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VOL EN RÉUNION : Quatre ans de réclusion criminelle contre T. Diallo et B. Ndiaye

 Si le juge de la chambre criminelle suit le réquisitoire du parquet , Thierno Tahibou Diallo et Babacar Ndiaye risquent quatre ans de réclusion criminelle, . Ces maçons sont attraits devant la barre de cette juridiction pénale pour répondre des chefs d’association de malfaiteurs en vue de commettre un crime, de vol en réunion avec port d’arme.

 

Il était 11 h, à Ouakam, lorsque la partie civile s’attelait à la préparation du repas de midi. Soudain, son attention est attirée par la sonnette. N’attendant pas d’invités à pareille heure, elle a continué ses activités de plus belle. Mais c’est sans compter sur les personnes devant la porte qui persistaient. La jeune dame, qui s’est enfin résignée à ouvrir, a été violentée. Les deux jeunes hommes qui se sont présentés devant elle, armés jusqu’aux dents, se sont jetés sur elle. Elle a été rouée de coups et l’un d’entre eux l’a neutralisée en l’étranglant tandis que l’autre s’est introduit dans l’appartement avant de la dépouiller de tous ses biens. Ils se sont emparés de ses téléphones portables, d’une chaîne en or ainsi que de la somme de 500 000 F CFA.

Au lendemain de cette mésaventure, à bord d’un taxi, elle a aperçu les deux jeunes hommes sur le bord de la route. Un coup de chance qu’elle a saisi en alertant tous les passagers qui les ont vite cueillis.

Les deux malfaiteurs, identifiés sous les noms de Thierno Tahibou Diallo et Babacar Ndiaye, sont des maçons. Appréhendés, ils ont été placés sous mandat de dépôt. Après trois ans de détention préventive, les accusés ont été présentés aux magistrats de la Chambre criminelle de Dakar pour répondre des chefs d’association de malfaiteurs en vue de commettre un crime, de vol en réunion avec port d’arme.

Devant le parquet,  Babacar Ndiaye a reconnu à moitié les chefs d’accusation. Selon sa version des faits, ‘’ce jour-là, on n’a pas eu de travail au chantier. C’est ainsi que j’ai eu l’idée d’aller rendre visite à mon ami nommé Ibrahima. Arrivé devant l’immeuble, je suis allé au 3e étage, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai vu la porte de la chambre d’en face ouverte. Je suis entré avant de prendre les téléphones portables. Diallo m’attendait devant la maison. Il ne savait même pas que j’avais volé des téléphones. N’étant pas pourchassés, on a quitté le quartier avant de nous rendre au marché noir où j’ai vendu les appareils’’, a-t-il raconté. Alors qu’à l’enquête le monsieur avait avoué avoir été armé, mais comptait juste intimider la dame.

Son coaccusé, en appui, a juré n’avoir jamais participé au vol. D’ailleurs, dit-il, il ne savait pas ce que son acolyte faisait dans cet immeuble. ‘’C’est en cours de route que Ndiaye m’a fait savoir qu’il a volé des téléphones et m’a demandé de l’accompagner pour les vendre’’, a-t-il dit.

Cependant, le ministère public estime que les accusés tentent de réduire leur responsabilité pénale en contestant le recours à la violence ainsi que le port d’arme. ‘’Diallo nous dit qu’il ne savait pas ce que son acolyte voulait faire. Il reconnaît le fait de vol commis en compagnie du sieur Ndiaye. Ce qui caractérise le vol en réunion’’, a expliqué le maître des poursuites qui indiquent que ces personnes ne doivent pas s’en sortir impunies.

À cet effet, il a requis de déclarer les accusés coupables des chefs d’accusation avec une peine  de quatre ans de réclusion criminelle. Toutefois, le conseil de la défense pour les intérêts de Diallo a déclaré que celui-ci n’a pas commis un acte qui peut faire qu’il puisse être considéré comme complice. De son avis, ce n’est pas parce que l’accusé s’est rendu sur le lieu où le vol a été perpétré qu’il doit avoir un rôle à y jouer. ‘’Les faits ne permettent pas de le condamner, ni pour complicité, ni pour auteur principal, ni pour un recéleur’’, a plaidé la robe noire qui a sollicité l’acquittement. Le conseil de Babacar Ndiaye a demandé de requalifier les chefs en vol simple. L’affaire sera délibérée le 17 décembre prochain.

Waly Seck à ses parents et sa sœur Moumy…

Waly Seck a rendu un vibrant hommage à sa sœur Moumy et ses parents, tous disparus. L’émotion était palpable à Adidas Arena.

Ce titre, chargé de sentiments, illustre une fois de plus la capacité de Waly Seck à exprimer des émotions universelles à travers sa musique, tout en honorant ses proches avec dignité et amour.

Moscou : Bachar Al Assad a démissionné et demandé un transfert de pouvoir

Le Kremlin a affirmé dimanche que le président syrien Bachar al-Assad avait « démissionné de son poste » et quitté la Syrie, après l’offensive fulgurante de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux qui a mis son armée en déroute.

« Suite aux négociations entre Bachar al-Assad avec un certain nombre de participants au conflit armé sur le territoire de la Syrie, il a décidé de démissionner de son poste présidentiel et a quitté le pays en donnant l’instruction de procéder au transfert du pouvoir de manière pacifique », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

Ousmane Sonko en Gambie pour le sommet de l’OMVG

Le Premier Ministre Ousmane Sonko prend part, ce samedi 07 Décembre 2024, à la 11e session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Gambie.
L’évènement qui se tient à Banjul sera l’occasion d’examiner les chantiers de l’OMVG, de renouveler les instances supérieures de l’organisation et de signer différentes conventions, selon la Primature.

Cheikh Gassama -Patron de “GASS PRO” : “je ferai deux ou trois voyages d’affaires chez mes partenaires en Europe et en Asie…durant ce mois de décembre”

Afin de mieux comprendre les besoins des jeunes Sénégalais et identifier les obstacles qu’ils rencontrent pour trouver un emploi ou prospérer comme entrepreneurs, le Patron de “GASS PRO ”conduit des groupes de discussions avec ses partenaires mais aussi les obstacles qu’il a rencontré . Aujourd’hui il plaide pou la jeunesse de Dagana.  

 

Vous venez de subir un cambriolage d’où vous avez perdu beaucoup de millions et de bien matériels. Comment avez-vous vécu ça ? 

Comme vous le constatez j’ai subi un vol aux allures de cambriolages. Et j’avais perdu beaucoup de millions ainsi que des matériels électroniques tels que les téléphones portables et autres. J’avais porté plainte en dépit des images de vidéosurveillance. Malgré les enquêtes aussi ça ne donne rien. Mais jusque-là rien n’a encore été fait pour retrouver ses coupables . C’est difficile de subir ça mais je rends grâce à Dieu et je ne suis pas de ceux qui baissent les bras ou font sinon la société va te juger comme quelqu’un qui ne veut pas travailler . C’est aussi l’occasion de lancer un appel à l’état du Sénégal pour qu’il garantit la sécurité des investisseurs car c’est difficile d’entreprendre sans sécurité. Mais rendons grâce à Dieu et on va continuer à nous battre.

 

Actuellement, on vous a retrouvé dans vos champs en train de travailler . Comment parvenez-vous parvenez à gérer votre business et l’agriculture?

Oui savez je rend grâce à Dieu et c’est l’occasion de remercier un de mes amis collaborateur qui s’active dans l’agriculture . Et je travaille avec lui pour réaliser une grande production dans la culture du riz et du maraîchage . Et j’entends des hectares pour pouvoir relancer ça avec l’aide de dieu car je suis de ceux qui pensent que seul le travail paie . Moi je fais partie des personnes qui ne souhaitent pas aller à l’émigration , ni pour aller en Europe et y rester car je crois à mes activités et à mon pays .

Aujourd’hui la jeunesse de Dagana est toujours à la recherche de travail . Quel est le message que vous envoyer aux nouvelles autorités en direction de la jeunesse?

Vous sauvez le département de Dangana est composé majoritairement de jeunes qui s’activent dans plusieurs secteurs d’activité. Mais il faut aussi affirmer que la jeunesse de Dagana est très courageuse . C’est pourquoi j’incite l’état du Sénégal à soutenir cette jeunesse avec localisation du marché de l’emploi. Car beaucoup d’entre eux s’activent sur des activités qui n’ont pas de revenus attractifs . Et vous le savez à Walo on a la culture du partage avec des proches . Et aujourd’hui certains s’activent sur des moto-Taxis , calèches ,  d’autres sont dans les champs . Alors j’invite l’état du Sénégal à soutenir les jeunes de Dagana. Et aujourd’hui mon rêve c’est de réaliser un grand empire . Et je ferai de mon mieux pour soutenir cette jeunesse à qui je partage la même localité qui est Dagana.

Certains de vos partenaires nous parlent beaucoup de vous , d’ailleurs on nous signale que vous avez une rencontre d’affaire avec eux dans les prochains jours . Quelles seront les motivations de ces visites internationales ?

Je devais faire un voyage d’affaires pour aller en Europe et en Asie mais j’avais suspendu mes voyages après avoir perdu une proche petite sœur ( que son âme repose en paix ) et qui a été une tragédie pour moi . Mais comme je vous le dis , tout businessman doit forcément partir à la découverte d’autres gros partenaires pour renforcer notre méthode de faire . C’est pourquoi j’ai décidé de faire des voyages durant ce mois de décembre car j’ai des rendez-vous avec des partenaires . Inchallah si le temps me le permet je ferai deux ou trois voyages d’affaires pour renforcer mes activités commerciales avec mes partenaires qui sont en Europe et en Asie et depuis lors ils m’attendaient et cette fois ci je compte y aller pour boucler mes activités à l’international.

Syrie: les rebelles et la libération de milliers de prisonniers

Les rebelles qui ont lancé une offensive fulgurante en Syrie ont annoncé samedi 7 décembre avoir pris Homs, ville stratégique au nord de Damas, se rapprochant de la capitale où les autorités ont affirmé avoir mis en place un cordon de sécurité “très solide”.

Dans un message publié sur Telegram, le groupe islamiste syrien Hayat Tahrir al-Sham, a affirmé que ses forces contrôlaient toute la ville de Homs, leur chef Ahmed al-Chareh, qualifiant dans une vidéo cette victoire “d’historique”.

“Libération” d’Homs

Le chef rebelle, qui a utilisé son vrai nom au lieu de son nom de guerre, Abu Mohammed al-Jolani, a affirmé : “Nous vivons les derniers moments de la libération de la ville de Homs, (…) cet événement historique qui distinguera la vérité du mensonge”.

Plus tôt dans la journée, la panique s’est emparée des habitants de Damas, après l’annonce par les rebelles qu’ils avaient commencé à encercler la capitale depuis le sud. Des rumeurs sur une fuite du président Bachar al-Assad ont ajouté à l’anxiété ambiante, démenties ensuite par ses services.

Le 27 novembre, une coalition de rebelles menée par des islamistes radicaux a lancé une offensive depuis le nord-ouest de la Syrie, s’emparant très rapidement de vastes territoires et des grandes villes d’Alep et de Hama, avant de progresser vers le sud en direction de Homs, à environ 150 kilomètres au nord de Damas, lors de l’avancée la plus spectaculaire en 13 ans de guerre civile.

Un chef rebelle, Hassan Abdel Ghani, a confirmé que les combattants étaient entrés à Homs, ajoutant que 3.500 prisonniers avaient été libérés.

“Damas vous attend”

Hassan Abdel Ghani avait affirmé plus tôt que des rebelles arrivés du sud avaient “commencé à encercler” Damas et se trouvaient à moins de vingt kilomètres de l’entrée de la ville.

“Damas vous attend”, avait lancé Ahmed al-Chareh, s’adressant aux rebelles. Vendredi, il avait déclaré à CNN que “le but de la révolution” était “de renverser le régime” syrien.

L’armée a nié s’être retirée de zones proches de la capitale et indiqué qu’elle renforçait ses lignes de défense autour de Damas et dans le sud du pays. “Il y a un cordon de sécurité et militaire très solide aux abords éloignés de Damas et de sa campagne, et personne (…) ne peut pénétrer cette ligne de défense”, a assuré le ministre de l’Intérieur, Mohammed al-Rahmoun, à la télévision d’Etat.

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Malgré ces déclarations, la panique s’est emparée des habitants de Damas qui se sont précipités pour faire des provisions, pendant que les magasins fermaient. Rania, une jeune femme enceinte de huit mois, a dû rentrer chez elle sans avoir trouvé les médicaments dont elle avait besoin. “La situation n’était pas comme ça quand je suis sortie ce matin. Tout à coup, tout le monde a pris peur”, a-t-elle raconté à l’AFP.

Selon des témoins, des manifestants ont renversé samedi une statue de l’ancien président Hafez al-Assad, le père de Bachar, à Jaramana, dans la banlieue de Damas. Certains criaient: “La Syrie est à nous. Elle n’appartient pas à la famille Assad!” Des scènes similaires ont été filmées notamment à Deraa, dans le sud, et à Hama, dans le centre de la Syrie.

“Je pense que nous vivons des jours qui entreront dans l’histoire”, a déclaré à l’AFP un habitant de Damas âgé de 35 ans, prénommé Mohammed, qui a confié ressentir “un mélange de stupeur, de peur et d’inquiétude”.

“Joie indescriptible”

A Hama, où les rebelles sont entrés jeudi, un photographe de l’AFP a vu des habitants mettre le feu à un portrait géant de Bachar al-Assad sur la façade de l’hôtel de ville. Des images de l’AFP ont montré des rebelles en armes à al-Rastan, une localité située au nord de Homs qu’ils traversaient à bord de jeeps et de motos.

Il est cependant difficile de vérifier de façon indépendante la situation sur le terrain. Si certains collaborateurs de l’AFP se trouvent dans des zones tenues par les rebelles, l’AFP n’a pas de journaliste présent aux portes de Damas où ils affirment se trouver. Après la prise de Homs, seules Damas et la côte méditerranéenne restent aux mains des forces du président syrien, dont la famille est au pouvoir depuis plus de cinq décennies.

Dans le sud, les rebelles contrôlent désormais toute la province de Deraa, berceau du soulèvement de 2011 contre Bachar al-Assad, selon l’OSDH. Dans la ville voisine de Soueida, un combattant a déclaré à l’AFP que les rebelles “assuraient la protection des installations vitales”, après le retrait des forces gouvernementales. “Nous devons rester vigilants pour éviter de basculer dans le chaos”, a-t-il affirmé.

Les forces syriennes se sont retirées de localités à une dizaine de kilomètres de Damas, a affirmé l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), ajoutant qu’elles avaient aussi abandonné leurs positions dans la province de Qouneitra, qui borde le plateau du Golan annexé par Israël.

Quelque 2.000 soldats syriens ayant fui les combats sont entrés en Irak, ont indiqué samedi à l’AFP deux responsables de sécurité irakiens. La guerre civile en Syrie, qui a fait plus d’un demi-million de morts, a morcelé le pays en plusieurs zones d’influence où les belligérants sont soutenus par différentes puissances étrangères.

L’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie, Geir Pedersen, a appelé samedi à “éviter un bain de sang”, alors que les violences ont fait au moins 826 morts dont une centaine de civils depuis le 27 novembre, selon l’OSDH. Au moins 370.000 personnes ont été déplacées, d’après l’ONU.

Lors d’une réunion à Doha, les chefs de la diplomatie turque, Hakan Fidan, dont le pays soutient les rebelles, russe Sergueï Lavrov et iranienne, Abbas Araghchi, ont plaidé pour un “dialogue politique”. Segueï Lavrov, dont le pays est le principal allié de Damas avec l’Iran, a jugé qu’il serait “inadmissible” de voir des “groupes terroristes” contrôler la Syrie.

Affaire Keur Yermande : Ndella Madior porte plainte

Ndella Madior Diouf entend également poursuivre le quotidien L’Observateur pour manipulation de l’opinion publique et diffusion de fausses informations. Selon elle, le journal aurait publié des articles visant à ternir l’image de la pouponnière et à alimenter les polémiques autour de cette affaire.

Le journal ajoute que l’influenceuse Nogaye Kara est également mise en cause. Ndella Madior Diouf lui reproche d’avoir contribué à la diffusion massive de vidéos préparées, selon elle, par les deux anciennes ministres, dans le but de nuire à la réputation de Keur Yermande.

Par ailleurs, et toujours dans cette logique, Cheikh Tidiane Ndiaye, assistant et stagiaire à la radio Saphir Fm, devra répondre pour avoir filmé la vidéo controversée à l’origine du scandale.

Les hôpitaux Albert Royer, Dalal Diam, et Abass Ndao sont également cités dans cette série de poursuites. Ils sont accusés de non-assistance à nouveau-né en danger, ainsi que de retards et refus de prise en charge médicale, ce qui aurait entraîné la mort de plusieurs bébés, dont Mouhamed, Bijou Ngoné et Youssou Ndour, selon les affirmations de Ndella Madior Diouf.

Pour sa défense, la directrice de Keur Yermande qualifie cette affaire de véritable sabotage, orchestré, selon elle, dans le but de récupérer les enfants pris en charge par sa pouponnière. Elle rejette également les accusations d’exercice illégal de la médecine, affirmant qu’elle est étudiante en 6e année de médecine et qu’elle agit dans le cadre de la loi.

Enfin, elle a révélé que Cheikh Tidiane Ndiaye, El Hadji Ndiaye et Djiby Sow, récemment libérés, avaient inhumé légalement les bébés au cimetière de Yoff avec une autorisation délivrée par la mairie de Grand-Yoff.

Mort de son garde du corps en prison : Barthélémy Dias s’insurge contre le régime “barbare”” et hausse le ton

Dans une note diffusée Barthélémy Dias  a déclaré ce qu’il qualifie d’« arrestation barbare » orchestrée par la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP) sur l’ordre du régime en place. Bassirou Diop, membre de l’équipe de sécurité de Dias, avait été arrêté à Saint-Louis en compagnie de 83 autres personnes.

“C’est avec une immense tristesse et une profonde indignation que nous annonçons la mort de Bassirou Diop dans les geôles du pouvoir actuel , membre dévoué de notre équipe de sécurité, injustement pris en otage à Saint-Louis avec 83 de ses camarades, suite à une arrestation barbare de la BIP sur instruction du régime en place. Ce drame survient dans un contexte marqué par une répression systématique et une instrumentalisation des institutions à des fins politiques.

Bassirou Diop est la deuxième victime de cette injustice. Nous déplorons également la mort tragique du père d’un autre agent, survenue alors qu’il venait au pseudo procès, pour soutenir son fils poursuivi dans une affaire politique infondée. Ces pertes sont le résultat direct d’un acharnement contre un homme qui défend la démocratie et la justice sociale.

Ces décès symbolisent le coût humain inacceptable de la dérive autoritaire que subit présentement notre pays. Nous appelons également à la libération immédiate et sans condition de tous les détenus, y compris les membres de notre sécurité.

À leurs familles, nous adressons nos condoléances les plus sincères et notre solidarité inébranlable. Dans ce moment de deuil et de colère, nous appelons à l’unité et à la mobilisation de tous les citoyens épris de justice pour mettre fin à cette oppression.”

Audience Diomaye – Karim Wade : Une rencontre aux allures économiques

Karim Wade, qui n’a pas remis les pieds au Sénégal depuis qu’il a quitté le pays sous Macky Sall, a été reçu par l’actuel chef de L’Etat, ce samedi. Bassirou Diomaye Faye, qui est actuellement au Qatar, a accordé une audience au fils de Me Wade.

«En marge de ma visite au Qatar, j’ai reçu en audience M. Karim Wade, ancien ministre de la République», a annoncé le Président Faye sur ses plateformes numériques. Il révèle qu’ils ont eu des échanges constructifs économiques et sociales de notre pays.

Radiation de Barthelemy Diaz de l’AN : La résistance face à la tyrannie est un devoir…Non à une justice sélective des vainqueurs.

Après la commande publique lancée par Ousmane sonko à travers la justice sénégalaise lors de la campagne pour les législatives, Barthélemy Diaz vient de faire l’objet d’une radiation pure et simple de l’Assemblée Nationale.
Quel coup de jarnac au peuple sénégalais qui aurait cru à une telle entorse à la légitimité populaire, socle ultime de la démocratie, sous la gouvernance d’Ousmane Sonko solidaire avec son Ministre de la Justice. J’aurais pu dire quel reniement de classe exceptionnel de la part de celui qui accusait il n’y a guère quelques mois le Président Macky Sall de vouloir arracher à Barthélemy Diaz ses mandats de député et de maire de la ville de Dakar. Il s’agit là d’une violence d’une rare intensité et méchanceté qu’Ousmane exerce à l’argus des adversaires politiques et des tous les médias indépendants, à travers son appareil judiciaire et ses forces de sécurité.
Notre curiosité est d’autant plus manifeste que la présence douteuse de la tête de liste de PASTEF sur les listes électorales est encore de l’ordre des innombrables mystères que nous cherchons à déchiffrer pour trois raisons essentielles.
D’abord “ La dégradation civique sera encourue du jour ou la condamnation sera devenue irrévocable et, en cas de condamnation par contumace, du jour l’accomplissement mesures de publicité prévues à l’article 360 du Code de Procédure pénale, Ousmane Sonko, notre Premier Ministre est il en dehors du champs d’application de l’article 23 du code pénal ?
Que le Ministre de la Justice et celui de l’Intérieur nous répondent au nom de la reddition des comptes et du droit d’interpellation citoyenne qui fondent notre système démocratique.
Ensuite, compte non tenue des dispositions des articles L29 et suivants il est curieux de justifier la dérobade des autorités administratives compétentes parmi lesquels le Ministre de la Justice tenu en vertu des dispositions de l’article L49 d’initier la procédure de radiation d’office pour l’électeur inscrit qui a perdu son statut suite à une décision de justice. A moins que Ousmane Sonko n’ait été sur la liste électorale avant les législatives, toute omission par le Ministre de la Justice une telle procédure devant un cas d’ouverture pourrait l’exposer au manquement à sa charge. En lieu et place, nous avons assisté à un miracle que de constater sans pouvoir y accéder Ousmane Sonko exercer un droit de vote.
Enfin, l’outrecuidance sera poussée au summum avec l’interprétation stricte par le Conseil Constitutionnel des dispositions de l’article LO 182 qui énumère limitativement les titulaires du droit de saisine. Pourtant un usage de l’article LO 184 offrait de bonnes perspectives en faveur de la recevabilité du recours des mandataires des listes de candidats si nous partons de l’hypothèse que cette liste est un acte du Ministre de l’intérieur contestable et susceptible de recours devant le Conseil Constitutionnel.
Illisible dans sa trajectoire, le Conseil Constitutionnel subitement minimaliste avec une interprétation stricte de l’article LO 182, avait pourtant réaffirmé,avec force, insistance et sans ambage, sa plénitude de compétence en matière électorale. En effet, dans sa décision No 5 du 2 mars 1993 récemment confirmée par sa décision No 5/E/2024, le même Conseil déclarait que “ni le silence de la loi ni l’insuffisance de ses dispositions”, ne l’autorisent “ à s’abstenir de régler le différend porté devant lui; qu’il doit se prononcer par une décision en recourant, au besoin, aux principes généraux du droit, à la pratique, à l’équité et à toute autre règle compatible avec la sauvegarde de l’Etat de Droit et avec l’intérêt commun.” Est-il besoin de rappeler que les règles relatives aux inéligibilités sont d’ordre public et tombent sous les missions de régulation et de moralisation de la vie publique dudit Conseil qui participent’ en retour, à la sauvegarde de l’Etat de droit et de l’intérêt commun. Le Conseil a-t’il manqué de courage pour assumer les conséquences politiques de son indépendance juridictionnelle?
En définitive, il nous est très difficile de comprendre le silence du Conseil constitutionnel dont la décision no 5/E/2024 a déjà établi “qu’Ousmane Sonko se trouve définitivement condamné à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis; que cette condamnation le rend inéligible pour une durée de 5 ans ”. Je dirais avec sarcasme que la computation du délai de 5 ans ne peut se faire qu’avec l’horloge du Conseil qui emprunte les fuseaux horaires de la Primature et du Palais et non celui de la République.
Ce faisant, je dirais à l’opposition, à la société civile dans sa diversité ainsi qu’aux médias indépendants, que la résistance face à la tyrannie est un devoir. L’on ne peut radié Barthélemy dont la candidature a été validée par le Conseil Constitutionnel et sanctionnée par le peuple souverain sans violer la constitution.
D’une part, toute référence à l’article 61 de la Constitution serait contestable au regard de son objet qui fixe plutôt le régime juridique de la radiation du député qui fait l’objet de condamnation pénale définitive survenue en cours de législature et non celui qui a survécu au contrôle du Conseil Constitutionnel. D’autre part soumettre Barthélemy seul aux exigences de l’article 61 pendant que Ousmane jouit d’une suspension de mandat serait une rupture manifeste d’égalité en violation de l’article premier et 7 de la Constitution.
La république du Sénégal sombre pour la première fois de son histoire dans l’aménagement “d’une clause implicite de l’individu le plus privilégié”: Ousmane destiné à la dégradation civique suivant les dispositions du code pénale, sous le coup d’une ordonnance de renvoi et promu à la tête du Gouvernement sans enquêtes de moralité s’érige en maître de poursuites sous l’œil complice de son ancien militant devenu Président.
En conséquence:
1-J’exhorte l’opposition parlementaire à saisir formellement le Ministre de la justice pour le retrait son acte unilatéral constitutif d’excès de pouvoir et de prendre toute mesure utile pour donner effet à l’ordonnance de jugement dans l’affaire Adji Sarr encore valide en vertu du code de procédure pénale;
2-j’encourage l’opposition parlementaire à demander au Président de l’Assemblée Nationale la communication de toutes les lettres de démission et/ou suspension de mandat de député en toute transparence;
3-J’invite tous les partis d’opposition, les média indépendants à explorer la mise en place d’un Front Unique de Restauration de la Démocratie et de Protection des libertés fondamentales;
4- Je me joins à tous ceux qui sont disposés à œuvrer par tous les moyens constitutionnels et démocratiques pour la restauration de l’égalité citoyenne et la fin des privilèges juridictionnels indus et inacceptables aménagés en faveur d’un seul homme depuis 2021.
Enfin j’invite les intellectuels du pays à de larges et inclusives consultations pour explorer les réponses stratégiques et politiques afin d’éviter à notre cher pays le statut d’un État Voyou qui ruinerait des siècles d’investissements intergénérationnels.
Bougane Guéye
Mouvement Gueum Sa Bopp «les jambaars »
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention