jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 220

Le Pr. Diomaye fixe au 13 septembre la date de la DPG de Sonko

Le Chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, a adressé une correspondance au Président de l’Assemblée nationale. Ce, pour lui signifier que la Déclaration de politique générale de son premier ministre se tiendra le 13 septembre prochain.

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a adressé vendredi, une lettre au président de l’Assemblée nationale. Dans sa correspondance, il fixe au 13 septembre la date de tenue de la Déclaration de politique générale (Dpg) du Premier ministre, Ousmane Sonko. L’information est relayée par nos confrères de l’Agence de presse sénégalaise.

“Le président de la République, conformément à ses prérogatives constitutionnelles et à l’histoire du Sénégal, a informé l’Assemblée nationale dans une lettre en date du 6 septembre 2024 de la tenue le vendredi 13 septembre de la Dpg conformément au règlement intérieur de l’institution parlementaire en son article 97”, a annoncé Yankhoba Diémé, le ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions, à nos confrères.

Pour rappel, le bureau de l’Assemblée nationale avait fixé la date de la tenue de cette Dpg, au 11 septembre prochain. Ce qui avait suscité l’ire des memebres de pastef.

Escroquerie à la Ponzi : Mauvaise nouvelle pour la fille de Ismaila Lô

Le procès de la fille du chanteur Ismaila Lô, Marie Lô, a été encore repoussée jusqu’au 7 novembre 2024.

Marie Lo devra prendre son mal en patience. Le procès de la fille de l’artiste Ismaila Lô pour diffamation, portant sur 600 millions de francs CFA, a été encore renvoyé au 7 novembre prochain « pour plaidoiries ».

Le dossier a été appelé à la barre hier jeudi 5 septembre 2024 devant le juge correctionnel de Dakar.

Inculpée puis placée sous mandat de dépôt, hier mercredi, par le juge du deuxième cabinet pour escroquerie. Elle est poursuivie pour escroquerie à la Ponzi portant sur 533, 500 millions de Fcfa à des investisseurs, escroquait ses victimes via sa société “Balquis Holding”.

Pour ferrer ses proies, elle avait dans un premier temps pris le soin de les convaincre du fait qu’elle bénéficiait de solides relations avec des dignitaires du régime dont le ministre de l’Intérieur et son épouse.

Ce qui lui permettait de gagner facilement des marchés publics. Ensuite, la fille de Ismaïla Lô proposait à ses victimes d’investir dans l’exécution de marchés de l’État qu’elle aurait gagnés.

En contrepartie de l’argent que ces derniers lui remettaient, elle leur filait des bénéfices conséquents. Les premières opérations se passent chaque fois bien, la mise en cause rétribuant effectivement les mises.

Escroquerie au visa: Un commerçant gruge des candidats pour recharger sa boutique

Le tribunal des flagrants délits de Dakar s’est penché sur le dossier de Sidy Traoré. Commerçant de son état, le trentenaire a collecté l’argent de plusieurs individus en leur promettant le voyage à l’extérieur. Il est condamné à six mois d’emprisonnement.

Âgé de 39 ans, Sidy Traoré a comparu devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. Il est poursuivi pour escroquerie portant sur 2.500.000 francs Cfa. Le comparant se prévoyait facilitateur pour faire voyager des individus. C’est sur ces entrefaites qu’il a rencontré Ibrahima Barry. Dans la volonté de faire voyager son frère, le monsieur lui a remis 2.500.000 francs. Mais, il était loin de se douter que le monsieur n’est pas l’homme qu’il prétend être. En effet, depuis qu’il a encaissé la somme il s’est évaporé dans la nature. Au bout de plusieurs mois, le sieur Barry le recontacte. Il s’est avéré que Sidy a utilisé l’argent pour ravitailler sa boutique.

Au regard des faits, Ibrahima Barry a porté l’affaire en justice. Placé sous mandat de dépôt le 16 Août dernier, Sidy Traoré a été présenté aux juges du tribunal des flagrants délits de Dakar. Il est poursuivi pour les chefs d’escroquerie. Il ressort de la procédure, que Barry n’est pas seul à avoir été grugé par le comparant. Mais, devant la barre, le prévenu botte en touche les faits qui lui sont reprochés. À l’en croire, Barry lui avait remis l’argent afin qu’il lui fournisse de la marchandise. Mais c’est sans compter sur la partie civile qui a tenu à clarifier les faits. Il dira : «je lui ai donné l’argent pour qu’il m’aide à faire voyager mon petit frère en France. C’est ainsi qu’il m’a demandé 4,5 millions. Alors que j’ai versé 2,5 millions, il s’est évaporé dans la nature en ignorant tous mes appels. Je me suis rendu chez lui afin qu’il me rende mon argent. Chose qu’il refusée en me servant des excuses bidonnes. Maintenant tout ce que de demande c’est la restitution de mon argent».

Conscient que les carottes sont cuites, le prévenu revient sur ses allégations en soutenant : «je reconnais avoir reçu l’argent et je devais l’amener en France. J’avais bien l’intention de l’aider mais je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai utilisé l’argent pour me ravitailler et recharger ma boutique». Son mea-culpa … le ministère public qui, convaincu de la culpabilité du prévenu, requiert de le déclarer coupable et condamner à une peine ferme de quatre mois. Cependant, le conseil de la défense sollicite la bienveillance du tribunal. Me Baba Diop demande qu’on lui tende la perche. «Vu sa façon de s’exprimer il a même honte. Il s’est engagé à rembourser la partie civile. Nous vous demandons de faire une application bienveillante de la loi pénale», plaide la robe noire.

Finalement, le tribunal après en avoir délibéré, déclare Sidy Traoré coupable des chefs d’escroquerie. Le juge le condamne à six mois d’emprisonnement dont deux mois ferme et ordonne la restitution de l’argent.

Avec Aïssatou TALL 

Tivaouane: Des tensions éclatent entre les ‘’jakartaman’’ et les forces de l’ordre

Des tensions ont éclaté hier à Tivaouane entre les conducteurs et les forces de l’ordre. A l’origine, une taxe municipale imposée par Demba Diop Sy à leur endroit. Pour ne pas passer à la caisse, ils ont barré la route nationale, et manifesté devant la Mairie et le Trésor. Selon les manifestants, «Demba Diop Sy veut saboter le Burd» en attendant, ce contexte du Maouloud, aux Jakartemen de payer à hauteur de 20 000 F Cfa. Seulement, en faisant face à la presse locale hier, Demba Diop Sy a indiqué que les Jakartemen avaient signé un pacte avec la mairie dans lequel ils s’engagent à payer 3 000 F Cfa comme taxe à la fin de chaque mois.

En plus, ils avaient conclu de se procurer une plaque et un gilet contre la somme de 6000 Francs. «Sauf, tous les Jakartemen ne sont pas en règle», déplore Demba Diop Sy. Ainsi, il explique que la plupart des conducteurs sont restés près de 8 mois sans s’acquitter de cette taxe municipale, accumulant ainsi une dette de 24 000 francs. C’est pourquoi, selon le maire, ils tombent sous le coup de la «loi», discutée entre les parties il y a 2 ans, qui impose dans ce cas une amende de 20 000 Francs.

«Ils doivent normalement payer 44 000 F Cfa. Mais, nous avons été souples en leur disant de payer seulement l’amende fixée à 20 000 Francs», renseigne le Maire. Toutefois, il ajoute que les jeunes Jakartemen qui habitent Tivaouane respectent le pacte. «Mais ce sont les étrangers qui viennent d’autres localités en prélude au Gamou qui manifestent et décident de violer le pacte en appelant leurs camarades à manifester. Ils ont saccagé la mairie», dénonce Demba Diop Sy. Néanmoins, les manifestants interpellent les nouvelles autorités afin qu’elles interviennent d’autant que la ville va accueillir dans les prochains jours des milliers de pèlerins dans le cadre du Gamou.

Tension institutionnelle : Les mises en garde du député Abdou Mbacké Ndao

Membre de plusieurs commissions de l’Assemblée nationale, dont la commission des finances, le député Serigne Abdou Mbacké Ndao estime que, dans le contexte actuel, « la dissolution de l’Assemblée nationale pourrait avoir des répercussions fâcheuses sur la gouvernance du Sénégal ». Dans un entretien accordé à la tribune avant-hier, au lendemain du rejet de la suppression du Hcct et du Cese, il a émis des mises en garde par rapport à la nouvelle donne qui se dessine.  Serigne Abdou Mbacké Ndao rappelle que si le président de la République décide de dissoudre l’Assemblée, cela implique automatiquement la convocation du collège électoral pour de nouvelles élections.

                                         « Les délais sont courts… »

Cette contrainte temporelle arrive à un moment crucial de l’année législative. « Le président de la République a la prérogative, après deux ans d’exercice de l’Assemblée nationale, de la dissoudre. Il sait mieux que moi que le décret qui dissout l’Assemblée nationale, c’est le même décret qui convoque    le collège électoral pour les élections à venir. La fourchette de temps que le gouvernement a pour organiser ces élections est de 60 jours minimum et 85 jours au plus. Cela veut dire quoi ? Cela veut dire que les délais sont courts. La rentrée unique de l’Assemblée nationale était censée se tenir au mois d’octobre. Juste après cette rentrée, il était prévu d’aller vers les commissions techniques pour examiner le budget, la loi de finances initiale de l’année 2025 » rappelle Serigne Abdou Mbacké Ndao.  Il est d’avis que la dissolution de l’Assemblée pourrait entrainer une impasse législative. « Si le président prend l’initiative de dissoudre l’Assemblée, qui va examiner ces projets de loi de Finances ? Nous sommes dans un pays organisé, l’État est organisé, les institutions sont organisées et ont un calendrier. Qu’il nous dise qui va examiner dans les délais impartis la loi de finances 2025 » déclare Abdou Mbacké Ndao. De son point de vue, cette dissolution fait peser une menace sur la mise en oeuvre des politiques publiques.

« Si on reconduit le budget 2024, il y a des projets de l’année prochaine qui ne pourront pas être exécutés »

L’ancien maire de Mbacké insiste sur l’importance du respect des délais budgétaires, particulièrement en raison du passage du Sénégal à un budget-programme, planifié sur trois ans. Il avertit que reconduire le budget de 2024 pourrait gravement perturber les projections pour l’année suivante. « Souvent les gens oublient que nous ne sommes plus dans le plan de budget à crédit. Nous sommes dans les budgets-programmes. Le budget programme c’est un budget qui est calé sur trois ans avec une possibilité de glissement. Avant les ministères avaient des crédits utilisés annuellement. Maintenant c’est dans un programme triennal qu’on établit un budget. Si par exemple la loi de finances prévue pour 2024-2025 est de 6500 milliards, et que la loi des finances de 2024 est de 5533 milliards, reconduire le même budget faussera la programmation de l’année prochaine car les prévisions pour 2025 sont différentes des dépenses engagées en 2024. S’il reconduit ce budget, il y a des projets de l’année prochaine qui ne pourront pas être exécutés. Le budget de l’année prochaine peut être largement supérieur à ce qui était prévu en 2024 » ajoute le parlementaire. Il insiste sur els conséquences potentielles d’une dissolution qui pourrait obliger l’État à fonctionner avec un budget inadéquat, mettant ainsi en péril la réalisation de projets essentiels.

« Le contexte n’est pas favorable à la perspective de gouverner par ordonnance »

Concernant l’éventualité de gouverner par ordonnance en cas de dissolution de l’Assemblée, Serigne Abdou Mbacké Ndao est catégorique sur les limitations afférentes : « Le contexte n’est pas favorable à la perspective de gouverner par ordonnance. Souvent les gens oublient que le budget programme a des contraintes et laisse une faible marge de manœuvre à l’État du Sénégal pour pouvoir utiliser cette possibilité » note Abdou Mbacké Ndao.  Il insiste sur l’importance de respecter les cadres institutionnels existants, même en période de crise, afin d’éviter des déséquilibres budgétaires et politiques.

« Il est possible d’économiser 116 milliards en rationnalisant les services de la Présidence »

Serigne Abdou Mbacké Ndao propose également des solutions pour une meilleure gestion des finances publiques, en ciblant des économies possibles au niveau de la Présidence. Selon lui, une rationalisation rigoureuse permettrait d’économiser un peu plus de 23 milliards de francs Cfa par an, soit environ 116 milliards sur 5 ans. Il évoque plusieurs structures de la Présidence, telles que la Délégation générale de l’entrepreneuriat, la Délégation générale au renseignement, le Programme d’Appui aux services de la présidence, le Bureau opérationnel de suivi du Pse (fraichement dénommé Bureau opérationnel de coordination et de suivi des projets et programmes)) et l’Agence nationale pour la promotion des investissements et des grands travaux (Apix). Ces structures précitées dit-il, cumulent plus de 23 milliards de francs Cfa par an.  Déplorant une « superposition fonctionnelle », Abdou Mbacké Ndao critique également la prolifération d’agences étatiques dont les missions se chevauchent. Il propose une réduction drastique de leur nombre pour améliorer l’efficience de l’État : « Lors de mes recherches, j’ai dénombré 42 agences. La majeure partie de ces 42 agences fait la même chose que d’autres structures de l’Etat. Cette superposition fonctionnelle des agences pouvait être rationalisée. On pourrait supprimer ou mutualiser tout cela pour garder 8 ou 9 agences dynamiques avec un fort impact dans la production administrative et des économies consistantes pour l’État » déclare-t-il.

«  Le président de la République n’est pas propriétaire du Sénégal  »
 
Dans un autre registre, Serigne Abdou Mbacké Ndao invite le Président de la République à adopter à l’avenir une démarche plus fédératrice, pour ne pas dire participative. « Le président de la République a été élu diriger le Sénégal, cela ne veut pas dire qu’il est le propriétaire du Sénégal. Il doit parler avec les institutions avec qui chemine en prenant en compte l’intérêt général des populations. Il est au-dessus de tout, il doit parler à tout le monde pour qu’il y ait une issue heureuse, pour pouvoir vraiment régler certains problèmes que nous sommes en train de vivre » déclare-t-il.

Ngor Plage : Un policier atteint par balle

On a frôlé le pire à Ngor plage où  Retour sur l’opération de démantèlement d’une influente mafia de drogue dure a viré au drame.. Le fait a eu lieu à Ngor Plage.

Des affidés d’une mafia de drogue se sont attaqués aux policiers en civil de l’Ocrtis qui venaient d’interpeller deux cerveaux locaux de ce trafic. L’exfiltration des caïds a donné suite à des violences inouïes.

D’après le récit de L’OBS, Samedi 31 août 2024, en fin de matinée, des éléments de la division opérationnelle de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) débarquent à Ngor plage, précisément à l’hôtel «Madrague».

Dans ce réceptif, les hommes du commissaire Niane, tout nouvel homme fort de l’Ocrtis, ont pour mission d’épier un influent caïd de la mafia de drogue dure opérant à Ngor et environs.

Les agents infiltrés qui surveillaient les moindres mouvements d’un des dealers depuis plusieurs semaines, étaient parvenus à l’épier en train de fournir discrètement ses stock de crack, d’héroïne et d’ecstasy, sur la plage de Ngor et sur la corniche ouest.

Ce jour, le dispositif policier dirigé par le chef de la Division opérationnelle de l’Ocrtis, s’est blotti dans des coins discrets dudit hôtel où travaille la cible. Et comme par enchantement, l’hôtel venait ce jour de se séparer de A A. K. pour cumul de comportements aux antipodes des règles de conduite du réceptif.

Âgé de 52 ans, A. A. K. récupère ses baluchons et se dirige vers son véhicule stationné au parking de l’hôtel où l’attendait son vieil ami et acolyte. Voyant que A. A. K. et son compagnon s’apprêtaient à vider les lieux, les policiers en civil interviennent et cernent son véhicule.

Déterminés à extirper A. A. Kane et S. B. encore aux mains des policiers, les dealers vont s’opposer par tous les moyens à l’embarquement des caïds. Face à la menace de plus en plus expressive des assaillants, le chef du dispositif policier dégaine son pistolet et effectue deux tirs de sommation.

Au lieu de prendre la clé des champs, les dealers ripostent en s’attaquant physiquement aux policiers qui, pour éviter un carnage, choisissent de contenir les assaillants sans ouvrir le feu. Au cours de l’assaut, un des agents va perdre son arme de service muni d’une cartouche déjà engagée.

Le pistolet est ramassé par K. Ngor qui le brandit. C’est sur ces entrefaites qu’une balle tirée dudit pistolet atteint au mollet gauche, un policier qui prêtait main forte à un collègue.

La Bip appelée en renfort 

Alors que le dispositif policier s’attelait à contenir la furie des assaillants, tout en tenant en sécurité les deux interpellés, une autre foule de jeunes débarquent sur les lieux pour prêter main forte à K. N. et sa bande.

Face à cette nouvelle donne complexe, les policiers de l’Ocrtis font face à un choix cornélien : tirer sur les assaillants, tout en sécurisant les deux «colis» et faire un retrait stratégique sans effusion. Sur le feu de l’action, leslim iers de l’Ocrtis ont fait le choix d’un retrait stratégique avec les deux interpellés acheminés dans les locaux de l’hôtel.

Dans la foulée, les sapeurs-pompiers en faction aux abords de la plage de Ngor procèdent à l’évacuation de l’agent blessé à l’hôpital Principal. Pour rétablir au plus vite l’ordre public, le dispositif de police a sollicité un renfort de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip) et du Groupement rapide d’intervention (Gri).

La descente expresse de ces unités d’élite de la police permit de maîtriser la situation, avec à la clé, l’interpellation de quatre (4) assaillants, dont K. N.. Sur instruction du Procureur, Kh. Ngor et sa bande sont mis à la disposition de la Gendarmerie, pour «complicité de trafic de drogues, entrave à une mission de police, incitation à la violence contre des agents de police et confiscation de l’arme de service d’un fonctionnaire de police dans l’exercice de ses missions.»

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention