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Grand banditisme, criminalité, terrorisme, cybercriminalité… : Les défis du nouveau patron de la police Seydou Bocar Yague

Le ministre de l’Intérieur, Félix Abdoulaye Diome a présidé, ce jeudi 29 avril, la cérémonie d’installation du nouveau Directeur Général de la Police nationale, l’Inspecteur général Seydou Bocar Yague. Ce dernier a remplacé à ce poste l’Inspecteur général de Police Ousmane Sy.

Lors de son discours, le nouveau patron de la police s’est engagé à « répondre efficacement aux attentes des populations et des pouvoirs publics ». « Je mesure à sa juste valeur l’ampleur de la tâche qui m’attend. Elle consiste à faire du Sénégal l’exception qu’il a toujours été c’est-à-dire un havre de paix, un pays sûr, stable, qui garantit la sécurité des personnes et des biens qui y vivent. A ce titre, nous devons garantir l’efficacité des opérations de la police nationale, l’épanouissement professionnel et social des professionnels de la police et le rehaussement de la posture de l’institution policière », a-t-il déclaré.

Sur ce, l’une de ses priorités sera de raffermir les liens entre les citoyens et les forces de l’ordre.

En outre, Seydou Bocar Yague a rappelé que la police nationale fait face de nos jours à des menaces multiformes notamment le grand banditisme, la criminalité nationale organisée et transfrontalière, le terrorisme et la cybercriminalité. « C’est la raison pour laquelle, il apparaît de procéder à une ré-articulation de nos dispositifs », dit-il.

Pour ce faire, le Directeur de la police indique que la modernisation des infrastructures abritant les unités de police, l’acquisition d’équipements adaptés spécialisés, l’amélioration des cadres de vies des policiers, le renforcement du système des renseignements, entre autres demeurent les priorités absolues.

La cérémonie, empreinte de solennité, a vu la participation de hautes autorités civiles et militaires.

Kolda : La marche de l’intersyndicale de l’hôpital régional qui réclamait de meilleures conditions de travail, a été dispersée par la police par des grenades lacrymogènes.

L’intersyndicale de l’hôpital régional de Kolda a battu le macadam ce jeudi 29 avril pour marquer son exaspération par rapport à la situation désastreuse de l’établissement. C’est la énième fois que l’intersyndicale,  la société civile et les populations, en l’espace d’un mois, protestent pour réclamer de meilleures conditions sanitaires et de travail.

Décidée à stopper la procession qui voulait rallier la gouvernance afin de remettre un mémorandum au gouverneur, la police a usé de tirs de gaz lacrymogènes sur les marcheurs. Ce qui a eu l’heur d’irriter fortement les initiateurs de cette marche qui se voulait pacifique. Actuellement la situation est devenue très tendue dans la capitale du Fouladou.

M. Sy,  agent de l’hôpital régional : « Kolda est malade, l’hôpital régional est malade car il n’a pas de respirateur pour anesthésie, pas de machines à laver. Les malades se couchent sur des draps infectés parce que mal nettoyés. Nous critiquons encore la gestion nébuleuse de l’établissement. Nous sommes en danger, Kolda va mal… »

Ils protestent entre autres contre le manque de spécialistes, la surcharge du travail, la non fonctionnalité de certains services, la gestion nébuleuse de l’établissement. Mais au-delà de tout ceci, on note un manque notoire de médecin-réanimateur. Tous ces manquements font que les populations considèrent l’hôpital régional comme un « mouroir ».

Pour Fama Dia, membre de la société civile, il est inadmissible que l’hôpital soit un « mouroir ». À ce titre, elle précise : « aujourd’hui, le scanner et la buanderie sont en panne. Nous déplorons aussi qu’il y ait un seul gynécologue, un seul cardiologue et un seul pédiatre pour un hôpital de niveau 2… »

 

Procès des terroristes présumés: le verdict est tombé (chambre criminelle spéciale)

Mamadou Diao, qui fut poursuivi pour association de malfaiteurs et apologie du terrorisme, a écopé de 5 ans de prison ferme pour recel de terroristes.

Sina Ould Sidy Ahmed et Boubacar Niangadou ont été condamnés aussi à 5 ans, mais assortis d’une amende de 9 milliards de francs Cfa et d’une interdiction de séjour au Sénégal pour une durée de 5 ans. Ils étaient cités dans l’affaire de l’attentat de la Côte d’Ivoire, rappelle la Rfm.

Aida Sagna, elle, reconnue coupable pour association de malfaiteurs, relation avec une entreprise terroriste, a  écopé d’une peine de 5 ans en lieu et place des 15 ans réquis par le procureur.

Covid-19 : Le e-commerce réalise une croissance de 40% au Sénégal

S’il y a un secteur qui a pleinement tiré profit du confinement et autres restrictions imposées par la pandémie de la Covid-19 aussi bien au Sénégal que dans le monde entier, c’est bien le e-commerce. Au Sénégal, il atteint la barre symbolique de 40 % de croissance, là où il a atteint 60 à 100% des achats par endroits dans le monde.
 
Un bond salué par les acteurs du e-commerce sénégalais. « Le commerce en ligne a tiré profit de ce changement de comportement des clients à la faveur des achats à distance. Une demande croissante de biens et de services en ligne a été constatée », explique le directeur général de Jumia Sénégal, Mohamed Hapté Sow.
 
 
Cependant, malgré ce bond significatif, le e-commerce sénégalais reste à la traîne comparé à d’autres pays d’Afrique telle que la Côte d’Ivoire dont le modèle est bâti sur le partenariat entre les différentes structure de e-commerce qui a fortement influé sur les habitudes d’achats des populations.
 
Un modèle d’avenir que les acteurs souhaitent adapter au Sénégal. « Pour la partie commerciale avec les offres de produits, pour la livraison à domicile ou en point relais ou bien encore pour les finances car les entreprises du e-commerce ne sont pas des banques, le partenariat est une obligation pour que le e-commerce continue à se développer », estime Sow.

Université Alioune Diop de Bambey : Le manque d’infrastructures qui révolte Guy Marius Sagna

Pendant que les étudiants de Thiès exigent l’achèvement des chantiers de l’université, ceux de Bambey peinent à voir des constructions sorties de terre depuis un bon bout de temps. Une situation qui a fini par plonger l’université Alioune Diop de Bambey dans des grèves cycles interminables.

Tout de même, les pensionnaires de l’Uadb peuvent compter sur le soutien de certains leaders d’opinion. C’est le cas pour Guy Marius Sagna. L’activiste ne cache pas sa peine de voir ses frères, sœurs, filles et fils vivre une telle situation.

“Je suis étudiant de l’université Alioune Diop de Bambey”

Guy Marius Sagna s’est mis dans la peau d’un étudiant. Et c’est pour décrier le manque d’infrastructures à l’Uadb. À travers une note, promet de faire de son mieux pour persuader les autorités à procéder à la construction d’autres amphithéâtres et espaces d’apprentissage afin d’améliorer les conditions pédagogiques et sociales des étudiants.

“L’université Alioune Diop de Bambey (UADB) compte 10.000 étudiants et un seul amphithéâtre de 500 places et un restaurant de 500 places. Les étudiants se déplacent pour aller faire cours au nouveau lycée de Bambey qui se trouve à 3 km de ladite université. Le gouvernement avait promis de construire deux amphithéâtres et un restaurant de 1.000 places au niveau du campus pédagogique. Jusqu’au moment où vous lisez ces lignes la promesse n’est pas tenue et cela fait 02 semaines que nos concitoyens étudiants de l’UADB sont en grève dans l’indifférence totale” fait remarquer Guy Marius Sagna.

Trop c’est trop! Ça suffit!

S’en est trop! tonne l’activiste. Il se dit déterminé à mener le combat avec les pensionnaires de l’université de Bambey.

“Si d’ici une semaine le gouvernement ne règle pas le problème de nos sœurs, frères, nièces, neveux, filles et fils de l’UADB, nous irons à Bambey les soutenir si les étudiants nous le permettent. Pendant qu’ils (les pouvoirs publics) donnent 500.000 FCFA aux conjointes des ambassadeurs, pendant qu’ils donnent des avantages indus aux anciens présidents du Conseil économique social et environnemental (CESE), pendant qu’ils cherchent à vampiriser davantage nos ressources en accordant des privilèges parasitaires aux anciens premiers ministres, les étudiants de l’UADB, sont en grève alors qu’eux, leurs enfants sont dans les plus chères universités et écoles du Sénégal et du monde. La situation est la même dans les autres universités (Thiès, Saint Louis etc)” s’indigne t-il.

Guy Marius Sagna a fini sa note en appelant les étudiants à faire bloc autour de l’essentiel. Il invite en même temps les parents d’étudiants à soutenir leurs enfants. “Nous ne pouvons plus nous taire et ne rien faire face au sabotage de l’école et de l’Université publique. Se taire et ne rien faire c’est être complice”, conclut l’activiste”

Tribunal de Dakar : Le couple d’enseignants, l’enfant qui joue avec le portable et le sms maudit

Un couple d’enseignants résidant à la Zone de Captage solde ses comptes à la barre du tribunal correctionnel de Dakar.

Le mari, M. K., a porté plainte contre son épouse, A. D., qui aurait fait défiler le contenu de son téléphone pendant qu’il se douchait.

Alors que leur fille jouait avec le portable, la jalouse dame en a profité pour fouiller le contenu de la messagerie.

Elle a découvert un message que son mari a envoyé à sa maîtresse : «Dafa melni danga sone. Khana mala sonal ?». «Go», lui a répondu son interlocutrice.

Une affinité qui, d’après L’Observateur, n’a pas plu à l’épouse qui en a fait un gros scandale.

Son mari sorti de sa douche, elle pique une crise de jalousie et le traite de tous les noms d’oiseaux.

Sa colère était d’autant plus noire que son mari n’assurait pas la dépense quotidienne.

Pour laver l’affront, l’époux traîne sa femme en justice pour “diffamation, injures non publiques et accès frauduleux dans un système informatique”.

Jugée hier, le parquet a requis contre la femme l’application de la loi pénale. Elle sera édifiée sur son sort le 11 mai prochain.

Covid-19 : 46 nouveaux cas positifs ce jeudi 29 avril

A man walks with a face mask at the Kantamanto market after the partial lockdown in parts of Ghana to halt the spread of the COVID-19 coronavirus was lifted in Accra, Ghana on April 20, 2020. - The streets of Accra buzzed with life following President Nana Akufo-Addo's announcement of the end to a three-week restriction on movement around the capital and second region Kumasi. (Photo by Nipah Dennis / AFP)

Ces nouvelles contaminations sont issues de tests virologiques réalisés sur un échantillon de 1309 individus, soit un taux de positivité de 3,51%, a précisé le directeur de la prévention du ministère de la Sante et de l’Action sociale lors du point quotidien sur la situation de l’épidémie dans le pays.

Le docteur El Hadj Mamadou Ndiaye a fait savoir que parmi ces nouveaux cas, 17 sont des cas suivis par les autorités sanitaires, les 29 autres sont des cas communautaires répertoriés à Dakar (23) et dans les autres localités du pays (6).

Aucun décès enregistré ces dernières vingt-quatre heures. 1107 décès depuis son apparition dans le pays, le 2 mars 2020.

Trente (30) personnes suivies dans les centres de traitement et à domicile ont été déclarés négatifs et guéris. Pendant ce temps, 11 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.

Le Sénégal comptabilise à la date d’aujourd’hui 40.295 cas positifs, dont 39.021 guéris et donc 166 sous traitement.

Le ministère de la Santé signale par ailleurs que 410.950 personnes ont été vaccinées depuis le début de la campagne de vaccination .

Coopération et partenariats : Macky Sall insiste l’étude du projet de réhabilitation du chemin de fer Dakar-Tambacounda

Le Président de la République a, enfin, abordé la question liée à la coopération et les partenariats en insistant particulièrement sur la finalisation de l’étude d’ensemble, relative au projet de réhabilitation du chemin de fer Dakar-Tambacounda.

Violence à ascendance: Une mère battue par son fils, bras amputé et trois dents cassées, accusée de…

Pour un fils indélicat, c’en est bien un! Le bonhomme a battu sa mère en lui amputant un doigt et enlevé ses trois dents.

Soupçonnant sa propre mère de recevoir ses amants au domicile de son père, le fils avait trouvé d’autres moyens pour justifier son défoulement sur cette dernière.
En effet, qu’il l’a bien battue, avant de lui amputer un doigt et cassé trois (3) de ses dents.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention