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Inondations : Laye Zoulou Gaye appelle à l’unité nationale et dénonce les branchements clandestins

Laye Zoulou Gaye, acteur de développement et collaborateur de la Direction des prévisions pluviométriques, a invité les Sénégalais à ne pas politiser la question des inondations. Selon lui, « les inondations deviennent une affaire nationale et tous les Sénégalais doivent s’y mettre, au lieu d’en faire un sujet politique ». Il appelle ainsi les acteurs politiques à privilégier l’intérêt général face à ce fléau récurrent.

Par ailleurs, il a dénoncé les branchements clandestins sur les réseaux d’assainissement, qu’il considère comme l’un des principaux facteurs aggravants. « Ces branchements illégaux empêchent l’eau de s’écouler correctement, bloquent le système d’évacuation et aggravent les conséquences des fortes pluies », a-t-il précisé.

Laye Zoulou Gaye a également alerté sur l’impact des déversements d’eaux usées et d’ordures dans les canaux, qui provoquent non seulement des obstructions mais aussi une dégradation de l’environnement et des risques sanitaires accrus. « L’eau stagnante favorise la prolifération de moustiques et de bactéries, augmentant le risque de maladies liées à l’hygiène », a-t-il averti.

Enfin, il a rappelé que les inondations entraînent des dommages importants aux habitations, aux infrastructures et aux activités économiques, générant des pertes financières considérables.

Ndamatou : 6 personnes interpellées pour trafic de drogue

Le Commissariat d’arrondissement de Ndamatou a frappé fort en interpellant six individus dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue. Ces opérations ont permis de saisir d’importantes quantités de chanvre indien et de skunk. La police nationale, dans son communiqué, explique que le 12 août à 16h, lors d’un contrôle routier, trois individus ont été arrêtés. Dans leur véhicule, les policiers ont découvert 1,5 kg de chanvre indien, 12 cornets de la même substance, ainsi qu’un paquet de skunk. Ils ont été mis en examen pour détention, trafic et offre de ces produits illicites.

La police ajoute que le 14 août à 23h, deux suspects à moto ont été arrêtés en possession d’un sac contenant un véritable arsenal du dealer : cinq « camelots » de plus de 100 cornets de chanvre indien chacun, quatre cornets prêts à l’emploi et environ 400 grammes de vrac. Ils avaient également sur eux des ciseaux et du papier pour l’emballage. Ils sont poursuivis pour détention et trafic. Un individu à moto a été également arrêté en possession de 60 cornets de chanvre indien et d’une somme de 10 000 F Cfa, l’argent de la vente. L’enquête se poursuit et tous les suspects ont été placés en garde à vue.

Plusieurs dirigeants européens accompagneront Zelensky à Washington pour sa rencontre avec Trump

La délégation ne cesse de croître au fil des heures. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé, dimanche 17 août, qu’elle se rendrait avec plusieurs dirigeants européens à la Maison Blanche lundi aux côtés du président ukrainien Volodymyr Zelensky lundi. Dans la foulée, Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre britannique Keir Starmer, la présidente du Conseil des ministres d’Italie Giorgia Meloni et le président finlandais Alexander Stubb ont également confirmé leur présence. Le chef de l’Otan, Mark Rutte, sera aussi du voyage. Le sommet exceptionnel Trump-Poutine qui a eu lieu en Alaska et la guerre en Ukraine seront évidemment à l’ordre du jour.

La présidente de la Commission européenne a par ailleurs informé que Volodymyr Zelensky serait à Bruxelles dimanche après-midi pour participer à une visioconférence des alliés européens. Cette réunion est prévue à 13h00 TU avec les pays de la « coalition des volontaires », alliés de Kiev, afin de préparer les prochaines étapes des discussions de paix sur l’Ukraine après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska.

Les alliés de l’Ukraine devraient aborder lors de cette réunion la question des garanties de sécurité qui seraient accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix. Ils devraient également, selon des diplomates, examiner ce que pourraient être les contours d’un tel accord entre l’Ukraine et la Russie. À l’issue de son sommet vendredi avec Vladimir Poutine, Donald Trump avait fait savoir que ses efforts portaient désormais sur l’élaboration d’un accord de paix permettant de mettre fin à la guerre, sans passer par l’étape d’un cessez-le-feu.

En attendant, l’Ukraine et la Russie continuent les attaques de drones

Kiev et Moscou se sont mutuellement attaqués avec des drones dimanche. Sur le terrain, les hostilités se poursuivent. L’armée de l’air de Kiev a accusé la Russie d’avoir attaqué l’Ukraine avec 60 drones, dont des drones iraniens Shahed, ainsi qu’un missile Iskander dans la nuit de samedi à dimanche. Le gouverneur de la région orientale assiégée de Donetsk, Vadim Filachkine, a déclaré que des attaques russes avaient tué cinq personnes dans la région samedi. En Russie, le ministère de la Défense a déclaré de son côté que Kiev avait lancé 46 drones sur le pays — principalement au-dessus des régions frontalières mais également sur la région de Nijni Novgorod, à l’est de Moscou et à des centaines de kilomètres de l’Ukraine.

Point E : un individu interpellé pour vol en réunion commis avec violence et usage de moyen roulant

Le Commissariat d’arrondissement du Point E a procédé à l’interpellation d’un individu pour vol en réunion commis avec violence et usage de moyen roulant (moto). Cette arrestation fait suite à une plainte formulée par une victime. Cette dernière a déclaré avoir été victime d’un vol à l’arraché perpétré par deux jeunes à bord d’une moto. Ces derniers auraient arraché violemment son sac mis en bandoulière avant de l’emporter avec une somme de 100.000f, son chapelet, ses écouteurs et un parfum. Selon la police, dans son communiqué, les investigations menées ont permis d’identifier l’un des malfaiteurs, qui, au moment du vol, était derrière et aurait même arraché le sac. Interpellé après quelques jours de recherches, il a tenté de nier les faits avant d’être confronté à la victime qui, l’a aussitôt reconnu parmi d’autres interpellés. Mieux, l’exploitation de son compte wave a permis de constater un dépôt de la somme de 80.000f le lendemain du vol, somme qu’il dit sans convaincre, avoir reçue de son frère. À l’issue de sa garde à vue, il a été déféré au Parquet.

FMI-Sénégal : rendez-vous décisif sur la dette publique

Après plusieurs semaines d’attente, la date de l’arrivée de la mission du Fonds monétaire international (FMI) au Sénégal est enfin connue. Fixée au 19 août 2025, cette visite sera déterminante pour relancer les discussions sur les décaissements suspendus et examiner la question sensible de la dette publique, sur fond de révélations de dettes cachées.
La mission du Fonds monétaire international (FMI), annoncée depuis fin août sans date précise, est désormais confirmée. Selon le journaliste Madiambal Diagne, la délégation foulera le sol sénégalais à partir du 19 août 2025. « Elle avait été convenue entre le président Bassirou Diomaye Faye et le directeur général adjoint du FMI. Une réunion-vidéo préparatoire entre le FMI et les services du ministère des Finances s’est tenue sans Cheikh Diba », a-t-il révélé sur son compte X (anciennement Twitter).

L’absence remarquée du ministre des Finances, pourtant acteur central des discussions, soulève des interrogations, même si aucun détail n’a été fourni sur ce choix. Cette visite du FMI intervient dans un contexte économique tendu, marqué par la suspension temporaire de certains financements liés à l’accord en cours. La mission devrait permettre de faire le point sur les fonds gelés et de préciser les mesures nécessaires à leur déblocage. Au-delà des urgences, il n’est pas exclu qu’un nouveau programme de soutien soit évoqué afin d’accompagner les réformes structurelles, notamment dans les domaines de la gouvernance et de la gestion des finances publiques.

Inondations à Touba : Serigne Modou Bousso Dieng fustige l’inaction de l’État

La ville sainte de Touba est une nouvelle fois frappée par des inondations qui plongent les habitants dans la détresse. Face à la gravité de la situation et à l’absence de réponses concrètes des autorités, la colère monte. Serigne Modou Bousso Dieng, coordinateur de la Confédération internationale des familles religieuses, a lancé un véritable cri de cœur pour dénoncer ce qu’il qualifie d’« abandon » de la population par l’État.

« Aucune solution, aucune mesure sérieuse n’est prise depuis un an et demi. Et les inondations continuent d’augmenter davantage. Les gens vivent un calvaire et pleurent », a-t-il déclaré avec amertume, dénonçant l’indifférence des dirigeants face à la souffrance des habitants.

L’autorité religieuse a insisté sur la gravité de la situation, soulignant que même les abords de la grande mosquée de Touba se trouvent aujourd’hui envahis par les eaux. Plus grave encore, selon lui, aucune autorité politique de premier plan ne s’est déplacée sur les lieux pour constater de visu l’ampleur du désastre. « Ni ministre, ni Premier ministre n’a foulé le sol de Touba pour aider la population », a-t-il regretté.

Il a par ailleurs fustigé le discours du Premier ministre qu’il juge « populiste », sans impact réel sur l’amélioration des conditions de vie dans la cité religieuse. « On n’a pas besoin de discours. On a besoin d’action rapide, immédiate et urgente. On est fatigué. Il est temps », a martelé Serigne Modou Bousso Dieng, qui appelle le gouvernement à passer enfin des paroles aux actes.

Pour les habitants de Touba, chaque nouvelle saison pluvieuse rouvre les mêmes blessures et réactive les mêmes angoisses. Les appels des autorités religieuses rappellent avec force l’urgence d’une solution durable à ce problème récurrent, qui continue de mettre à mal le quotidien de milliers de familles.

Pape Malick Ndour :« le rapport met en évidence de graves manquements qui reflètent l’opacité et l’inefficacité d’un régime incapable »

Pape Malick Ndour a réagi, ce dimanche, à la publication dans les délais du rapport d’exécution budgétaire du second trimestre 2025. Dans un message posté sur ses réseaux sociaux, il a félicité le ministère des Finances pour le respect du calendrier, tout en soulignant les limites du document. Selon lui, le rapport « met en évidence de graves manquements » qui reflètent « l’opacité et l’inefficacité d’un régime incapable d’assurer une gestion publique crédible ». L’ancien ministre estime ainsi que, derrière la communication officielle, persistent des fragilités inquiétantes dans la gouvernance budgétaire.

Texte in extenso

Mais au-delà de cette apparente régularité, ce document met en évidence de graves manquements qui traduisent l’opacité et l’inefficacité d’un régime incapable d’assurer une gestion publique crédible.

1. Une méthodologie de rédaction volontairement appauvrie
La rupture méthodologique opérée dans la rédaction du rapport est troublante. La suppression des informations sur les moins-values ou plus-values de recettes prive les citoyens d’un indicateur essentiel pour évaluer la performance du gouvernement en matière de mobilisation des ressources. Cette opacité délibérée ressemble à une stratégie d’évitement, destinée à masquer les contre-performances éventuelles et à empêcher toute évaluation objective de la politique budgétaire.

2. Une transparence sacrifiée au sommet de l’État
La disparition de la ventilation des dépenses par institution (Présidence, Assemblée nationale, Primature et ministères) constitue une régression majeure. Elle empêche désormais de savoir ce que consomment réellement les plus hautes institutions de la République. Or, il s’agit d’une obligation légale et morale pour un gouvernement qui prétend gouverner au nom du peuple. Refuser de publier ces annexes, c’est refuser de rendre des comptes et cultiver le secret autour de l’utilisation de l’argent public par les plus hautes autorités.

3. Des partenaires extérieurs qui tournent le dos (Page 12)
Le constat est brutal : zéro franc mobilisé sur les 45 milliards d’appui budgétaire prévus. Quant aux dons en capital, seuls 19 milliards ont été reçus, sur une prévision de 241,6 milliards. Autrement dit, les partenaires techniques et financiers tournent le dos à ce gouvernement. Cette absence de confiance traduit un isolement inquiétant du Sénégal sur le plan financier, et elle est la conséquence directe de choix économiques incohérents, de promesses non tenues et d’une gouvernance budgétaire qui manque de lisibilité.

4. Une masse salariale incontrôlée (Page 14)
Alors que le gouvernement justifie son inaction par l’absence de marges budgétaires, la masse salariale explose encore, avec une hausse de 22,9 milliards par rapport à la même période de l’année dernière. Comment expliquer cette contradiction flagrante ? Pendant que l’État peine à financer ses investissements, il continue d’alourdir les charges salariales, nourries par le clientélisme. Ce déséquilibre chronique met en péril la soutenabilité des finances publiques.

5. Un blocage de l’investissement public qui hypothèque l’avenir (Page 19)
Après six mois d’exercice, seuls 11,9 milliards ont été dépensés pour l’investissement public, soit moins de 2 milliards par mois. Dans le même temps, l’État consomme 27 milliards chaque mois pour son fonctionnement. Ce contraste illustre une priorité donnée aux dépenses de prestige et de confort du pouvoir, au détriment de l’investissement productif attendu par les Sénégalais. Le blocage est aggravé par la centralisation des validations à la Primature, transformée en goulot d’étranglement. Tant que cette machine restera prisonnière de lenteurs bureaucratiques et de calculs politiques, le pays continuera de perdre un temps précieux pour son développement.

En résumé, ce rapport n’est pas seulement un document budgétaire : c’est le miroir d’un pouvoir qui s’éloigne chaque jour un peu plus des exigences de transparence, de crédibilité et de responsabilité. Il traduit l’échec d’une gouvernance incapable de rassurer ses partenaires, d’investir pour l’avenir et de dire la vérité à son peuple.

Bon dimanche, débat d’idée….

Mame Maty Mbengue publie son livre “Confidences d’une légende du basketball”

Légende vivante du basketball africain, quintuple championne d’Afrique et élue au Hall of Fame en 2022, Mame Maty Mbengue a lancé son livre « Confidences d’une légende du basketball », coécrit avec le professeur Mamadou Koumé et préfacé par l’ancien président Abdou Diouf. L’ouvrage revient sur son parcours exceptionnel, ses valeurs et les moments marquants de sa carrière.

Lors de la cérémonie, l’ancienne capitaine des Lionnes a expliqué sa démarche : « Je raconte mon histoire pour inspirer. Le basket m’a appris à me dépasser, à croire en mes capacités et en mes valeurs. Si ce livre ne touche qu’une seule personne, alors il aura rempli sa mission. »

Elle a exprimé sa gratitude à sa famille, à son père Souleymane Mbengue, qu’elle qualifie de « père exceptionnel », ainsi qu’à ses soutiens, parmi lesquels Abdou Diouf, son coach Bonaventure Carvalho, Barthélémy Dias, Youssou Ndour et plusieurs acteurs du sport sénégalais.

Enfin, Mame Maty a rendu hommage à sa mère, feue Awa Ndoye, et à feue Awa Dia, qu’elle considérait comme une seconde maman, rappelant qu’elles incarnaient toutes deux « la force et la détermination des femmes inspirantes ».

Bougane Guéye :« Une croissance en trompe-l’œil , le vrai danger d’un État qui consomme au lieu d’investir»

Une Croissance en trompe-l’œil : « le vrai danger d’un État qui consomme au lieu d’investir».

Au fond, le problème est simple : le gouvernement vient d’afficher une croissance sur le papier, mais elle repose sur du vent. La réalité c’est qu’aucun sénégalais ne sent cette croissance.
Tant que l’administration Sonko-Diomaye continuera à s’endetter pour faire face aux charges de fonctionnement plutôt que de bâtir une économie productive, tant que la masse salariale gonflera sans qu’on sache qui en profite réellement, le Sénégal ne fera qu’entretenir le chaos economique.
La vraie menace n’est pas le manque de ressources, mais un modèle budgétaire qui consomme au lieu d’investir.
Voilà le véritable danger.

Bougane Guéye Dany
Mouvement Gueum Sa Bopp « Jambaars »

Sénégal : 2 226,3 milliards FCFA de recettes et un déficit de 588,3 milliards au 2e trimestre 2025

Le ministère des Finances a publié le rapport d’exécution budgétaire à fin juin 2025. Les recettes budgétaires atteignent 2 226,3 milliards FCFA, soit 47,7 % de l’objectif annuel, en hausse de 8,5 % par rapport à 2024. Cette progression est portée par la bonne performance de l’impôt sur les sociétés (392,3 milliards) et des impôts indirects (1 074,2 milliards).

Du côté des dépenses, l’État a engagé 2 814,6 milliards FCFA, dominés par les charges de fonctionnement (2 232,7 milliards), dont une masse salariale en hausse à 724,1 milliards. Les investissements restent en retrait, avec seulement 581,9 milliards exécutés (30,1 %).

Résultat : le déficit budgétaire s’établit à 588,3 milliards FCFA, soit un tiers de la cible annuelle. Il est financé principalement par des emprunts sur les marchés financiers, traduisant une dépendance accrue à la dette pour couvrir les besoins de trésorerie.

Si les recettes progressent, la faiblesse de l’investissement public face à l’augmentation des dépenses courantes constitue un signal d’alerte pour la soutenabilité des finances publiques.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention