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Les enseignants libéraux dressent un constat alarmant sur la situation socio-économique du pays et appellent à une reconquête politique sous la bannière du PDS

Réunis en forum à la permanence nationale Oumar Lamine Badji, les enseignants de la Fédération Nationale des Enseignants Libéraux (FNEL) ont dressé un constat alarmant sur la situation socio-économique du pays et réaffirmé leur engagement pour une reconquête du pouvoir par le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), sous la direction de Karim Wade  .

 

Un bilan gouvernemental jugé décevant

La FNEL note que, malgré les espoirs suscités par l’élection du Président Bassirou Diomaye Faye, la situation du pays reste marquée par une crise persistante. Parmi les problèmes soulevés figurent le chômage des jeunes, l’augmentation de l’émigration clandestine, ainsi que la stagnation des investissements. La fédération déplore aussi une inflation galopante, aggravée par la flambée des prix des produits de base et la suppression annoncée des subventions sur l’électricité et les hydrocarbures indique emedia .

Sur le plan des libertés, la FNEL dénonce des arrestations arbitraires de journalistes et d’opposants politiques ainsi qu’une justice à « deux vitesses » qui compromet l’état de droit.

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Des revendications claires

Face à cette situation, la FNEL exige du gouvernement le respect de ses engagements, notamment la baisse du coût de la vie, la création d’emplois décents pour les jeunes et la protection du secteur privé national. Elle réclame également une gouvernance transparente, un respect strict de la séparation des pouvoirs et l’application des accords syndicaux en souffrance.

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Mobilisation pour un retour du PDS

Affirmant son attachement aux valeurs du libéralisme, la FNEL appelle ses membres à renforcer leur implication au sein du PDS en préparation des prochaines batailles électorales. Elle exhorte le gouvernement à organiser des assises nationales pour relancer l’économie et repositionner le pays sur la voie du développement.

Enfin, les enseignants libéraux placent la communication au cœur de leur stratégie pour sensibiliser l’opinion publique et favoriser le retour au pouvoir du PDS sous la conduite de Karim Wade, qu’ils considèrent comme la « seule alternative crédible » pour restaurer les valeurs démocratiques et le progrès social au Sénégal.

Immigration clandestine : Le maire de Dionwar arrêté

Le maire de Dionwar, Lassana Sarr est  arrêté hier , il est actuellement en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Foundiougne . Il est suspecté d’implication dans l’organisation d’un voyage de migrants clandestins dont une pirogue a été interceptée à Bassar, dans la commune de Bassoul. L’enquête suit son cours afin de déterminer les responsabilités dans cette affaire. Sur les 241 migrants interpellés, 111 Sénégalais ont été libérés. Une procédure est en cours pour permettre la libération des ressortissants d’autres nationalités.

Me Oumar Youm corrige Birame souley Diop et menace : « Ne me pousse pas à parler …»

Quelques règles de bienséance à l’attention du ministre Birame Souley Diop
Votre réponse maladroite est l’aveu d’une duplicité abjecte entre l’Exécutif dont vous êtes membre et le Législatif porteur de cette hideuse loi d’« interprétation », qui n’est rien d’autre qu’un recel pur et simple de malfaiteurs.
En effet, à travers cette proposition de loi interprétative vous n’avez qu’un seul objectif : mettre sciemment à l’abri de toutes poursuites les auteurs d’infractions délictuelles et criminelles de votre camp.
Dans la même inconséquence, vous essayez de leur apporter une « assistance » en régularisant, indûment, une « réparation », le motif principal de la proposition de loi.
En effet, il est dit dans la proposition de loi que « la présente loi ne préjudicie ni aux droits des tiers ni aux droits des victimes à une réparation ».
Aviez-vous besoin d’ajouter ce droit « à la réparation des victimes» dans la proposition de loi interprétative?
Qui sont ces victimes ? Peut-on être victime sans être un tiers aux événements amnistiés ? Où est la cohérence ?
L’amnistie pardonne et efface des faits délictuels et/ou criminels dont les auteurs échappent ainsi à toute sanction pénale. Ce pardon accordé aux auteurs de ces faits n’est-il pas suffisant ? Pourquoi de surcroît accorder une « réparation » à des auteurs de faits amnistiés ?
Osez-vous soutenir une telle démarche, après avoir appelé urbi et orbi, dans l’opposition comme depuis un an au pouvoir, à l’abrogation pure et simple ?
C’est ce qu’on appelle avoir le beurre et l’argent du beurre autrement dit bénéficier de ses propres turpitudes ; commettre des délits et se faire indemniser…
Vous ne nous dites pas par quelle alchimie des auteurs de faits délictuels peuvent obtenir réparation pour ces mêmes faits dont ils sont responsables ?
En réalité la supercherie est connue ; vous êtes démasqués. Vous cherchez juste à régulariser un mécanisme d’indemnisation illégitime et scandaleux, qui méprise toutes les règles et principes du droit de la réparation au Sénégal.
Cette démarche illicite, mue uniquement par des considérations politiciennes, constitue un précédent dangereux. Nous vivons dans un État organisé et régi par des textes de loi que vous devez apprendre à respecter.
Le débat que je pose est à ce niveau. Vous dites que vous étiez contre la loi d’amnistie. Dont acte!
À présent que vous avez les moyens de l’abroger comme vous l’aviez promis, dites-nous qu’est-ce qui vous retient?
Pourquoi ne pas abroger cette loi conformément à vos engagements pris au plus haut niveau de votre gouvernement?
La loi d’amnistie est-elle devenue, subitement, une bonne loi au point de vouloir lui apporter, en lieu et place de l’abrogation promise, un toilettage funeste ? Cette proposition vide la loi interprétée de tout son sens originel de pardon intégral mais aussi impartial. Elle rompt ainsi avec la portée générale de la loi et son caractère impersonnel. Elle tente un exercice inique de tri sélectif entre les Sénégalais, pour distinguer les bons, c’est-à-dire ceux qui dans votre logiciel sont de votre camp, et les autres que vous prenez soin de mépriser.
Pourquoi cette justice sélective ? Une discrimination qui rompt manifestement l’égalité de tous les citoyens devant la loi.
Monsieur le ministre, vous savez que je sais qui a demandé, docilement, après s’être aplati devant le Président Macky Sall la loi d’amnistie et bien d’autres faveurs …
Birame bulma taxa wax…
Votre posture de député n’était qu’une piètre partie de communication politique : tirer les ficelles, en récolter les bénéfices sans coup férir… On reconnaît la méthode Pastef : elle se nomme irresponsabilité.
Toutefois, l’épisode législatif du vote de la loi d’amnistie est derrière nous.
Vous aviez promis de l’abroger. À présent, faites-le ! Pourquoi ne respectez-vous pas cet engagement pris devant vos électeurs et surtout devant le peuple sénégalais?
La sagesse, la vraie, n’est ailleurs que dans la vérité et le respect de la parole. Depuis un an que vous êtes au pouvoir, quel est l’engagement que vous avez respecté ? Vous avez un problème sérieux avec la vérité. Vous êtes tout le temps dans le déni, le mensonge, la calomnie, la médisance et la manipulation.
Député, président du groupe parlementaire, j’ai toujours dénoncé et je continue de dénoncer, aujourd’hui plus qu’hier, la violence, la brutalité politique organisée, sciemment, pour déstabiliser le pays.
Les témoignages qui en attestent fusent de partout, portés par des gens de votre camp…C’est ce qui justifie l’empressement d’introduire une proposition de loi interprétative qui ne l’est que de nom. Il s’agit d’une loi qui consolide, partiellement, l’amnistie que vous aviez « rejetée », honnie et promis d’abroger.
N’est-ce pas ici un flagrant reniement ? En quoi cette proposition de loi est interprétative ? Quelle est la controverse qu’elle tranche ? Quelle est la difficulté d’interprétation de la loi d’amnistie ? Quel problème réel rencontré dans s mise en œuvre? Quelle autorité compétente a signalé ou relevé une quelconque difficulté ou contrariété dans l’application de la loi d’amnistie ?
Personne ne s’y méprend !
Vous cherchez manifestement à protéger des casseurs, pilleurs, délinquants et auteurs de crimes que vous n’avez jamais dénoncés ?
À l’Assemblée nationale, j’ai préféré dénoncer les crimes commis contre la République et les valeurs qu’elle incarne. En revanche, je ne vous ai jamais entendu dénoncer ou, tout au moins, regretter les violences et les exactions…
Pourquoi excuser un délinquant et vouloir poursuivre celui qui luttait contre la commission du crime ou du délit ? C’est cela votre idée de justice ? Est-ce le legs que vous souhaitez laisser à la postérité ?
Est-ce l’image que vous voulez donner à notre République fondée sur l’équilibre, l’égalité devant la loi et le respect de la séparation des pouvoirs que vous violez si allègrement ? N’est-ce pas qu’il s’agit d’une proposition de loi et non d’un projet de loi ? Alors de quoi vous vous mêlez, vous membre de l’Exécutif en violation totale du principe sacré de la séparation des pouvoirs ? Cette proposition a-t-elle été alors prise sous la dictée de l’Exécutif ?
Monsieur le ministre, je suis d’accord avec vous : « les criminels de sang doivent faire face à leurs crimes ». Mais, pour être complet je m’empresse d’y ajouter : tous les criminels et de tous bords et qu’importe la motivation. Dans la proposition de loi que vous défendez, il y est expressément dit que « …sont amnistiés, de plein droit, tous les faits susceptibles de qualification criminelle ou correctionnelle, ayant exclusivement une motivation politique… ».
Comme vous pouvez le constater, sauf mauvaise foi, ce texte ne fait aucune distinction entre crimes de sang et autres crimes. Le seul critère distinctif est la motivation politique du crime. Sauf à réintroduire une nouvelle loi interprétative, car les petits esprits font toujours les choses à moitié.
Monsieur le ministre, ce que je dis dans « mon petit texte » est pourtant simple à comprendre pour de « grands esprits ».
À défaut de maintenir intégralement la loi d’amnistie qui accorde le pardon à tous, ce qui est conforme à notre Constitution, à la morale politique et à la décence républicaine, abrogeons-la et tournons la page. Autrement dit, le Pardon pour tous sinon à personne ! Cette position me semble juste, impartiale, équitable et désintéressée. Elle n’est pas loin de la sagesse républicaine. Abroger au profit de tout le monde ou pardonner à tout le monde. Mais pas de pardon sélectif…agrémenté par une « réparation », une prime à l’incivisme.
Monsieur le ministre, arrêtez de jouer avec les institutions et de tripoter les lois de la République pour mettre votre unique volonté, celle d’une secte, au-dessus de l’intérêt national et de notre tradition républicaine. Pour ma part, je ne réclame aucune sagesse, je dénonce, simplement, avec mes mots, les maux dont souffre actuellement notre République abaissée et piétinée par tant d’insouciance, d’injustice, d’inaptitude et d’incivisme.
Au demeurant, avec une inélégance habituelle chez vous, vous invoquez avec dérision mon passage au ministère des Forces armées. Une expérience certes courte mais très riche, qui m’a appris davantage à avoir une haute estime de l’énorme travail abattu par nos Forces de défense et de sécurité et ce, au prix d’énormes sacrifices afin que notre République reste debout. J’ai compris que c’était pour vous une occasion d’aborder la « disparition tragique de Fulbert et Didier ». Que l’un repose en paix. Je prie que l’autre, toujours porté disparu, soit retrouvé sain et sauf. Je respecte les morts, tous les morts parce que je ne suis pas immortel et surtout que j’ai la dignité de ceux qui s’honorent de servir l’État dans le respect des valeurs propres à la longue histoire de notre pays.
A l’Assemblée nationale, je n’ai jamais voulu m’associer aux génuflexions et autres rituels que vous cherchiez à nous imposer sans concertation préalable. Pour moi ce n’était ni le lieu ni le moment. L’Assemblée nationale a des règles et un code qu’il faut apprendre à connaître. Ceux qui portent le deuil, le vrai deuil, le font sans exhibition, dans un total anonymat et sans ostentation démesurée.
C’est aussi cela le respect dû aux disparus. Une douleur sincère ne s’accommode jamais de politique-spectacle…Malheureusement, je constate pour le regretter que vous en faites toujours un fonds de commerce politique au nom de votre indignité et pour le compte de votre indécence.
Le plus curieux dans tout ceci est que vous semblez oublier que vous êtes désormais au pouvoir et ce, depuis un an… C’est à vous maintenant de nous rendre compte de l’évolution de l’enquête sur ces dossiers. Réveillez-vous, piquez-vous et croyez-y, ce n’est pas un rêve ; c’est sérieux vous n’êtes plus dans l’opposition ; par la Grâce d’Allah vous êtes au pouvoir. Comportez-vous alors en homme de pouvoir; en homme d’État mais pas en homme dans l’État.
Et je puis vous assurer que le seul mal que je vous souhaite est d’accomplir un parcours plus prestigieux que le mien au sommet de notre État que j’ai essayé de servir au mieux, mais dans la vérité, la dignité et la décence républicaine.
Pour y parvenir renoncez d’ores et déjà au mensonge ; il est fugace et incommode ; il détruit tout et ne construit rien de durable. Empruntez plutôt le chemin de la vérité, de la justice et de la droiture qui, seul, mène au succès. Le mensonge ne peut pas être érigé en religion pour quelqu’un qui se prend pour un « sage » à moins d’être un insensé plus fou que la folie.
Ramadan Mubarak Monsieur le ministre et surtout bon « ndogu ».
Omar YOUM

Comment garder la ligne à la ménopause ?

La ménopause est une période de bouleversements majeure qui marque la fin de la fertilité et s’accompagne souvent de changements physiques et émotionnels. L’un des plus redouté est sans doute la prise de poids. Si vous traversez cette période et avez l’impression de ne plus contrôler votre poids, sachez que vous n’êtes pas seule… Et que ce n’est pas une fatalité ! Découvrez les bons réflexes à adopter pour garder la ligne tout en prenant soin de votre bien-être. Explications et conseils de Cécile Cottus, diététicienne-nutritionniste.

 

Pourquoi grossit-on à la ménopause ?

Il est tout à fait normal de prendre quelques kilos à la ménopause. Comme nous l’explique Cécile Cottus, cette prise de poids s’explique par un ensemble de facteurs biologiques, hormonaux et comportementaux.

La chute des œstrogènes

L’un des principaux responsables de la prise de poids à la ménopause est sans doute la diminution des niveaux d’œstrogènes. Ces hormones sexuelles, produites principalement par les ovaires, jouent en effet un rôle crucial dans la régulation du métabolisme des graisses et des sucres. Lorsque leur production diminue, le métabolisme ralentit et le corps devient moins efficace pour brûler les calories.

La chute des œstrogènes entraîne aussi un changement dans la répartition des graisses, précise Cécile Cottus. Avant la ménopause, les femmes ont tendance à stocker la graisse autour des hanches et des cuisses (forme gynoïde). Après la ménopause, la graisse se déplace plutôt vers l’abdomen (forme androïde).

Bon à savoir : la ménopause peut aussi provoquer une rétention d’eau plus importante, en raison des fluctuations hormonales, ce qui peut donner l’impression de prendre du poids rapidement, même si cela n’est pas lié à une accumulation de graisses.

Ralentissement du métabolisme

Le métabolisme ralentit naturellement avec l’âge, et ce processus s’accélère à la ménopause. Concrètement, notre corps a besoin de moins de calories pour fonctionner. Si nos habitudes alimentaires ne s’adaptent pas en conséquence, l’excès de calories se transforme rapidement en graisses, explique Cécile Cottus. Et de préciser : « la perte de masse musculaire liée à l’âge (sarcopénie) aggrave encore ce phénomène, puisque les muscles brûlent plus de calories que la graisse, même au repos ».

Modifications de l’appétit

Les fluctuations hormonales dues à la ménopause peuvent aussi influencer l’appétit et les préférences alimentaires. Certaines femmes ressentent parfois une augmentation de l’appétit ou une envie plus fréquente de grignoter, notamment des aliments sucrés ou gras. Ce phénomène est lié à la résistance à l’insuline qui peut s’installer à la ménopause. En effet, l’insuline, l’hormone qui régule le taux de sucre dans le sang, devient moins efficace, ce qui pousse le corps à stocker plus de graisses, surtout si des aliments riches en sucres rapides sont consommés.

Réduction de l’activité physique

La ménopause peut s’accompagner de changements qui affectent l’activité physique au quotidien. Entre les douleurs articulaires, les changements dans le mode de vie et la fatigue accrue liée aux bouffées de chaleur nocturnes, il est parfois plus difficile de maintenir un niveau d’activité physique élevé. Pourtant, l’exercice est essentiel pour maintenir la masse musculaire et brûler des calories. Moins on bouge, plus il devient facile de prendre du poids !

Comment relancer son métabolisme grâce au sport à la ménopause ?

L’activité physique joue un rôle essentiel pour améliorer sa composition corporelle, soutenir sa santé globale et maintenir un poids stable.

Développez votre masse musculaire

Le renforcement musculaire est l’un des meilleurs moyens de stimuler son métabolisme à la ménopause. Pour cause ? Les muscles consomment plus de calories que la graisse, même au repos. « Étant donné que la masse musculaire diminue à la ménopause, il est d’autant plus important de pratiquer régulièrement des exercices de renforcement musculaire », insiste Cécile Cottus. Des séances régulières de musculation (2 à 3 fois par semaine) aident en effet à maintenir et même à développer de nouveaux muscles !

Les exercices recommandés : des exercices d’haltérophilie, des exercices avec des bandes de résistance et / ou des exercices au poids du corps (squats, fentes, pompes, etc.).

Entraînement par intervalles (HIIT)

L’entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT) alterne des périodes d’efforts intenses avec des périodes de récupération. Cet entraînement sollicite fortement les muscles et le système cardiovasculaire, ce qui permet de booster le métabolisme, même après l’effort (effet « afterburn »).

Les exercices recommandés : des sprints, des sauts, des burpees ou des montées de genoux pendant 20 à 30 secondes, suivis de périodes de récupération de 10 à 20 secondes.

Scandale à la WWE : Liv Morgan engage des poursuites pour violation de sa vie privée

La superstar de la WWE, Liv Morgan, a décidé d’engager des poursuites contre la WWE et une nouvelle star de la fédération, réclamant jusqu’à 100 millions de dollars de dédommagements. Cette action en justice fait suite à la diffusion non autorisée d’une vidéo personnelle, qui l’aurait exposée publiquement à la honte et à l’humiliation.

Selon Liv Morgan, cette vidéo, de nature privée, a été diffusée sans son consentement, portant gravement atteinte à sa vie personnelle, à son honneur et à son bien-être mental. Elle a exprimé son choc et sa douleur face à cette atteinte à son intimité, déclarant que cet incident avait gravement affecté son image et sa carrière.

Dans sa plainte, la catcheuse réclame une compensation financière pour les préjudices subis et accuse la WWE ainsi que l’autre partie impliquée de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour empêcher la fuite de cette vidéo. Elle exige également une enquête approfondie afin de déterminer les responsabilités dans cette affaire.

L’affaire a suscité une large réaction au sein de la communauté des fans de la WWE et de l’opinion publique. De nombreux soutiens se sont manifestés en faveur de Liv Morgan, dénonçant la diffusion non consentie d’images privées et soulignant l’importance du respect de la vie privée des personnalités publiques. Ce scandale relance le débat sur la protection de l’image des célébrités dans l’industrie du divertissement sportif.

Vague de licenciements : Le PIT dénonce un « drame social » et appelle les centrales syndicales à rester fermes sur la préservation des acquis des travailleurs…

L’indépendance et le travail (PIT) exprime son indignation face aux licenciements massifs qui se déroulent actuellement dans un climat de tension politique et de division. « Des milliers de jeunes, recrutés par l’ancien régime dans le cadre du programme de lutte contre le chômage Xëyu Ndaw Yi, ont été renvoyés sous le prétexte fallacieux d’appartenir à une clientèle politique. Dans le secteur privé, certaines entreprises profitent de la situation créée par l’État pour licencier, à leur tour, des centaines de travailleurs de manière abusive », dénonce le PIT-Sénégal. Le parti affirme mesurer l’ampleur « des drames sociaux indicibles provoqués par ces licenciements massifs et injustes de pères et mères de famille, d’autant plus que le pays traverse une période de marasme économique et de vie chère. »
Le PIT condamne fermement « ces mesures cyniques et antisociales » et exige « l’arrêt immédiat des licenciements dans la fonction publique et le secteur parapublic, ainsi que la mise en place d’un plan social concerté et conséquent pour accompagner l’ensemble des personnes concernées. »
Le parti rappelle que « le nouveau pouvoir a été largement élu sur la base d’un espoir légitime : résoudre, entre autres, les graves problèmes de chômage, notamment chez les jeunes. » Cependant, Samba Sy et ses camarades constatent que, sous la présidence de Diomaye, « ce fléau ne fait que s’aggraver. »
Pour le PIT-Sénégal, « la responsabilité de l’actuel gouvernement est pleinement engagée en raison de son incompétence, de son incurie et de son inexpérience dans la gestion de l’État. » Le parti exhorte les organisations syndicales, actuellement en négociations avec le gouvernement en vue d’un pacte social de stabilité, « à rester fermes sur la préservation des acquis essentiels des travailleurs et à exiger un apurement complet de la dette intérieure, estimée à plus de 3 000 milliards de francs CFA. »

Commerce extérieur : Chute des exportations

La balance commerciale du Sénégal s’est dégradée durant le mois de janvier. Selon L’Agence nationale de la statistique et de la démographie révèle une chute des exportations contre une hausse des exportations.

Au mois de janvier 2025, les exportations du Sénégal s’établissent à 382,9 milliards de FCFA contre 404,3 milliards de FCFA le mois précédent. Soit un recul de 5,3%, lit-on dans le bulletin mensuel sur les statistiques du Commerce extérieur, dressé par l’Ansd repris par gfm .

Elle explique qu’une telle situation s’explique par la baisse des expéditions d’or (36,3 milliards en janvier 2025 contre 72,6 milliards en décembre 2024), d’huiles brutes de pétrole (36,2 milliards contre 65,9 milliards), de poissons frais de mer (13,7 milliards contre 23,6 milliards) et d’acide phosphorique (18,6 milliards contre 28,1 milliards de francs Cfa).

De l’autre côté, les importations se sont chiffrées à 799,7 milliards de francs Cfa, contre 722,4 milliards au mois précédent.  Soit une hausse de 10,7%. Une progression qui s’explique par l’achat à l’extérieur d’huiles brutes de pétrole (49,7 milliards en janvier 2025 contre une absence d’importation en décembre 2024), des matières plastiques artificielles (38,1 milliards contre 21,3 milliards), des autres produits pétroliers (118,5 milliards contre 106,1 milliards de FCFA), explique l’Ansd.

Usurpation de signature du Premier ministre: Khardiata Tandian passe aux aveux

Khardiata Tandian, déjà connue pour une affaire de faux passeports en 2022, a de nouveau été arrêtée pour avoir tenté d’obtenir un poste de directrice au Fonds d’appui à l’investissement des Sénégalais de l’extérieur (FAISE) en utilisant une fausse lettre de recommandation prétendument signée par le Premier ministre Ousmane Sonko souligne le soleil .

Une récidiviste

Pour mener à bien son plan, elle a sollicité l’aide d’un « marabout » actuellement en fuite, qui lui avait assuré que sa tentative réussirait. Le stratagème a été déjoué grâce à la vigilance de Khoureichi Thiam, administrateur directeur général du FAISE, qui a pris la précaution de vérifier l’authenticité de la lettre auprès de la Primature. Alerté, le Premier ministre a immédiatement saisi la justice, déclenchant une enquête approfondie.

Les images de surveillance montrent Khardiata Tandian déposant personnellement la fausse lettre le 3 mars à 14h30, sous l’identité fictive de « Madame Ba de la Primature ». Lors de son interrogatoire, elle a révélé l’implication de Chérif Zeynil Abidin Sy, gérant de « Cachet Express », qui aurait reconnu lui avoir fourni plusieurs faux documents officiels.

Tous deux ont été arrêtés par la Division des Investigations Criminelles (DIC) puis déférés au parquet. Ils sont désormais poursuivis pour faux et usage de faux en écritures publiques, ainsi que pour complicité.

 

Le général Vladimir Poutine est de retour en treillis militaire…une réponse à Trump?

Mercredi, le chef du Kremlin s’est rendu, en tenue de chef de guerre, dans la région de Koursk, à l’ouest de la Russie. 

C’est une première depuis l’incursion menée en août dernier par les forces armées ukrainiennes. Vladimir Poutine, accompagné du chef de l’armée Valeri Guerassimov, a visité le centre de commandement militaire de la région, rapporte le média L’Indépendant. Vêtu d’un treillis militaire, le président russe a fait réagir les observateurs du conflit qui, sur les réseaux sociaux, dénoncent une mise en scène. Une chose est sûre, cette visite est une réponse à Volodymyr Zelensky, coutumier des passages sur le front, en tenue de guerre.

“Traitez-les comme des terroristes”

Poutine, cité par les agences de presse officielles, a ordonné à son armée de libérer, dès que possible, la région de Koursk dans sa totalité, précisant que les soldats ennemis devaient être traités comme des “terroristes”. “Les individus présents dans la région de Koursk, qui commettent ici des crimes contre les civils, qui s’opposent à nos forces armées […] sont des gens que nous devons pour sûr traiter comme des terroristes”. 

A ce stade et d’après les observateurs, Moscou aurait repris 86 % des territoires de l’Oblast. De son côté, l’agence de presse ukrainienne indique que les troupes ukrainiennes seraient occupées à se retirer du secteur.

Un message à faire passer ?

Ce retour de Poutine, en général de guerre, serait-il une réponse indirecte à la proposition de cessez-le-feu négocié par l’Ukraine et les Etats-Unis en début de semaine ?

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