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Serigne Modou Bousso Dieng sur l’emploi des jeunes : «En termes de chômage, Touba caracole en tête»

Deuxième ville la plus peuplée du Sénégal, Touba n’en est pas moins la plus touchée par le chômage. Du moins, selon Serigne Modou Bousso Dieng, marabout et acteur politique, qui rappelle au président de la République le désarroi de la jeunesse dans la ville sainte.
«Je voudrais interpeller le président de la République Macky Sall, qui vient de mettre 350 milliards pour l’emploi des jeunes. Je lui rappelle que derrière Dakar, Touba est la ville la plus peuplée du Sénégal. En termes de chômage, Touba caracole en tête. C’est la ville la plus touché du pays», renseigne-t-il.
A l’en croire, le chômage, à Touba, a atteint des proportions inquiétantes, puisqu’il n’y a pas d’industrie. «Il n’y a pas d’emplois à Touba, à part le petit commerce. Les jeunes deviennent des charretiers ou des tailleurs, et ont beaucoup de mal à subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. La pauvreté et le manque d’emplois à Touba sont devenus de terribles fléaux», confie Serigne Modou Bousso Dieng qui invite le gouvernement à «accompagner les jeunes à travers des formations qualifiantes, mais aussi aider ceux qui s’activent dans l’agriculture avec leurs maigres moyens».

“Ils veulent me mettre en mal avec Sonko…”

Barthélémy Dias a tenu à faire un démenti, suite à un enregistrement audio qui circule sur internet. L’homme, qui s’exprimait dans ledit fichier, est présenté comme le maire de Mermoz Sacré-coeur qui parlerait d’Ousmane Sonko en des termes peu flatteurs. Faux, précise Dias fils.

«Ceux qui ont conçu ce fichier audio veulent me mettre en mal avec Ousmane Sonko. J’ai dit aux sénégalais ce que je pense de Ousmane Sonko et je l’assume. Je vous ai dit combien j’apprécie Ousmane Sonko. Donc je ne parlerai pas de fakenews ou d’infos des réseaux sociaux», a-t-il précisé.

M. Dias s’est aussi joint au débat sur une amnistie éventuelle au profit de Karim Wade et de Khalifa Sall : «Ce n’est pas le président qui amnistie, c’est l’Assemblée nationale qui vote une loi d’amnistie. Le président macky Sall n’amnistiera personne parce qu’il sait ce qui l’attend. Il ne donnera aucune instruction pour blanchir Barthélémy Dias ou pour Sonko», dit-il, soulignant que c’est le peuple qui contraindre le président à faire cela. Ci-dessous sa déclaration complète.

La Tunisie envoie dans l’espace son premier satellite 100 % fait maison

Le pays est le premier au Maghreb et le sixième en Afrique à fabriquer son propre satellite, destiné à l’Internet des objets.

C’est un petit pas pour l’aérospatiale mais un grand pas pour la Tunisie : le premier satellite fait maison a été lancé dans l’espace, lundi 22 mars, ouvrant de nouvelles perspectives locales aux jeunes ingénieurs qui s’expatrient en nombre. La Tunisie est le premier pays du Maghreb et le sixième en Afrique à fabriquer son propre satellite, après notamment l’Afrique du Sud, l’Egypte ou le Ghana, selon le site spécialisé Space in Africa.

Challenge One, destiné à l’Internet des objets (l’écosystème des objets connectés), a été construit par une équipe du groupe de télécommunications tunisien TelNet, dont la plupart des ingénieurs, formés localement, ont entre 25 et 30 ans. « C’est une fierté d’avoir participé à ce projet. Travailler dans le secteur aéronautique ou aérospatial est un rêve », a déclaré Khalil Chiha, 27 ans, formé à l’école nationale d’électronique de Sfax.

« On est très émus, après trois ans de travail intense », souligne Haïfa Triki, ingénieure de 28 ans, qui a suivi depuis Tunis l’envol du lanceur Soyouz qui transporte le satellite : « Heureusement que l’ambiance était bonne pour résister au stress et au défi de maîtriser des technologies nouvelles. On a fait beaucoup de sacrifices, mais ça valait le coup. »

La fusée a décollé lundi matin de Baïkonour, au Kazakhstan, suivie en direct depuis Tunis par le président Kaïs Saïed, qui a rejoint ingénieurs et journalistes au siège de TelNet. « Notre richesse réelle est la jeunesse qui peut faire face aux obstacles », a déclaré M. Saïed, soulignant que la Tunisie, empêtrée dans une crise sociale et politique, ne manquait pas de ressources mais de « volonté nationale ». « Nous sommes fiers de notre jeunesse » et des cerveaux tunisiens « de par le monde », a-t-il souligné.

Plusieurs milliers d’ingénieurs quittent chaque année la Tunisie pour travailler à l’étranger. L’équipe de Challenge One a notamment été appuyée par des ingénieurs tunisiens expatriés, dont l’un a participé à la récente mission de la NASA sur Mars. « C’est vraiment un rêve qui se réalise », expliquait Anis Youssef, responsable du projet chez TelNet, quelques jours avant le lancement.

Thermomètres ou capteurs de pollution connectés, puces de localisation ou senseurs d’humidité : ce satellite expérimental est destiné à récolter les données collectées par ces appareils pour y avoir accès en temps réel, même dans une zone terrestre sans couverture Internet. Il vise à répondre au besoin croissant de connexion satellitaire pour les objets, car moins de 20 % de la surface du globe est couverte par le réseau Internet terrestre.

« C’est un gros problème pour l’agriculture ou les véhicules connectés », explique Ahmed El Fadhel, ingénieur aérospatial basé en Belgique et président de l’Association tunisienne de l’espace Tunsa. Si l’aérospatiale est en plein développement dans le monde arabe et en Afrique, où onze pays africains sur 55 ont déjà lancé des satellites, « le club de ceux qui en fabriquent est assez fermé », souligne M. El Fadhel.

Challenge One doit disposer d’une capacité de transmission de 250 kb/s sur 550 km, selon TelNet. C’est l’un des premiers à utiliser dans l’espace un protocole de transmission de données déjà utilisé sur Terre, LoRa, ce qui permet de connecter via satellite des objets existants en ne changeant que l’antenne. TelNet souhaite lancer d’ici trois ans, en partenariat avec d’autres pays africains, une constellation de plus de 20 satellites afin d’exploiter commercialement cette technologie. « Cela ouvre la voie à l’ouverture d’un service innovant pour la région dans un domaine en pleine expansion », indique à l’AFP Mohamed Frikha, PDG de TelNet.

Au-delà de l’avancée technologique, il souligne « l’ouverture de perspectives d’emploi local pour les ingénieurs tunisiens ». « Les possibilités d’emploi existent en Tunisie. Le problème, c’est de donner envie aux jeunes ingénieurs de rester, renchérit Mme Triki. Il faut que l’écosystème suive pour motiver les jeunes, avoir d’autres entreprises pour proposer des débouchés ambitieux, mais aussi des conditions sociales meilleures. ». La Tunisie, frappée de plein fouet par les retombées sociales de la pandémie de Covid-19, est paralysée par une crise politique et touchée par de nombreuses mobilisations sociales, poussant à la hausse les départs, légaux ou clandestins.

Le Monde avec AFP

Audition de Guy Marius: Son avocat fait le point

Guy Marius Sagna devait faire face au Juge ce lundi. C’est chose faite. Me Moussa Sarr, son avocat, explique l’issue du face à face et annonce aussi une demande de liberté provisoire.

Face à face avec le Juge: «Il a été entendu par le Juge du troisième cabinet qui a substitué le doyen des juges empêché. Donc l’audition s’est passé dans d’excellentes conditions. À la fin de l’audition j’ai déposé une demande de liberté provisoire. J’attends la décision du Juge. C’est le Juge  qui gère son horloge. Mais ça ne devrait pas tarder. D’ici Jeudi j’espère qu’une décision sera rendue mais le Juge reste maitre de son horloge.»

Demande de liberté provisoire «J’ai  bon espoir pour deux raisons : d’abord  parce que Guy n’a commis aucune infraction. Il a fait  l’objet d’une arrestation préventive, sur la base de faits imaginaires. Donc Guy lui-même est une victime. La deuxième chose,  c’est qu’il y a un climat de décrispation pour consolider la paix, la cohésion sociale et la concorde nationale. Donc pour ces deux choses j’espère que Guy et les autres obtiendront  une liberté provisoire pour consolider cette paix qui est, pour le moment, relativement fragile.

Clédor, Assane Diouf et Cie: «Je ne suis pas l’avocat des autres, je ne saurais donc me prononcer pour les autres, je ne pourrais me prononcer que pour mon client, maintenant  ce que je sais, c’est que j’ai aperçu les autres qui ont  aussi été entendus pour certains.»

S.E.Aissata Tall Sall reçoit Le Chargé D’affaires de l’ambassade du royaume d’Arabie Saoudite

Mme le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieure, Mme Aïssata Tall Sall, s’est réunie à Dakar, avec le Chargé d’Affaires de l’ambassade du Serviteur des deux Saintes Mosquées au Sénégal, M.Youssouf Jazzar.

Au cours de cette rencontre, les deux parties ont abordé les relations bilatérales entre le Sénégal et le Royaume d’Arabie saoudite, et les questions d’intérêt commun.

Pour rappel, le Sénégal et l’Arabie saoudite entretiennent des relations historiques distinguées.

Lundi, le Centre King Salman de Secours et d’Action Humanitaire au Royaume d’Arabie Saoudite (KSrelief) a annoncé, par l’intermédiaire de l’ambassade du royaume à Dakar, l’attribution d’un million de dollars au Sénégal pour répondre aux efforts et mesures du gouvernement sénégalais dans la lutte, contre Covid-19 et l’aide alimentaire au Sénégal pour Soutenir les familles confrontées à des pénuries de rations alimentaires.

La subvention de l’Arabie saoudite au Sénégal s’inscrit dans un plan d’action international mis en œuvre par le Centre d’aide humanitaire et de secours King Salman dans différents pays grâce au Programme d’intervention d’urgence pour la population et pour soulager ses souffrances. Surtout les pays touchés par l’insécurité alimentaire et l’épidémie.

Le Centre King Salman a mis en œuvre 1350 projets d’une valeur de 4,5 milliards de dollars dans 53 pays depuis 2020 .

Au cours des dernières décennies, le Royaume a tendu la main de bonté et de tendresse à ses frères et aux personnes touchées dans divers pays du monde, étant un membre actif de la communauté internationale et un cœur principal dans le monde islamique .

Démocratie en Afrique : Le Sénégal quitte le top 10

La dictature rampante dénoncée par la société civile et les acteurs politiques au Sénégal semble se confirmer à travers des études. Deux classements de référence, publiés en Mars et cités par JeuneAfrique, mettent le Sénégal de Macky Sall dans la zone orange. L’un d’eux éjecte même le Sénégal hors des 10 premières places en matière de liberté et de démocratie.
Dans son classement Democracy Index, The Economist intelligence Unit (Eiu), le bureau de recherche indépendant du journal The Economist, met l’Ile Maurice, le Cap Vert ou le Botswana sur le Podium. « Ni le Sénégal (86è mondial) ni le Bénin ne figurent plus dans le top 10 africain du Democracy index, malgré leur longue réputation d’ouverture, de liberté d’expression (…) et d’alternances démocratiques », souligne JeuneAfrique. Le Sénégal, placé derrière Madagascar (85é), est devancé également par le Ghana, la Tunisie, la Namibie le Lesotho ou le Malawi.
Autre classement, celui de Freedom house, un think thank américain. Ici, c’est le Cap Vert qui mène la danse. Quant au Sénégal, avec ses 71 points, il ne fait plus partie des pays ‘’libres’’, après avoir perdu 7 points entre 2017 et 2020. Dans ce classement, Dakar appartient désormais à la catégorie des ‘’partiellement libres’’.
Même si les points affectés et les positions accordés diffèrent entre ces deux classements, il y a une constance : le recul du Sénégal en matière démocratique depuis quelques années. Elections contestées, principaux opposants emprisonnés ou éliminés par le filtre du parrainage, réduction de l’opposition à sa plus simple expression (transhumance de Idy)… « La présidentielle de 2019 n’est pas à prendre en compte du point de vue de la répartition des forces sur le champ politique », déclarait récemment le Dr en Science politique à l’Ugb Maurice Soudiek Dione.
A cela s’ajoutent la pression exercée sur les activistes fréquemment envoyés derrière les barreaux, une presse embarquée, des velléités liberticides à propos des réseaux sociaux. Sans oublié la terreur installée dans le camp présidentiel au sujet du 3ème mandat et une impunité quasi-totale pour le partisan du chef de l’Etat Macky Sall, grâce (ou à cause) à une justice aux ordres.
Par ailleurs, ce classement qui ne prend pas en compte l’affaire Sonko-Adji Sarr et ses ramifications politico-sociales (14 personnes tuées dans les manifestations et des arrestations tous azimuts). Ce qui aurait sans doute placé le Sénégal encore loin derrière.

Vidéos- Vol de moto Beverly à Keur Massar : Des voleurs trahis par les Caméras Surveillance

Encore une une histoire de vol de motos à Keur Massar,(Cité Pénitence ) . Les faits se sont déroulés le vendredi 19 vers 15 h 25 . Une moto de marque  de couleurs grise été volé sauf que les assaillants qui conduisaient une moto runner de couleur bleue . Dupuis vendredi la police est à leurs trousses . Ci dessous les  vidéos

 

 

Vidéos- Vol de moto Beverly à Keur Massar : Des voleurs trahis par les Caméras Surveillance

Vidéos- Vol de moto Beverly à Keur Massar : Des voleurs trahis par les Caméras Surveillance !

Amnistie pour Karim : Le Pds recadre Jean Paul Dias

“Le Pds réaffirme sa position. Le Pds n’a jamais demandé une grâce ou une amnistie. Karim Wade non plus. Tout ce que nous demandons, c’est le respect des juridictions internationales qui lient le Sénégal “, avertit  Lamine Bâ. Ce dernier président de la Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl).

Propos « génocidaires » : Adama Gaye brûle Malick Sall et demande son limogeage

Revoilà Adama Gaye qui remet ça ! Car les propos tenus par le ministre de la Justice, hier à Matam, ne sont pas du gout de tout le monde. Sur sa page Facebook le journaliste « exilé » au Caire, Adama Gaye, a descendu Me Malick Sall.

In-texto son texte publié sur le réseau social :

MALICK SALL, propos d’un génocidaire
Je vous avais prévenus. Plus personne ne doute que Malick SALL, en plus d’être nul et corrompu, est capable d’attiser les flammes de la haine ethnique et donc de semer les fondements d’un génocide au Sénégal.
Lisez ses propos prononcés hier au Fouta. Ils donnent la chair de poule, font froid au dos. Cette calamité est une menace sur notre communauté nationale.
Ses propos sont ceux d’un génocidaire.
Lisez-les. Reproduits, Verbatim.
« Sonko veut la mort de tous les Sénégalais car il vient de toucher le fond politiquement et cherche à entraîner tout le Sénégal dans sa chute. Toute personne qui veut du bien pour soi ne participera pas à une telle entreprise. J’évoque Sonko mais je sais que personne n’est avec lui ici au Fouta.
“Je vous demande de veiller sur les jeunes car les débordements peuvent emporter des innocents. De nombreux jeunes sont morts à Dakar. Plusieurs parmi eux n’ont pas été tués par la police ni par la gendarmerie mais par les partisans de Sonko. Vous avez vu à la télévision des manifestants armés, faites l’effort afin que quelque chose de similaire ne se produise chez nous. Un jeune non éduqué est une gangrène pour la maison et pour le pays.
“Nous sommes tous passés par là mais évitons que les jeunes ne s’engagent dans les mouvements salafistes et islamistes. Ceci est à l’origine de la destruction du Mali.
“Ils éventrent des femmes enceintes pour sortir leurs fœtus au nom de l’Islam. Ils entrent dans des mosquées pour y faire exploser des bombes qui déciment femmes, enfants, vieux. Veillez à ce qu’un tel Islam n’entre chez nous. Nous avons une vieille tradition d’Islam et nous en sommes la porte d’entrée.
“Sachez que l’Islam dont ils vous parlent n’est que du banditisme. Personne ne peut vous apprendre ce qu’est l’Islam. “N’acceptez pas qu’on vous le transforme.
Et de conclure, en irresponsable, après ses propos incendiaires:
“Maintenant que les barrières sont levées, je reviendrai fréquemment et on arrêtera deux à trois jours pour mettre l’ambiance (mbumbaay) à Dantadji (son village) haa safa (bamu saf en wolof). »
Qui ose être l’avocat d’un tel monstre?
Je vous avais avertis. Tout se confirme. Au-delà de toute imagination.
Macky SALL, ton compagnonnage avec un aussi triste sire t’implique.
Ses propos justifient qu’il soit dare-dare chassé de la vue du peuple sénégalais. Il est devenu insupportable et constitue un danger pour la cohésion nationale. Tu es responsable de ce qu’il dit.
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