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Régulation des prix : Macky presse Aminata Assom Diatta

Face à la montée du prix du ciment, le président Macky Sall a demandé à son ministre du Commerce Aminata Assom Diatta de prendre les mesures qui s’imposent.

“Sur la régulation du marché du ciment et l’impératif de stabiliser les prix des denrées de première nécessité, Le Président de la République, demande au Ministre des Finances et du Budget et au Ministre du Commerce et des PME, en relation avec le Ministre en charge de l’Industrie, de veiller à la régulation optimale du marché du ciment”, rapporte le communiqué du conseil des ministres d’hier.

Macky Sall a également demandé à Aminata Assom Diatta de régulariser davantage la commercialisation de l’oignon et de la pomme de terre, entre autres produits cultivés au Sénégal, “afin de garantir aux producteurs locaux des prix rémunérateurs corrects en cette période de forte demande”.

Par ailleurs, en perspective du calendrier religieux, le ramadan notamment, le chef de l’Etat a rappelé à son ministre l’importance de maîtriser l’inflation.

“Le Président de la République invite, enfin, le Ministre du Commerce et des PME de veiller à l’approvisionnement correct des marchés en produits essentiels, ainsi qu’à la stabilité des prix des denrées de première nécessité sur l’étendue du territoire national, en perspective de la célébration des fêtes de Pâques et l’avènement du mois de Ramadan”, ajoute le communiqué.

Accès aux métiers de droit : Les revendications des diplômés sans emploi.

Le réseau des diplômés sans emploi tenant un point de presse ce matin à l’Ucad, a déploré ce manque de considération à l’endroit des diplômés en droit et qui sont laissés pour compte.

Le coordonnateur du mouvement, Yves Nzalé, après s’être indigné de cette situation, se demande d’ailleurs, “comment expliquer que le Sénégal ne puisse disposer que de moins de 600 magistrats alors qu’au minimum, on devrait avoir 1.000 magistrats”.

Le nombre d’avocats également est à interroger car, selon le coordonnateur du réseau, moins de 400 avocats sont aujourd’hui décomptés au moment où, estime-il, “nous devons avoir au moins 600 avocats. Même chose pour les notaires, les huissiers, les commissaires priseurs etc…”, dénonce Yves Nzalé tout en faisant allusion à l’indifférence totale des autorités face à cette non réglementation de la profession relative au droit.

Par ailleurs, l’enseignement du droit devait même être intégré au niveau du secondaire pour une bonne amélioration du droit.

Pour les diplômés sans emploi, ces irrégularités et défaillances, sont simplement dues à des lobbies qui verrouillent les professions libérales en complicité avec le ministre de la justice. “Ce dernier s’est même permis de signer un décret d’aptitude pour 11 huissiers qui n’ont pas fait de concours”. Un fait que dénonce le réseau au moment où de nombreux étudiants détenteurs de diplômes, peinent à trouver un emploi.

Ainsi, le REDSE demande l’ouverture du concours de notariat, d’huissier, de commissaire priseur, ainsi qu’à la règlementation des clercs.

Ils demandent également un recrutement en masse de magistrats tout en délocalisant l’enseignement du droit surtout celui relatif à la famille et en l’amenant au niveau du lycée.

À rappeler qu’en moyenne, 400 diplômés en droit sortent de la faculté au niveau de l’Ucad et au minimum entre 600 et 700 diplômés en droit au Sénégal qui n’ont pas d’emplois.

Les Lions en détente dans leur hôtel (Images)

A 24h de leur match contre le Congo, à Brazzaville, les Lions du Sénégal sont en détente dans leur hôtel du Pefaco. Les hommes d’Aliou Cissé en profitent pour échanger entre eux avant leur dernière séance prévue cet après-midi, au stade Alphonse Massambat-Débat lieu qui doit abriter la rencontre de demain, comptant pour la 5e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations.

Indépendance de la Justice : L’avis du procureur général près de la Cour d’appel qui demande à « ressortir des tiroirs les conclusions »

Une journée de réflexion initiée par l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) a réuni, ce jeudi, un large éventail de juristes, pour réfléchir sur le thème « État de droit et indépendance de la Justice : Enjeux et perspectives de réformes ». Le Secrétaire général du ministère de la Justice, en qualité de modérateur, a fait intervenir le magistrat Lansana Diabé Siby.

 

Le procureur général près de la Cour d’appel de Dakar a pris la parole au nom des chefs de Cour pour exprimer la joie qu’il lui apporte d’assister aux travaux scientifiques de l’Ums. « Le thème d’aujourd’hui qui porte sur “l’Etat de droit et indépendance de la Justice : Enjeux et perspectives de réformes”  a été déjà traité et fouillé par des organisations indépendantes, les magistrats et la société civile », a rappelé le magistrat.

« Je dis simplement que le thème d’aujourd’hui est un appel du pied afin que les conclusions (des travaux antérieurs) soient tirées des tiroirs pour qu’on puisse passer à leur exécution », a dit le Chef de Cour. Il renseigne qu’en compagnie du président de l’Ums, ils ont passé deux mois à travailler sur le thème de l’indépendance de la justice et des conclusions ont été déposées au niveau du ministère de la Justice.

« Mais, la question que l’on peut se poser est la suivante : pourquoi aborde-t-on encore ce thème ? », s’interroge encore Lansana Diabé Siby. Et le procureur général de poursuivre : « Comme nous l’avons souvent dit, la Justice, c’est la perfection. Or, la perfection n’est pas de ce monde. Les magistrats exercent une mission divine. Puisque nous sommes loin de la divinité, il nous faut toujours chercher la perfection ».

Revenir sur le thème de l’indépendance de la Justice n’est pas étonnant, selon lui. « Parce que nous sommes à la recherche de la perfection », a-t-il ajouté. Le procureur général près de la Cour d’appel de Dakar rappelle l’existence de conclusions qui ont été tirées des travaux avec le ministère, pendant une période de deux ans.

Indépendance de la Justice, critiques, parquet…: Téliko crache encore ses vérités

Avec l’éclatement de l’affaire Sonko, la Justice a été, de nouveau, au cœur des débats. Ce jeudi, lors de l’ouverture du séminaire de l’Union des magistrats du Sénégal sur la question de l’indépendance de la Justice, Souleymane Téliko s’est exprimé sur la question. Ci-dessous les extraits forts du discours du président de l’Ums.

“L’impartialité ou d’indépendance”

«Dès lors que, aux yeux du public, elle donne l’impression de manquer d’impartialité ou d’indépendance, la Justice perd une bonne partie de ce qui fait sa force : la confiance des justiciables. Sans une indépendance garantie et assumée, la justice perd en crédibilité et en autorité. Car ce n’est pas la force qui fait la justice, mais, plutôt, la justice qui fait la force. Par conséquent, travailler à préserver ce lien primordial de confiance constitue un devoir pour chacun de nous.

Ce ‘‘nous’’ s’adresse, en premier lieu, aux acteurs de la justice qui doivent adopter, en toute circonstance, une posture de neutralité et incarner la figure de tiers impartial et désintéressé. Ce ‘‘nous’’ s’adresse, aussi, aux décideurs et responsables de tous bords, qui doivent tout mettre en œuvre pour préserver la respectabilité de l’institution judiciaire et, le cas échéant, l’ajuster aux standards modernes d’une justice indépendante et impartiale.»

Subordination du parquet 

“Au sujet du parquet, le diagnostic, fait par les acteurs de la Justice et qui est régulièrement conforté par la pratique judiciaire, révèle que la subordination à l’autorité politique, sans distinction entre attributions administratives et judiciaires, fait peser sur cette entité et, par ricochet, sur la justice tout entière, un soupçon permanent de collusion et d’instrumentalisation, préjudiciable à l’image et à l’autorité du Pouvoir judiciaire.”

Le paradoxe du CSM

“Quant au CSM, organe capital considéré, à juste titre, comme la clé de voûte de l’indépendance de la justice, sa réforme nous semble plus que jamais nécessaire, au regard de l’inadéquation entre la mission qui lui est assignée et ses règles d’organisation, de composition et de fonctionnement (…)

Le paradoxe de notre CSM, qui est aussi son principal handicap, c’est qu’il est chapeauté et piloté par celui-là même dont il est censé limiter l’influence. L’heure semble donc venue de procéder à un changement de paradigme, à travers entre autres mesures, l’autonomisation du CSM et l’instauration de la procédure d’appel à candidature, qui permettront à cet organe d’assumer sa mission, au mieux des intérêts de la justice et des justiciables.”

Les réformes en question

“L’intérêt de ce séminaire tient moins au contenu de ces propositions de réformes, que beaucoup d’entre nous ici connaissent du bout des doigts, qu’à la nécessité de sensibiliser sur leurs enjeux qui dépassent, de loin, le cadre professionnel des magistrats.
En effet, nous avons la ferme conviction que la mise en œuvre de ces réformes aura le triple avantage de faire gagner la Justice, en crédibilité, les citoyens, en sécurité, et l’Etat de droit, en solidité.”

Les critiques et le déni

“Le propre de tout service public, la justice en est un incontestablement, c’est d’être régulièrement soumis à la critique de la société qu’il est appelé à servir. C’est particulièrement vrai pour la justice qui, chaque jour, s’invite dans la vie et l’intimité des citoyens (…)

Toutefois, le droit de critiquer ne doit pas tourner au culte du déni. Car chaque jour, et je prends à témoin les nombreux concitoyens qui, régulièrement, arpentent, les couloirs de nos tribunaux, des centaines, voire des milliers de décisions sont rendues dans des conditions de transparence totale et dans des délais plus que raisonnables.”

Les limites de la Justice…

“Néanmoins, le devoir d’objectivité nous oblige aussi à reconnaître que notre système judiciaire comporte des limites certaines que nous gagnerions à identifier et à corriger, pour le bien de tous. Par conséquent, certaines critiques qui émanent de nos concitoyens, au nom de qui nous rendons la justice et dont on ne peut contester le bienfondé, doivent être accueillies avec humilité et traitées avec clairvoyance.

C’est tout le sens de l’atelier d’aujourd’hui par lequel nous appelons à l’instauration d’un débat serein, responsable et constructif, qui nous permettra de baliser le chemin vers un horizon meilleur.”

LES FEMMES UN PEU MOINS SUSCEPTIBLES DE MOURIR DU COVID-19 QUE LES HOMMES (OMS)

Les cas d’infections et de décès liés au Covid-19 qui concernent les femmes représentent une proportion légèrement inférieure en comparaison de ceux se rapportant aux hommes, apprend-on de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui vient de publier à ce sujet une ’’analyse préliminaire’’ de la situation de 28 pays africains dont le Sénégal.
 
Cette analyse révèle que bien que la gent féminine représente environ 41 % des cas de Covid-19 dans les pays concernés, un taux variant de 31 % au Niger à plus de 57 % en Afrique du Sud, “les femmes sont un peu moins susceptibles de mourir de la Covid-19 que les hommes”. L’analyse publiée sur le site de l’OMS se base sur des données épidémiologiques spécifiques fournies par les pays concernés et qui sont relatives au sexe des patients Covid.
 
Le rapport souligne qu’en Côte d’Ivoire, par exemple, le taux de létalité est de 0,4% pour les femmes contre 0,5 % pour les hommes, tandis qu’en République démocratique du Congo, il est de 2,2 % contre 2,7 %, et de 0,1 % contre 0,5 % aux Seychelles.
 
Les femmes représentent 54% des infections des agents de santé, contre 71 % aux Seychelles, 64 % en Eswantini et 55% en Côte d’Ivoire, indique ce rapport, selon lequel plus de 95.000 agents de santé au total ont été infectés par le Covid-19 en Afrique. Des statistiques à mettre en rapport avec le fait que les femmes représentent une grande partie du personnel de santé, ce qui les expose à un risque plus élevé d’infection, soulignent les auteurs de l’étude.
 
Concernant la région Afrique de l’OMS, des analyses supplémentaires sont nécessaires pour déterminer les facteurs à l’origine de la disparité des infections entre les hommes et les femmes, relèvent-ils. Cependant, certaines études ont suggéré que des facteurs biologiques, comportementaux ou sociaux pourraient être responsables de cette situation.
 
D’autres études rapportent que les hommes sont beaucoup plus susceptibles de souffrir des effets graves de la Covid-19 et plus susceptibles d’avoir des conditions préexistantes, ce qui explique le taux de mortalité légèrement inférieur observé chez les femmes.
 
Cependant, la pandémie et les mesures de confinement strictes initiales telles que les verrouillages, les restrictions de mouvement et les fermetures d’écoles ont accentué les vulnérabilités auxquelles sont confrontées les femmes et les filles, selon le texte.
 
“Les répliques de la pandémie de Covid-19 sur les femmes et les filles ont été profondes, laissant de nombreuses personnes aux prises avec des risques accrus pour leur santé et leur sécurité”, a déclaré le directeur régional de l’OMS pour l’Afrique docteur Matshidiso Moeti.
 
“Notre réponse doit aller au-delà des aspects cliniques de la pandémie et s’attaquer aux crises cachées qui risquent d’avoir des effets à long terme sur les vies et les moyens de subsistance”, ajoute-t-elle dans des propos cités dans cette étude.
 
“La pandémie accentuant les difficultés d’accès aux services de santé essentiels, une analyse préliminaire de l’OMS dans 22 pays a révélé que 10 pays faisaient état d’une augmentation des décès maternels, les plus fortes augmentations étant signalées aux Comores, au Mali, au Sénégal et en Afrique du Sud entre février et juillet 2020, par rapport à la même période en 2019”, révèle-t-elle.
 
Neuf des 22 pays ont signalé une baisse des naissances dans les établissements de santé et une augmentation des complications liées aux avortements, ajoute-t-on de même source.

Rts : Les avantages faramineux de Racine Talla

Au Sénégal, un directeur général d’une société publique peut facilement mener une vie de Pacha avec l’argent du contribuable. La preuve par les avantages faramineux dont bénéficient Racine Talla. 
 
“Le directeur général de la Rts perçoit un salaire de 5 millions chaque mois, avec 2 véhicules à sa disposition, 750 litres de gasoil”, dénonce Cheikh Birahime Ndiaye, Secrétaire général de la section Cnts de la Rts. 
 
Les syndicalistes, lors d’une conférence de presse, ont dénoncé la manière dont le média public est administré. 
 
“Le seul problème de la Rts, c’est Racine Talla. Il est grand temps que le Président Macky Sall sache dans quelles conditions il gère la maison de la Rts”, renchérit Ndiaye.
 
Les travailleurs semblent déterminés à obliger le Dg à signer l’accord d’entreprise sans clause de mobilité. “Notre accord sera signé par A ou B. S’il ne peut pas, on cherche quelqu’un d’autre pour le faire”, prévient le Sg de la Cnts/Rts.
 
À rappeler que Racine Talla a déjà atteint l’âge de la retraite, mais il est maintenu au poste par Macky Sall.

Liberté provisoire pour Birame Soulèye Diop et Abass Fall

Birame Soulèye Diop et Abass Fall de Pastef viennent d’obtenir une liberté provisoire. Ce, après Guy Marius Sagna, Clédor Séne et Assane Diouf.

Band 2 Casa : ” J’invite au Président Macky Sall et Ousmane Sonko à œuvrer pour la paix au sénégal “

Acteur culturel , rappeur et entrepreneur , Pape Dramé connu sus le nom de Bande 2 casa , est en train de faire du chemin .  A 28 as , le rappeur  est la nouvelle étoile montante de la musique sénégalaise. Celui qui a grandi dans le quartier du Sénégal entre kaolack et Casamance ambitionne de réussir aussi bien sur le plan international que son idole et référence  Youssou Ndour . Par ailleurs ce jeune natif de Kaolack et originaire de la Casamance n’a pas manqué de revenir sur l’actualité marquée par les émeutes et les affrontements entre le pouvoir et les partisans du leader de Pastef Ousmane Sonko . Pour ce jeune leader et rappeur , “la paix doit régner au Sénégal car sans la paix rien  ne peut développer . Et en tant qu’acteur culturel , j’invite le Président Macky à oeuvre pour la paix au Sénégal” , lance t-il . Poursuivant son argumentaire , le jeune nommé Bande 2 Casa s’est montré très satisfait suite la décision du gouvernement de suspendre l’état d’urgence . ” Avec le coronavirus j’ai perdu des contrats et des projets de 70 millions et des voyages aussi mais je m’en remets en dieu et aujourd’hui ça sera occasion dérouler mon programme avec mes partenaire sur la vulgarisation de mon album dénommé “Lettre anonyme” qui est sorti  depuis le 13 Mars 2021   et d’autre projet pour la jeunesse car on oeuvre aussi dans le social avec le projet Casa Mac Tours qui consiste à faire le tours des prisons pour apporter son soutien aux prisonniers et surtout pour leurs suivis après la liberté avec des programmes très intéressants qui seront lancés dans les prochains jours “, a t-il fait savoir

 

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention