Mentionné en Conseil des ministres ce mercredi 11 décembre 2024, le projet de loi a été adopté et pourrait être effectif avec la 15e législature.
Il s’agit du projet de loi portant abrogation de la loi organique n° 2012-28 du 28 décembre 2012 portant organisation et fonctionnement du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) et la loi organique n° 2016-24 du 14 juillet 2016 relative à l’organisation et au fonctionnement du Haut Conseil des Collectivités territoriales.
Ce projet de loi permettra la dissolution du HCCT et de CESE. Une décision qui intervient trois mois après que le projet de loi ait été rejeté par les députés de la 14e législature. En réalité, 83 voix étaient contre la suppression et 80 avaient voté pour.
Le président Bassirou Diomaye avait convoqué une session extraordinaire de l’Assemblée nationale pour l’examen du projet de loi de modification de la Constitution aux fins de la dissolution des deux institutions à savoir le Conseil Économique, social et environnemental (CESE) et le HCCT.
La dissolution des institutions HCCT et CESE, en marche
Équipe nationale : la FSF a choisi le remplaçant de Cissé
Comme l’annonce la presse depuis quelques jours, Pape Thiaw, qui a récemment déclaré terminer sa mission d’intérimaire, devrait changer de statut et passer au titulaire principal sur le banc des lions. C’est une décision actée par le Comex de la FSF lors de sa réunion de mardi dernier.
La désignation du nouvel entraîneur des Lions figurait parmi les principaux sujets abordés au cours de cette session. Selon Les Échos, qui rapporte l’information, le choix de Pape Thiaw a été validé en seulement 30 minutes, et ce, à l’unanimité.
Il reste toutefois à obtenir l’approbation des autorités compétentes, précise le journal. Les Échos indique également qu’Augustin Senghor, président de la FSF, a immédiatement contacté Khady Diène Gaye pour lui communiquer la décision du Comex.
Assemblée nationale : Bathélémy Dias engage le combat contre sa radiation
Récemment radié de l’Assemblée nationale suite à une requête du ministre de la justice, Barthélémy Dias par ailleurs maire de la capitale sénégalaise, a commis un pool d’avocats de renom pour attaquer la décision du bureau de l’hémicycle. D’après Les Échos, Barth et ses partisans estiment que les compétences du Conseil constitutionnel ont été usurpées.
Éducation nationale : Vers un recrutement massif d’enseignants
-Le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, a demandé, hier mercredi, en Conseil des ministres, de finaliser dans les meilleurs délais « un programme spécial de recrutement d’enseignants sur trois ans (2025, 2026, 2027), selon les spécialités et matières prioritaires ciblées ».
En abordant « la problématique de la maîtrise stratégique du capital humain dans le système éducatif », le chef de l’État a constaté que « plusieurs écoles publiques, collèges et lycées du Sénégal connaissent un déficit criard d’enseignants », selon le communiqué du Conseil des ministres.
Mondial 2030: six pays et deux continents, 2034 à l’Arabie Saoudite
Sans surprise, la FIFA a officialisé ce mercredi les organisations des deux Coupes du monde de 2030 et 2034 respectivement par l’Espagne, le Portugal et le Maroc, avec trois les premières rencontres en Amérique du Sud (Uruguay, Argentine et Paraguay), et l’Arabie saoudite. Cela a été a approuvé lors d’un Congrès virtuel de l’Instance internationale.
La première formule tri-continentale inédite, qui soulève des critiques sur l’impact environnemental de la mpétition, était seule en lice après une série de désistements et regroupements des candidatures. Ce sera la deuxième fois de l’histoire seulement que l’Afrique va accueillir un Mondial après l’Afrique du Sud en 2010.
«le football unit le monde»
Avec 11 des 20 stades proposés, l’Espagne devrait être l’hôte principal après avoir déjà organisé le Mondial 1982, mais le Maroc, quintuple candidat malheureux à l’organisation, rêve d’avoir l’organisation de la finale avec la future enceinte Hassan-II entre Casablanca et Rabat, qui ambitionne de devenir le «plus grand stade du monde» avec 115.000 places.
De son côté, l’Arabie Saoudite organisera le Mondial 2034 de football, confortant son influence croissante dans le sport mondial en dépit des critiques sur les droits humains, a décidé mercredi le Congrès de la Fédération internationale de football.
L’Arabie saoudite, devenue une puissance dans le sport avec la boxe, le MMA, la F1, les JO de l’e-sport, les Jeux asiatiques d’hiver 2029 s’est retrouvée seule candidate après le renoncement de l’Australie et de l’Indonésie, et la mise en sommeil des ambitions footballistiques de la Chine. Le royaume, lancé dans une stratégie de diversification économique et d’amélioration de son image, ne dispose pour l’heure que de deux des 14 stades d’au moins 40.000 places requis.
«Aujourd’hui est un jour de fête, c’est grâce à vous que le football est mondial, dans une vie divisée, a confié Gianni Infantino, président de la FIFA. Vous nous avez montré que l’on fait tous partie de la même communauté. Nous nous respectons les uns les autres. Dans ce monde imparfait, de nombreux points devraient être améliorés, nous sommes inclusifs et non discriminatoires. Nous voulons avoir une action positive, qui répond aux attentes du monde. C’est la raison pour laquelle nous avons créé cette procédure, où l’on reste transparent. Organiser un tel événement, permet au pays de mettre la lumière son sa culture, son patrimoine. Ces tournois doivent unir et non diviser. On doit agir. Aujourd’hui, c’est un jour marqué par l’unité. Félicitations aux 7 pays hôtes. Vous les 211 associations membres, vous unissez réellement le monde, par le biais du football, car nous le savons, le football unit le monde.»