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Gouvernement-Presse : Sonko entre crête et cuvette (par Babacar Justin NDIAYE)

Les tensions persistantes entre les médias hautement précieux et les dirigeants très légitimes du Sénégal sont regrettables.

Voilà deux compagnons de route marchant séparément mais, chacun armé de sa truelle, se donnant la double vocation de cimenter la démocratie, d’une part, et de créer la prospérité, d’autre part !

 

 

Sous cet angle, la posture du gouvernement, les faits et les gestes du puissant Premier ministre et non moins plébiscité homme politique Ousmane Sonko demeurent essentiels.

Un jour, on a demandé au Roi Hassan II (Monarque absolu) ce qu’il pense de l’organisation Amnesty international. Réponse du Souverain : « Amnesty international m’emmerde, mais elle pourrait être, un jour, utile aux petits Princes ».

Réponse avisée d’un visionnaire ! Car, en effet, si le coup d’État des aviateurs de 1972 avait réussi, l’artisan du putsch aérien, le Général Mohamed Oufkir, aurait réservé un sort incertain (c’est un euphémisme) au Roi actuel Mohamed VI alors âgé de moins de dix ans.

Moralité : l’opacité du futur et les vicissitudes de la vie politique suggèrent voire recommandent la modération tous azimuts. La modération n’étant nullement la faiblesse. Bien au contraire ! Elle est la synthèse de la responsabilité assumée et de la souplesse opportune.

 

 

Indiscutablement, la presse (à l’instar de quelques segments tenaces de la Société civile) empêche de gouverner en rond sous tous les cieux. Aussi bien dans la cruelle dictature de Birmanie que dans l’enchanteresse démocratie de l’Ile Maurice où un Premier ministre aguerri a trébuché suite à la forte médiatisation d’un scandale.

En effet, le propre de l’homme politique et la caractéristique de l’homme d’État sont la peau cuirassée et le mental d’acier. Toujours dopé jamais démoli par les critiques et les persiflages.

Des qualités requises, singulièrement chez un Premier ministre (fusible devant l’Éternel) dont le pain quotidien est l’orage social en cours ou la tempête politique en perspective.

Tout réside donc dans l’art et la manière de faire face à la pugnacité normale et aux harcèlements habituels des médias. La panoplie des recettes est assez fournie à la lumière des expériences historiques et instructives.

 

 

C’est une question d’ingéniosité et de finesse gouvernementales et non de débarquement de mammifères dans un magasin de porcelaines.

En décembre 1973, le très travailleur Ministre de l’Intérieur français, Raymond Marcellin, ulcéré par l’avalanche d’informations secrètes régulièrement publiées par «Le Canard enchainé », décide de poser des micros dans les murs et sous les tapis des locaux de l’hebdomadaire satirique.

Cette opération (ratée) menée par des policiers de la DST en tenues de plombiers donne une idée de la large gamme des moyens disponibles pour un État désireux de tacler, d’endiguer, d’infiltrer, de noyauter et même d’espionner la presse. Sans la neutraliser par des armes létales d’origines fiscale et légale.

Bien entendu, le droit à l’existence ne signifie pas que les entreprises de presse doivent faire litière de la Loi qui induit la conformité. Une loi n’est jamais une contrainte arbitraire mais une contrainte…légale. Donc digne respect par tous. D’où son application sans restrictions troublantes ni géométrie variable.

Cependant, la gouvernance couvre et dépasse le champ étroit des lois. La trajectoire enviable, les acquis réels, l’image scintillante et le rayonnement croissant du Sénégal sont à porter au pinacle.

Dans cette optique-là, qui mieux que le leader Ousmane Sonko, politiquement debout sur le toit du Sénégal, est conforté et outillé pour le faire ? Personne.

L’homme qui a élu un Président de la république au premier tour puis meublé l’Assemblée nationale par une majorité écrasante et homogène doit camper sur la crête de la gloire.

 

 

Ousmane Sonko (bien conseillé) ne doit pas descendre dans la cuvette boueuse où se déroulent des bagarres picrocholines. Or son mutisme et son flegme, lui la dynamo de l’Exécutif, suggèrent sa bénédiction tacite dans le choc Ministère-Presse.

Le Premier ministre Ousmane Sonko doit siffler la fin de la récréation. En le faisant, il évacue l’idée (fausse ou vraie) que les nouveaux dirigeants sont plus enclins à assassiner qu’à assainir la presse. L’immobilisme prolongé favorise évidemment les procès d’intention ou les procès en sorcellerie.

Faut-il rappeler encore que, du point de la genèse institutionnelle (contrôle démocratique du pays), le Projet pastéfien domine la Révolution de Thomas Sankara et surclasse la Révolution de Fidel Castro. Les « Ruptures » sankarienne et cubaine ayant été accouchées aux forceps par l’habituelle sage-femme de l’Histoire : la violence.

Au Sénégal, ce sont les urnes qui ont supplanté les armes ; ce sont les longues processions des citoyens-électeurs qui ont remplacé les vagues d’assaut des insurgés pour le triomphe du Projet.

La rue a certes bougé mais elle n’a pas vaincu l’armada du Général Moussa Fall. Ce qui a été fort heureux au demeurant. Sinon Diomaye Faye aurait été le chef d’un État évaporé.

En réalité, les leviers vecteurs de rapprochement bienfaisant et fécond entre l’État et les médias sont trouvables dans l’héritage légué et le génie trempé. Ils ont pour noms : volonté, intelligence et dialogue. Dans le respect de la Loi.

La discussion n’est pas synonyme de capitulation. Dans le dialogue, personne n’ira à Canossa. Le Ministre de tutelle et journalistes iront tous vers le Sénégal, terre de concertation légendaire et, surtout, de quiétude propice pour la gouvernance performante et favorable à l’essor de la presse.

Par Babacar Justin Ndiaye

Douanes : 977 kg de chanvre saisis entre fin novembre et …

Dans une série d’opérations menées entre Niodior, Guéréo et Sendou, les agents de la brigade fluvio-maritime des douanes de Fimela ont d’abord intercepté 10 colis de chanvre indien pesant 293 kg. Deux jours plus tard, une autre embarcation a été arraisonnée avec 114 kg supplémentaires, portant le total à 407 kg, renseigne un communiqué.

 

La brigade maritime de Toubacouta a, pour sa part, déjoué une tentative d’introduction de 570 kg de chanvre indien via l’Île aux Oiseaux, dans le parc national du delta du saloum. En plus de cette cargaison, deux pirogues et deux moteurs ont été confisqués. Quelques jours plus tôt, une autre opération avait permis de saisir une pirogue transportant des flacons de paracétamol injectable d’une valeur de 6 millions de francs CFA.

Un bilan impressionnant pour 2024
Entre janvier et novembre 2024, la subdivision des douanes du littoral sud a intercepté plus de 3,4 tonnes de chanvre indien, 4 tonnes de faux médicaments et 26 tonnes de cuisses de poulet congelées, pour une valeur totale de 1,335 milliard de francs CFA.

Renforcement des moyens pour un contrôle accru
Ces succès s’expliquent par le renforcement des capacités des unités maritimes, qui bénéficient désormais de moyens navals modernes et de personnels bien formés. La Direction générale des Douanes appelle les populations à collaborer davantage pour éradiquer les trafics illicites et protéger le territoire.

CHAN 2024 :Vers aux boycotts

Vers la fin du CHAN ? La prochaine édition du tournoi, prévue du 1er au 28 février 2025 au Kenya, en Tanzanie et en Ouganda en prévision de la Coupe d’Afrique des Nations 2027, également attribuée au trio, pourrait bien être celle avec le moins de succès. À ce jour, plusieurs équipes nationales ont déjà décidé de ne pas prendre au sérieux la compétition.

Pour la phase qualificative du CHAN, qui se déroule de novembre à décembre, l’Algérie, l’Afrique du Sud, le Botswana, le Cap-Vert, les Comores, l’Égypte, le Gabon, la Gambie, l’Île Maurice, le Malawi, Sao Tomé, les Seychelles et la Tunisie n’ont pas envoyé leur sélection locale.

Des boycotts qui viennent s’ajouter aux forfaits d’autres équipes, en l’occurrence ceux de l’Érythrée et de la Somalie, pas en mesure d’aligner un effectif pour le championnat d’Afrique des nations. Au total, quinze des cinquante-quatre fédérations affiliées à la CAF ont fait le choix de ne pas y participer.

Des dates annoncés tardivement et qui ne collent pas avec les calendriers nationaux

Dans un témoignage pour Le Monde Afrique, Saïd Ali Saïd Athouman, président de la fédération des Comores et membre de la commission d’organisation du CHAN, explique que l’instance africaine a pris trop de temps pour concrétiser l’édition 2025 :

« La CAF a annoncé tardivement [le 16 septembre] les dates de la phase finale et des éliminatoires, ce qui a dissuadé plusieurs fédérations. Les championnats nationaux avaient déjà commencé, et cela aurait engendré des bouleversements de calendrier ».

En Tunisie par exemple, le calendrier du championnat était déjà fixé. Alors la FTF a décidé de ne pas y envoyer les Aigles de Carthage après une réunion fin novembre. « Les dates du CHAN ont été connues trop tard », a confié Lyes Ghariani, vice-président de l’Espérance sportive de Tunis, au Monde.

Pour la même raison, l’Algérie, pourtant organisatrice et finaliste de la dernière édition, mais aussi l’Afrique du Sud et l’Egypte, qui n’ont pris part au championnat d’Afrique des nations qu’à une reprise, ne se sont pas présentés aux qualifications.

VOL EN RÉUNION : Quatre ans de réclusion criminelle contre T. Diallo et B. Ndiaye

 Si le juge de la chambre criminelle suit le réquisitoire du parquet , Thierno Tahibou Diallo et Babacar Ndiaye risquent quatre ans de réclusion criminelle, . Ces maçons sont attraits devant la barre de cette juridiction pénale pour répondre des chefs d’association de malfaiteurs en vue de commettre un crime, de vol en réunion avec port d’arme.

 

Il était 11 h, à Ouakam, lorsque la partie civile s’attelait à la préparation du repas de midi. Soudain, son attention est attirée par la sonnette. N’attendant pas d’invités à pareille heure, elle a continué ses activités de plus belle. Mais c’est sans compter sur les personnes devant la porte qui persistaient. La jeune dame, qui s’est enfin résignée à ouvrir, a été violentée. Les deux jeunes hommes qui se sont présentés devant elle, armés jusqu’aux dents, se sont jetés sur elle. Elle a été rouée de coups et l’un d’entre eux l’a neutralisée en l’étranglant tandis que l’autre s’est introduit dans l’appartement avant de la dépouiller de tous ses biens. Ils se sont emparés de ses téléphones portables, d’une chaîne en or ainsi que de la somme de 500 000 F CFA.

Au lendemain de cette mésaventure, à bord d’un taxi, elle a aperçu les deux jeunes hommes sur le bord de la route. Un coup de chance qu’elle a saisi en alertant tous les passagers qui les ont vite cueillis.

Les deux malfaiteurs, identifiés sous les noms de Thierno Tahibou Diallo et Babacar Ndiaye, sont des maçons. Appréhendés, ils ont été placés sous mandat de dépôt. Après trois ans de détention préventive, les accusés ont été présentés aux magistrats de la Chambre criminelle de Dakar pour répondre des chefs d’association de malfaiteurs en vue de commettre un crime, de vol en réunion avec port d’arme.

Devant le parquet,  Babacar Ndiaye a reconnu à moitié les chefs d’accusation. Selon sa version des faits, ‘’ce jour-là, on n’a pas eu de travail au chantier. C’est ainsi que j’ai eu l’idée d’aller rendre visite à mon ami nommé Ibrahima. Arrivé devant l’immeuble, je suis allé au 3e étage, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai vu la porte de la chambre d’en face ouverte. Je suis entré avant de prendre les téléphones portables. Diallo m’attendait devant la maison. Il ne savait même pas que j’avais volé des téléphones. N’étant pas pourchassés, on a quitté le quartier avant de nous rendre au marché noir où j’ai vendu les appareils’’, a-t-il raconté. Alors qu’à l’enquête le monsieur avait avoué avoir été armé, mais comptait juste intimider la dame.

Son coaccusé, en appui, a juré n’avoir jamais participé au vol. D’ailleurs, dit-il, il ne savait pas ce que son acolyte faisait dans cet immeuble. ‘’C’est en cours de route que Ndiaye m’a fait savoir qu’il a volé des téléphones et m’a demandé de l’accompagner pour les vendre’’, a-t-il dit.

Cependant, le ministère public estime que les accusés tentent de réduire leur responsabilité pénale en contestant le recours à la violence ainsi que le port d’arme. ‘’Diallo nous dit qu’il ne savait pas ce que son acolyte voulait faire. Il reconnaît le fait de vol commis en compagnie du sieur Ndiaye. Ce qui caractérise le vol en réunion’’, a expliqué le maître des poursuites qui indiquent que ces personnes ne doivent pas s’en sortir impunies.

À cet effet, il a requis de déclarer les accusés coupables des chefs d’accusation avec une peine  de quatre ans de réclusion criminelle. Toutefois, le conseil de la défense pour les intérêts de Diallo a déclaré que celui-ci n’a pas commis un acte qui peut faire qu’il puisse être considéré comme complice. De son avis, ce n’est pas parce que l’accusé s’est rendu sur le lieu où le vol a été perpétré qu’il doit avoir un rôle à y jouer. ‘’Les faits ne permettent pas de le condamner, ni pour complicité, ni pour auteur principal, ni pour un recéleur’’, a plaidé la robe noire qui a sollicité l’acquittement. Le conseil de Babacar Ndiaye a demandé de requalifier les chefs en vol simple. L’affaire sera délibérée le 17 décembre prochain.

Waly Seck à ses parents et sa sœur Moumy…

Waly Seck a rendu un vibrant hommage à sa sœur Moumy et ses parents, tous disparus. L’émotion était palpable à Adidas Arena.

Ce titre, chargé de sentiments, illustre une fois de plus la capacité de Waly Seck à exprimer des émotions universelles à travers sa musique, tout en honorant ses proches avec dignité et amour.

Moscou : Bachar Al Assad a démissionné et demandé un transfert de pouvoir

Le Kremlin a affirmé dimanche que le président syrien Bachar al-Assad avait « démissionné de son poste » et quitté la Syrie, après l’offensive fulgurante de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux qui a mis son armée en déroute.

« Suite aux négociations entre Bachar al-Assad avec un certain nombre de participants au conflit armé sur le territoire de la Syrie, il a décidé de démissionner de son poste présidentiel et a quitté le pays en donnant l’instruction de procéder au transfert du pouvoir de manière pacifique », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

Ousmane Sonko en Gambie pour le sommet de l’OMVG

Le Premier Ministre Ousmane Sonko prend part, ce samedi 07 Décembre 2024, à la 11e session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Gambie.
L’évènement qui se tient à Banjul sera l’occasion d’examiner les chantiers de l’OMVG, de renouveler les instances supérieures de l’organisation et de signer différentes conventions, selon la Primature.

Cheikh Gassama -Patron de “GASS PRO” : “je ferai deux ou trois voyages d’affaires chez mes partenaires en Europe et en Asie…durant ce mois de décembre”

Afin de mieux comprendre les besoins des jeunes Sénégalais et identifier les obstacles qu’ils rencontrent pour trouver un emploi ou prospérer comme entrepreneurs, le Patron de “GASS PRO ”conduit des groupes de discussions avec ses partenaires mais aussi les obstacles qu’il a rencontré . Aujourd’hui il plaide pou la jeunesse de Dagana.  

 

Vous venez de subir un cambriolage d’où vous avez perdu beaucoup de millions et de bien matériels. Comment avez-vous vécu ça ? 

Comme vous le constatez j’ai subi un vol aux allures de cambriolages. Et j’avais perdu beaucoup de millions ainsi que des matériels électroniques tels que les téléphones portables et autres. J’avais porté plainte en dépit des images de vidéosurveillance. Malgré les enquêtes aussi ça ne donne rien. Mais jusque-là rien n’a encore été fait pour retrouver ses coupables . C’est difficile de subir ça mais je rends grâce à Dieu et je ne suis pas de ceux qui baissent les bras ou font sinon la société va te juger comme quelqu’un qui ne veut pas travailler . C’est aussi l’occasion de lancer un appel à l’état du Sénégal pour qu’il garantit la sécurité des investisseurs car c’est difficile d’entreprendre sans sécurité. Mais rendons grâce à Dieu et on va continuer à nous battre.

 

Actuellement, on vous a retrouvé dans vos champs en train de travailler . Comment parvenez-vous parvenez à gérer votre business et l’agriculture?

Oui savez je rend grâce à Dieu et c’est l’occasion de remercier un de mes amis collaborateur qui s’active dans l’agriculture . Et je travaille avec lui pour réaliser une grande production dans la culture du riz et du maraîchage . Et j’entends des hectares pour pouvoir relancer ça avec l’aide de dieu car je suis de ceux qui pensent que seul le travail paie . Moi je fais partie des personnes qui ne souhaitent pas aller à l’émigration , ni pour aller en Europe et y rester car je crois à mes activités et à mon pays .

Aujourd’hui la jeunesse de Dagana est toujours à la recherche de travail . Quel est le message que vous envoyer aux nouvelles autorités en direction de la jeunesse?

Vous sauvez le département de Dangana est composé majoritairement de jeunes qui s’activent dans plusieurs secteurs d’activité. Mais il faut aussi affirmer que la jeunesse de Dagana est très courageuse . C’est pourquoi j’incite l’état du Sénégal à soutenir cette jeunesse avec localisation du marché de l’emploi. Car beaucoup d’entre eux s’activent sur des activités qui n’ont pas de revenus attractifs . Et vous le savez à Walo on a la culture du partage avec des proches . Et aujourd’hui certains s’activent sur des moto-Taxis , calèches ,  d’autres sont dans les champs . Alors j’invite l’état du Sénégal à soutenir les jeunes de Dagana. Et aujourd’hui mon rêve c’est de réaliser un grand empire . Et je ferai de mon mieux pour soutenir cette jeunesse à qui je partage la même localité qui est Dagana.

Certains de vos partenaires nous parlent beaucoup de vous , d’ailleurs on nous signale que vous avez une rencontre d’affaire avec eux dans les prochains jours . Quelles seront les motivations de ces visites internationales ?

Je devais faire un voyage d’affaires pour aller en Europe et en Asie mais j’avais suspendu mes voyages après avoir perdu une proche petite sœur ( que son âme repose en paix ) et qui a été une tragédie pour moi . Mais comme je vous le dis , tout businessman doit forcément partir à la découverte d’autres gros partenaires pour renforcer notre méthode de faire . C’est pourquoi j’ai décidé de faire des voyages durant ce mois de décembre car j’ai des rendez-vous avec des partenaires . Inchallah si le temps me le permet je ferai deux ou trois voyages d’affaires pour renforcer mes activités commerciales avec mes partenaires qui sont en Europe et en Asie et depuis lors ils m’attendaient et cette fois ci je compte y aller pour boucler mes activités à l’international.

Syrie: les rebelles et la libération de milliers de prisonniers

Les rebelles qui ont lancé une offensive fulgurante en Syrie ont annoncé samedi 7 décembre avoir pris Homs, ville stratégique au nord de Damas, se rapprochant de la capitale où les autorités ont affirmé avoir mis en place un cordon de sécurité “très solide”.

Dans un message publié sur Telegram, le groupe islamiste syrien Hayat Tahrir al-Sham, a affirmé que ses forces contrôlaient toute la ville de Homs, leur chef Ahmed al-Chareh, qualifiant dans une vidéo cette victoire “d’historique”.

“Libération” d’Homs

Le chef rebelle, qui a utilisé son vrai nom au lieu de son nom de guerre, Abu Mohammed al-Jolani, a affirmé : “Nous vivons les derniers moments de la libération de la ville de Homs, (…) cet événement historique qui distinguera la vérité du mensonge”.

Plus tôt dans la journée, la panique s’est emparée des habitants de Damas, après l’annonce par les rebelles qu’ils avaient commencé à encercler la capitale depuis le sud. Des rumeurs sur une fuite du président Bachar al-Assad ont ajouté à l’anxiété ambiante, démenties ensuite par ses services.

Le 27 novembre, une coalition de rebelles menée par des islamistes radicaux a lancé une offensive depuis le nord-ouest de la Syrie, s’emparant très rapidement de vastes territoires et des grandes villes d’Alep et de Hama, avant de progresser vers le sud en direction de Homs, à environ 150 kilomètres au nord de Damas, lors de l’avancée la plus spectaculaire en 13 ans de guerre civile.

Un chef rebelle, Hassan Abdel Ghani, a confirmé que les combattants étaient entrés à Homs, ajoutant que 3.500 prisonniers avaient été libérés.

“Damas vous attend”

Hassan Abdel Ghani avait affirmé plus tôt que des rebelles arrivés du sud avaient “commencé à encercler” Damas et se trouvaient à moins de vingt kilomètres de l’entrée de la ville.

“Damas vous attend”, avait lancé Ahmed al-Chareh, s’adressant aux rebelles. Vendredi, il avait déclaré à CNN que “le but de la révolution” était “de renverser le régime” syrien.

L’armée a nié s’être retirée de zones proches de la capitale et indiqué qu’elle renforçait ses lignes de défense autour de Damas et dans le sud du pays. “Il y a un cordon de sécurité et militaire très solide aux abords éloignés de Damas et de sa campagne, et personne (…) ne peut pénétrer cette ligne de défense”, a assuré le ministre de l’Intérieur, Mohammed al-Rahmoun, à la télévision d’Etat.

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Malgré ces déclarations, la panique s’est emparée des habitants de Damas qui se sont précipités pour faire des provisions, pendant que les magasins fermaient. Rania, une jeune femme enceinte de huit mois, a dû rentrer chez elle sans avoir trouvé les médicaments dont elle avait besoin. “La situation n’était pas comme ça quand je suis sortie ce matin. Tout à coup, tout le monde a pris peur”, a-t-elle raconté à l’AFP.

Selon des témoins, des manifestants ont renversé samedi une statue de l’ancien président Hafez al-Assad, le père de Bachar, à Jaramana, dans la banlieue de Damas. Certains criaient: “La Syrie est à nous. Elle n’appartient pas à la famille Assad!” Des scènes similaires ont été filmées notamment à Deraa, dans le sud, et à Hama, dans le centre de la Syrie.

“Je pense que nous vivons des jours qui entreront dans l’histoire”, a déclaré à l’AFP un habitant de Damas âgé de 35 ans, prénommé Mohammed, qui a confié ressentir “un mélange de stupeur, de peur et d’inquiétude”.

“Joie indescriptible”

A Hama, où les rebelles sont entrés jeudi, un photographe de l’AFP a vu des habitants mettre le feu à un portrait géant de Bachar al-Assad sur la façade de l’hôtel de ville. Des images de l’AFP ont montré des rebelles en armes à al-Rastan, une localité située au nord de Homs qu’ils traversaient à bord de jeeps et de motos.

Il est cependant difficile de vérifier de façon indépendante la situation sur le terrain. Si certains collaborateurs de l’AFP se trouvent dans des zones tenues par les rebelles, l’AFP n’a pas de journaliste présent aux portes de Damas où ils affirment se trouver. Après la prise de Homs, seules Damas et la côte méditerranéenne restent aux mains des forces du président syrien, dont la famille est au pouvoir depuis plus de cinq décennies.

Dans le sud, les rebelles contrôlent désormais toute la province de Deraa, berceau du soulèvement de 2011 contre Bachar al-Assad, selon l’OSDH. Dans la ville voisine de Soueida, un combattant a déclaré à l’AFP que les rebelles “assuraient la protection des installations vitales”, après le retrait des forces gouvernementales. “Nous devons rester vigilants pour éviter de basculer dans le chaos”, a-t-il affirmé.

Les forces syriennes se sont retirées de localités à une dizaine de kilomètres de Damas, a affirmé l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), ajoutant qu’elles avaient aussi abandonné leurs positions dans la province de Qouneitra, qui borde le plateau du Golan annexé par Israël.

Quelque 2.000 soldats syriens ayant fui les combats sont entrés en Irak, ont indiqué samedi à l’AFP deux responsables de sécurité irakiens. La guerre civile en Syrie, qui a fait plus d’un demi-million de morts, a morcelé le pays en plusieurs zones d’influence où les belligérants sont soutenus par différentes puissances étrangères.

L’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie, Geir Pedersen, a appelé samedi à “éviter un bain de sang”, alors que les violences ont fait au moins 826 morts dont une centaine de civils depuis le 27 novembre, selon l’OSDH. Au moins 370.000 personnes ont été déplacées, d’après l’ONU.

Lors d’une réunion à Doha, les chefs de la diplomatie turque, Hakan Fidan, dont le pays soutient les rebelles, russe Sergueï Lavrov et iranienne, Abbas Araghchi, ont plaidé pour un “dialogue politique”. Segueï Lavrov, dont le pays est le principal allié de Damas avec l’Iran, a jugé qu’il serait “inadmissible” de voir des “groupes terroristes” contrôler la Syrie.

Affaire Keur Yermande : Ndella Madior porte plainte

Ndella Madior Diouf entend également poursuivre le quotidien L’Observateur pour manipulation de l’opinion publique et diffusion de fausses informations. Selon elle, le journal aurait publié des articles visant à ternir l’image de la pouponnière et à alimenter les polémiques autour de cette affaire.

Le journal ajoute que l’influenceuse Nogaye Kara est également mise en cause. Ndella Madior Diouf lui reproche d’avoir contribué à la diffusion massive de vidéos préparées, selon elle, par les deux anciennes ministres, dans le but de nuire à la réputation de Keur Yermande.

Par ailleurs, et toujours dans cette logique, Cheikh Tidiane Ndiaye, assistant et stagiaire à la radio Saphir Fm, devra répondre pour avoir filmé la vidéo controversée à l’origine du scandale.

Les hôpitaux Albert Royer, Dalal Diam, et Abass Ndao sont également cités dans cette série de poursuites. Ils sont accusés de non-assistance à nouveau-né en danger, ainsi que de retards et refus de prise en charge médicale, ce qui aurait entraîné la mort de plusieurs bébés, dont Mouhamed, Bijou Ngoné et Youssou Ndour, selon les affirmations de Ndella Madior Diouf.

Pour sa défense, la directrice de Keur Yermande qualifie cette affaire de véritable sabotage, orchestré, selon elle, dans le but de récupérer les enfants pris en charge par sa pouponnière. Elle rejette également les accusations d’exercice illégal de la médecine, affirmant qu’elle est étudiante en 6e année de médecine et qu’elle agit dans le cadre de la loi.

Enfin, elle a révélé que Cheikh Tidiane Ndiaye, El Hadji Ndiaye et Djiby Sow, récemment libérés, avaient inhumé légalement les bébés au cimetière de Yoff avec une autorisation délivrée par la mairie de Grand-Yoff.

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