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Réorganisation de l’APR : Macky Sall convoque une réunion du Secrétariat Exécutif National à Mermoz

L’Alliance pour la République (APR) amorce une nouvelle phase de sa réorganisation interne. Depuis le Maroc, où il séjourne, l’ancien président de la République et leader du parti, Macky Sall, a convoqué une réunion du Secrétariat Exécutif National (SEN) prévue pour le jeudi 6 novembre 2025 à la permanence nationale du parti, située à Mermoz.

Selon le communiqué, cette rencontre a pour objectif l’installation officielle des membres du SEN, conformément aux dispositions statutaires de la formation politique. Les responsables, militants et sympathisants de l’APR sont invités à se mobiliser pour assurer la réussite de cet événement, considéré comme une étape décisive dans la nouvelle trajectoire du parti.

Cette réunion intervient dans un contexte de repositionnement politique, marqué par la volonté de Macky Sall et de ses proches de renforcer les structures du parti afin de mieux affronter les défis actuels, notamment d’ordre politique et judiciaire, auxquels l’APR est confrontée depuis la perte du pouvoir.

Premier League : Iliman Ndiaye signe un but d’anthologie face à Sunderland

Ce lundi soir, en clôture de la 10e journée de Premier League, l’international sénégalais Iliman Ndiaye a illuminé le Stadium of Light d’un geste de pur génie. Opposé à Sunderland, l’attaquant d’Everton a inscrit un but spectaculaire qui restera sans doute dans les mémoires.

Servi à l’entrée de la surface, Ndiaye a mystifié toute la défense adverse grâce à une série de dribbles fulgurants avant d’expédier le ballon dans la lucarne d’un tir précis du pied gauche. Un enchaînement technique exceptionnel qui a permis à Everton de prendre l’avantage sur la pelouse des Black Cats.

Ce chef-d’œuvre confirme une fois de plus le talent et la créativité de l’ancien joueur de Sheffield United, qui s’impose progressivement comme l’un des éléments offensifs les plus prometteurs de la formation d’Everton.

Nouveau programme du FMI : les discussions se poursuivent entre Dakar et l’institution de Bretton Woods

Les négociations entre le Sénégal et le Fonds monétaire international (FMI) pour la mise en place d’un nouveau programme économique se poursuivent activement. Une mission de l’institution financière internationale séjourne actuellement à Dakar, où elle a été reçue ce lundi par le président Bassirou Diomaye Faye.

Conduite par Abebe Aemro Selassie, Directeur du Département Afrique du FMI, la délégation a réaffirmé l’engagement du Fonds à soutenir le Sénégal dans la gestion de ses défis économiques actuels.

« Notre présence ici témoigne de notre volonté d’accompagner le Sénégal. Les discussions, entamées lors des Assemblées annuelles, se poursuivent afin de trouver les meilleures voies pour aider le pays à surmonter la situation actuelle », a déclaré M. Selassie.

Le responsable du FMI s’est par ailleurs réjoui de la qualité des échanges et des progrès déjà réalisés : « Nous avons accompli d’importantes avancées ces dernières semaines. Les discussions vont se poursuivre dans les prochains jours, avec l’espoir d’aboutir à un accord avec les autorités sénégalaises », a-t-il ajouté.

Cette nouvelle phase de dialogue s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération entre le Sénégal et le FMI, dans un contexte marqué par la recherche de stabilité économique et de soutien aux réformes structurelles engagées par le gouvernement.

Faux kidnapping à Mbour : un fils malien simule son enlèvement pour escroquer son propre père

La Brigade de Recherches (BR) de la gendarmerie de Mbour a récemment mis fin aux agissements d’un réseau criminel spécialisé dans l’escroquerie transnationale. Selon des informations exclusives de Seneweb, quatre ressortissants maliens ont été arrêtés le 25 octobre dernier pour avoir orchestré un faux kidnapping, dans le but d’extorquer de l’argent au père de l’une des victimes… qui s’est révélée être complice.

Au centre de l’affaire, I. Coulibaly, fils biologique de la victime A. Coulibaly, s’est associé à K. Sidibé identifié comme le chef du gang  ainsi qu’à M. Konaté, K. Diarra et S. Camara. Ensemble, ils ont monté une mise en scène destinée à faire croire qu’Issakha avait été enlevé par des terroristes alors qu’il tentait de rejoindre l’Espagne depuis le Maroc.

Se présentant sous le nom fictif de « M. Mballo », l’un des escrocs a d’abord contacté le père pour lui annoncer que son fils était en danger et qu’il devait verser 1 500 000 francs CFA pour sa libération. Pris de panique, A. Coulibaly a transféré 750 000 francs CFA, avant d’envoyer 500 000 francs supplémentaires sous de nouvelles menaces.

Quelques jours plus tard, le prétendu otage a lui-même appelé son père depuis un numéro espagnol, affirmant qu’il était maltraité par ses ravisseurs. Soupçonneux, A. Coulibaly a sollicité son fils aîné, vivant en Espagne, pour vérifier l’origine du numéro. Ce dernier a rapidement découvert qu’il provenait en réalité… du Sénégal. L’escroquerie venait d’être démasquée.

Décidé à obtenir justice, A. Coulibaly s’est rendu au Sénégal pour déposer plainte à la Section de Recherches de Colobane. L’enquête a permis de localiser le réseau à Malicounda. Grâce à une opération conjointe, les gendarmes ont interpellé les quatre complices, dont le fils de la victime.

Présentés au Tribunal de Grande Instance de Mbour, les mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt.

Cette affaire révèle les nouvelles méthodes utilisées par certains réseaux criminels transnationaux, prêts à exploiter les liens familiaux les plus intimes pour parvenir à leurs fins.

Propos contre Ousmane Sonko : le chroniqueur Ameth Ndoye visé par une information judiciaire

Déféré ce lundi au tribunal de grande instance de Dakar, le chroniqueur Ameth Ndoye a fait l’objet d’un retour de parquet, a-t-on appris de sources concordantes. Selon des informations reprises par nos confrères Seneweb, le ministère public a décidé de confier le dossier à un juge d’instruction. Un cabinet d’instruction sera désigné pour l’ouverture d’une information judiciaire.

L’affaire fait suite à des propos tenus par Ameth Ndoye lors d’une émission, au cours de laquelle il aurait tenu des déclarations jugées irrespectueuses à l’égard du Premier ministre Ousmane Sonko.

Fonds Covid-19 : non-lieu prononcé dans l’affaire de la commande de riz, le parquet fait appel

Le doyen des juges d’instruction a rendu, le 31 octobre dernier, une ordonnance de non-lieu dans le cadre de l’enquête sur la gestion des fonds Covid-19. Cette procédure visait Moustapha Ndiaye, importateur de riz et directeur de la société CCMN, Rayan Hachem, propriétaire de la chaîne de restauration Planet Kebab, ainsi que Mouhamed Dieng, poursuivi pour complicité.

Les trois hommes étaient mis en cause pour détournement de deniers publics et faux en écriture de commerce et privée, à la suite d’une commande litigieuse de 30 000 tonnes de riz, d’une valeur estimée à 2,74 milliards de francs CFA (2 749 927 498 F CFA). Ce marché entrait dans le cadre du programme d’aide alimentaire destiné aux populations vulnérables durant la pandémie de Covid-19.

Pour bénéficier d’une liberté provisoire, Moustapha Ndiaye avait versé une caution de 700 millions de F CFA, tandis que Rayan Hachem, conjointement avec d’autres garants, avait signé un cautionnement solidaire de 1,8 milliard de F CFA, portant le montant total des garanties à la somme visée dans le réquisitoire du parquet.

Cependant, selon une source proche du dossier, le procureur de la République a interjeté appel de cette décision, contestant l’ordonnance de non-lieu rendue par le doyen des juges. L’affaire reste donc ouverte à de nouveaux développements devant les juridictions compétentes.

Maladie rénale chronique: les signes qui doivent vous alerter

Comme beaucoup d’organes, les reins font leur travail discrètement et efficacement… mais quand ils manifestent des difficultés, c’est qu’il est bien tard pour redresser la barre. On a tendance à dire que la maladie rénale chronique s’installe en silence. Mais la Pr Bénédicte Sautenet, professeure au service de néphrologie au CHU de Tours bat  en brèche ce préjugé  qui pourrait décourager certains, estimant que lorsque la maladie s’est imposée, il n’y a plus rien à faire. Au contraire, nous assure cette néphrologue: dès les premiers stades, certains signaux doivent pousser à consulter.

Qu’est-ce que la maladie rénale chronique?

Rappelons d’abord que les reins, ces organes vitaux situés de part et d’autre de notre colonne vertébrale, jouent le rôle de filtres, qui doivent bloquer certaines protéines essentielles et laisser passer des déchets vers les urines. “La maladie rénale chronique correspond au fait que les reins vont moins bien fonctionner de façon persistante”, précise Bénédicte Sautenet. Avec deux éléments principaux: les reins filtrent moins bien les déchets et ce filtre est moins efficace, il laisse passer les protéines et l’albumine.

Peut-être avez-vous déjà entendu ou lu (par ici par exemple) des informations sur l’insuffisance rénale? Est-ce la même chose? “L’insuffisance rénale peut être aiguë ou chronique, et dans ce cas on parle de maladie rénale chronique. Qui exige un suivi sur le long terme. Comme son nom l’indique, c’est progressivement que les reins perdent leur capacité à remplir leur mission… Et les alertes peuvent passer sous le radar.

Qui est principalement touché par la maladie rénale chronique?

“Les plus à risques sont les patients atteints de diabète, d’hypertension, d’obésité, de maladies cardiovasculaires, reprend Bénédicte Sautenet. Qui insiste: les personnes qui souffrent d’une de ces maladies (ou de plusieurs!) doivent être dépistées au moins une fois par an. Concrètement: leur médecin doit leur prescrire un dosage sanguin de créatininémie avec estimation du débit de filtration glomérulaire associé à un dosage d’albuminurie/créatininurie dans les urines pour voir si elles ne souffrent pas d’une maladie rénale chronique.

“Il existe des situations plus rares: certains patients touchés par des maladies génétiques, auto-immunes, des anomalies urologiques … peuvent aussi développer cette maladie. À surveiller également: les patients qui ont pris certains traitements pour lutter contre un cancer.

Quels sont les signes à connaître de la maladie rénale chronique?

“On entend souvent que la maladie rénale chronique est silencieuse, mais c’est faux!”, insiste Bénédicte Sautenet. Il y a plein de petits signes à repérer dès le début de la maladie. Qui certes, sont peu spécifiques. Mais si le soignant prend le temps d’interroger les patients, il ne doit pas passer à côté de ces signaux d’alerte.”

  • Fatigue inhabituelle : certes, la fatigue peut avoir des milliers de causes diverses, être conjoncturelle… Mais ce qui est important à noter, c’est un changement important dans votre énergie.
  • Des crampes et des douleurs musculaires. “C’est un des signes évocateurs de problèmes au niveau des reins”, reprend la médecin.
  • Difficultés à respirer: un essoufflement, là aussi étonnant
  • Œdème: gonflement souvent des chevilles, pieds ou des paupières au réveil
  • Fourmillements dans les extrémités: main, pied…
  • Troubles du sommeil

Des symptômes que chacun devrait connaître, “surtout les patients qui ont des facteurs de risque”, assure la médecin. Et pour les autres? “Si vous remarquez un ou plusieurs de ces signes d’alerte, dans des circonstances inhabituelles, mieux vaut demander à votre médecin traitant un bilan de santé, notamment concernant les reins. Organes auxquels on pense rarement”, regrette la néphrologue.

 

Que faire si on craint d’avoir une maladie des reins?

On l’a vu, mieux vaut consulter avant de paniquer. Votre médecin traitant ou éventuellement un spécialiste verra dans un second temps, si les examens confirment une maladie des reins, quels médicaments prescrire pour ralentir la progression de la maladie rénale chronique et les mesures d’hygiène de vie à prendre. Car si la maladie s’installe, si la fonction rénale diminue, elle peut mener à une défaillance et il faudra alors mettre en œuvre des techniques de suppléance très lourdes: dialyse ou transplantation rénale.

“Par ailleurs, la maladie rénale augmente fortement le risque de maladies cardiovasculaires”, prévient Bénédicte Sautenet. Bonne nouvelle toutefois: adopter une bonne hygiène de vie fait entrer dans un cercle vertueux: ce qui est bon pour vos reins s’avère également idéal pour votre cœur, vos vaisseaux, votre foie… Pour cela, pas de mystère, une alimentation équilibrée et variée, une activité physique régulière et complète, éviter alcool et tabac et bien s’hydrater s’avère un pari gagnant.

“De surcroît, on dispose aujourd’hui de beaucoup de traitements efficaces”, poursuit la néphrologue. Que l’on parle médicament ou hygiène de vie, “plus on agit tôt, plus on est efficace. D’où l’intérêt de connaître ces signaux encore méconnus de la maladie rénale chronique!”

Marcher toutes les 30 minutes : la nouvelle règle santé

Publiée le 8 octobre, l’étude de l’Anses rebat les cartes sanitaires de la lutte contre la sédentarité. Marcher trois à cinq minutes toutes les demi-heures peut suffire à réduire les effets délétères de l’immobilité.

Au bureau, dans les transports, devant les écrans… En moyenne, nous passons sept heures par jour inactifs et/ou assis, et cela inquiète les autorités sanitaires depuis des années. Il faut dire que la sédentarité n’est pas sans risque pour la santé. De constat scientifique, elle augmente significativement les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires, d’obésité et de troubles musculosquelettiques. En 2016, Santé publique France appelait déjà à « marcher un peu toutes les deux heures » pour limiter les dégâts. Neuf ans plus tard, le drapeau rouge s’agite à nouveau dans les travaux publiés le 8 octobre par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Fruits de plus de 75 études internationales, les nouvelles préconisations de l’institution sont claires. « Il ne suffit pas de se lever, de faire le tour du bureau et de se rasseoir, rappelle Irène Margaritis, adjointe au directeur de l’alimentation, de la santé animale et végétale de l’Anses. La rupture de sédentarité doit durer trois à cinq minutes, et mobiliser réellement la motricité, comme avec une marche rapide. »

Bénéfices à la clé

Pour l’agence, ces pauses ne sont pas de simples respirations, mais de véritables gestes santé. Marcher quelques minutes suffit à relancer la circulation, à stabiliser la glycémie et à détendre les muscles mis à rude épreuve par la position assise. Le cerveau aussi en profite : meilleure concentration, fatigue réduite, attention retrouvée. Des bénéfices ressentis dès les premiers jours, à condition d’inscrire cette habitude dans son quotidien.

Dans ce sens, l’Anses appelle à repenser les journées de travail : raccourcir les réunions, se lever entre deux visioconférences, bouger dès qu’une occasion se présente…

Les enfants aussi

On le sait, la sédentarité n’est pas qu’une affaire d’adultes. Elle gagne aussi du terrain chez les plus jeunes. Pour y remédier, l’instance recommande trois minutes d’efforts soutenus (sauts, jeux actifs, marche rapide) toutes les demi-heures pour compenser les temps d’immobilité. Bouger souvent, même brièvement, soutient la croissance musculaire, renforce l’attention et améliore la mémoire. « Les enfants ont besoin de se dépenser », rappelle Irène Margaritis, en soulignant que leur dynamisme naturel tend à s’émousser dès l’entrée en primaire.

Guédiawaye : un chauffeur Yango soupçonné d’avoir livré son client à des agresseurs à Keur Massar

Prisoner holding metal cage in jail, no freedom concept

Un chauffeur de la plateforme Yango a été interpellé par la Sûreté urbaine de Guédiawaye, soupçonné d’avoir joué un rôle central dans une agression nocturne survenue à Keur Massar. Les faits remontent au 18 octobre 2025, vers 20 heures, lorsqu’un client, ayant commandé un véhicule via l’application, s’est retrouvé entraîné hors de l’itinéraire prévu vers une zone isolée et sombre.

Selon le récit de la victime, le chauffeur aurait délibérément quitté la route principale pour s’enfoncer dans une ruelle sablonneuse au cœur de la forêt de Keur Massar. Arrivé sur place, il aurait verrouillé les portières, se présentant comme un « bandit ». Peu après, un complice armé d’une machette serait apparu pour dépouiller le passager de son iPhone 13. Durant toute la scène, le chauffeur serait resté inerte, avant de prétendre être un gendarme, exhibant une paire de menottes.

Après le vol, il aurait déposé la victime sans prévenir ni les autorités ni les services de Yango. Plus inquiétant encore, il aurait recontacté la victime à plusieurs reprises, lui demandant notamment son compte iCloud et le numéro de série du téléphone volé.

Interrogé par les enquêteurs, le chauffeur nie toute complicité. Il admet toutefois avoir modifié volontairement le trajet et s’être fait passer tour à tour pour un bandit et un gendarme, invoquant une plaisanterie mal interprétée. Il soutient même avoir tenté de s’opposer à l’agresseur en le frappant.

La fouille de son véhicule a permis de découvrir des menottes et un blouson militaire camouflé, éléments qui ont renforcé les soupçons des enquêteurs. Le suspect a été placé en garde à vue, tandis que l’enquête se poursuit pour établir son degré d’implication dans cette affaire mêlant intimidation, vol et mise en danger de la vie d’autrui.

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