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Des indispensables pour soulager les coups de soleil

Les Rougeurs, peau qui chauffe, tiraillements… Comment apaiser les dégâts liés aux UV ?

À faire

  • se mettre immédiatement à l’ombre pour éviter d’aggraver la brûlure ;
  • appliquer des soins après-soleil apaisants contenant de l’aloe vera ou du panthénol ;
  • boire beaucoup d’eau pour réhydrater l’organisme et soutenir la régénération de la peau.

À éviter

  • exposer la ou les zones touchées tant que la peau n’est pas totalement réparée ;
  • appliquer des corps gras (beurre, huile, etc.) qui empêchent la chaleur de s’évacuer ;
  • gratter ou retirer les peaux mortes en cas de desquamation car cela ralentit la cicatrisation.

Ces petits commerces qui font vivre de grandes familles

Au cœur de l’effervescence dakaroise, sur les trottoirs animés de Diamalaye, des femmes se battent, chaque jour, pour assurer la subsistance de leur famille. Entre le parfum des cacahuètes fraîchement grillées et l’odeur iodée de l’océan, elles déploient une énergie inépuisable, transformant les défis quotidiens en autant d’opportunités pour prouver leur résilience. Leurs petits commerces, bien que précaires, sont le pilier d’une dignité farouchement défendue, le symbole d’une survie.

Anta Diop, 35 ans, vient d’enfouir, après saumurage et séchage, des graines d’arachide dans une poêle remplie de sable chaud et posée sur des braises. Il est 17 heures. La mère de famille a installé son étal à la sauvette sur le trottoir jouxtant le supermarché Auchan de Diamalaye. Écumoire à la main droite, elle tourne et retourne le sable avec dextérité afin, dit-elle, de donner une texture uniforme aux graines. « Je ne voudrais pas cramer les graines, au risque d’en perdre une bonne quantité. Je dois être vigilante pour avoir, à la fin, des cacahuètes croquantes », explique-t-elle, le faciès enveloppé par une fumée noire suffocante. Peu à peu, l’odeur terreuse des cacahuètes commence à titiller les narines. Les graines, bien grillées, sont extraites de la poêle par le truchement d’un tamis, avant d’être ensachées une fois refroidies. L’histoire de cette femme, dont le commerce est certes petit, mais nourrit une grande famille, est quelque peu atypique. « Je suis mère de cinq enfants dont la subsistance dépend de la sueur de mon front », lance-t-elle. Empoignée par le destin et se remémorant le décès, en 2018, de son mari, Anta s’est muée en mère de famille « gorgorlu ». Elle a refusé, depuis toujours, de tendre la main, synonyme de camouflet social. Ainsi, elle enchaîna plusieurs petits métiers. « Lavandière, femme de ménage, j’ai quasiment tout fait », raconte la mère de famille, avant de trouver un point de chute dans ce métier qui, bien que modeste, lui permet de ne pas gagner assez, mais suffisant pour honorer les trois repas quotidiens. « Mes revenus ne sont pas fixes. Il est difficile de prédire la somme que l’on va gagner à la fin de la journée », explique Anta Diop. Toutefois, assure-t-elle, ses revenus journaliers peuvent varier entre 2000 et 3000 FCfa, mais elle espère tout de même faire prospérer davantage son business. « Si je parviens à faire des économies considérables, je vais, peut-être, ouvrir une boutique. Je vais y exposer d’autres produits plus chers », souhaite la mère de famille, d’une voix teintée d’espoir.

Une lutte quotidienne pour la vendeuse d’eau

Il est 19 heures au moment où nous prenons congé d’Anta. Le soleil commence à disparaître derrière les habitations de Diamalaye. L’air chargé d’embruns marins adoucit la température, tandis que des bouchons commencent à se former au niveau du rond-point. Une silhouette filiforme slalome, gesticule et se faufile entre les véhicules, un seau d’eau sur la tête. Tout comme Anta, cette autre mère de famille tente tant bien que mal d’écouler sa marchandise avant le crépuscule qui se dessine à l’horizon. La mine peu joviale, qui frise une amertume mal dissimulée, Leïla Ndoye semble être lasse. « Je n’ai pas vendu beaucoup de sachets d’eau. C’est exaspérant de savoir qu’on a des bouches à nourrir alors que l’activité ne marche pas bien », fulmine-t-elle. À la différence d’Anta, Leïla vit avec son mari aux Parcelles assainies. Mais, explique-t-elle, les revenus de son époux ne permettent pas de couvrir toutes les dépenses. Loin d’être une flemmarde, elle a choisi de mettre la main à la pâte, sous peine de voir sa famille s’enliser davantage dans la paupérisation. « Il fallait que j’aide mon mari pour assurer les besoins de la famille. Et je me suis tout de suite lancée dans ce business. Dieu merci, je me réjouis des modestes sommes que je gagne. Je peux avoir entre 1500 et 4000 FCfa », explique Leïla, sans préciser le nombre de ses enfants. « En tout cas, j’ai une grande famille à nourrir », ajoute-t-elle.

Un sacrifice pour le foyer

Plus loin, sur cette voie menant directement à la plage, une autre vendeuse, l’étal clairsemé, se dispute le trottoir avec les passants. Sofia Camara a laissé sa famille au village. Elle a fait le choix difficile de quitter ses parents âgés et ses jeunes frères et sœurs pour venir chercher, dans la capitale, un travail qui pourrait leur assurer une vie meilleure. Cette séparation est un sacrifice quotidien, une douleur sourde qu’elle porte en elle, mais elle est nécessaire. « Ce travail, c’est ce qui me permet de subvenir aux besoins de ma famille », précise Sofia d’une voix douce mais ferme. Habituée à la vente de fruits saisonniers qu’elle achète auprès des grossistes pour en tirer profit, cette jeune femme incarne l’esprit du « gorgorlu ». Ainsi, chaque pièce qu’elle gagne est mise de côté, une partie infime étant conservée pour ses propres besoins et le reste envoyé aussitôt au village. Cependant, l’abondance du fruit saisonnier, actuellement la mangue, réduit drastiquement ses revenus. La morosité se lit sur son visage buriné. « Le prix du kilogramme varie entre 500 FCfa et 1000. Je suis obligée d’envoyer une bonne partie des recettes au village », explique la vendeuse, précisant que cela varie entre 30 000 et 50 000 FCfa chaque fin du mois. De ces destins croisés sur les trottoirs de Diamalaye émane une force inébranlable. Anta, Leïla et Sofia, chacune à sa manière, incarnent la résilience et l’ingéniosité face à la conjoncture. Leurs petits commerces, fruit d’un labeur acharné et d’un esprit de sacrifice immense, sont bien plus que de simples gagne-pain ; elles sont le pilier de familles entières, le moteur d’une dignité farouchement défendue. Alors que le crépuscule enveloppe Dakar, ces femmes continuent de se battre, leurs espoirs et rêves tissés dans la trame de chaque transaction, de chaque effort renouvelé, prouvant que même les plus modestes des commerces peuvent nourrir de grandes familles.

Confidence de Mame Khar: “Sama dieukeur daf ma bolé ak kharitam pour mou may teudé”

Expliquant les raisons qui l’ont conduit à commettre l’adultère, Mame Khar dira qu’elle a épousé un homme «merveilleux», l’homme qu’elle a aimé pour choisir de cheminer avec lui. Un mariage en grande pompe a officialisé leur auréole. Et, paf! Quelques jours après leur mariage suivie d’une inoubliable lune de miel, Monsieur, « pourtant un étalon », tombe en panne.

Elle révélera (la voix changée bien évidemment par la RFM) que malgré toutes ses astuces bien féminines qui feront bander plus d’un, le « bijou » de Monsieur affiche une indifférence atone. Le désir de Mame Khar n’embrase plus celui de son mari.

Nonobstant sa défaillante érectibilité, Mame Khar préfère rester dans son foyer. Elle veut rassurer de son amour et de sa bonne foi à son mari. Mame Khar souffre en silence. Sa belle assurance féminine se fissure, des peurs, notamment du «qu’en-dira-t-on» se raniment.

Elle se remémore sans cesse d’intenses moments vécus avec son homme.

A l’en croire, son homme l’a piégé avec son ami et confident. Et, comment? « Il arrivait qu’il voyage des jours durant et son ami profitait de son absence pour fréquenter des heures durant ma maison, je dirais ma chambre à coucher. Ce qui devait arriver arriva. En me consolant au jour le jour, j’ai fini par céder à ses attraits » confie la dame. Qui a eu deux enfants avec l’ami à son mari.

Mame Khar se dit persuadée que c’est son mari qui l’a indirectement mais subtilement poussé vers son ami avec lequel il gère ses affaires. Et, comment? «Il faisait semblant, réplique-t-elle, de voyager et d’y durer. C’est une manière de laisser le champ libre à son ami». Qui a donc labouré, avant d’en récolter deux bouts de bois de Dieu.

XESSAL – LE GLUTATHION EST UTILISE POUR LE PARKINSON OU L’ALZHEIMER

«Le glutathion est un médicament qui se vend en pharmacie et personne n’a le droit de le vendre en dehors de l’officine. Sinon, cela s’appelle les médicaments de la rue. C’est un produit qu’on utilise pour les maladies neurodégénératives comme le Parkinson, l’Alzheimer. C’est une injection pour soigner le patient. Mais quand on l’injecte à un patient, il y a un effet secondaire puisque ça rend claire la peau du malade. C’est pourquoi je dis que ce sont des produits qui ne se vendent pas n’importe où, encore moins qu’on injecte à une personne qui n’est pas atteinte de ces maladies précitées. Parce que ce produit n’est pas purifié pour le sang. Ensuite, il y a un protocole pour le prendre. On ne peut pas l’injecter chaque jour encore moins tous les deux jours. Parce qu’il peut provoquer plusieurs complications. Quand la peau s’éclaircit, alors que vous êtes en Afrique, il y a le soleil et cela peut provoquer le cancer de la peau. C’est pourquoi le taux du cancer de la peau est très élevé sur le continent, notamment au Sénégal. C’est aussi le cas chez des Européens qui sont en Australie qui a le même climat que Sénégal. Du coup, la première cause de maladie en Australie c’est le mélano, c’est-à-dire le cancer de la peau et c’est ce qu’on a commencé à avoir au Sénégal. Il faut éviter les produits éclaircissants au maximum».

«Ceux qui prescrivent le glutathion ne sont ni des infirmiers, ni des médecins»

«Le constat est là. On le trouve sur le marché parallèle, dans la rue. Il y’en a même qui, à visage découvert, le vendent sur Facebook, Tik-tok, Instagram à des prix variant entre 50 000 FCFA et 200 000 FCFA. Or, ces personnes-là ne sont ni des infirmiers, ni des des médecins ou des professionnels de la santé en général. Le jour où vous aurez une complication, elles fuient leurs responsabilités. Nous, en tant que médecins, si nous faisons un acte médical, nous assumons totalement toute notre responsabilité».

«Nous ne connaissons aucun médecin qui injecte le glutathion à une personne»

«Par rapport à l’injection du glutathion pour le xessal, nous dermatologues du Sénégal, jusqu’au jour d’aujourd’hui, nous ne connaissons aucun dermatologue ou médecin qui injecte le glutathion à une personne. Je ne l’imagine d’ailleurs pas un seul instant. Personnellement je ne prescris ce médicament à personne. Et 99,9% des dermatologues que je connais idem. Parce que nous sommes contre l’éclaircissement volontaire. Nous sommes d’ailleurs en train de nous battre, dans le cadre d’une association qui s’appelle Association internationale d’information sur la dépigmentation artificielle (Aida) contre ce fléau. Parce que nous sommes fatigués dans nos consultations de voir les complications que la dépigmentation engendre dans ce pays. Or, notre rôle c’est de soigner les problèmes de dermatologie et non les complications de la dépigmentation».

«L’injection du corticoïde aux fesses peut donner l’obésité, le diabète ou l’hypertension»

«S’agissant du corticoïde, c’est aussi un médicament qu’on ne peut avoir que dans une pharmacie. C’est un excellent médicament pour soigner plusieurs maladies. Par exemple, les cas de Covid extrême, les maladies comme le lupus ou arthrose. Par ailleurs, contrairement à une idée répandue, quand on vous injecte tous les jours ou toutes les semaines ou encore tous les mois le corticoïde au niveau des fesses, cela ne les fait pas grossir. Mais ça cause de l’obésité et au bout de quelques semaines, vous aurez le diabète, l’hypertension partielle, des vergetures, des difficultés à la cicatrisation, un faible poids de naissance. C’est vrai que vous aurez la peau très claire, mais est-ce que ça vaut la peine de se retrouver avec autant de maladies. La réponse est non»

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