paix. En effet, les deux Tigres s’étaient séparés et chacun était dans son coin. D’ailleurs lors de son combat contre Balla Gaye 2 du 7 août dernier à l’arène nationale, Gris Bordeaux s’est préparé sans son directeur technique Tapha Guèye qu’il avait écarté à cause d’un conflit qui existait entre eux. Et l’absence du 2ème Tigre avait marqué tous les esprits. Battu par Balla Gaye 2, les membres de l’écurie sortaient de leur réserve pour dévoiler les problèmes qui plombaient leur entité. Son combat capital contre Ama Baldé récemment ficelé par Cayor Production et prévu en 2023, le président de l’écurie Fass Abass Ndoye a pris son bâton de pèlerin pour réconcilier les deux parties et permettre au Tigre de mieux préparer son prochain derby Fass-Pikine. Un objectif atteint car Gris Bordeaux et Tapha Guèye se retrouvent et font la paix.

14e Législature: vers une configuration inédite, des surprises et des issues de vote incertaines

C’est finalement le 12 septembre 2022 que les nouveaux députés seront installés à l’Hémicycle au cours de la première session, selon le décret signé le président de la République, publié hier mercredi. Pour la première fois dans l’histoire de cette Chambre, le parti ou coalition au pouvoir n’aura pas toutes les cartes en main. En effet, Benno Bokk Yakaar, qui avait 125 sièges sur 165, lors de la précédente Législature, se retrouve avec juste 82 députés élus au sortir du scrutin du 31 juillet dernier. Il leur a fallu marchander avec « l’opposant » Pape Diop pour obtenir son vote de principe dans les différentes sessions pour s’assurer d’une majorité relativement absolue.

Toute l’opposition réunie (Yewwi-Wallu, AAR et MPR) totalise également 82 sièges. L’intercoalition Yewwi-Wallu à elle seule compte 80 députés. Sauf grosse surprise, les deux coalitions devraient former un seul Groupe parlementaire. Tandis que les deux députés, Thierno Alassane Sall (AAR Sénégal) et Pape Djibril Fall (MPR) ont décidé d’adopter une posture indépendante des deux grandes forces, tout en affirmant leur ancrage dans l’opposition. Ils seront sans doute les deux seuls non-inscrits de la 14e Législature. Il y aura donc, à priori, deux grands groupes parlementaires et deux non-inscrits.

Khalifa Sall négocie avec des députés BBY

C’est l’information du jour, lâchée par le journal Le Témoin. L’un des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi, Khalifa Sall, a entrepris des démarches pour débaucher des élus de la majorité. Selon nos confrères, l’ancien responsable socialiste a déjà rencontré Aida Sow Diawara et aurait sur son viseur une quarantaine de nouveaux élus « dont d’anciens camarades socialistes avec qui il entretient d’excellentes relations. Les personnes approchées par Khalifa Sall sont considérées comme des insoumises loin de partager les orientations du Président Sall avec qui elles sont en conflit sans pour autant oser le manifester pour des raisons stratégiques. Des insoumis qui tenteraient de combattre à l’interne le chef de l’Etat, Macky Sall ».

Avec sa grande expérience politique et son vécu qui date de l’Union progressiste sénégalaise (Ups) en passant par le Parti socialiste, Khalifa Sall est l’un des plus grands stratèges politiques. Ses démarches pourraient, à défaut de faire beaucoup de mal à la majorité, semer le doute et la zizanie au sein du Groupe parlementaire BBY.

Vers des votes serrés et des résultats sur le fil

Il n’y aura pas de majorité mécanique décideuse de l’issue de tous les votes de lois et projets de loi pendant cette 14e Législature. Avec ses 82 députés, plus le vote de principe de Pape Diop, la coalition au pouvoir devra faire très attention aux défections dans ses rangs lors des votes. Il se susurre que bon nombre d’élus sur la liste de BBY pourraient échapper au contrôle de Macky Sall, entre calculs politiques et frustrations.

Du côté de l’intercoalition Yewwi-Wallu également, il faudra également être très persuasif avec les suppléants qui vont être dragués par le régime en place. Avec tous les avantages qui peuvent leur être proposés, il n’est pas exclu que certains d’entre eux ne prêtent leur voix à BBY lors des votes.

Du coup, d’un côté comme de l’autre, chaque voix de chaque siège vaudra son pesant d’or pendant les Sessions. D’abord pour l’élection du président de l’Assemblée nationale et du bureau. Ensuite pour faire passer des projets de loi et aussi voter les budgets des ministères et autres institutions de la République. Autant dire que malgré la majorité relativement absolue de la coalition au pouvoir (82 sièges + le vote de principe de Pape Diop), les issues des votes durant les Sessions seront des plus incertaines. La politique sera très présente et chacun aura des cartes à abattre… à partir d 12 septembre 2022.

Hôpital Diamniadio : Un anesthésiste meurt par overdose

Une tragédie secoue l’hôpital pour enfants de Diamniadio. Un anesthésiste nommé O. Sarr a été retrouvé mort dans une salle.

La découverte macabre est faite avant-hier matin par le médecin-chef de l’hôpital, rapporte Libération qui donne l’information.

Les premiers constats indiquent qu’il est décédé suite à une overdose. Lors de la découverte du corps sans vie, O. Sarr était habillé d’une blouse verte et étalé sur un lit, avait toujours, au niveau du pied gauche, une injection qu’il était en train de se faire.

Or, le liquide qu’il s’injectait est du Provive 1%, un agent anesthésiste intraveineux qui conduit à une sédation.

Élargissement du champ politique : Macky dos au mur

Le régime de Macky Sall a été présenté par ses opposants comme désireux d’éliminer ses adversaires par l’instrument de la justice. Mais cela ne lui pas servi pour éliminer le dernier, plus teigneux. L’élargissement du champ politique pourrait réduire la capacité de nuisance de ce dernier.

Le Forum du Justiciable a tenté de justifier son appel à une loi d’amnistie qui permettrait à des politiciens déchus de retrouver la plénitude de leurs droits politiques et judiciaires.
Beaucoup d’acteurs ont critiqué l’idée, et ni la majorité ni l’opposition ne la soutiennent ouvertement. Si l’on peut critiquer la forme, on peut se demander néanmoins si le pouvoir de Macky Sall n’a pas intérêt à approfondir la reflexion sur le bien-fondé de la proposition.
Car en vérité, le pouvoir Benno bokk yaakaar a-t-il encore un intérêt à maintenir Karim Wade et Khalifa Sall à la marge de l’arène politique nationale dans les circonstances actuelles ? En d’autres termes, le pouvoir de Macky Sall trouve-t-il toujours son compte dans le face à face qui l’oppose à Ousmane Sonko et à son parti Pastef actuellement ? Tout le monde a déjà relevé la forte capacité du pouvoir de Macky Sall à créer et à renforcer lui-même ses opposants avec une communication calamiteuse.

Qui a oublié qu’en 2012, lorsque le président Wade et son parti le Pds ont perdu le pouvoir, Karim Wade était l’un des hommes politiques les plus honnis de l’opinion sénégalaise. Il a juste fallu d’un procès «en sorcellerie» de détournement des deniers publics sur plus de 100 milliards de francs Cfa, par une instance judiciaire remise en selle pour l’occasion, et dont il était le seul prévenu, avec son comparse Bibo Bourgi, pour que des Sénégalais, criant au déni de justice, éprouvent de la compassion d’abord, et de la sympathie à son égard. Sentiments qui se sont renforcés après sa sortie de prison, quand il a été embarqué dans un aéronef de l’Emir du Qatar, affrété pour l’occasion, juste pour l’évacuer dans ce pays – sans qu’aucune explication ne soit servie à l’opinion sénégalaise !
Et pour Khalifa Sall ! Il faut se rappeler qu’en 2012, le leader de Takhawu Sénégal était un baron du parti socialiste, derrière Ousmane Tanor Dieng. Il était donc l’un des alliés de Macky Sall dans Benno Bokk Yaakaar, et aurait même pu devenir l’un de ses ministres, si Tanor, son mentor, avait jugé bon de présenter sa candidature au président de la République, en lieu et place des trois noms qu’il lui avait servis à l’époque. Barthélémy Dias, son lieutenant, a été sorti de prison, où il croupissait pour le meurtre de Ndiaga Diouf, par la grâce de l’arrivée de Macky Sall à la magistrature suprême. L’idylle a commencé à tourner au vinaigre quand l’Apr, ivre de sa victoire et remplie de morgue, a voulu traiter ses alliés comme des serfs. Le ministre Mbaye Ndiaye, avec le sens de l’à-propos qui le caractérise, n’a pas hésité à déclarer avant les Locales de 2014 : «Si Khalifa veut garder la Mairie de Dakar, il doit rejoindre l’Apr». La suite est connue de tous, car cela a fini par faire de Khalifa Sall un des plus fermes opposants à Macky Sall, et un allié de circonstance de Sonko.

Ce dernier a d’ailleurs bien profité de la propension du régime de Macky Sall à se servir de la justice pour éliminer ses opposants tout en épargnant ses fidèles. Pour éviter de se retrouver face à la justice, Sonko a su jouer de la tendance des Sénégalais à considérer tous ceux qui s’opposent au pouvoir comme étant des opprimés, en criant au complot à chaque tentative de l’Etat de le salir ou de l’emprisonner. Au point qu’il se sent aujourd’hui intouchable et se permet parfois de lancer impunément des appels à l’insurrection.
Sachant que les Sénégalais commencent à le considérer comme la seule alternative crédible à Macky Sall, Ousmane Sonko n’a aucun intérêt à voir aujourd’hui, s’élever dans l’opposition, un autre pôle de contestation, à côté de celui qu’il incarne. Ce n’est pas pour rien qu’il s’en est pris, lors de la campagne des Législatives, aux membres de la Coalition Aar Sénégal.
Ce n’est pas pour rien qu’il a lancé aux deux députés non-inscrits de cette législature une «injonction » à se joindre au groupe parlementaire de l’opposition. Donc à être sous ses ordres. On peut donc subodorer que, sans le dire de manière claire, il ne soutiendra jamais le combat de ses alliés de circonstance pour leur réhabilitation politique avant la fin du mandat de Macky Sall, de manière à leur permettre de se présenter à l’élection présidentielle… contre lui.
Ousmane Sonko ne peut garantir à personne qu’il sortirait victorieux de joutes électorales où il serait opposé à Karim Wade, Khalifa Sall et Macky Sall ou son champion. Ce qui l’arrange le plus, c’est que Macky Sall déclare sa volonté de briguer un autre mandat, considéré par une frange de l’opinion comme le mandat de trop. Cela lui permettrait de jouer sur le sentiment d’indignation, et d’espérer qu’il lui profite et lui permette de gagner la présidentielle sans coup férir. Le sentiment d’autisme politique de Macky Sall et de benno dans leurs rapports avec l’opposition ne sont donc pas blâmer pour gêner Ousmane Sonko.

Avec le QTD

Bébés calcinés à l’hôpital de Tivaouane : Liberté provisoire pour la sage-femme et l’aide-infirmière

Rebondissement dans l’affaire de l’incendie qui avait emporté 11 bébés au niveau du service de néonatalogie de l’hôpital Mame Abdou Aziz Sy Dabakh de Tivaouane. La sage-femme, Awa Diop et l’aide-infirmière, Coumba Mbodji ont finalement bénéficié d’une liberté provisoire. Concernant Fodé Dione, chef de division maintenance, il est, pour sa part, maintenu en détention.

Bras de fer entre la direction de la pêche industrielle et une vingtaine d’armateurs autour des licences : les raisons de la pénurie de poissons

La remarque a été faite certainement par les femmes qui vont au marché. Les poissons se font rares sur les étals. Mais la raison n’est pas liée aux aléas climatiques. Selon ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce jeudi, le fait est qu’une vingtaine de bateaux sont actuellement à quai au Port autonome de Dakar, car leurs armateurs n’ont pas pu renouveler leurs licences au niveau de la Direction de la Pêche industrielle. D’après le journal, cette mesure concerne principalement des armateurs chinois. Mais il y a aussi des Sénégalais.

Disparition d’une pirogue à Rufisque avec une centaine de candidats à l’émigration clandestine : les confessions du propriétaire

Plus d’une centaine de candidats à l’émigration clandestine ont disparu, au mois de juillet dernier, ne donnant aucune nouvelle depuis lors. Alors que les chances de les retrouver en vie sont quasiment nulles, une enquête a été ouverte pour élucider les circonstances de ce voyage vers l’Europe qui a mal tourné.

Aujourd’hui, renseigne ‘’SourceA’’ dans sa livraison de ce jeudi, les pistes mènent vers le propriétaire de l’embarcation, Cheikh Fall, Ce dernier, d’après le journal, déclare avoir vendu la pirogue aux passeurs et rabatteurs.

C’est pourquoi il a été invité à se rendre à la Gendarmerie pour faire une déposition, à se porter à la protection de la loi et à se soumettre aux enquêtes pour se faire blanchir.

Etats-Unis : un sénégalais mortellement fauché par une automobiliste ; une levée de fonds lancée pour le rapatriement du corps

Encore un Sénégalais tué à l’étranger. Mouhamed Sow, entré aux Usa vers le mois février dernier via le Brésil, n’a vécu que 6 mois aux Usa. Selon ‘’Les Echos’’ qui donne l’information dans son édition de ce jeudi, notre compatriote est mortellement fauché par une automobiliste. A en croire le journal, une enquête ouverte, l’automobiliste interpellée puis relâchée par la police. Une levée de fonds est lancée pour le rapatriement du corps.

Maison d’arrêt et de correction de Podor : un détenu qui purgeait 2 ans, s’évade au moment d’exécuter des corvées pénales

A la Maison d’arrêt et de correction (Max) de Podor, le détenu M. A. Derwiche s’est évadé au moment où il exécutait avec d’autres prisonniers des corvées pénales. Les faits se sont déroulés hier, mercredi, en fin de journée.

Selon ‘’Les Echos’’ ce dernier a fondu dans la nature au moment où les autres détenus étaient à la tâche. Les gardes qui l’accompagnaient ont lancé l’alerte et fouillé les environs du lieu où ces derniers exécutaient les corvées pénales, en vain.

Le journal, dans sa parution de ce jeudi, rappelle que le fugitif purgeait une peine de deux ans. Il a été condamné pour vol, escroquerie et administration de substances nocives à la santé.

Démantèlement d’un réseau de proxénétisme et d’incitation à la débauche : les mis en cause, âgés entre 20 et 25 ans, faisaient des massages érotiques à leurs clients

Arrêtés à la Cité Mixta dans un appartement, Nd. D. Thiaw, Nd. W. Sanaré et M. Sène vont faire face aux juges du tribunal des flagrants délits de Dakar vendredi prochain. Ils sont poursuivis pour les chefs de proxénétisme, détournement de mineure, incitation à la débauche et diffusion d’images à caractère pornographique.

Un réseau de proxénétisme a été démantelé à la cité Mixta par la Section de Recherches. Selon le dénonciateur, les occupants d’un immeuble de ladite localité incitent les adolescentes du quartier à la débauche en leur proposant des partenaires sexuels moyennant de l’argent. Une descente à l’endroit précité fut effectuée et les flics ont procédé à l’arrestation de Nd. D. Thiaw, Nd. W. Sanaré et D. Sène. Entendue sur procès-verbal, la dame N. D. Thiaw, née en 2002, se disant masseuse, domiciliée à Grand Yoff, a déclaré qu’elle a loué l’appartement dans lequel elle a été interpellée en même temps que sa recrue M. Sène, à quinze mille (15.000) francs Cfa, la journée.

Entendue sur procès-verbal, la dame N. D. Thiaw, née en 2002 déclare : «il y a trois types de massages : Nuru, body-body et intégrale. Le Nuru consiste à frotter ses seins sur le dos du client»

Elle a tenu à souligner que son bailleur en l’occurrence le nommé Diaraf Sène qui est son petit ami est au courant de son activité professionnelle dans ledit appartement. Par rapport aux faits de proxénétisme, détournement de mineure et d’incitation à la débauche à lui reprochés dans le cadre de cette procédure, elle a admis avoir recruté une demoiselle dénommée M. Sène. Toutefois, elle ne savait pas que cette dernière était mineure. Elle renseigne également qu’elle ne l’a jamais mise en rapport avec des partenaires sexuels. Selon ses allégations, le travail de son employée en l’occurrence, M.  Sène, consiste à masser les clients. A l’en croire, il y a trois types de massages : Nuru, body-body et intégrale. Avec plus de détails, elle explique que le Nuru consiste à frotter ses seins sur le dos du client entre autres. Pour attirer la clientèle, la jeune informe les enquêteurs qu’elle s’est inscrite sur la plateforme de rencontre Nexna.com, en y postant des messages salaces pour appâter les éventuels clients.

Née en novembre 2004, à Tattaguine M.  Sène confie : «Quand je reçois un client, je me mets à nu. Ensuite, je fais le massage à l’aide de mes seins que je frotte sur le corps des clients»

Quant à M.  Sène, née en novembre 2004, à Tattaguine, elle a confirmé les déclarations de la dame Thiaw. Invitée à expliquer en quoi consistait sa tâche, elle renseigne : «Quand je reçois un client, je me mets à nu. Ensuite, je fais le massage à l’aide de mes seins que je frotte sur le corps des clients.» Elle soutient également qu’elle fait le massage à l’aide de ses mains en massant le pénis du client jusqu’à éjaculation. Elle n’a pas manqué de dire qu’elle a une fois entretenu des rapports sexuels avec un client. Relativement à la rémunération, elle a informé qu’elle perçoit 30% des revenus provenant des séances de massage. Elle a ajouté qu’elle est rémunérée journalièrement après le passage de chaque client. Pour sa part, Nd.  W.  Sanaré, née en 1995 à Mbacké, reconnait être travailleuse du sexe. Domiciliée à la citée Mixta, elle a déclaré à l’enquête que c’est dans sa chambre qu’elle reçoit ses clients.

Nd.  W.  Sanaré, née en 1995 à Mbacké, reconnait être travailleuse du sexe. Domiciliée à la citée Mixta, elle a déclaré que c’est dans sa chambre qu’elle reçoit ses clients

Selon les éléments de l’enquête, elle a loué l’appartement dans lequel elle exerce ses activités à quinze mille (15.000) Fcfa la journée auprès de son bailleur le nommé D. Sène. Par ailleurs, elle est inscrite au fichier sanitaire et social et respecte ses consultations médicales. Interrogé, le sieur D Sène a reconnu les faits d’exploitation d’appartements meublés sans autorisation administrative. Toutefois, il a argué qu’il ignorait que ses locataires s’adonnaient à la prostitution dans les appartements. Placé sous mandat de dépôt, le trio qui a été arrêté le 9 août dernier va comparaître devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar vendredi prochain. Ils sont poursuivis pour proxénétisme, détournement de mineure, incitation à la débauche et diffusion d’images à caractère pornographique.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention