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Pétrole : Woodside porte «plainte» sur le redressement du fisc

La compagnie pétrolière Woodside a officiellement annoncé le dépôt de sa plainte au Tribunal de Dakar. Ce, pour contester le montant de l’impôt que lui réclame le fisc sénégalais.

«Woodside a déposé une plainte auprès du Tribunal de Grande Instance de Dakar contestant une évaluation fiscale des autorités fiscales sénégalaises», a annoncé la Compagnie qui exploite actuellement le gisement pétrolier sénégalais.

La compagnie pétrolière déclare que la majorité de ce que lui réclame le fisc sénégalais,  «concernent l’application d’une exonération qui s’appliquait pendant la phase de développement du projet.»

En effet, la compagnie qui exploite le gisement de pétrole de Sangomar s’est vu infliger un redressement fiscal de plus de 41 milliards de francs Cfa.

Affaire Aziz Dabala : Comment la Dic a retrouvé Fallou Diop ?

La Division des investigations criminelles (DIC) a procédé à une septième arrestation dans le cadre de l’enquête sur le double meurtre survenu à Pikine Technopole.

Il s’agit de Fallou Diop qui était en cavale. L’arrestation de ce dernier serait consécutive à la collaboration de son père.

Double meurtre : Vers l’instruction pour les 6 personnes arrêtées

Le présumé meurtrier d’Aziz Dabala et de son neveu Boubacar Gano, la danseuse Nabou Lèye (…) ont été conduits, ce mardi vers 10h50 au tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye d’une source proche du dossier.
 
Arrivés à destination, ils seront mis à  la cave en attendant de faire face au procureur. Le parquet va ouvrir une information judiciaire après les avoir entendus, Ce qui laisse entendre que les suspects risquent le mandat de dépôt . 

« Diomaye et Sonko ont refusé à Touba ce qu’ils ont accordé à Mélenchon » ( Bougane Gueye Dany)

D’après le leader du mouvement Guem Sa Bopp / Les Diambars, c’est une scène de théâtre que le duo Diomaye-Sonko ont monté en se rendant dans la ville sainte sachant que le Cheikh Omar Diagne adresse une lettre au comité d’organisation du Grand Magal de Touba lui refusant l’accueil des hôtes au King Fahd Palace.. « C’est un Grand Théâtre de Sonko et Diomaye à Touba. Lorsqu’ils se rendaient à Touba, ils savaient déjà que la présidence (lettre datée au 31 juillet) avait refusé d’accueillir les invités du khalife. Arrêtez ce cinéma ! » a pesté Bougane Gueye Dany considérant que « le tandem a refusé à Touba, ce qu’il a accordé à Melenchon défenseur du mariage ” Góor-jigéen”. « . « Et bientôt, vous l’accorderez à Macron », ajoute le président de Guem Sa Bopp.

Saisine de l’assemblée nationale par le PR : Les fausses notes de l’exécutif !

Dans un communiqué de la présidence de la République, Bassirou Diomaye Faye interroge l’article 63 de la Constitution, pour transmettre au Président de l’Assemblée nationale le décret portant convocation de l’Assemblée nationale en session extraordinaire, le jeudi 29 août 2024, pour l’examen du projet de loi portant modification de la constitution. D’après la même note, l’opinion est informée de la modification envisagée de la Constitution en vue de la suppression du Haut Conseil des Collectivités territoriales (HCCT) et du Conseil économique social et environnemental (CESE). Quels seront les contours de cette révision de la constitution au regard des textes et lois y affairants ?

 

Dans l’article  63 de la constitution, il est clairement noté, dans le premier alinéa, qu’à « l’exception de la date d’ouverture de la première session de l’Assemblée nationale nouvellement élue, qui est fixée par le Président de la République, l’Assemblée nationale fixe la date d’ouverture et la durée de la session unique de l’Assemblée nationale. Dans le 3e alinéa, on note: « au cas où la session ordinaire ou session extraordinaire est close sans que l’Assemblée nationale ait fixé la date d’ouverture de sa prochaine session ordinaire, celle-ci est fixée en temps utile par le bureau de l’Assemblée nationale ». Selon l’ancien parlementaire Alioune Souaré, « c’est outrepasser ses prérogatives que de fixer une date pour la tenue de la plénière en vue de la révision de la constitution. Mais il a bien le droit comme il l’a si bien évoqué dans l’article 63, de saisir l’assemblée pour la révision ». Cependant, ajoute notre interlocuteur, « ce n’est qu’à l’ouverture de la session d’une nouvelle législature que le président de la république peut fixer une date pour l’assemblée nationale ».

 

Aussi, parlant de dissolution ou révision de la constitution, par voie parlementaire, l’assemblée nationale peut abroger un article dans la constitution, mais elle ne peut pas se prononcer sur la dissolution du Conseil économique social et environnemental ou du Haut conseil des collectivités territoriales. En effet, apprend l’ancien parlementaire, « la constitution crée simplement l’institution et renvoie à une loi organique ».

 

L’article 66-1 de la loi organique ne prend pas en char les questions liées à la dissolution du Haut Conseil des Collectivités territoriales. Donc, l’assemblée nationale se prononçant une une dissolution de l’institution c’est aussi, « outrepasser ses prérogatives ». Car, la révision doit porter sur simplement l’abrogation de l’article 66-1 qui crée dans la constitution, l’institution elle-même. L’article ne parle pas de la dissolution. Par conséquent, l’assemblée nationale ne peut pas décider ce que la constitution ne décide pas. C’est aussi valable pour le Consei économique social et environnemental qui est aussi soulevé par l’article 87-1. L’assemblée nationale n’a pas la prérogative de dissoudre. Elle devait abroger simplement car, la loi ne parle pas de suppression du HCCT et du CESE.

Avec DAKARACTU

Suppression du Hcct et du Cese : les députés de Bby en réunion d’urgence, ce mardi

Après le communiqué de la présidence qui a annoncé la dissolution du Cese et du Hcct, les députés du groupe parlementaire BBY sont convoqués en réunion d’urgence le mardi 27 août 2024 à 17H00 dans la salle Marie Joséphine Diallo du nouveau batiment. « Compte tenu de l’importance de l’ordre du jour la présence de tous les députés membres est obligatoire », lit-on dans le document.

Magal 2024: Le rapport de la police nationale

Quatre cent vingt-huit individus ont été interpellés pour divers délits et 358 véhicules mis en fourrière durant la célébration du Magal, à Touba (centre), a appris l’APS d’une source policière, lundi.

Cent onze des 428 personnes arrêtées ont été présentées au parquet, selon le rapport final de la Police nationale consacré à la 130e édition de ce pèlerinage qui a eu lieu vendredi dernier.

Trente-deux des personnes interpellées sont soupçonnées de vol. L’une d’elles a été arrêtée en même temps pour meurtre, et une autre pour tentative de viol.

Les autres prévenus doivent être jugés pour des faits de détention et de trafic de chanvre indien, de coups et blessures volontaires, d’association de malfaiteurs et d’autres infractions, précise le rapport.

Il signale que les agents de police déployés à Touba ont également saisi 3,450 kilos et 282 cornets de chanvre indien, ainsi que 19 pilules d’ecstasy, un sachet de skunk et un joint de haschich.

Concernant la sécurité routière, ajoute le rapport, ‘’la Police nationale a mis en fourrière 358 véhicules et immobilisé 221 motos’’.

Il ajoute que les limiers ont également ‘’saisi 2.956 pièces afférentes à la conduite de véhicule’’.

Le rapport relève que la Police nationale a recensé 54 accidents de la circulation, dont deux mortels et 27 ayant entraîné des blessures corporelles.

Le document signale qu’une ‘’attention particulière’’ a été accordée aux enfants égarés durant le Magal, que 33 d’entre eux ont été retrouvés.

La Police nationale assure que 12 d’entre eux ont été rendus à leurs familles, tandis que 18 autres ont été confiés aux responsables de l’Action éducative en milieu ouvert.

Cent cinquante-huit consultations médicales ont été gratuitement offertes par les services de santé de la Police nationale, et deux patients ont été évacués vers un établissement de santé, selon le rapport.

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