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Gonflement de notes : La Dsc cerne un contractuel de la fac des lettres de l’Ucad et son complice

C’est une sale et rocambolesque affaire. En effet, un contractuel de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, proposait de gonfler les notes des étudiants en contrepartie d’une somme d’argent ou de faveurs sexuelles. Son acolyte a été arrêté par les limiers et le contractuel est actuellement en fuite indique igfm .

L’un des mis en cause dans cette sale affaire, D. Faye, était chargé de la gestion de la base de données des notes des étudiants de la faculté des lattres. Il s’occupait aussi de la saisie et de l’introduction des notes des étudiants dans les bases de données des Licences 1, 2 et 3 après les examens et de la remise des notes des professeurs pour la délibération par l’assemblée de département.

Profitant de cette position, D.Faye proposait à des étudiants et étudiantes «d’augmenter» leurs notes en échange de sommes d’argent ou de faveurs sexuelles pour les filles, renseigne Libération. Une fois le deal acté, il «augmentait» les notes de ces derniers. À ce stade, informe le Journal, il a été attesté que 18 étudiants et étudiantes ont bénéficié de cette fraude.

Mais, les choses vont vite tourner au vinaigre. Car, D. Faye sera dénoncé auprès du chef du département des Lettres modernes après un différend sur le montant à payer afin de «gonfler» ses notes. Alerté, le doyen de la faculté a déposé une plainte. D. Faye a vite fait de s’évanouir dans la nature.

L’enquête de la Division de lutte contre la cybercriminalité (Dsc) a vite établi que D. Faye, sous le coup d’un avis de recherche après sa fuite, travaillait avec V. Diouf qui était chargé de lui trouver des clients contre la somme de 50.000 Fcfa par dossier. Mais V. Diouf avait été envoyé en Allemagne par la Faculté des lettres, dans le cadre de la mobilité Erasmus. Il a été cueilli à l’Aibd à son retour.

Face aux éléments techniques glanées par les enquêteurs, dont des transactions via Wave, il a reconnu les faits. Le parquet compte demander l’ouverture d’une information judiciaire pour approfondir les investigations autour de cette affaire.

Affaire Didier Badji- Fulbert Sambou : Du nouveau dans le dossier

Le mystère autour de la disparition du sergent Fulbert Sambou et de l’adjudant-chef Didier Badji connaît un nouveau développement. Dans son édition de ce mardi 4 mars, le quotidien Les Échos révèle une avancée significative dans cette affaire qui intrigue toujours l’opinion publique sénégalaise.

Pour rappel, les deux militaires avaient disparu le 18 novembre 2022 dans des circonstances toujours non élucidées. Cinq jours plus tard, le corps sans vie de Fulbert Sambou était repêché au large du Cap Manuel. Depuis lors, aucune trace de Didier Badji n’a été retrouvée, plongeant sa famille et ses proches dans l’angoisse.

Selon Les Échos, le magistrat instructeur en charge du dossier a récemment adressé une délégation judiciaire à la gendarmerie. Cette démarche vise à interroger deux proches de Didier Badji, une étape cruciale pour mieux cerner la personnalité de ce dernier. « Le juge d’instruction ne veut pas simplement se limiter aux faits. Il cherche manifestement à comprendre la personnalité des deux victimes, précisément Didier Badji qui reste introuvable », souligne le journal.

L’interrogatoire, conduit par la Section de recherches (Sr) de la gendarmerie, a eu lieu ce lundi. L’objectif de cette audition est de recueillir des éléments de nature à éclairer l’enquête, notamment sur la vie privée et les relations de l’adjudant-chef Didier Badji.

Ce rebondissement relance les spéculations sur cette affaire mystérieuse, alors que de nombreuses zones d’ombre persistent. Qu’est-il réellement arrivé à Didier Badji ? Pourquoi Fulbert Sambou a-t-il été retrouvé mort ? L’enquête en cours saura-t-elle lever le voile sur ces interrogations ? Autant de questions qui continuent d’alimenter les discussions dans l’opinion publique. L’évolution de l’enquête reste très attendue, alors que les familles des deux militaires appellent à la vérité et à la justice.

La note souveraine du Sénégal peut-elle descendre plus bas

Les mauvaises nouvelles s’accumulent sur le front de l’économie sénégalaiseDeux des trois principales agences de notation, Moody’s, hier, S & P (Standards and Poor’s) aujourd’hui, ont toutes deux placé le Sénégal sous perspective “négative”. Celle-ci, rappelons-le, désigne des obligations qui comportent un haut taux de risque et qu’une nouvelle dégradation est possible dans les 12-18 mois, indiquant un risque de crédit substantiel .

Une troisième notation est en effet attendue non pas de la troisième agence de notation américaine, Fitch, mais plutôt de Bloomfield, une agence de notation financière en monnaie locale, fondée il y a 18 ans par l’Ivoirien Stanislas Zézé.

Malgré des grilles d’évaluation différentes, si Bloomfield venait à mal noter le Sénégal, le pays sera ainsi placé dans les “poubelles” de la finance. S & P le suggère d’ailleurs dans sa note en indiquant que “la solvabilité du pays est menacée“. En d’autres termes, avec déjà les deux premières mauvaises notes qu’il vient de recevoir, le Sénégal est à deux crans du défaut de paiement.

Pour rappel, en 2021, Bloomfield avait attribué une note d’investissement à long terme de A- (qui traduit une qualité de crédit élevée) et une note d’investissement court terme de A2 (risque faible). Cette dernière traduisant une certitude de remboursement en temps opportun, bonne. Sauf que le contexte n’est pas le même.

La quadrature du cercle

Certes, contrairement à Moody’s qui a été plus sévère, la note de S & P sur les emprunts à long et court terme du pays a, cependant, été conservée à “B+/B”; considérée toutefois comme la note la plus haute de la catégorie spéculative par les acteurs du marché concernant les pays à risque. Mais le ver est déjà dans le fruit, avec les déclarations du chef du gouvernement du Sénégal, qui n’ont réussi, sans convaincre, qu’à échauder les partenaires et autres bailleurs du pays.

Le signal est en tout cas très fort de la part des agences de notations envers les autorités sénégalaises, tout en leur tendant une perche :  “Nous pourrions relever la note du Sénégal ou réviser les perspectives à “stable” si les indicateurs budgétaires et extérieurs s’améliorent plus rapidement que prévu grâce à la mise en œuvre de mesures correctives énergiques“, écrit S & P. En lisant entre les lignes, “mesures correctives énergiques” s’entend par suppression des subventions et autres dépenses publiques, accroissement des recettes. Or, la diète qui a déjà commencé à “consumer” les sénégalais s’accompagne de vagues de licenciements massifs au niveau des entreprises et entraîne un chômage important qui risque de freiner la consommation. Sans consommation, pas de recettes d’autant plus que celles attendues de l’exploitation pétrolière et gazière restent faibles.

SITUATION « CATASTROPHIQUE » DANS LE PRIVÉ ET LE PUBLIC : Déjà près de 3000 travailleurs licenciés dans différentes entreprises

Depuis quelques temps, un constat «déplorable » s’impose. Une vague de licenciements a été notée dans les directions, agences et autres structures de l’État qui risque de se traduire en tensions politiques dans le pays.

Du port autonome de Dakar à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass en passant par la Lonase, la Der, Fongip, Dakar Dem Dikk, hôtel Radison Diamniadio entre autres entreprises, le constat est le même. Pour des motifs «économiques », « structurels », politiques ou encore en raison des contrats arrivés à termes, elles sont en tout cas loin d’être bien accueillies. Ces licenciements interviennent dans un contexte où le chômage est déjà préoccupant. Ils concernent également certains ministères. Certains y voient une simple restructuration mais aussi une « chasse aux sorcières ». À titre d’exemple, si l’on se fie de Babacar Fall, président du rassemblement des travailleurs du Sénégal (Rts), au Port autonome de Dakar, ce sont 781 jeunes quiont été renvoyés. 173 personnes « remerciées » à la Loterie nationale sénégalaise (Lonase), 161 à Saf Industries, 85 à la Sapco et 15 au Fonds de Garantie d’Investissement Prioritaire (Fongip). Sans oublier Promise 35, la société de transport Dakar Dem Dikk 27, Onas 270, Radison Diamniadio 126, Merra voyages 9, Base militaire française 162, Grands domaines du Sénégal 126, ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines, 44, sans oublier les 514 travailleurs de l’aéroport international Blaise Diagne de Diass. Les autorité concernées sont interpellées.

À cet effet, la Ligue Démocratique a fait une déclaration pour exprimer sa «profonde préoccupation quant à la détérioration alarmante du climat social et économique de notre pays, marqué par une vague de licenciements massifs qui frappe de plein fouet le monde du travail ». Selon la LD, « ces décisions brutales, loin d’être de simples ajustements économiques, traduisent une absence criante de vision sociale, et compromettent la stabilité de milliers de familles sénégalaises ». Ainsi face à ce qu’il qualifie d’injustice flagrante, la LD exprime sa solidarité sans faille aux syndicats et aux organisations de travailleurs engagés dans cette lutte légitime pour la préservation des droits sociaux et de la dignité humaine.

Franc – Eumeu Séne officialisé par Jambaar

Avant d’affronter Ama Baldé, Franc avait défié Eumeu Sène et voulait coûte que coûte en découdre avec lui. Mais le lutteur de Pikine avait refusé de tendre la main à Franc, jugeant que ses sorties étaient irrespectueuses renseigne senenws.

Au final, Ama Baldé avait décidé de prendre les choses en main pour affronter Franc, le remettre à sa place et défendre l’honneur de son grand-frère Eumeu Sène. Ce qu’il n’a pas réussi à accomplir, face au poulain de Modou Lo, qui l’a battu en moins de deux minutes.

Depuis cette belle victoire, Eumeu Sène est cité comme le prochain adversaire logique et inévitable de Franc. Ce duel, démarché par plusieurs promoteurs, dont Albourakh Events, a finalement été décroché par la structure Jambaar. Pour le moment, la date de ce duel n’est pas encore connue.

Franc le « Ndiago Or » a enregistré 6 victoires lors de ses sorties contre les lutteurs de Pikine. Le lutteur des Parcelles a battu : Guéth Mbamboulane, Diarra 2, Nguer Bu Zap, Tyson 2, Sokh et Ama Baldé. Eumeu Séne va-t-il réussir à freiner Franc ?

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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