jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 2263

Donald Trump va revenir sur les réseaux sociaux d’ici trois mois avec “sa propre plateforme”

Donald Trump, banni de Twitter depuis janvier, va faire son retour sur les réseaux sociaux d’ici trois mois avec “sa propre plateforme”, a déclaré dimanche un conseiller de l’ancien président des États-Unis.

“Je pense que nous allons voir le président Trump de retour sur les réseaux sociaux probablement dans deux ou trois mois avec sa propre plateforme”, a dit Jason Miller sur la chaîne Fox News.

Il n’a pas souhaité fournir davantage de précisions sur les contours de cette “plateforme”, évoquant seulement de nombreuses réunions à Mar-a-Lago, la résidence du milliardaire républicain en Floride.

“Ce n’est pas seulement une société qui a approché le président, il y a de nombreuses sociétés”, et “cette nouvelle plateforme sera quelque chose de gros, tout le monde le veut, il va apporter des millions et des millions, des dizaines de millions d’abonnés à cette nouvelle plateforme”, a-t-il encore assuré.

Twitter, qui fut, en campagne et au pouvoir, le principal outil de communication de l’homme d’affaires new-yorkais, a supprimé le compte @realDonaldTrump et ses 88 millions d’abonnés après l’assaut de ses partisans, le 6 janvier, contre le Capitole.

L’ex-président, qui a quitté la Maison Blanche le 20 janvier après avoir été battu par le démocrate Joe Biden à l’élection de novembre, a aussi été banni de manière temporaire ou définitive par la plupart des autres grands réseaux sociaux ou plateformes internet, dont Facebook, Instagram, YouTube ou encore Snapchat.

Depuis, celui dont les messages intempestifs et tonitruants ont scandé la vie politique américaine ces dernières années est beaucoup moins audible, alors même qu’il reste très influent au sein du parti républicain et qu’il n’exclut pas de se représenter à la présidentielle de 2024.

Afrique- Les 10 pays les plus libres et démocratiques : Le Sénégal dans le lot des …

Deux classements de référence signalent le recul de la démocratie partout dans le monde en 2020. En Afrique, les 10 pays les plus démocratiques ne comprennent plus le Bénin, mais intègrent le Malawi.

« Une lutte sans leaders pour la démocratie », tel est le titre peu complaisant du dernier rapport annuel de Freedom House. Ce think tank américain et indépendant mesure l’évolution des libertés publiques et de la démocratie dans le monde. Son classement, publié le 11 mars, s’inquiète d’un déclin général en 2020 sur fond de Covid-19.

L’Afrique n’échappe pas à la tendance globale, avec très peu de champions en progrès, selon les paramètres de Freedom House. Le Cap-Vert fait exception, avec un score de 92 sur 100, meilleur que celui de la France (90). L’archipel lusophone est suivi par deux autres États insulaires : Maurice affiche le même résultat que la Grèce (87) et São Tomé-et-Principe (84) devance d’un point les États-Unis.

Viennent ensuite le Ghana (82), ex æquo avec la Pologne et l’Afrique du Sud (79), trois points de plus qu’Israël. La Namibie et les Seychelles (77) font mieux que le Brésil (74), tandis que le Botswana (72), le Sénégal et la Tunisie (71) figurent un cran au-dessus de la Hongrie (69) et de l’Inde (67).

Mali, Bénin et Sénégal en net recul
Le Mali voit sa note dégringoler de 11 points, passant de 44 sur 100 en 2019 à 33 en 2020, année d’un nouveau coup d’État à Bamako. Le Bénin accuse quant à lui aussi le plus net recul, de 14 points, avec un score tombé de 79 à 65 entre 2019 et 2020, ce qui lui vaut de disparaître des dix premières démocraties en Afrique et de perdre le label de « pays libre ».

De son côté, le Sénégal, autre « vitrine » de la démocratie en Afrique, dévisse de sept points entre 2017 et 2020 et ne fait plus partie des pays « libres », au nombre de 9 seulement en Afrique. Le Sénégal retombe comme l’Inde en 2020 dans le lot des nations « partiellement libres », aux côtés du Malawi (66), Madagascar (60) et du Burkina Faso (54), ou encore des nombreux États qui n’ont pas la moyenne démocratique chez Freedom House, comme le Kenya (48), le Nigeria (45) et la Côte d’Ivoire (44).

Enfin, parmi les pays dits « non libres », se démarquent certaines des nations les plus peuplées d’Afrique : Éthiopie (22), République démocratique du Congo (20) et Égypte (18). D’autres pays stratégiques, qui jouent des rôles clés dans leurs sous-régions, comme le Rwanda (21), le Tchad (17) ou le Cameroun (16), se distinguent, eux aussi, par leurs penchants autoritaires. Au plus bas, l’Érythrée et le Soudan du Sud (2) se retrouvent entre la Corée du Nord (3) et la Syrie

Le Malawi entre dans la danse

Un autre classement de référence, le Democracy Index du bureau d’études londonien The Economist Intelligence Unit (EIU), estime lui aussi que la « démocratie a connu une très mauvaise année » en 2020, avec un « recul sans précédent dû à la pandémie ». Il révèle à peu près le même palmarès africain, mais dans un autre ordre, en raison de modes de calcul différents et d’une liste plus courte de pays analysés (167, contre 210 pour Freedom House).

Un autre classement de référence, le Democracy Index du bureau d’études londonien The Economist Intelligence Unit (EIU), estime lui aussi que la « démocratie a connu une très mauvaise année » en 2020, avec un « recul sans précédent dû à la pandémie ». Il révèle à peu près le même palmarès africain, mais dans un autre ordre, en raison de modes de calcul différents et d’une liste plus courte de pays analysés (167, contre 210 pour Freedom House).

 

Il faut noter que le Malawi a gagné cinq places en 2020 en raison de la décision de sa Cour constitutionnelle d’annuler en 2019 les résultats d’une élection présidentielle contestée, de nouveau organisée en juin 2020 dans des conditions plus transparentes. Le Malawi et Madagascar font partie des cinq rares pays d’Afrique à avoir progressé en 2020 selon l’EIU. Ni le Sénégal (86ᵉ) ni le Bénin (102ᵉ) ne figurent plus dans le Top 10 africain du Democracy Index, malgré leur longue réputation d’ouverture, de liberté d’expression, de respect du nombre de mandats présidentiels et d’alternances démocratiques.

Le Mali accuse le plus fort déclin mondial en 2020. Il perd 11 places et tombe au 111ᵉ rang, juste après le Nigeria et la Côte d’Ivoire. Avec l’Algérie et le Burkina Faso, le Mali passe par ailleurs de la catégorie des « régimes hybrides » à celle des « régimes autoritaires », tombant aussi dans la liste des pays « non libres » de Freedom House. Explication de l’EIU : « Le Mali n’a pas le plein contrôle de son territoire et l’insécurité rampante a provoqué un coup d’État en août 2020, par des officiers lésés par le manque de progrès contre les insurgés jihadistes. Une junte a mis en place un gouvernement de transition, annulant les résultats des législatives du mois de mars, largement libres et transparentes. »

L’autre grande chute africaine constatée en 2020 est celle du Togo, qui perd 15 places pour se classer 141ᵉ, entre Cuba et le Cameroun, « en raison d’une élection profondément entachée d’irrégularités et de la répression de l’opposition qui a suivi ».

L’autre grande chute africaine constatée en 2020 est celle du Togo, qui perd 15 places pour se classer 141ᵉ, entre Cuba et le Cameroun, « en raison d’une élection profondément entachée d’irrégularités et de la répression de l’opposition qui a suivi ».

 

Les restrictions dues au Covid-19 contribuent aux mauvais résultats de l’Afrique. L’EIU épingle ainsi le Nigeria, « où plus de citoyens sont morts des tirs de la police que du coronavirus lors des premières semaines du confinement ». Des émeutes se sont produites en Angola et en Ouganda, deux pays où la participation politique n’est pas élevée, à cause des restrictions sanitaires. La dernière élection présidentielle en Ouganda, avec des contraintes sanitaires « appliquées de manière disproportionnée à l’opposition », montre selon l’EIU comment les « autocrates prennent l’excuse de nouvelles menaces telles que le coronavirus pour réprimer l’opposition et s’accrocher au pouvoir en temps de crise ».

Source

Idy et Déthié Fall : Vers le début d’un épilogue

Quelques mois après avoir fermé la porte “Rewmi”, Déthié Fall va créer son propre parti. Le lancement officiel de cette nouvelle formation politique est prévu pour dimanche prochain. Ainsi ,  le chapitre du compagnonnage Idrissa Seck- Déthié Fall est donc fini. Selon certains analystes politiques, l’ancien Vice-président de Rewmi risque de créer un parti de plus, sans pouvoir bousculer la hiérarchie politique. Cependant, le journaliste Bacary Domingo Mané pense que ce nouveau parti lui permettra de se positionner et d’avoir une légitimité.

Pama DIENG dévoile le teaser de son nouveau clip «Douma Mayé Dara” !

Nouveau buzz pour Pama Dieng !
Le chanteur vient de poster un teaser de folie sur son prochain clip “Douma Mayé Dara” et enflamme la toile !
Douma mayé Dara, le nouveau single de Pama Dieng qui signe son retour après une année d’absence sur la scène musicale. Dans style épuré, engagé très sensuel, mais surtout un hymne à la FEMME. Le
clip sera en ligne sur sa chaine Youtube à 20H
Très bonne écoute …

 

Scandale : Aprés avoir aspergé d’acide et d’essence sur un pêcheur Sénégalais les trois chinois ont tenté de …

Pour étouffer le scandale, «Sénégal Pêche», qui exploite le navire «Soleil», à bord duquel se trouvaient les Chinois, les chinois ont  tenté d’acheter le silence de la victime avec 7 millions. Voila un fait qui révèle encore la complexité de certaines autorités sénégalaises à défendre  leurs compatriotes. Maguette a été aspergé d’acide et d’essence par des chinois et elles veulent faire l’affaire.

Pour rappel ,trois marins chinois du nom de Chu Zhentao, Zhang Weijian et Hu Honglu, âgés respectivement de 47, 23 et 52 ans, ont été arrêtés et placés sous mandat de dépôt, pour avoir aspergé d’acide un pêcheur sénégalais en pleine mer. Le pêcheur Maguette Mbaye et ses collègues à bord de leur pirogue ont été sommés par les marins chinois de quitter la zone de pêche. Courroucés par le refus formel, les marins chinois ont aspergé Maguette Mbaye d’essence et d’acide, le brûlant gravement brûlures au visage et au corps. Sachant que la pirogue était proche de la Gambie, les autres pêcheurs ont conduit Maguette Mbaye à l’hôpital “Edwards Francis Small Teaching Hospital” où il a  reçu les premiers soins.

Podor: Une pléthore de faux billets envahit les commerçants

Deux jeunes à bord d’une moto seraient dans le département de Podor en possession de faux billets en coupure de 10.000 frs. Ils sillonnent les villages, se présente dans les commerces avec l’argent sale. Aux derniers signalements, ils étaient sur l’axe Ndioum-Dodel où un commerçant les a signalés. Pour le moment, personne ne peut informer sur le stock d’argent sale en leur possession et où ils se situent dans le département. Chez les commerçants, la vigilance est de mise surtout dans les marchés hebdomadaires.

Gossas : L’ex-Premier Ministre Mahammed Dionne reprend ses activités politiques

L’ancien Premier Ministre s’est  rendu hier à Gossasdans son fief natal pour procéder à des visites de proximité auprès de la population  et des notables de la localité.

Comme à l’accoutumée, Mahammed Boune Abdallah  Dione s’est d’abord rendu auprès de son vénérable marabout Serigne Ahma Mbacké pour lui présenter ses condoléances, suite au rappel à Dieu de son petit frère Serigne Bassirou Moustapha Bassirou Mbacké, Maire de Darou Salam Typ et Conseiller spécial du Président de la République Macky Sall.

L’ancien Premier Ministre a également effectué des visites de proximité auprès des familles de personnes disparues. C’est dans ce cadre qu’il s’est rendu à Ndiayenne chez feu Modou Touré dit « Bro » qui fut 2ème adjoint au maire de Gossas, à Diakhao chez Mame Daba Ndiaye récemment rappelée à Dieu, à Dangou chez Amadoune Mar Ndiaye et Pape Kane Lam et à 106 chez le Professeur Mamadou Ba et l’Inspecteur Bou Fall.

Mahammed Boune Abdallah Dionne a également rendu visite à l’équipe de football Gossas AC, dont il est le président pour encourager les dirigeants, l’encadrement technique et les joueurs en partance pour Fatick dans le cadre de la 3ème journée du championnat régional. En effet au cours de cette visite, les populations ont magnifié son geste en tant que fils du terroir mais aussi en tant fidèle du chef de l’Etat Macky Sall.

Meurtre d’Alicia Faye : Le « trafic de stupéfiants » et le couple en garde à vue

Un couple est en garde à vue depuis mercredi à Cayenne, une semaine après la mort de la franco-sénégalaise d’Alicia Faye, 25 ans, retrouvée sans vie dans le quartier “Raban/Baduel” de Cayenne.

Une enquête a été ouverte pour « assassinat», a indiqué samedi le parquet de Bordeaux.

Alicia Faye, 25 ans, a été retrouvée sans vie par des riverains il y a une semaine dans le quartier « Raban/Baduel » de Cayenne, le jour même de son arrivée en Guyane après avoir pris la veille l’avion à Orly, indique-t-on de source judiciaire.

Soupçons de « trafic de stupéfiants »

Selon le parquet, un couple a été mis en garde à vue dans cette affaire. De source proche du dossier, la prolongation exceptionnelle de la garde à vue des suspects est motivée par des soupçons des enquêteurs quant à « un trafic de stupéfiants » en toile de fond.

Le service régional de police judiciaire de Bordeaux est co-saisi de l’enquête ouverte par le parquet de Cayenne pour assassinat soit meurtre avec préméditation. “On ne savait pas qu’elle était en Guyane. Elle est partie parce qu’elle était avec un Guyanais qui l’a rabattue sur la Guyane en lui brouillant la tête ou je ne sais pas par quel moyen…” avait dit à Guyane la 1ère Bernard Faye, le père de la victime, par ailleurs entraîneur au Boxing club Montferrandais.

Sénégal : 74 avortements clandestins enregistrés en 2020

Au Sénégal, 74 avortements clandestins ont été enregistrés en 2020. Des propos du Docteur El Hadj Thierno Mbengue, chef de Division de la santé mère-enfant, lors du Forum national sur l’imprégnation des hommes et femmes de médias en droit de santé sexuelle et reproductive sur la question des avortements clandestins, organisé par le réseau des Médias africains pour la promotion de la santé et de l’environnement.

74 décès liés aux complications obstétricales ont été enregistrés au Sénégal au cours de l’année 2020. Selon Docteur El Hadj Mbengue,  renseigne le quotidien Rewmi, “les avortements clandestins ont des impacts sur le système de santé, avec 34 à 57% qui sont admis aux services gynécologiques”.
Sur les conséquences, on peut noter une mort subite. “Toutes les formes d’avortement peuvent être dangereuses”,  laisse-t-il entendre. Le chef de Division de la santé mère-enfant constate un faible accès à la planification familiale car “l’avortement à risque est un indicateur majeur de besoins non satisfaits en planification familiale. Les avortements à risque se soldent le plus souvent par des morbidités sévères dues au statut de la femme (pouvoir décisionnel, évacuation, prise en charge répondant aux normes dans le pays)”.
Pour faire face aux avortements clandestins, les acteurs recommandent un meilleur accès des soins obstétricaux néonataux d’urgence. Il a été également préconisé la prévention des grossesses non désirées (abstinence) et l’amélioration de la qualité des services au niveau de l’accueil surtout avec les femmes.

Covid-19 : Ce que l’on sait sur les 22 personnes qui ont présenté des effets secondaires après avoir été vaccinées

On en sait un peu plus sur les 22 personnes qui ont développé des effets secondaires, après avoir pris leur première dose de vaccin contre la Covid-19. Selon le coordonnateur du Programme élargi de vaccination (Pev) Ousseynou Badiane ,” parmi ces 22 personnes, 6 ont été vaccinées avec Astrazenec et les 16 avec le vaccin Sinopharm”.

Aussi, ajoute-t-il, “parmi les 22 cas, les 21 sont des cas simples. D’ailleurs, explique Docteur Badiane, les experts ont établi que le seul cas grave, dont il est fait état, ne présente aucun lien avec le vaccin. Ce cas a été détecté à Yeumbeul. Le patient a eu un accident vasculaire cérébral (Avc), après avoir reçu une dose de vaccin”.

Cependant, il n’y a pas de quoi s’alarmer, si l’on se fie à ses explications : «il n’y a aucune inquiétude à se faire. Cela ne présente aucune gravité. A l’image de tous les types de médicaments, il y a toujours des effets secondaires. Dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19, les effets attendus sont la fièvre, des douleurs dans la zone piquée et de la fatigue.»

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention