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Assemblée nationale: Le Pur vers l’ éviction d’Issa Sall de son poste de député

Encore Pur ,avec les démons de la divisions . Oui  ! Les responsables du parti dirigé par Serigne Moustapha Sy évoquent l’article 7 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, qui coïncide avec l’article 60 de la Constitution, pour mettre le président de la deuxième institution du pays devant ses responsabilités. Ledit article stipule : « tout député peut se démettre de ses fonctions. Tout député démissionnaire de son parti en cours de législative est automatiquement déchu de son mandat ». Le Pur a pris l’initiative de mander la déchéance d’Issa Sall, parce que le concerné qui, depuis 2017, « parlait et agissait au nom du Parti de l’unité et du rassemblement qui l’avait porté à l’assemblée nationale », a créé son propre parti politique, qui a obtenu son récépissé n°19964, depuis le 17 septembre 2020.
Dès lors, selon ses anciens camarades, il « a renoncé volontairement à son appartenance, son adhésion » à leur parti. Une affaire à suivre ….

 

Liberté provisoire : Le sort de Guy Marius Sagna entre les mains du procureur

Comme annoncée dans la presse, Guy Marius Sagna a été entendu par le juge d’instruction hier matin. Cependant, il a été entendu par le juge du troisième cabinet qui s’est substitué au doyen des juges, Samba Sall. Selon Me Moussa Sarr, avocat de l’activiste, l’’audition s’est très bien passée dans les conditions de sérénité et de tranquillité.  « Je ne peux pas entré dans le fond car l’instruction est couverte du saut de l’instruction. Mais je peux dire qu’il a répondu à toutes les questions », a informé la robe noire qui précise qu’il a immédiatement introduit une demande de mise en liberté provisoire. Désormais, la balle est dans le camp du procureur de la République. En d’autres termes, Guy Marius Sagna est suspendu à la décision du parquet qui va recevoir la demande introduite par les avocats pour avis et observation. « Nous espérons que dans les heures qui vont suivre il y aura une décision. Actuellement je ne connais pas la position du parquet mais conformément à la procédure, la demande lui sera transférée pour avis et observation », a-t-il confié hier après l’audition de son client.

Interpellé sur le transfèrement de Guy Marius Sagna à la prison de Sébikotane, Me Moussa Sarr a tenu à rappelé que « son client était au Cap manuel pour observer la quinzaine. Mais son transfèrement  s’est passé dans les règles de l’art. Et il n’a jamais protesté son transfert». D’ailleurs, de l’avis de l’avocat « la prison de Sébikhotane est la plus neuve. Pour ma part c’est la meilleure au Sénégal ». Cependant, la robe persiste et signe que son client a été enlevé par la Police : « Il a été enlevé par la police car il n’a posé aucun acte qui peut justifier son arrestation. Il a été arrêté, alors qu’il se rendait à la boutique, sans mandat d’arrêt, sans convocation ».

Les 50 millions F Cfa de Serigne Mountakha Mbacké remis ce mardi au Frn

Une délégation du khalife général des ‘’Mourides’’ est attendue ce mardi à Dakar pour rencontrer le Front de résistance nationale (Frn).  Serigne Bass Porokhane qui va conduire la délégation ne devrait pas débarquer dans la capitale sénégalaise avec les mains vides.Car, explique le journal, il se pourrait que le chèque de 50 millions F Cfa que le saint homme avait promis aux familles de la quinzaine de victimes des émeutes nées du massage d’Ousmane Sonko par Adji Sarr

Affaire Ousmane Sonko : Les révélations de Madiambal Diagne

“Présente comme un fils de Casamance persécuté par le régime de Macky Sall. Ousmane Sonko, lui-même, a cherché à surfer sur les tumultueuses vagues de ce soutien. Il n’y a pas une seule de ses déclarations dans laquelle il n’a pas fait un appel du pied public pour le soutien actif du Mfdc dans cette affaire Adji Sarr. Ainsi, le Mfdc n’a pas manqué d’être aux côtés de ses partisans pour en découdre avec les forces de sécurité, violenter jusqu’au sang des personnes, casser des commerces, brûler des domiciles habités. Il a pu être tracé le convoyage à Dakar de combattants du Mfdc, à partir de la Gambie, pour participer aux manifestations. Des images de l’implication de personnes, identifiées comme des rebelles du Mfdc, dans les violentes manifestations, sont disponibles au sein de nombreuses rédactions de médias. D’ailleurs, après sa libération par la justice, Ousmane Sonko a eu un message ou un mot d’ordre particulier à l’endroit des rebelles du Mfdc à qui il a demandé de «déposer immédiatement les armes. Atika, la branche armée du Mfdc, ne s’est pas fait attendre et a répondu favorablement à l’injonction. Il a alors été observé dans certains quartiers de Dakar des jeunes gens reprendre les bus pour retourner d’où ils venaient, dès le lendemain de l’annonce unilatérale de cessez-le-feu par Ousmane Sonko, ” renseigne Ma Diambal dans sa chronique. Et de poursuivre : “Le devoir sacré des fils et filles de Casamance de soutenir Ousmane Sonko dans cette situation, c’était comme un point d’honneur, pour ne pas dire un devoir sacré pour les ressortissants de la Casamance, de manifester un soutien aveugle à Ousmane Sonko. On le voit dans les différentes déclarations des personnalités politiques à sa faveur. Le seul argument brandi est qu’il faudrait soutenir ce «fils de la Casamance». L’exemple le plus parlant est celui de Aminata Assome Diatta, ministre du Commerce, qui n’a eu le moindre scrupule pour opposer aux femmes membres de la majorité politique au pouvoir qu’elle ne saurait s’associer aux actions de riposte médiatique aux accusations répétées de Ousmane Sonko contre le Président Macky Sall, que le leader de Pastef continue de considérer comme étant le commanditaire, par le truchement de l’affaire Adji Sarr, d’un complot politique qui chercherait à l’anéantir. Aminata Assome Diatta estime que ses liens de parenté ethniques et familiaux avec Ousmane Sonko l’en empêcheraient. Elle a tenu à préciser : «Vous comprendrez ma gêne à participer à vos initiatives, car Sonko est un parent.» En effet, ils sont tous les deux d’ethnie «diola». Le même argument agité, pour se désister, par le juge d’instruction Mamadou Seck, initialement en charge de cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr. Le juge Seck avait pris prétexte de l’ethnie «diola» de son épouse pour se laver les mains de cette procédure judiciaire. Il est à noter que devant le tollé suscité et le courroux exprimé par des proches du Président Sall sur cette attitude, Aminata Assome Diatta s’est sentie obligée de publier une déclaration pour se rattraper, tout en veillant à mettre dos à dos les parties. A l’endroit de Ousmane Sonko elle dira : «A mon frère du Blouf, je suis sensible à vos difficultés du moment, mais je vous dis que le Sénégal et la Casamance dépassent nos ambitions personnelles.» Poursuivant son argumentaire il renseigne que : “La Casamance est une mosaïque de populations et si l’on se fie aux statistiques démographiques, les «Diolas» sont loin d’y être majoritaires. D’autres fils et filles de Casamance ne cherchent pas à savoir le bien-fondé ou pas des accusations portées contre Ousmane Sonko et lui apportent leur soutien, au prix de violer toutes les règles les plus élémentaires. On ne ferait pas au capitaine de gendarmerie Oumar Touré l’injure de considérer qu’il a délibérément dévoyé, en faveur du mis en cause, l’enquête préliminaire du dossier Ousmane Sonko-Adji Sarr (c’est lui-même qui le dit) pour ne pas trahir ses belles années d’enfance à Bagadadji. On peut également se demander si le bruyant soutien, spontané et sans discernement, qu’apportent certains responsables d’organisations citoyennes et civiques au leader de Pastef, ne serait pas mu par leurs origines ethniques et/ou géographiques. Serait-il alors exagéré d’augurer que ces personnalités de la société civile chercheraient à transposer à Dakar le combat perdu par le Mfdc sur le terrain en Casamance ?
Au demeurant, les seules populations de la Casamance, encore moins celles de l’ethnie diola, ne pourraient pas, à elles seules, assurer à Ousmane Sonko une élection comme président de la République du Sénégal.

Louga : Le menuisier viole une fille mineure qui finalement a voulu se s…

Le jeune menuisier, domicilié au village de Sagatta Djolof, dans le département de Linguère, est cité dans une affaire de viol sur mineure, qui risque de le maintenir longtemps en détention.

La machine judiciaire a été mise en branle par les hommes du commandant Lô, après l’appel d’un médecin au sujet de la tentative de suicide d’une jeune fille internée au centre de santé de la localité.

Sur les lieux, les hommes en bleu tombent sur une patiente très mal en point. Et pour cause, la jeune fille avait ingurgité une forte dose d’eau de Javel. Quelques heures après avoir repris ses esprits, elle dit avoir été violée par son petit ami, C. Nd., en explication de son acte désespéré. Après l’avoir examinée, le médecin consigne sur le certificat médical, une défloraison ancienne de l’hymen. A la suite de cela, les hommes en bleu interrogent le mis en cause sur les faits à lui reprochés.

Contestant vigoureusement les accusations de la jeune fille, il déclare qu’il n’entretient aucune relation avec la fille qu’il dit de mœurs légères. De la part du voisinage, les gendarmes apprennent que le menuisier et la mineure étaient en couple. D’ailleurs, selon quelques indiscrétions, la présumée victime de viol détiendrait un audio prouvant leur idylle.

Malgré ses farouches dénégations, le menuisier a été déféré mardi dernier, au parquet de Louga, à la fin de sa garde-à-vue. Après un premier retour de parquet, C. Nd. a vu le juge d’instruction le déposer en prison.

Médina Yoro Foula : Un homme se donne la mort par pendaison

Amadou Sow, comme c’est de lui qu’il s’agît, s’est donné la mort par pendaison.

Âgé d’une quarantaine d’années, l’homme s’est retiré de sa famille pour se rendre tranquillement en brousse le soir du dimanche.

C’est dans cette brousse loin des maisons où il mis fin à ses jours par pendaison sur un arbre.

C’est ce lundi que les populations parties à sa recherche ont découvert l’irréparable. Les faits se sont déroulés dans la brousse du village de Diamaguène, commune de Kerewane.

Alertés, les éléments de la gendarmerie sont descendus sur les lieux en compagnie des sapeurs-pompiers. Amadou Sow a été inhumé cet après-midi du lundi.

Le défunt laisse derrière lui une épouse et 11 bouts de bois de Dieu. Pour l’heure, c’est l’émoi et la consternation à Diamaguène où on ignore les raisons de ce suicide, et déjà une enquête est ouverte.

Relance des activités de MédiS Sénégal : Les ex-travailleurs mettent la pression à Abdoulaye D. Diallo et à Diouf Sarr

Malgré la directive présidentielle sur la reprise sans délai des activités de MédiS Sénégal et les nombreux rappels de Macky Sall en Conseil des ministres (15 juillet 2020, 27 janvier 2021 et 10 mars 2021), ça traîne toujours. Ceci, au grand dam de la souveraineté pharmaceutique du Sénégal, mais aussi des ex-travailleurs de l’unique usine pharmaceutique qui a cessé ses activités depuis le 15 janvier 2020.
Selon les ex-travailleurs qui ont fait face à la presse ce lundi au siège de la Cnts, si la relance des activités tarde à se faire, c’est parce que le ministre des Finances Abdoulaye Daouda Diallo et celui de la Santé Diouf Sarr traînent les pieds.
«Depuis plusieurs mois, les deux conventions qui matérialisent les mesures d’accompagnement de l’Etat du Sénégal à MédiS, préconisées par le chef de l’Etat, sont en attente de signature au niveau des ministères des Finances et de la Santé, bloquant ainsi la relance de l’entreprise», dénoncent-ils.
Une attitude incompréhensible et inconcevable, à leurs yeux, et qui entre en porte-à-faux avec la volonté de souveraineté pharmaceutique au Programme de relance de l’économie nationale (Pren) et à la sauvegarde des emplois.
Par conséquent, «les travailleurs interpellent directement le ministre de la Santé et le ministre des Finances pour signer les deux protocoles d’accord entre MédiS et l’Etat du Sénégal, pour permettre à la Direction générale de relancer immédiatement les activités de l’entreprise».

Ousmane Sonko : “Le prochain complot, c’est…”

Le leader du Pastef est formel : “Je ne travaillerai jamais avec le régime, dans le cadre d’un gouvernement ou autre.” Et pour cause ! Ousmane Sonko soutient qu’il a, en face de lui, “une personne qui ne lui souhaite que la souffrance”.
D’ailleurs, avertit le député, “il y a un autre complot. Le prochain sera lié au terrorisme. Ils ont traité tout le peuple sénégalais de terroriste. Ça ne m’étonnerait pas que, dans les prochains jours, un acte jugé terroriste soit fomenté pour créditer cette thèse. Je demande aux populations d’être vigilantes.”
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