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Le nouveau patron du Real Madrid s’appelle Mbappé

Au sein du Real Madrid, on ressent un changement de mentalité, Mbappé aurait parlé à plusieurs personnes du club pour leur faire part de sa volonté de correspondre pleinement aux attentes des supporters.

Le président du Real veut  qu’il atteigne ses plus hauts sommets en blanc et se rapproche de ce qu’ont été Cristiano Ronaldo ou Raul: un leader footballistique et spirituel au sein de l’équipe.

Le renouveau de Kylian Mbappé pourrait commencer ce mercredi soir à Doha. Le Real Madrid joue la finale de la Coupe Intercontinentale contre le Pachuca mexicain.

C’est le Français, qui se remet d’une blessure à la cuisse gauche, qui aura le dernier mot pour savoir s’il peut être aligné pour remporter le 2e titre de la saison pour le Real Madrid.

Grossesses précoces en milieu scolaire : 53 cas recensés à Kaffrine

Au cours de l’année scolaire 2023-2024, cinquante-trois cas de grossesses précoces en milieu scolaire ont été recensés dans la région de Kaffrine. Cette information a été dévoilée par Ibrahima Guèye, coordonnateur régional du Groupe pour l’étude et l’enseignement de la population (GEEP), lors d’une rencontre de partage et de validation du rapport sur les grossesses précoces en milieu scolaire. L’événement s’est tenu en présence de l’inspecteur d’académie de Kaffrine.

« Dans la région de Kaffrine, on a enregistré 53 cas de grossesses en milieu scolaire pour l’année 2023-2024. En comparaison des autres enquêtes effectuées, le taux a régressé, quand bien même se situant à 4,4 %. Il précise que ces chiffres ont été obtenus sur la base d’une enquête anonyme menée dans beaucoup d’établissements scolaires de la région », a précisé Ibrahima Guèye.

En évoquant les conséquences de ces grossesses précoces, il a souligné qu’elles entraînent « la suspension des études ou leur abandon par les filles, les contre-performances scolaires, la stigmatisation de la fille et son rejet par la communauté ». Face à ces défis, il a proposé de renforcer « la sensibilisation à l’école, la mise en place d’un mécanisme d’accompagnement psychosocial et économique des filles enceintes pour faciliter leur retour en milieu scolaire, ainsi que la création d’un cadre d’échanges propice entre adolescentes basé sur l’estime de soi pour un futur meilleur ».

Doro Gaye , son arrestation , sa femme et la carte bancaire utilisée

Doro Gaye retourne en prison. Selon L’Observateur, l’homme d’affaires a été interpellé à Paris suite à un mandat d’arrêt international émis par le juge d’instruction du troisième cabinet près le Tribunal de grande instance de Dakar. Ce mandat, exécuté par Interpol, fait suite à la violation par Doro Gaye de son contrôle judiciaire dans une affaire d’escroquerie foncière portant sur 1,2 milliard de francs CFA, qui l’oppose à Zakiloulahi Sow.

« Doro Gaye a été arrêté lundi, [vers] 19 heures, alors qu’il se promenait tranquillement sur les Champs-Élysées », rapporte le journal.

Longtemps en cavale, l’homme d’affaires, surnommé « le PDG » dans le showbiz sénégalais, pensait être hors de portée de la justice sénégalaise. Toutefois, grâce à une coopération judiciaire entre le Sénégal et la France, il a été interpellé ce lundi alors qu’il se trouvait sur les Champs-Élysées.

Conduit dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, il a été placé en garde à vue avant d’être libéré sous contrôle judiciaire par un juge français. En attendant la conclusion de la procédure d’extradition, Doro Gaye reste à la disposition de la justice française.

La police a remonté à Doro Guèye en pistant sa carte bancaire utilisée par sa femme

Dans la foulée, Papa Doro Gaye a été conduit à Nanterre, en Île-de-France, dans les locaux de la Direction nationale de la police judiciaire, où il a été placé en garde à vue.

C’est après plusieurs heures d’interrogatoire, hier, à 11 heures, que le Pdg a été libéré et placé sous contrôle judiciaire. Une liberté fragile, accordée par un juge français.

Selon Libération, la police a pisté des paiements effectués par sa femme Clara Gaye à partir de la carte de [son mari] dans des boutiques de luxe», pour pouvoir l’arrêter.

Son arrestation rappelle sa fuite bien orchestrée en juin dernier, lorsqu’il a quitté le Sénégal via la Guinée-Bissau pour éviter un retour en détention. Cette cavale, menée sous l’ombre d’un contrôle judiciaire qu’il a violé, le replace au cœur d’une procédure d’extradition qui pourrait s’étendre sur plusieurs mois.

 

Polisario à Alep : les mercenaires égarés et la capture de miliciens du polisario

C’est une saga où le ridicule côtoie l’insolite. La capture de miliciens du polisario à Alep ne fait que révéler une toile géopolitique complexe tissée autour de l’axe Algérie-Iran-Syrie. En effet, les régimes des séniles militaires et mollah d’Alger et de Téhéran n’ont de cesse d’implorer Ankara de jouer les bons Samaritains. Mais, la Turquie, visiblement amusée par ce spectacle, reste de marbre pour l’heure et l’observe avec une distance plutôt moqueuse. Visiblement, Ankara a d’autres ambitions plus stratégiques que de devenir la nounou diplomatique de mercenaires égarés.

De Tindouf à Alep : le voyage de guerriers sans cause, bras armé d’Alger

Les séparatistes du polisario, habitués à arpenter les dunes du Sahara, ont dû se demander à quoi rimaient ces ruines poussiéreuses d’Alep où ils se sont retrouvés, fusil à l’épaule. Une erreur de GPS, sans doute ? Que nenni ! Envoyés par l’Algérie pour gonfler les rangs pro-Assad, ils se sont vite fait capturer par les factions rebelles, aussi sceptiques qu’amusées de tomber sur ces combattants qui, manifestement, ignoraient où ils avaient atterri.

Avec leurs passeports algériens flambant neufs, ces « touristes armés » n’ont pourtant pas convaincu les forces rebelles. Leur mission, à mi-chemin entre une expédition punitive et une escapade sponsorisée par des ambitions régionales, a tourné court. En guise de récompense, ils auront gagné un séjour prolongé sur la paille des geôles d’Alep. Ironie suprême pour ces militants, au Sahara oriental en Algérie, se réclamant de la lutte séparatiste et terroriste : voilà qu’ils servent d’outils à l’agenda impérialiste de leurs bienfaiteurs algériens.

Sous la supervision directe d’experts militaires iraniens, ces combattants ont été formés dans une base algérienne proche des camps de Tindouf. À peine mieux qu’un désert d’illusions, ce lieu, connu pour être un laboratoire des stratégies d’Alger, est devenu une pépinière d’éléments déstabilisateurs.

Spécialisés dans les frappes aériennes et les attentats éclair, ces mercenaires, enrôlés en grande partie parmi les populations désabusées d’Afrique du Nord et subsaharienne, reflètent une stratégie algérienne visant à élargir son influence en instrumentalisant ses pantins. Mais, que diable faisaient-ils en Syrie, là où se brouillent les lignes entre soutien tactique et exportation de chaos ? Alger, en association avec Téhéran, semble jouer un rôle pour le moins trouble.

Ce qui surprend davantage, c’est l’obsession quasi maladive du régime des séniles d’Alger à justifier l’injustifiable. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a tenté d’éteindre l’incendie diplomatique en évoquant des « Algériens vivant à Alep », tout en feignant d’ignorer que ces individus, en réalité, venaient épauler Bachar Al-Assad sous de fausses identités algériennes. Maladresse ou Provocation calculée ? Difficile de trancher.

L’Iran, l’Algérie et l’exportation de l’instabilité

Cela-dit, le Royaume du Maroc, lucide face aux manœuvres souterraines de Téhéran, n’avait pas hésité à rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran en mai 2018. La décision, ferme et sans équivoque, s’inscrivait dans un contexte où les preuves accablantes du soutien militaire iranien au polisario, via le Hezbollah libanais, ne laissaient plus place au doute. Rabat, avec son élégance diplomatique habituelle, a dénoncé un dangereux axe Alger-Téhéran qui ne vise rien de moins qu’à déstabiliser la région, en armant des groupes séparatistes aux frontières marocaines.

Ce soutien se matérialisait par des livraisons d’armes sophistiquées et une formation militaire dispensée aux éléments terroristes du polisario par des experts du Hezbollah. Les camps de Tindouf, déjà tristement célèbres pour leur rôle dans l’entretien d’un conflit artificiel, sont devenus un terrain d’expérimentation où l’Iran, par l’entremise de ses alliés, testait des stratégies de guerre asymétrique. Une situation que le Maroc, défenseur intransigeant de sa souveraineté, n’avait pas pu tolérer.

Sous le couvert d’une coopération militaire, le régime des mollahs de Téhéran et tyrannique Alger tentent de transformer le polisario en une force paramilitaire régionale, au service d’un agenda commun de déstabilisation. Et si Alep a vu défiler bien des drames, cette comédie diplomatique est le symbole des absurdités de la guerre. Elle n’a sans doute pas fini de surprendre… et de faire sourire.

Cette affaire d’Alep met également en lumière l’influence croissante de l’Iran dans la formation de cellules terroristes en Afrique du Nord. Daraa, bastion syrien du chaos, est devenu un centre d’entraînement pour ces éléments terroristes du polisario depuis trois ans, selon des sources sécuritaires.

L’épisode syrien du polisario est une fable moderne d’une absurdité presque comique, où les ambitions mal déguisées d’Alger et Téhéran s’entrechoquent avec la réalité du terrain. En cherchant à jouer sur tous les fronts – de la défense du régime syrien à l’hostilité envers le Sahara marocain – l’Algérie s’embourbe dans une incohérence diplomatique flagrante. Le polisario, lui, n’est que le pion d’un jeu trop grand pour ses aspirations désertiques.

Nullité de plein droit de l’arrêté préfectoral déclarant démissionnaire Barthélemy Dias de son mandat de Conseiller municipal

La décision du Préfet, signée par son adjoint en application des dispositions de l’article L277, L29 et L30 du Code électoral, sera purement et simplement annulée par les juges de la Cour d’appel si le Droit est dit.

Aussi, dans sa décision 72/E/24 du 10 octobre 2024 relative à la requête de Serigne Modou Dièye pour l’annulation de la candidature de Barthélemy Dias pour inéligibilité, le Conseil constitutionnel, ayant pouvoir pour se prononcer sur le cas d’inéligibilité de ce dernier, s’est non seulement abstenu de statuer sur l’objet de la requête, mais il a déclaré expressément dans son Considérant 6 que la candidature de Monsieur Dias était recevable.

Un principe sacro-saint du Droit dit : «Tout ce qui n’est pas interdit en Droit est permis.»

En conséquence, nous estimons à bon Droit que les juges de la Cour d’appel, (que Monsieur Barthélemy Dias ne manquera certainement pas de saisir sur le fondement de l’alinéa 1 de l’art 277 du Code électoral), ces illustres magistrats, prendront un arrêt conforme à la décision 72/E/24 du Conseil constitutionnel.
Pour rappel, les décisions du Conseil constitutionnel, insusceptibles de recours, s’imposent erga omnes aux pouvoirs publics.

Si la règle de Droit est appliquée, les juges de la Cour d’appel procéderont simplement à l’annulation de la l’arrêté préfectoral qui a rendu démissionnaire M. Dias en sa qualité de Conseiller municipal.

A l’appui de leurs prétentions, ils pourront motiver leurs décisions en évoquant la violation des points de Droit suivants :

– violation des dispositions de la décision du Conseil constitutionnel 72/E/24 en sa séance du 10 octobre 2024 ;

– violation des dispositions de l’article 277 du Code électoral qui ne mentionne nullement les cas de démission d’un maire, mais d’un Conseiller municipal ;
– violation des dispositions de l’art L29 et L30 du nouveau Code électoral sur la prescription extinctive ;

– violation des dispositions n°2021-35 du 23 juillet 2021 du Code électoral revu et corrigé qui confère aux candidats la qualité de maire élu directement par les populations au suffrage universel direct et non par des conseillers.
Abdourahmane MAIGA  – Juriste, conseil juridique sous le numéro 98/A/ 4600 du RC, Spécialisé dans le Droit des affaires

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention