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Sénégal : 1 202 grossesses précoces recensées en 2024 dans les écoles

En 2024, un recensement mené dans les établissements publics du moyen secondaire au Sénégal a révélé des chiffres alarmants sur les grossesses précoces. L’étude, qui a couvert 1 332 établissements sur les 1 573 ciblés, soit un taux de couverture de 85 %, met en lumière une problématique qui touche toutes les régions du pays.

D’après les données recueillies par le Groupe pour l’Étude et l’Enseignement de la Population (GEEP), un total de 1 202 cas de grossesses chez des adolescentes âgées de 12 à 19 ans a été enregistré. Les disparités régionales sont marquées, avec des taux particulièrement élevés dans certaines zones.

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La région de Fatick arrive en tête avec 166 cas (13,81 %), suivie de Ziguinchor (157 cas, 13,06 %) et Sédhiou (134 cas, 11,15 %). D’autres régions comme Tambacounda (100 cas, 8,32 %), Kolda (91 cas, 7,57 %) et Matam (86 cas, 7,15 %) affichent également des chiffres préoccupants.

Dans les zones urbaines, les départements de Dakar se distinguent par des taux relativement faibles : 7 cas pour Dakar intra-muros (0,58 %), 12 pour Pikine (1,00 %) et 9 pour Rufisque (0,75 %). À l’inverse, les régions plus rurales comme Louga (65 cas, 5,40 %) ou Kédougou (24 cas, 2,00 %) restent touchées malgré des chiffres moins élevés.

Ces données illustrent l’ampleur du défi à relever en matière de prévention des grossesses précoces, qui compromettent l’éducation et l’avenir de nombreuses jeunes filles. Face à cette situation, les autorités éducatives et sanitaires sont appelées à renforcer les campagnes de sensibilisation et à multiplier les initiatives pour garantir un meilleur encadrement des élèves.

Le rapport du GEEP, basé sur les observations de 2024, alerte sur la nécessité de prendre des mesures urgentes pour inverser cette tendance et protéger les droits des adolescentes dans tout le pays.

Mbirkilane : Série d’incendies à Lougol

Les habitants du village de Lougol, situé dans la commune de Diamal, département de Mbirkilane, vivent dans un profond désarroi depuis près d’un mois.

Depuis décembre 2024, des incendies se déclarent quotidiennement dans ce village, causant d’importants dégâts. Plusieurs concessions ont été touchées, des dizaines de cases réduites en cendres, ainsi que des récoltes et des vivres détruits.

Parmi les témoignages marquants, Yankhoba Touré raconte : « Alors qu’une famille se préparait à célébrer un mariage, la case qui devait accueillir la mariée a soudainement pris feu. »

L’origine de ces incendies reste mystérieuse. Si aucune explication scientifique n’a encore été donnée, certains habitants évoquent la colère des djinns, qui aurait été provoquée par l’abattage d’arbres dans le cadre de la construction d’une route.

 

Côte d’Ivoire : Ouattara évoque une candidature à un quatrième mandat

Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a évoqué ce jeudi son souhait de « continuer à servir » son pays, tout en précisant qu’aucune décision n’avait été prise quant à une éventuelle candidature pour un quatrième mandat lors de l’élection présidentielle d’octobre 2025.

Lors de ses vœux adressés au corps diplomatique, le chef de l’État a assuré : « À ce jour, je n’ai pas encore pris de décision. Mais je peux vous garantir que je suis en parfaite santé et prêt à continuer à servir mon pays. » Ses propos ont été accueillis par des applaudissements des membres du gouvernement présents.

Le président a également mentionné que son parti, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), comptait « au moins une demi-douzaine de candidats potentiels », sans en préciser les noms. Il a insisté sur la solidité de son mouvement, soulignant qu’il n’était pas seul à envisager un avenir politique pour la Côte d’Ivoire.

Âgé de 83 ans, Alassane Ouattara est à la tête du pays depuis 2011. Il avait annoncé en 2020 son intention de se retirer pour céder la place à une nouvelle génération de leaders. Cependant, après la disparition tragique de son dauphin désigné, Amadou Gon Coulibaly, en juillet de la même année, il avait choisi de briguer un troisième mandat. « Je suis convaincu que j’ai bien fait d’accepter la proposition de mon parti », a-t-il affirmé jeudi, réaffirmant la solidité de ses choix passés.

Depuis 2024, le RHDP a intensifié ses appels à la reconduite du président, le qualifiant de « candidat naturel » pour 2025. Toutefois, le contexte électoral reste délicat. Le premier tour de la présidentielle se tiendra le 25 octobre prochain, dans un climat marqué par des souvenirs encore vivaces des crises électorales, notamment celle de 2010-2011, qui avait fait près de 3 000 morts. Alassane Ouattara a tenu à rassurer la population en promettant un scrutin « paisible, démocratique et transparent ».

Autres candidats potentiels à la présidentielle 2025

Le paysage politique se prépare à des affrontements électoraux intenses. Plusieurs figures de l’opposition ont d’ores et déjà annoncé leur candidature. Laurent Gbagbo, ancien président et leader du Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI), est cependant inéligible à la présidentielle en raison de sa condamnation judiciaire. Son ex-épouse, Simone Ehivet Gbagbo, a quant à elle déclaré sa volonté de se présenter. Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), principale force d’opposition, n’a pas encore désigné son candidat. Tidjane Thiam, président du parti, est pressenti pour cette candidature, mais pourrait se retrouver face à Jean-Louis Billon, ancien ministre du Commerce, qui a déjà annoncé sa propre ambition. De son côté, Pascal Affi N’Guessan, ancien Premier ministre, a été investi par le Front populaire ivoirien (FPI).

Quatre boissons naturelles pour trouver le sommeil

Vous appréhendez la nuit ? Vous angoissez à l’idée d’aller dormir ? Trouver le sommeil peut parfois s’avérer très pénible, autant que les cernes à affronter le matin. Pour vous soutenir dans cette quête de repos nocturne, voici quelques exemples de boissons naturelles, à aborder comme de potentiels remèdes.

Avant tout, sachez que stress et sommeil vont rarement ensemble. Il existe bon nombre de méthodes de relaxation pour calmer votre état anxieux avant le coucher. La méditation ou le yoga en font notamment partie. La technique du rituel permet également de détendre vos tensions et fonctionne comme une véritable alarme interne indiquant à votre cerveau que le sommeil vous guette. Instaurer des habitudes telles que la relaxation par la méditation (la musique, l’hypnose,…) ainsi que la boisson chaude, aidera à prévenir votre organisme qu’il est temps de se mettre en pause. De plus, certaines substances peuvent être ingérées de façon à stimuler votre production de sérotonine et de mélatonine. Ces hormones occupent un rôle essentiel dans la régulation de votre sommeil. De ce fait, les boissons contenant des minéraux, du tryptophane, des herbes thérapeutiques, sont à privilégier.

La passiflore en infusion

Découverte au 17ème siècle en Amérique du Sud, la passiflore est devenue la plante la plus célèbre pour combattre l’anxiété et améliorer la qualité du sommeil. Contenant des flavonoïdes, reconnus pour leur effet relaxant, cette plante est considérée comme le traitement naturel s’apparentant le plus aux anxiolytiques. La passiflore influence également le sommeil en induisant une action sédative, en n’engendrant aucun effet secondaire et en ne provoquant aucune accoutumance. Une bonne tisane est recommandée en cas d’insomnies ponctuelles.

La camomille en infusion

La camomille romaine utilisée généralement pour la préparation de tisanes, est une plante aux propriétés anti-oxydante et anti-inflammatoire. Elle aide à apaiser les contractions musculaires de l’appareil digestif mais aussi de l’utérus. Apportant un confort à ceux qui souffrent de brûlures d’estomac, la camomille promet de ne pas interrompre la nuit d’épisodes douloureux. Renfermant un antioxydant qui agit sur le cerveau, cette plante combat les insomnies et aide à trouver le sommeil. L’extrait de camomille “favorise la détente et peut réduire l’anxiété” précise la RTBF.

Le lait chaud

Il ne s’agit pas d’un mythe, les boissons chaudes, à condition de bien les choisir, sont conseillées pour bien dormir. La chaleur fait transpirer et fait donc baisser la température corporelle. Ce phénomène physiologique arrive naturellement à partir de 17h et c’est à son stade avancé que le sommeil apparaît. La chaleur ne fait que renforcer le mécanisme. Le lait quant à lui, grâce à sa richesse en tryptophane aide à l’endormissement. En effet, « le tryptophane est un précurseur métabolique du neurotransmetteur sérotonine » indique le site Passeportsante. Et comme cité précédemment, la sérotonine participe à la régulation du sommeil (mais aussi de l’anxiété et de l’appétit). Il serait donc bon de boire du lait chaud si l’insomnie vous surprend.

La racine de valériane en infusion

Déjà en Grèce Antique, les médecins conseillaient la valériane pour traiter les troubles du sommeil. Durant la première guerre mondiale, cette plante était également utilisée pour soulager la nervosité ambiante causée par les bombardements. Aujourd’hui, elle occupe toujours une place importante dans la vie des gens qui peinent à calmer leur agitation et qui sont victimes régulières d’insomnies. La racine de valériane en infusion permettrait aussi de soulager les femmes ménopausées en leur offrant une meilleure qualité de sommeil.

Pour conclure, notez qu’il est fortement déconseillé de boire du café après 14h, de consommer de l’alcool le soir et de manger ou boire une heure avant d’aller au lit. Vous n’aurez certainement pas envie d’être dérangé par des envies de pipi en pleine nuit, des brûlures d’estomac ou d’interrompre des stades profonds de votre sommeil.

Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur annonce un préavis de grève pour…

Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) va déposer un préavis de grève dès lundi, pour exiger les respect, de la part de l’Etat, des engagements pris pour reverser la moitié de la pension de réversion des enseignants décédés aux veufs et veuves, a déclaré, samedi, à Ziguinchor (sud), son secrétaire général national, David Célestin Faye.

« Depuis 2020, nous attendons que le gouvernement applique la loi disposant que la moitié de la pension de réversion doit être reversée aux veufs et veuves des enseignants. Un protocole d’accord a été signé en 2023, mais malgré son adoption en Conseil des ministres en février 2024, nous attendons toujours son décret d’application », a dénoncé David Célestin Faye, annonçant dans la foulée le dépôt »d’un préavis de grève, dès lundi pour exiger du gouvernement le respect de ce protocole d’accord ».

Le secrétaire général national du SAES était à Ziguinchor dans le cadre d’une tournée entamée depuis lundi dernier dans les universités du pays pour sensibiliser leurs militants à la base sur les problèmes de l’enseignement supérieur, dont notamment la question relative à la pension de réversion des veufs et veuves des enseignants décédés.

« Le SAES a accepté de cotiser davantage pour une meilleure retraite de ses membres. Et le code des pensions dit que quand un enseignant décède, on doit reverser la moitié de la pension aux ayants droit. Depuis 2020, nous attendons que cette loi soit respectée. Et depuis 2023, nous avons signé un protocole d’accord qui devrait être matérialisé. Et voilà plus de quarante semaines, nous attendons à ce que le gouvernement daigne sortir ce décret qui a été examiné et adopté en Conseil des ministres », a-t-il encore relevé.

« Depuis lors, nous attendons, nous allons déposer finalement un préavis de grève dès ce lundi pour que la justice soit rétablie pour les veufs et veuves des enseignants décédés », a-t-il annoncé.

David Célestin Faye a précisé que le SAES a interpelé plusieurs fois les autorités étatiques sur la nécessité d’apaiser le système en veillant au respect de ce droit que la loi leur confère.

« Tout a été fait. Et , malheureusement nous n’avons pas été entendus . À chaque fois il y avait des dilatoires . Le SAES a atteint ses limites. Et nous allons dès ce lundi déposer un préavis de grève et ensuite entamée la lutte », a-t-il encore souligné.

Selon lui, le SAES » a fait tout ce qu’il fallait ». »Il appartient donc, à l’État de prendre ses responsabilités et de reverser ces pensions puisque nous avons cotisé plus. Cette question est non négociable », a-t-il martelé, informant que le SAES a tenu 21 rencontres avec le gouvernement sur cette question.

«En centralisant la validation des dépenses d’investissement, Sonko parasite les…» (TRIBUNE)

En décidant de centraliser la validation des dépenses d’investissement, Ousmane Sonko parasite les missions qui sont dévolues au ministre des Finances. De plus, valider des dépenses revient logiquement à les moduler ou à les prioriser, alors qu’on nous a toujours vendu la vieille lune d’un budget sincère.

Pourquoi valider des dépenses d’investissements si la «sincérité» de ton budget garantit déjà des «ressources suffisantes et bien estimées conformément aux dépenses d’investissement bien mûries, bien évaluées et à fort impact», comme cela a été pompeusement énoncé dans la loi de Finances

N’est-ce pas toi, Ousmane, qui avais engagé la responsabilité de ton gouvernement en nous affirmant à la page 18 de la LFI 2025 que : «La programmation des dépenses d’investissement accorde la priorité à celles qui sont alignées sur les nouvelles orientations politiques, qui contribuent à ses objectifs et qui ont un contenu élevé en matière de formation brute de capital fixe, afin de renforcer le stock d’immobilisations nécessaires à la réalisation des objectifs fixés par l’Agenda» ?

N’est-ce pas toi qui nous avez informé avoir supprimé tous les projets sans lien avec le «Projet» ? Donc, Koromack, vous avez déjà validé toutes les dépenses d’investissement que vous avez vous même programmé dans le budget ! Si tes estimations de ressources budgétaires sont vraiment sincères, laisse tes ministres dérouler sous la supervision du ministre en charge du Budget.

Je tiens également à t’informer que nous sommes dans la phase de mise en œuvre de la transposition des directives du cadre harmonisé des finances publiques au sein de l’UEMOA, qui consacre l’ère du budget programme et de la gestion axée sur les résultats, avec une responsabilisation accrue des responsables de programme qui héritent ainsi de la fonction d’ordonnateur des dépenses.

En centralisant la validation des dépenses d’investissement, tu risques de nuire à l’efficacité des gestionnaires de programmes, de freiner la décentralisation des responsabilités, de réduire la flexibilité et l’adaptabilité nécessaires dans un système axé sur les résultats, et d’alourdir ainsi la bureaucratie.

Le rôle des responsables de programme serait donc limité, ce qui pourrait diminuer leur responsabilité dans l’atteinte des objectifs. Avec cette decision, il ne serait plus nécessaire de signer des contrats de performance avec eux; désormais, l’État devrait se contenter d’en signer avec Ousmane Sonko, alpha et oméga de l’investissement de l’État.

Benzema dément les rumeurs de retraite en fin de saison

Récemment, des rumeurs ont circulé selon lesquelles l’attaquant de 37 ans d’Al-Ittihad, Karim Benzema, envisageait de prendre sa retraite du football à la fin de cette saison.

Lorsqu’on lui a demandé la véracité de cette information, le Français a répondu :”Non, non. Cela vient de la bouche de quelqu’un d’inconnu. N’importe quoi. Je n’ai aucune restriction qui m’empêche de dire que dans deux, trois ou quatre ans, je vais arrêter de jouer au football. Dieu merci, je me sens bien. Mon corps va bien. Je me prépare correctement, et nous verrons comment je me sens chaque année,” a déclaré Benzema à Marca. Il convient de noter que le contrat de Karim avec Al-Ittihad court jusqu’à l’été 2026. Cette saison, il a disputé 12 matchs pour l’équipe, inscrivant 12 buts et fournissant 3 passes décisives.

Incendies à Los Angeles : le bilan est désormais de 16 morts, les feux continuent de s’étendre en Californie

Les multiples incendies qui font rage à Los Angeles depuis cinq jours ont fait au moins 16 morts, et se sont étendus samedi à des zones jusqu’à présent épargnées. Assiégée par les flammes depuis mardi, la mégapole américaine continue de compter ses morts : le bilan, qui faisait jusqu’ici état de 11 victimes, s’est alourdi samedi soir.

C’est juste bouleversant“, a confié à l’AFP Dara Danton, une habitante du quartier huppé de Pacific Palisades, le premier à avoir pris feu mardi. “Tous nos amis, mes meilleurs amis, ont perdu leur maison, et nous aussi“, soupire-t-elle en regardant tristement son mari. Le couple, qui vivait là depuis 25 ans, fait partie des plus de 150.000 personnes forcées de fuir face aux flammes de la région.

Le “Palisades Fire” s’est étendu samedi au nord-ouest de Los Angeles, malgré les efforts de milliers de pompiers à pied d’oeuvre. Il menace désormais la vallée densément peuplée de San Fernando, mais aussi le musée Getty et ses oeuvres d’art inestimables. Les soldats du feu ont bénéficié d’une accalmie des vents ces trois derniers jours. Mais les rafales doivent de nouveau forcir ce week-end“Ces vents, combinés à un air sec et à une végétation sèche, maintiendront la menace d’incendie dans le comté de Los Angeles à un niveau élevé“, a averti Anthony Marrone, le chef des pompiers du comté.

Les critiques des autorités émergent

Les bouchons légendaires de la Cité des Anges ont disparu. Les habitants qui s’aventurent dehors portent souvent des masques, pour se protéger de l’air vicié par les fumées toxiques. Los Angeles retrouve des scènes qu’elle n’avait plus vécues depuis la pandémie. De nombreux habitants commencent à questionner la gestion des autorités, car les pompiers ont parfois dû composer avec des bouches d’incendie vides ou avec une faible pression.

Samedi, la maire de Los Angeles, Karen Bass, par ailleurs très critiquée, a assuré que ses services sont “tous sur la même longueur d’ondes“. La cheffe des pompiers de la ville avait pointé, la veille, le budget insuffisant alloué par la municipalité aux soldats du feu. Et le gouverneur démocrate de l’État le plus peuplé du pays, Gavin Newsom, a demandé vendredi “un examen indépendant complet” des services de distribution d’eau de la ville.

Les personnes évacuées ont du mal à se reloger avec, dans certains cas, une hausse vertigineuse des tarifs des locations. Samedi, le procureur général de l’État, a rappelé que le gonflement artificiel des prix est un “crime passible d’un an de prison et de 10.000 dollars d’amende“.

Mise en place d’un couvre-feu strict

Afin de limiter les pillages dans les zones sinistrées ou évacuées, un couvre-feu a été décrété vendredi par les autorités dans les secteurs de Pacific Palisades et Altadena, les plus ravagés. Il est en vigueur entre 18h et 6h du matin. De quoi frustrer certains habitants, déjà échaudés par certaines alertes d’évacuation envoyées par erreur sur les smartphones de milliers de personnes. Des barrages ont également été mis en place.

Jusqu’ici, le feu a détruit ou endommagé plus de “12.000” structures. Un chiffre qui inclut des bâtiments, mais aussi des voitures, ont précisé samedi les autorités. La facture devrait se chiffrer en dizaines de milliards de dollars, et certains experts redoutent déjà que ces incendies soient les plus coûteux jamais enregistrés.

Des secouristes assistés de chiens renifleurs

Le bilan pourrait encore s’alourdir, selon les autorités. Des secouristes assistés de chiens renifleurs continuent d’inspecter les décombres à la recherche de corps ou de restes humains. Le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, a rappelé samedi que l’enquête pour déterminer les causes de ces multiples incendies, à laquelle participe le FBI, est toujours en cours. “Nous ne négligerons aucune piste“, a-t-il assuré. “S’il s’agit d’un acte criminel – je ne dis pas que c’est le cas -, (…) nous devons mettre la main sur le ou les responsables.”

Les vents chauds et secs de Santa Ana qui ont attisé ces incendies sont un classique des automnes et des hivers californiens. Mais ils ont atteint cette fois une intensité inédite depuis 2011, selon les météorologues, avec des rafales jusqu’à 160 km/h cette semaine. De quoi propager les braises très rapidement, parfois sur des kilomètres.

C’est un scénario cauchemardesque pour les pompiers, car la Californie sort de deux années très pluvieuses qui ont permis la croissance d’une végétation luxuriante, désormais asséchée par un manque de pluie criant depuis huit mois. Les scientifiques rappellent régulièrement que le changement climatique augmente la fréquence des événements météorologiques extrêmes.

Cedeao, Cemac, Uemoa et Aes : dix (10) interrogations

Suivant la littérature, l’Afrique comprend cinq (05) parties avec un nombre de pays décroissants : Afrique orientale (Afrique de l’Est), Afrique occidentale (Afrique de l’Ouest), Afrique centrale (Afrique du Centre), Afrique septentrionale (Afrique du Nord) et Afrique australe (pays au Sud de l’Afrique dénommés par certains Afrique méridionale). La Cedeao (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest), l’Uemoa (Union économique et monétaire ouest-africaine) et l’Aes (Alliance des Etats du Sahel composée du Burkina Faso, du Mali et du Niger) sont en Afrique de l’Ouest. La Cemac (Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale) se trouve en Afrique centrale.

1. Aperçu sur la Cedeao
Suivant son site (https://www.ecowas.int/ consulté le 23/12/2024), la Cedeao a des objectifs, des principes fondamentaux, une vision :
Objectifs
1. L’harmonisation et la coordination des politiques nationales et la promotion de programmes, de projets et d’activités, notamment dans les domaines de l’agriculture et des ressources naturelles, de l’industrie, des transports et communications, de l’énergie, du commerce, de la monnaie et des finances, de la fiscalité, des réformes économiques, des ressources humaines, de l’éducation, de l’information, de la culture, de la science, de la technologie, des services, de la santé, du tourisme, de la justice.
2. L’harmonisation et la coordination des politiques en vue de la protection de l’environnement.
3. La promotion de la création d’entreprises conjointes de production.
4. La création d’un marché commun, à travers :
5. La libéralisation des échanges par l’élimination entre les Etats membres, des droits de douane à l’importation et à l’exportation des marchandises et l’abolition entre les Etats membres, des barrières non tarifaires en vue de la création d’une zone de libre-échange au sein de la Communauté.
6. L’établissement d’un tarif extérieur commun et d’une politique commerciale commune à l’égard des pays tiers.
7. La suppression entre les Etats membres des obstacles à la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux ainsi qu’aux droits de résidence et d’établissement.
8. La création d’une union économique par l’adoption de politiques communes dans les domaines de l’économie, des finances, des affaires sociales et culturelles et la création d’une union monétaire.
9. La promotion d’entreprises communes par les organisations du secteur privé et les autres opérateurs économiques, notamment avec la conclusion d’un accord régional sur les investissements transfrontaliers.
10. L’adoption de mesures visant à promouvoir l’intégration du secteur privé, notamment la création d’un environnement propre à promouvoir les petites et moyennes entreprises.
11. L’instauration d’un environnement juridique propice.
12. L’harmonisation des codes nationaux des investissements aboutissant à l’adoption d’un code communautaire unique des investissements.
13. L’harmonisation des normes et mesures.
14. La promotion d’un développement équilibré de la région en accordant une attention aux problèmes spécifiques de chaque Etat membre, notamment à ceux des Etats membres sans littoral et des Etats membres insulaires.
15. La promotion et le renforcement des relations et de la circulation de l’information, en particulier entre les populations rurales, les organisations de femmes et de jeunes, les organisations socioprofessionnelles telles que les associations des médias, d’hommes et femmes d’affaires, de travailleurs, de jeunes et de syndicats.
16. L’adoption d’une politique communautaire en matière de population qui prenne en compte la nécessité d’établir un équilibre entre les facteurs démographiques et le développement socioéconomique.
17. La création d’un fonds de coopération, de compensation et de développement.
18. Toutes autres activités que les Etats membres peuvent décider d’entreprendre conjoitement à tout moment en vue d’atteindre les objectifs de la Communauté.
Principes fondamentaux
1. Egalité et interdépendance des Etats membres.
2. Solidarité et autosuffisance collective.
3. Coopération inter-Etats, harmonisation des politiques et intégration des programmes.
4. Non-agression entre les Etats membres.
5. Maintien de la paix, de la sécurité et de la stabilité régionales par la promotion et le renforcement des relations de bon voisinage.
6. Règlement pacifique des différends entre les Etats membres, coopération active entre pays voisins et promotion d’un environnement pacifique comme préalable au développement économique.
7. Respect, promotion et protection des droits de l’Homme et des peuples conformément aux dispositions de la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples.
8. Transparence, justice économique et sociale, et participation populaire au développement.
9. Reconnaissance et respect des règles et principes juridiques de la Communauté.
10.Promotion et consolidation d’un système démocratique de gouvernement dans chaque Etat membre tel que prévu par la Déclaration de principes politiques adoptée le 6 juillet 1991 à Abuja.
11. Répartition juste et équitable des coûts et des avantages de la coopération et de l’intégration économiques.
Vision
*Une région sans frontières où les populations ont accès aux abondantes ressources et sont en mesure de les exploiter grâce à la création d’opportunités dans un environnement durable. *Une région intégrée où la population jouit de la libre circulation, a accès à des systèmes d’éducation et de santé efficaces, peut se livrer à des activités économiques et commerciales et vit dans la dignité, dans un environnement de paix et de sécurité.
*Une région gouvernée selon les principes de la démocratie, de l’Etat de Droit et de la bonne gouvernance.
2. Aperçu sur la Zone Franc Cfa, la Cemac, l’Uemoa et l’Aes
2.1. Zone Franc Cfa, Cemac, Uemoa et Aes
Dans cette présente, la zone Franc CFA est composée de 14 pays membres de la Cedeao et de la Cemac : huit (08) de la Cedeao (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo qui constituent l’Uemoa) et six (06) de la Cemac (Cameroun, Gabon, Guinée équatoriale, République centrafricaine, République du Congo et Tchad).
Sur les huit pays de l’Uemoa (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal), les Etats de l’Aes représentent les 3/8, soit environ 40%.
2.2. Aes
Comme d’autres pays membres, entre autres, de la Cedeao, de la Zone Franc Cfa ou du Cemac, les Etats de l’Aes font face à des groupes ou des blocs ou des structures armés depuis de nombreuses années, de trop nombreuses années. Pour un Etat souverain, la sécurité, la paix avant tout. Dans un monde globalisé devenu un village planétaire, la sécurité et la paix sont indispensables pour chaque habitant de ce village commun.
3. Dix (10) interrogations
Au vu de tout ce qui précède, si le retrait de l’Aes de la Cedeao était effectif :
-quels impacts aurait ce retrait sur la lutte contre le terrorisme, contre l’insécurité dans le Sahel, en Afrique de l’Ouest, en Afrique ?
-dans une partie d’un village planétaire, des accords, par exemple, de lutte contre l’insécurité, contre le terrorisme ne seraient-ils pas possibles avec la Cedeao qui a un bras armé, les «Casques Blancs» ou «soldats de la Cedeao», l’Ecomog, créée en 1990, devenue Fac (Force en attente de la Cedeao) en 2004 et elle est composée de militaires, policiers et civils ?
-des accords de coopération poussée ne devraient-ils pas exister entre la Cedeao et l’Aes vu que les trois (3) Etats de l’Aes sont des membres fondateurs de la Cedeao qui va fêter ses cinquante (50) ans le 27 mai 2025 ?
– quels impacts aurait ce retrait sur la migration régulière sous régionale ?
– quels impacts aurait ce retrait sur la migration irrégulière sous régionale ?
-quels impacts économiques aurait ce retrait sur la zone Franc Cfa, surtout sur l’Uemoa (8 pays), si ces trois (3) pays avaient leur propre monnaie, sur une future monnaie unique ou commune ?
-quels impacts aurait ce retrait sur la lutte contre les changements climatiques vu que les gaz à effet de serre ont besoin d’actions synergiques individuelles et communautaires ?
-quels impacts sanitaires aurait ce retrait vu que les maladies transfrontières transcendent les pays ?
– quels impacts aurait ce retrait sur les gouvernés de proximité ou non de l’Afrique dont la majorité de la population est composée de jeunes et de femmes ?
– last but not the least, comme l’Otan, l’Union africaine (Ua) ne devrait-elle pas avoir une force militaire de protection, de prévention, de sécurisation ou sûreté pour le bien de tous ses Etats membres, de la population africaine ? Ceci parce que, entre autres, l’Afrique est le deuxième (2ème) continent le plus peuplé du monde. Selon l’Onu, tel que montré dans le rapport d’information n°104 du Sénat français du 29 octobre 2013, en 2050, l’Afrique sera plus peuplée que la Chine. Pour le Pnud, l’Afrique est la région du monde qui compte le plus de jeunes individus, avec un âge médian de 19,4 ans, contre 29,6 ans au niveau mondial et en 2100 sa population sera de 4,39 milliards habitants. La jeunesse est une force et elle est l’avenir d’un pays, d’une communauté, d’un continent, du monde.
Que 2025 soit une année de sécurité et de paix en Afrique et dans le monde village planétaire !
Assane SECK (Seckane)
Retraité. Ingénieur
seckassane66@gmail.com .

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention