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La femme qui accuse Cristiano Ronaldo de l’avoir violée lui réclamerait une somme astronomique

Nouveau rebondissement dans l’affaire de viol qui a visé Cristiano Ronaldo entre 2018 et 2019. Selon le Daily Mirror, Kathryn Mayorga, la femme qui accuse le joueur de la Juventus de l’avoir violée en 2009, réclamerait environ 64 millions d’euros au Portugais.
 
Une ancienne mannequin américaine, Kathryn Mayorga, 35 ans, qui accuse le quintuple Ballon d’or de l’avoir violée en 2009 dans une chambre d’hôtel de Las Vegas, aurait réclamé une somme astronomique à Cristiano Ronaldo. Pour justifier sa demande, la plaignante évoque “la douleur et la souffrance subies”, “la douleur et la souffrance à venir” et des dommages-intérêts.
 
Le 13 juin 2009, Mme Mayorga avait appelé la police de Las Vegas pour dénoncer un viol, mais avait refusé d’identifier son agresseur. Le dossier avait alors été refermé. En 2010, elle avait passé un accord au civil avec Cristiano Ronaldo à ce sujet. CR7 lui aurait versé 300.000 en échange de l’arrêt des poursuites judiciaires. 
 
En août 2018, elle avait repris contact avec la police de Las Vegas en demandant la réouverture de son dossier et avait accusé pour la première fois le footballeur. Mais le 22 juillet 2019, la justice américaine avait décidé de ne pas poursuivre la star portugaise. “Malgré le passage du temps, la police a enquêté sur ses allégations”, mais n’a pas trouvé de preuves. “En conséquence, aucune poursuite ne sera engagée”, avait indiqué le procureur.

FMI au Sénégal : Les bonnes et les mauvaises nouvelles !

Le Fonds monétaire internationale vient de boucler sa revue virtuelle au Sénégal. La mission pilotée par Corinne Deléchat du 6 au 27 avril 2021 s’est penchée sur le programme appuyé par l’instrument de coordination de la politique économique (ICPE). Elle a examiné la requête des autorités d’un accord de financement combiné sur dix-huit mois.

Au terme de la mission, Mme Deléchat a fait savoir que les services du FMI sont parvenus à un accord, avec les autorités sénégalaises. Ce, sur les mesures économiques et financières qui pourraient permettre l’approbation de la troisième revue du programme appuyé par l’ICPE et soutenir cet accord de financement sur dix-huit mois. L’examen du dossier par le conseil d’administration du FMI est prévu à titre provisoire en début juin 2021.

Le Sénégal attend un renfort de 350 milliards

«Le nouvel accord de financement, au titre duquel le Sénégal demande accès à 453 millions de DTS (soit 140% de sa quote-part au FMI, environ 650 millions de dollars ou 350 milliards de francs CFA), contribuera à soutenir la riposte des autorités face à la crise sanitaire et à promouvoir la relance de l’économie. Il s’appuiera sur les objectifs de réforme du programme ICPE en cours et sera exécuté parallèlement à ce dernier», annonce-t-elle.

Ce qui a sauvé la croissance économique

Pour la croissance économique, l’institution de Breton Woods qui se fonde sur les estimations préliminaires des autorités sénégalaises, indique qu’elle est tombée à 1,5%, contre 4,4% en 2019. «Une production agricole exceptionnelle et un secteur secondaire résilient ont contribué à éviter une récession, mais les secteurs des hôtels-restaurants, du tourisme et du transport ont subi une forte contraction», informe le Fmi.

Des millions de travailleurs en difficulté

Corine Déléchat signale que les mesures de restriction des mouvements de la population prises pour endiguer la propagation de la pandémie ont mis en difficulté des millions de travailleurs. Mais,  la bonne mise en œuvre du programme de résilience économique et sociale (PRES), avec le soutien financier des partenaires, a contribué à renforcer la résilience sanitaire et à atténuer les pertes de revenus des ménages et des entreprises, dit-elle.

Les gré à gré ont dépassé le plafond fixé

«En dépit de cet environnement difficile, les résultats obtenus dans le cadre du programme appuyé par l’ICPE sont restés satisfaisants. Tous les objectifs quantitatifs à fin 2020 ont été atteints, sauf celui portant sur la part des contrats de marchés publics passés en entente directe, qui a dépassé le plafond fixé dans le programme en raison des marchés publics qui ont dû être conclus dans le cadre de l’urgence sanitaire de lutte contre la COVID-19», renseigne le Fmi.

Les Perspectives sont moins favorables

Ainsi, l’exécution du budget a abouti à un déficit de 6,4 % du PIB, en ligne avec l’objectif révisé du programme. «Toutefois, les perspectives macroéconomiques sont devenues moins favorables depuis l’adoption de la loi de finances initiale 2021», signale le Fmi. Une situation due à la résurgence de la pandémie de COVID-19 au Sénégal, chez ses principaux partenaires commerciaux et à la hausse des cours des produits de base.

Prévisions de croissance revues à la baisse

Ceci entraîne «une révision à la baisse de la prévision de croissance, à 3,7% en 2021 (contre une prévision initiale de 5,2%) et à 5,5% en 2022.», souligne-t-il. Et ce fléchissement de la croissance en 2021 induit une révision à la baisse des objectifs de recettes établis dans la loi de finances initiale, tandis que la hausse des cours mondiaux du pétrole accroît les besoins de subventions au secteur de l’énergie, signale le Fmi.

Suppression du parrainage: Le Sénégal continue de désavouer la Cedeao

24h après la sortie de la Cedeao demandant au Sénégal de supprimer la loi sur le parrainage, le porte-parole du gouvernement réplique. « Le parrainage est conforme à notre constitution », recadre Oumar Guèye.

‘’Ce parrainage a été évoqué lors du dialogue politique et a aussi fait l’objet d’une Loi à l’Assemblée nationale. Du point de vue de la légalité, le système du parrainage est plus que légal par rapport à notre Constitution et notre législation’’, a déclaré Oumar Guèye, lors de la conférence de presse du gouvernement.

Même son de cloche chez Ismaila Madior Fall. Dans une longue contribution, publiée dans le quotidien national, Le Soleil, l’ex Garde des Sceaux renvoie les juges de la Cedeao à revoir leur copie. « Dans cette affaire du parrainage, la Cour évoque une possible violation des droits de l’Homme, le droit de participation électorale lors des futurs scrutins. Cet argument est juridiquement dénué de fondement parce que la violation du droit invoqué ne doit pas être incertaine, elle doit être réelle et non pas reposer sur des allégations futures. Ce qui n’est pas le cas », a-t-il écrit.

Artisan majeur de cette loi, qui a fait beaucoup de bruit lors de la Présidentielle de 2019, Pr Fall estime que la Cour a outrepassé ses prérogatives. Il appelle même le Sénégal a initié des réformes pour la changer. « Les erreurs nous paraissent tellement énormes et susceptibles de porter atteinte à la crédibilité et à la légitimité de la Cour que nous pensons vraiment que le Sénégal doit prendre l’initiative de porter une réforme en vue de sauver la Cour pour qu’elle reste l’organe de protection des droits de l’Homme rêvé par les citoyens de l’Afrique de l’Ouest », a plaidé le Constitutionnaliste.

Chantage sexuel : un Guinéen se fait passer pour une lesbienne pour attirer une ‘’proie’’

Un Guinéen, I. C. Camara, établi au Sénégal depuis longtemps, a voulu se faire des sous à travers les réseaux sociaux. Pour y arriver, il a créé plusieurs comptes Facebook et un compte WhatsApp, en ayant recours à plusieurs identités usurpées. Il a, après, commencé à rechercher des profils ‘’intéressants’’. Il est tombé sur une fille, une Centrafricaine, L. M. Regakouzou, à qui il a fait croire être une lesbienne.

Il s’était présenté à elle sous le nom de Sylva. Les deux discutaient et le courant passait. Au fil du temps, ‘’elles’’ sont parvenues à nouer une relation amoureuse solide et à distance avec sa fausse identité. Elles ont commencé à discuter de tout et de rien, avant d’arriver à échanger des photos nues. I. C. Camara téléchargeait des photos sur Internet qu’il envoyait à sa partenaire.

Ne se contentant plus des nudités de sa copine, il a voulu aller plus loin en ayant des rapports sexuels avec Mlle Regakouzou, au risque de se faire découvrir. A sa grande surprise, la fille lui a refusé cela et catégoriquement. Déterminé à satisfaire son appétit sexuel, il a commencé à la faire chanter, jurant de publier ses photos et vidéos à caractère obscène, au cas où elle ne passerait pas le voir. Malgré cela, la fille a campé sur sa position.

Pour mettre ses menaces à exécution, selon nos sources, M. Camara est parvenu à trouver, via Facebook, une des sœurs de Regakouzou qui se trouve au Cameroun. Il lui a envoyé des vidéos nues de sa frangine. Pour tirer cette affaire au clair et se faire justice, la présumée victime a saisi la Division spéciale de cybercriminalité (DSC) à travers une plainte. Le suspect a été localisé après des recherches par les hommes du commissaire Kandé, le patron de la DSC. Interpellé, il a été acheminé dans leurs locaux pour les besoins de l’audition.

Face aux enquêteurs, confient nos sources, M. Camara a tenté de se dédouaner. Il a confié que s’il a agi de la sorte, c’est parce qu’il est homosexuel. Une thèse qui n’a pas convaincu les enquêteurs qui ont décidé de le déférer au parquet pour les délits de chantage sexuel, collecte illicite et menace de diffusion de données à caractère personnel, faux et usage de faux.

Bientôt sous séquestre : moins de 3 ans après son inauguration la Centrale à charbon de Sendou croule sous la dette

Ce sera difficile de remettre sur pied la centrale de Sendou et pour cause. Africa Intelligence souligne que la centrale à charbon est en cessation de paiements auprès de plusieurs dizaines de créanciers. La justice pourrait prochainement décider de son placement en liquidation judiciaire, d’après lasnews.

Selon Africa Intelligence, c’est le tribunal de commerce de Dakar qui a décidé à la mi-avril de placer l’entreprise gestionnaire, la Compagnie d’électricité du Sénégal (Ces), en procédure de redressement judiciaire afin de tenter de rembourser 60 créanciers. En clair, la société est confrontée à des millions de dollars d’impayés.

Le scénario d’un concordat entre les différentes parties parfait illusoire, la Senelec n’ayant plus besoin d’électricité supplémentaire après avoir fait appel à Karpower ship, fait savoir Africa Intelligence.

D’ailleurs, le redressement judiciaire pourrait ainsi n’être qu’une étape avant la fermeture définitive de l’entreprise

Drame au Ranch de Dolly: Ivres du parfum “Boul Faalé”, deux bergers se sont affrontés à mort

Ils avaient quitté leur hameau le matin pour se rendre au village voisin de Ogo où se tenait un baptême dans le domicile d’un certain Koly Sow. Une dispute a éclaté entre les deux jeunes bergers ivres du parfum « Boul Falé ». Quelques bonnes volontés ont tenté en vain de raisonner les deux antagonistes qui s’échangeaient des injures et menaces de mort.

Armés de coupe-coupe, les deux bergers se sont violemment affrontés. Grièvement blessés, les deux ont été conduits au poste de santé de Thiél où Samba Ka a finalement rendu l’âme avant son transfèrement à l’hôpital Magatte Lô de Linguère.

Le présumé meurtrier est sous surveillance dans le dit centre hospitalier où il reçoit des soins médicaux La gendarmerie a ouvert une enquête.

Hôpital Fann : le service de réanimation des patients de Covid-19 en feu

L’hôpital de Fann a échappé au pire au lendemain de l’incendie qui a ravagé l’unité de néonatologie de l’hôpital Maguette Lo de Linguère et qui a occasionné la mort de 4 nouveau-nés. Un incendie a été déclaré au niveau du service de réanimation des patients de Covid-19. Mais plus de peur que de mal, car, rapportent nos confrères, il  n’y a aucune perte en vie humaine. Les malades qui étaient dans le centre, ont été transférés en urgence dans d’autres structures hospitalières.

Conflit foncier : le feu couve encore à Ndingler

La tension est toujours vive à Ndingler où un conflit foncier oppose les habitants à l’homme d’affaires Babacar Ngom. Et cette affaire qui a connu un moment de répit, a pris une nouvelle tournure, puisque des incidents ont éclaté à nouveau entre les deux parties. En début de semaine, six paysans ont effectué une descente musclée dans l’exploitation de l’homme d’affaires pour exiger qu’un container, installé depuis plusieurs mois au niveau de la zone litigieuse, soit déplacé immédiatement, au motif qu’il se trouverait sur leurs terres. Des échanges houleux ont eu lieu. Les paysans ne comptent pas reculer. Car, ils ont promis de revenir, pour se faire entendre, si le container n’est pas déplacé.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention