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Covid-19: 67 nouveaux cas, 31 patients guéris, 16 cas graves, 3 décès…

Ce samedi 17 avril 2021, 67 nouveaux cas de coronavirus ont été enregistrés sur 1 672 tests réalisés, soit un taux de positivité de 4,01%. Les cas positifs sont répartis comme suit : 28 cas contacts, 0 cas importé et 39 issus de la transmission communautaire…

31 patients ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris, 16 cas graves sont en réanimation, 03 décès enregistrés.

A ce jour, 39 731 cas ont été déclarés positifs, dont 38 441 guéris, 1 090 décédés et 199 patients sous traitement. 380 665 personnes ont été vaccinées contre la Covid-19.

Saisie de médicaments: La Direction de la Pharmacie mouillée, hôpitaux et cliniques servis

Le Directeur des Opérations douanières, Mbaye Ndiaye, assène: “sur presque 6 000 cartons, les 5 500 étaient du matériel qu’on qualifie de dispositif médical. Un ensemble de produits qui sont utilisés dans le domaine médical, mais qui ne sont pas à proprement parler des médicaments”, a-t-il révélé.

La première hypothèse est que les produits ont été importés, mis dans un container et caché dans d’autres produits. L’autre hypothèse, c’est que d’autres importateurs ont acheté les médicaments et les ont mis dans leur dépôt, indique “Source A”.

Pour “Libération”, la société a été montée le 21 mai 2019 et Dahaico menait tranquillement ses activités illicites depuis le 1er janvier 2020.

En plus de certaines pharmacies, elle “fournissait” des hôpitaux et cliniques. Les médicaments en cause étaient envoyés depuis la Chine par la société Zhimin.

Lutte : Balla Gaye 2 vs Boy Niang ficelé par Gaston Mbengue

Les amateurs de lutte sénégalaise vont vivre un énorme soir durant la saison en cours. En effet,  le combat entre Balla Gaye 2 et Boy Niang 2 est décroché par Gaston Mbengue.

C’est partie pour être l’une des affiches les plus prometteuses de la saison de lutte au Sénégal. Après avoir engagé le duel revanchard et disputé le 4 avril dernier entre Eumeu Sène et Lac de Guiers 2, Gaston Mbengue vient de confirmer son surnom de Khalif Général de la lutte. En effet, le promoteur saint-louisien a frappé avec un énorme coup en ficelant le combat Balla Gaye 2 – Boy Niang 2 . Les deux lutteurs se sont mêmes retrouvés chez Gaston Mbengue, pour une finalisation de ce combat entre de derby entre lion de Guédiawaye et l’enfant prodige de Pikine. C’est la banlieue qui va se déchirer.

Kaolack : Un douanier périt dans un accident de la route à Keur Socé

Un agent de constatation en service à la Douane de Fatick a perdu la vie dans un accident survenu jeudi soir à hauteur de Keur Socé, dans la région de Kaolack.
« Le véhicule de la Douane de type 4×4 a fait plusieurs tonneaux à hauteur de Keur Socé sur la route Kaolack-Keur Madiabel », a expliqué à l’Aps une source sécuritaire, faisant savoir que l’agent de constatation qui conduisait le véhicule est mort sur le coup.
Le corps de la victime, 27 ans, originaire du village de Keur Yoro Khodia, a été déposé par les sapeurs-pompiers à la morgue du centre hospitalier régional El Ibrahima Niass de Kaolack.

Diplomatie : Michael Raynor nommé ambassadeur des USA au Sénégal

L’administration Biden a nommé un nouvel ambassadeur au Sénégal. Il s’agit de Michael Raynor, un diplomate de carrière jusqu’ici ambassadeur des Etats-Unis en Éthiopie. Il remplace à ce poste Tulinabo S. Mushingui nommé Ambassadeur des États-Unis en Angola qui officie également pour São Tomé et Principes.
Ancien directeur exécutif du Bureau des affaires africaines du Département d’État, entre autres fonctions, Michael Raynor en poste à Dakar va officier également pour le compte de la Guinée-Bissau.

Pêche : Le ministre Alioune Ndoye en eaux troubles à Joal

C’est une visite peu ordinaire que Alioune Ndoye, ministre de la Pêche et de l’économie maritime, a effectuée au quai de Joal-Fadiouth.
 
Venu visiter les sites qui dépendent de son ministère, les pêcheurs ont obligé le  ministre à changer son protocole de visite. Car, ces derniers ne voulaient plus d’intermédiaire avec la tutelle. 
 
“Nous voulons que le ministre prenne langue avec les pêcheurs. Nous lui demandons de nous parler directement. Qu’il nous donne la part que nous méritons et qu’il arrête de nous faire des promesses qui n’arrivent jamais vers les vrais acteurs. Nous ne voulons plus d’intermédiaire entre lui et les pêcheurs”,  persifle le pêcheur Ousmane Fall. 
 
Des rixes ont été évitées de justesse entre les pêcheurs et les gendarmes supposés garantir la sécurité au cours de la visite si le ministre n’avait pas prêté une attention particulière à la volonté des pêcheurs.
 
Arborant des brassards rouges, les pêcheurs ont parlé avec leur ministre sans langue de bois, ni intermédiaire.
 
D’ailleurs, il finit sa visite sous un soleil de plomb, entouré par les pêcheurs qui lui soumettaient un chapelet de doléances et de complaintes.

Autorisation de sortie de prison pour Habré : Les Nations Unies s’y opposent

L’information est livrée par le Collectif des victimes de l’ex-homme fort de N’Djaména, ce 16 avril. Selon le collectif, les Nations Unies sont contre une permission accordée à Hissène Habré. Ses membres soutiennent que pendant que le juge d’application des peines examine la demande des avocats du condamné pour une autorisation de sortie de prison de six mois, quatre rapporteurs des Nations Unies ont rappelé au Sénégal leurs «plus graves préoccupations» quant à une éventuelle sortie de l’ex-dictateur du Tchad.
 
Pour ces victimes, l’intervention des rapporteurs, publiée pour la première fois le  8 juillet 2020, et rappelée aujourd’hui, avait exprimé leurs préoccupations  quant à la libération temporaire de Habré en avril 2020, «en violation des normes internationales» et avait souligné qu’il était «essentiel» que Habré soit maintenu en détention, étant donné la gravité des crimes pour lesquels il a été condamné. 
 
 De plus, dans leur lettre au gouvernement  du Sénégal,  les rapporteurs sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition, sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, sur le droit à la santé et sur la torture, avaient exprimé leurs «plus graves préoccupations quant à la libération temporaire de l’ancien président du Tchad, M. Hissène Habré, dans le contexte de la pandémie Covid-19, sans justification apparente de santé publique, en violation des normes internationales concernant la responsabilité des violations flagrantes des Droits de l’homme. (…) Nous soulignons que le maintien en détention de M. Habré est essentiel pour lui permettre de répondre à des graves crimes qu’il a commis et pour garantir l’accès des victimes à la justice et à la réparation, tout en assurant l’intégrité physique du détenu».
 
 Pour rappel, en décembre 2019, alors que les partisans de Habré insistaient pour qu’il soit remis en liberté, le Comité des Nations Unies contre la torture a écrit au gouvernement du Sénégal, pour souligner qu’une «libération prématurée d’auteurs des crimes internationaux les plus graves n’est pas conforme aux obligations [du Sénégal]» telles que définies par la Convention de l’Onu contre la torture dont l’obligation de réprimer les actes de torture et d’autres mauvais traitements par des peines prenant en compte la gravité de leur nature. 
 
Ainsi, le rapporteur du comité a mis en garde contre le recours à «une mesure déguisée d’amnistie» et déclaré que «si, d’aventure, l’état de santé de Hissène Habré ne permettait pas le maintien en détention de celui-ci, il fallait que ce soit avéré».
 
L’ancien homme fort de N’Djaména, Hissène Habré, est sorti de prison du Cap Manuel, le lundi 6 avril 2020. Il lui a été accordé une permission de 2 mois, pour des raisons humanitaires, en cette période de coronavirus. Avant de regagner sa cellule à la prison du Cap Manuel de Dakar, le dimanche 7 juin 2020.

Série de violences à l’Ucad : Ousmane Sonko diagnostique les maux des universités sénégalaises

Le décès d’Ismaëla Gaoussou Diémé, qui a succombé à ses blessures suite à la bataille rangée entre les associations universitaires Kekendo et Ndeflengue, continue de faire polémique. Réagissant à cet évènement douloureux qui secoue l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), le leader du Pastef, Ousmane Sonko, préfère parler d’abord des causes de cette tragédie. Dans une tribune publiée sur sa page Facebook, il diagnostique les maux qui gangrènent les universités sénégalaises et engendrent la violence notée dans ces temples du savoir. Seneweb publie in extenso le post de Sonko :
 
PARLONS D’ABORD DES CAUSES
 
Je suis meurtri par les multiples violences que subissent nos jeunes sœurs et frères étudiants.
 
– la première violence, ce sont les conditions d’études et d’existence inhumaines dans les amphithéâtres et les campus, tellement bondés qu’il faut faire des coudes pour assister aux cours, pour se loger (jusqu’à 10 étudiants par chambre) ou suivre une longue queue pour se restaurer ;
 
 – la deuxième violence, c’est le retard apporté au paiement de leurs bourses d’études, pourtant vitale pour l’écrasante majorité d’entre eux, souvent issus de milieux assez modestes ;
 
– la troisième violence, c’est la brimade disproportionnée, à chaque fois qu’il veulent manifester contre ces traitements déshonorants infligés par leurs propres gouvernants, avec son lot de blessés, d’arrestations et, quelques fois, de morts d’étudiants jamais élucidés ;
 
 
 Mais les quatrième et cinquième violences sont les plus insidieuses, puisque d’ordre psychologique :
 
– l’étudiant sénégalais est moralement torturé par l’absence d’horizon, toujours tenaillé par le doute, voire le scepticisme d’un présent difficile et d’un lendemain sans perspective aucune de trouver un travail ;
 
– l’étudiant sénégalais est toujours sous le choc causé par le regard et l’image que projette de lui le seul responsable de sa condition, c’est à dire les pouvoirs publics.
 
 Les étudiants s’entendent toujours traiter de voyous, de délinquants, de jeunes ratés et maintenant, de terroristes par le gouvernement et ses démembrements. Pourtant eux, président de la République, ministres, DG et autres, tous produits de nos universités du temps de leur lustre, leurs enfants déroulent tranquillement leurs études dans les meilleures universités du monde au Canada, aux États-Unis, en France… où ils vivent dans des palaces et valsent entre les avions pour des vacances à Dubaï, Paris ou la Californie. Quand ils sont au Sénégal, leur vie se résume aux villas, boites de nuit et de jeux des quartiers chics de Mermoz, Point E et Almadies où ils se déplacent en voitures de luxe coûtant des centaines de millions.
 
Tout cela avec l’argent du contribuable détourné de ses destinations que sont l’éducation et la santé, entre autres. Je marque ma compassion à ces étudiants victimes d’un système incompétent, corrompu et injuste.
 
Oui à la régulation et à la règlementation des universités qui doivent absolument demeurer des espaces de savoir, de paix et de quiétude, mais je dis non à la fermeture du campus social qui compromettrait davantage la situation et les chances d’une jeunesse déjà trop abandonnée et sacrifiée, alors que le premier semestre n’est même pas bouclé.
 
Pendant ce temps, les gouvernements continuent à vendanger les intérêts nationaux aux étrangers, à entretenir un système d’escroquerie sur les deniers et biens publics, à dilapider l’argent public dans des rassemblements politiques farfelus et à mentir à cette jeunesse par des promesses chimériques d’emplois. Je reviendrai sur la situation des enseignants.
 
 
 Fait à Dakar, le 16 avril 2021
 
Ousmane SONKO

Mariéme Faye Sall au chevet de l’artiste Elhadji Ndiaye

L’annonce a été faite par l’artiste lui-même dans un bref entretien téléphonique accordé à iGFM.

«Suite à l’annonce de ma maladie, la première dame a reçu mon épouse pour s’enquérir de ma situation. La rencontre s’est bien passée et elle a beaucoup prié pour moi. Elle m’a également accordé l’appui financier nécessaire pour couvrir les frais de ma prise en charge. Je lui ai dit que si j’ai la possibilité de me soigner ici au Sénégal, je préfère y rester», a confié Elhadji Ndiaye à iGFM.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention