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Dette cachée, rapports cachés : un cas d’école pour la communication

Mise au point liminaire : Je tiens à préciser d’emblée que je ne suis ni expert financier ni juriste. Le présent article n’a aucune vocation à se prononcer sur le fond du dossier concernant d’éventuelles dettes ou la légalité des actions des différentes parties prenantes.

Mon analyse se concentre exclusivement sur la dimension communicationnelle de cette affaire, qui offre un cas d’étude remarquable des mécanismes de l’influence médiatique et de la construction narrative dans l’espace public.
L’objectif est purement pédagogique : décrypter les stratégies de cadrage et de contre-cadrage mises en œuvre, afin d’offrir aux professionnels et étudiants en communication des outils d’analyse transférables à d’autres contextes.

Aujourd’hui, l’expression «dette cachée» s’est imposée dans le débat, cristallisant les critiques sur la gestion financière de l’ancien Président Macky Sall. Dans notre pays, l’accusation a provoqué un séisme politique. Pour y répondre, les avocats de l’ancien chef de l’Etat ont opéré une manœuvre rhétorique remarquable : ils ont déplacé le centre de gravité du débat de la «dette cachée» vers des «rapports cachés», transformant une position défensive en une offensive stratégique. Ce cas est une illustration parfaite des mécanismes du recadrage (framing) et du contre-cadrage (counter-framing) en communication politique.

Rappelons que le recadrage est une technique qui consiste à modifier les termes d’un débat pour en changer la perception. Il ne s’agit pas de nier les faits, mais de proposer une nouvelle grille de lecture qui sert ses intérêts.
Dans ce cas précis, la stratégie a consisté d’abord à identifier et désamorcer le cadre négatif, le terme «dette cachée» évoque immédiatement l’opacité, la malhonnêteté et une trahison de la confiance publique. C’est un cadre sémantique puissant et négatif, difficile à contrer par un simple déni.

Ensuite, l’équipe de Macky Sall lui a substitué un nouveau cadre en introduisant celui des «rapports cachés». Cette expression déplace l’objet de la controverse : on ne parle plus de l’action du Président, mais de celle de ses détracteurs. La question n’est plus «pourquoi cette dette ?», mais «pourquoi ces rapports sont-ils cachés ?».

Ainsi, la charge morale devient inversée. Ce nouveau cadre opère un renversement accusatoire. L’ancien Prési­dent, initialement sur la défensive, devient l’accusateur, pointant du doigt le manque de transparence de ses opposants. Il se positionne en demandeur de «vérité» et de «transparence».
Maintenant, la théorie du recadrage ne suffit pas ; elle doit être mise en œuvre avec précision. Les avocats de Macky Sall ont matérialisé cette stratégie par des actions juridiques et médiatiques bien réelles. Ils ont saisi le ministère des Finances et la Cour des comptes, exigeant la communication de «documents et de données brutes» concernant cette dette. Cette procédure a servi de socle tangible à la nouvelle narration. En médiatisant ces démarches, ils ont ancré l’expression «rapports cachés» dans l’espace public, lui donnant une légitimité procédurale. Le message était clair : la vérité ne pourra émerger que si ces documents sont rendus publics, faisant ainsi porter la responsabilité du flou sur leurs adversaires.

Pour y arriver, ils ont usé de plusieurs principes intemporels :
La maîtrise de l’agenda : une communication efficace ne subit pas le débat ; elle le redéfinit. L’objectif stratégique n’était pas de discuter de la dette dans les termes imposés par l’adversaire, mais de déplacer la conversation sur un terrain plus favorable.
La technique du «Pont» : face à une question gênante sur la «dette cachée», un communicateur bien formé ne répond pas directement. Il fait le pont vers son message-clé : «La vraie question n’est pas celle de la dette, mais celle de l’opacité des rapports qui permettraient de l’éclaircir.»

L’importance du récit (storytelling) : la défense s’est construite non pas sur une série de dénis, mais sur un récit cohérent, celui d’un homme politique victime d’une cabale et cherchant la vérité à travers les institutions. Ce récit, résumé en trois mots -la vérité, la procédure, la justice-, est bien plus puissant et mémorable qu’une argumentation technique complexe.

Cependant, même si le recadrage est un outil puissant, son efficacité n’est pas absolue et son usage comporte des risques. Dans une affaire aussi sensible que la dette publique, la crédibilité de la nouvelle narration est soumise à plusieurs tests :
La résistance des faits : une stratégie de communication, aussi brillante soit-elle, bute souvent sur la réalité des faits. Si des preuves incontestables de la dette cachée venaient à être publiquement vérifiées, le recadrage s’effondrerait.

Le contexte et la crédibilité : l’acceptation du nouveau cadre par l’opinion publique dépend de la crédibilité préalable de l’émetteur et du contexte informationnel. Un public méfiant peut percevoir le recadrage comme une simple manipulation.

Le contre-recadrage adverse : les parties adverses peuvent à leur tour tenter de recadrer le débat. Elles pourraient, par exemple, qualifier la manœuvre de diversion ou de tentative d’étouffement de la vérité, engageant une bataille sémantique dont l’issue est incertaine.

Constatons ensemble que l’épisode de la «dette cachée» et des «rapports cachés» dépasse largement le cadre d’une simple polémique politique nationale. Il s’érige en cas d’école pour la communication de crise et d’influence. Il démontre avec force que dans l’arène médiatique moderne, le conflit ne se joue pas seulement sur la véracité des faits, mais aussi, et peut-être surtout, sur la capacité à dicter les termes du débat. La maîtrise du langage et des techniques de recadrage n’est pas un simple ornement ; elle est une dimension essentielle du pouvoir.
Souleymane LY – Spécialiste en communication
julesly10@yahoo.fr

Égypte: Macky Sall salue les progrès de l’intégration africaine

L’ancien président de la République du Sénégal, Macky Sall, prend part depuis hier, au Caire, à la cérémonie de passation de pouvoir entre les présidents sortant et entrant d’Afreximbank. Dans un message publié sur ses réseaux sociaux, l’ancien chef de l’État a salué la « contribution remarquable » de la banque panafricaine au développement du continent, à l’intégration économique de l’Afrique et au renforcement de ses capacités de résilience en période de crise.

Macky Sall, qui dit entretenir des relations étroites avec les institutions financières africaines, a souvent souligné le rôle stratégique d’Afreximbank dans le financement des économies africaines et dans la promotion du commerce intra-africain, notamment à travers la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

5 % de croissance : Trop peu pour lutter contre le chômage des jeunes au Sénégal

L’économiste Amath Ndiaye (FASEG-UCAD) dénonce une « croissance sans emploi » et appelle à une réorientation budgétaire radicale pour absorber les 200 000 nouveaux arrivants annuels sur le marché du travail reporte senweb.

L’annonce d’un taux de croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) de 5 % pour 2026 par le gouvernement sénégalais est saluée sur le plan macroéconomique, mais elle est jugée « largement insuffisant pour stabiliser l’emploi » par l’économiste Pr Amath Ndiaye, de la FASEG-UCAD. Dans une tribune critique, l’expert estime que ce chiffre ne permet pas de relever le défi le plus pressant du pays : l’emploi des jeunes.

L’analyse de l’économiste repose sur l’élasticité emploi-croissance, estimée à 0,6 au Sénégal. Selon ce calcul, chaque point de croissance génère environ 29 000 emplois. « Avec une croissance prévue de 5 %, l’économie sénégalaise pourrait créer autour de 145 000 emplois », explique le Pr Ndiaye.

Ce chiffre est loin d’être suffisant pour absorber la demande. Selon les données de l’ANSD, le marché du travail enregistre en effet « entre 200 000 et 300 000 nouveaux entrants chaque année ».

Conséquence directe : cette dynamique laisse un déficit annuel de 50 000 à 150 000 emplois, venant inéluctablement « aggraver le chômage et le sous-emploi », en particulier parmi les jeunes.

Ce déséquilibre, persistant depuis plusieurs années, s’explique par la nature même de la croissance sénégalaise, que l’économiste qualifie de « croissance sans emploi » (jobless growth).

La vitalité du PIB est en grande partie assurée par des secteurs à faible intensité de main-d’œuvre : « hydrocarbures, télécommunications, finance, grands travaux publics ». Ces secteurs ont un impact fort sur les chiffres nationaux mais un effet limité sur l’emploi de masse. « Les activités à forte intensité de travail — agriculture, transformation agroalimentaire, artisanat, BTP local, services marchands — peinent encore à se hisser au cœur de la stratégie économique nationale », déplore l’expert.

Résultat : la croissance « ne se traduit pas en emplois décents ni en amélioration significative du pouvoir d’achat ».

Face à cette urgence, le Pr Ndiaye appelle à un changement de cap budgétaire en cette période d’ajustement. Pour lui, la solution passe par la transformation de la dépense publique en un « levier d’emploi » plutôt qu’en un simple outil de gestion courante.

Il préconise de « réduire les dépenses de fonctionnement de l’État » – notamment les avantages non productifs et les doublons institutionnels – afin de réorienter ces ressources vers l’investissement public productif.

Les priorités budgétaires doivent impérativement redevenir : les infrastructures de base (énergie, numérique, hydraulique), la formation professionnelle, la santé et l’amélioration de la productivité agricole.

Pour atteindre la stabilité de l’emploi, l’économiste recommande au Sénégal de viser une croissance plus ambitieuse, de 7 à 8 % par an, et surtout « plus inclusive et plus intensive en travail ».

Cela suppose notamment :

Une stratégie industrielle et agricole fondée sur la transformation locale et la création de chaînes de valeur.

 Une politique d’emploi active : soutien aux PME, incitations à l’embauche et promotion de l’entrepreneuriat.

 Une gouvernance budgétaire exemplaire, orientée vers la réduction des inégalités territoriales.

« Le taux de croissance de 5 % prévu pour 2026 ne permettra pas de stabiliser le chômage ni de répondre à la pression démographique », conclut le Pr Ndiaye. Il insiste : « Réduire le train de vie de l’État, investir dans les secteurs productifs et promouvoir une croissance inclusive : voilà les véritables priorités. »

Diagnostic – Portefeuille de la dette publique à fin décembre 2024 : Un encours de 23 666, 8 milliards

D’après le diagnostic fait du portefeuille de la dette publique à fin décembre 2024, dans le rapport de la Stratégie de gestion de la dette à moyen terme 2026-2028, l’encours de la dette publique de l’Admi­nistration centrale est estimé à 23 666, 8 milliards de francs Cfa. Rapporté au Pib nominal de 2024, l’encours de la dette publique s’élève à 119% et est composé de dette intérieure pour 31, 7% et de dette extérieure à hauteur de 68, 3%.

Le stock de la dette publique extérieure, mentionne le document, «est arrêté, à fin décembre 2024, à 16 160, 5 milliards de francs Cfa, soit 81, 2% du Pib. Il est principalement constitué de dette concessionnelle et semi concessionnelle contractée auprès de créanciers multilatéraux et bilatéraux (51% de la dette extérieure) et de dette commerciale à hauteur de 49%, incluant 18, 3% d’Euro­bonds émis sur le marché international et 11, 2% de crédit à l’exportation».
Relativement à la dette intérieure, «l’encours est arrêté à fin décembre 2024 à 7506, 3 milliards de francs Cfa, soit 37, 7% du Pib. Le stock d’obligations du Trésor de 3 ans et 5 ans représente 34, 5% de l’encours de la dette en monnaie locale. L’encours de la dette contractée auprès de banques locales ressort à 28, 7%.
Evolution de la dette publique totale à fin décembre 2024, le stock de dette concessionnelle (27,7%) et semi concessionnelle (6,8%) ressortent à 34, 5% du portefeuille de dette totale ; les 64, 5% restants sont constitués de dettes contractées à des conditions commerciales.

La part de la dette libellée en devises étrangères s’élève à 68, 3% du total à fin décembre 2024. La dette en dollars et de­vises assimilées constitue 39, 8% du stock de la dette totale et 58% du stock de dette extérieure.
A fin décembre 2024, l’encours de la dette contractée à taux variable représente 20% du stock de la dette totale».
Sur les principales vulnérabilités du portefeuille de la dette publique, le rapport a fait état du Risque de change et du coût de la dette. «Près de 40% du portefeuille de la dette publique est libellé en dollars Us et devises assimilées.
Près de 32% de la dette extérieure et un peu plus de 27% de la dette domestique, soit un peu plus de 30% de la dette totale, sont à refixer dans 1 an. En outre, le coût moyen pondéré de la dette globale se situe à 4, 3%. On notera que les coûts sont en moyenne légèrement plus élevés sur le marché domestique.

La durée moyenne d’échéance (Atm) de la dette intérieure est limitée à 3, 2 ans compte tenu des émissions d’obligations sur des maturités plus réduites (3 ans et 5 ans pendant ces 3 dernières années). Pour la dette extérieure, l’Atm se situe à 8, 4 ans au regard notamment du rapprochement des échéances des Eurobonds et de la contractation de dette commerciale de courte maturité et quasiment sans différé de paiement. On notera également que 27% de la dette domestique sont exigibles dans un an.

La durée moyenne à refixer (Atr) ressort à 7, 2 ans la dette extérieure et à 3, 2 ans pour la dette intérieure. Cela s’explique essentiellement par un recours plus important à des instruments à taux variable et à de la dette à très court terme. En conséquence, l’Atr de la dette publique totale est situé à 5, 9 ans à fin 2024. Par ailleurs, la part de la dette à refixer dans un an est estimée à 30, 4% du stock à fin 2024.»

Il est également noté qu’à «fin décembre 2024, le profil de remboursement de la dette laisse apparaître une concentration sur les années 2025 à 2028. Le pic le plus important qui se situe en 2025 s’explique essentiellement par l’intégration des corrections apportées sur l’encours de la dette bancaire à la suite de l’exercice de réconciliation des données réalisé par le Cabinet Forvis Mazars dans le cadre de ses travaux d’inventaire à la suite du rapport de la Cour des comptes de février 2025. Les pics des années 2026 à 2028 coïncident avec le début du remboursement en principal de l’Eurobond de 2018 amortissable sur les années 2026, 2027 et 2028 et l’arrivé à échéance de certains instruments contractés sur le marché des titres publics».

3430 milliards mobilisés à fin septembre 2025

«Les ressources mobilisées à fin septembre, au titre du financement du budget de l’année 2025, sont estimées à 3430 milliards de francs Cfa environ, soit 60% du besoin de financement. La part des ressources extérieures ressort à 25% environ. Dans le plan de financement prévu lors de l’élaboration de la Sdmt 2025-2027, il était attendu une mobilisation de ressources extérieures à hauteur de 50% en 2025. Cependant, en raison de la suspension du programme avec le Fmi, la stratégie a été réorientée sur le marché domestique. Les émissions de nouvelles dettes sur ce marché, en proportion du total des mobilisations à fin septembre, s’élèvent à 75%. Les niveaux de mobilisations sont projetés à 35% pour la dette extérieure et 65% pour la dette domestique à fin 2025. A date, le coût moyen de la nouvelle dette domestique (mobilisée en totalité sur le marché monétaire et financier) ressort à 7% pour une durée de vie moyenne de 3, 7 ans et une période de différé moyen de 1, 7 an.
Pour les mobilisations sur ressources extérieures, le coût moyen est projeté à 4% environ pour une maturité moyenne de 8, 1 ans et une période de différé moyen de 4, 2 ans. Elles portent sur de la dette à taux variable pour environ 44% et la part libellée en euros ressort à 49%. La nouvelle dette con­tractée à des conditions commerciales porte sur 81% des montants mobilisés à date.»

avec le quotidien

Sultan Diop, Dg de Nogamine : «Il est temps que Kédougou dispose d’un comptoir de commercialisation de l’or»

Bassin aurifère du pays, la région de Kédougou n’a pas d’or. Directeur général l’entreprise minière, Nogamine, Sul­tan Diop plaide la cause des investisseurs et des populations de Kédougou en appelant de tous ses vœux à l’implantation d’un comptoir d’or dans la ville. Pour lui, cela va «permettre à l’économie d’être boostée» et à l’artisanat local de «mieux s’approvisionner en or». «Ce qui contribuera à l’essor de la région. Nous lançons donc un appel solennel au président de la République et à son Premier ministre», dit Sultan Diop.
Le Directeur général de l’entreprise minière, Nogamine, a fait cette déclaration lors de la troisième édition de la journée de l’excellence dans la commune de Tomboroncoto, initiée par la société. Le village de Mako, zone d’intervention de la société, a abrité l’événement. Près d’une centaine d’élèves de tous les ordres d’enseignement (élémentaire, moyen et secondaire) ont été primés. Sans compter les meilleurs enseignants qui ont eu à faire de bons résultats dans les différents examens scolaires. Pour­tant, Nogamine n’a pas seulement limité la fête à l’école et à ses acteurs. Les chefs de village et certaines personnes à mobilité réduite ont été ap­puyés aussi par l’entreprise. «Cette action s’inscrit dans le cadre de la responsabilité sociétale de l’entreprise. Mieux, l’objectif est d’accompagner les écoles pour les amener vers l’excellence. Nous en sommes d’ailleurs à la troisième édition de la journée de l’excellence», rappelle-t-il.
M. Diop se définit comme un fervent souteneur de l’école. «Tout ce qui touche au développement et à l’épanouissement de l’enfant, rencontre mon adhésion et mon soutien. Grâce à l’appui de Nogamine, poursuit-il, beaucoup d’actions et d’activités ont été faites pour les écoles. Outre la journée de l’excellence qui est aujourd’hui inscrite en lettres capitales dans notre agenda, nous avons tout le temps offert des fournitures scolaires à toutes les écoles de la commune, sans distinction aucune», ajoute-t-il. Il rappelle que l’entreprise a construit des salles de classe, réalisé des murs de clôture et des points d’eau dans plusieurs établissements. «Du côté du personnel enseignant, nous avons contribué à sa mobilité en lui offrant des motos. Nous avons aussi, par endroits, contribué à l’éclairage des logements des enseignants et de certaines écoles. Tout cela montre, dit Sultan Diop, que l’éducation des enfants doit être de qualité afin que les résultats puissent suivre.» Il dit continuer à soutenir le développement du secteur de l’éducation dans la zone.

Cette action réjouit l’Inspec­tion de l’éducation et de la formation de Kédougou qui polarise la zone. «La contribution toujours apportée aux écoles par l’entreprise Nogamine a considérablement impacté les enseignements-apprentissages dans cette contrée. Aujourd’hui, beaucoup de structures scolaires n’ont plus rien à envier aux établissements dans les centres urbains, tellement l’accompagnement de Nogamine a été déterminant», explique le secrétaire de l’Ief de Kédougou.

No Face et Mia Guissé : la güerre des mots annoncée demain pour l’ex-couple…

Entre révélations, piques subtiles et confidences inattendues, l’ancien couple formé par No Face et Mia Guissé s’apprête à faire de nouvelles vagues sur la toile.

Après plusieurs mois de silence ponctués de rumeurs, les deux artistes semblent désormais prêts à vider leur sac chacun à sa manière.

Tout est parti d’une publication énigmatique de No Face sur ses réseaux sociaux, où il promettait de faire une sortie ce mardi. « Papa Djibril Guisse mba yagui si diambe diokh nalla RV demain. Dinalla féne lo ak aye preuve. Je suis vraiment dsl MIA Aissata Guisse Mais bi mome fok ma réglé ko », a t’il lancé.

Quelques minutes plus tard, Mia Guissé a répliqué avec une publication tout aussi mystérieuse : « Le 08 mars 2022 a 01h 11 minutes …J’attends …. low rek lay khar pour meuna tambali, low nak lay féne lo soubeu ak ay preuve, Magui diégalou gneup », dit-elle.

Demain s’annonce donc comme une journée électrique sur la scène people sénégalaise, où les vérités de chacun risquent bien de relancer le débat autour de leur rupture et de leurs différends.

 

Ndèye Fatou Ndiaye, la fille de la chanteuse Fatou Laobé, est encore tombée

les ennuis judiciaires de Ndèye Fatou Ndiaye semblent loin de s’arrêter. Extraite de sa cellule pour comparaître à nouveau, la fille de Fatou Laobé a dû s’expliquer sur une autre plainte, déposée cette fois par Sanou Ndiaye, une jeune femme ayant participé à l’une de ses tontines sans jamais recevoir sa mise. La victime a expliqué à la barre que la ronde des mises, clôturée depuis décembre 2024, ne lui a jamais permis de récupérer son argent. « C’est depuis le 20 décembre 2024 que je devais recevoir ma part. À chaque fois que je l’appelais, elle me faisait patienter. J’ai même eu sa mère au téléphone, et cette dernière m’a dit que sa fille était en train de voir comment régler la situation », a déclaré la plaignante, qui réclame 1 650 000 F CFA à titre de réparation.

Interrogée à son tour, Ndèye Fatou Ndiaye a reconnu les faits. Pour sa défense, elle a affirmé qu’elle faisait face à des difficultés financières causées par le comportement de certains adhérents. « Certaines personnes n’ont pas misé après avoir reçu leurs parts », a-t-elle justifié, selon les propos rapportés par Les Échos. Elle a précisé que chaque participant devait verser 300 000 F CFA par mois, mais que Sanou Ndiaye, elle, ne contribuait qu’à hauteur de 150 000 F CFA mensuels. Elle a ajouté avoir même déposé plainte contre des membres défaillants de ses tontines, tout en reconnaissant devoir encore de l’argent à quinze autres personnes.

Lorsque le procureur lui a demandé ce qu’elle gagnait en organisant ces tontines en ligne, Ndèye Fatou Ndiaye s’est présentée comme une « bonne Samaritaine » voulant aider les autres à épargner. Mais, à la surprise générale, la plaignante a révélé que la prévenue percevait des commissions de 150 000 F CFA de la part de certains participants ayant déjà reçu leur mise. Acculée, Ndèye Fatou Ndiaye a fini par admettre : « Parfois, les participants, après avoir reçu leur part, me remettent une partie de l’argent. » Ce à quoi le procureur a répliqué sèchement : « C’est de l’arnaque. Vous êtes de mauvaise foi, vous trompez les gens en organisant de fausses tontines. Il faut arrêter. »

La présidente de l’audience a, elle aussi, été catégorique : « Au vu de son comportement à la barre, Ndèye Fatou Ndiaye n’est pas une personne honnête », a-t-elle déclaré, selon Les Échos. Toutefois, un geste d’apaisement a été noté : le mari de la prévenue a remboursé 750 000 F CFA à la victime sur les 1 650 000 F CFA réclamés. Mais la jeune femme reste encore devoir 900 000 F CFA.

Au terme des débats, le tribunal a reconnu Ndèye Fatou Ndiaye coupable d’escroquerie et l’a condamnée à six mois de prison assortis du sursis et à une amende de 50 000 F CFA. En plus, elle devra rembourser les 900 000 F CFA dus à sa victime, une décision assortie d’une contrainte par corps. Avant qu’elle ne quitte le prétoire, le juge lui a rappelé que la peine de sursis pourrait être révoquée à tout moment si elle récidive.

Cette nouvelle condamnation vient alourdir le passif judiciaire de Ndèye Fatou Ndiaye, déjà au centre de plusieurs dossiers similaires relatifs à ses tontines, indique Les Échos.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention