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Urgent- Serigne Moussa Nawel Mbacké endeuillé…

Serigne Moussa Nawel Mbacké a perdu son petit frère. En effet, Serigne Bassirou Mbacké  a tiré sa révérence.      Il nous revient que le disparu est l’édile  de la commune TYP, situé dans le département de Mbacke. Toute la rédaction d’Actunet  s’associe à la douleur et présente ses condoléances à Serigne Moussa Nawel Mbacké et à toute sa fratrie éplorée.

Ousmane Tounkara arrêté aux Etats Unis

Selon certaines  informations, il est reproché à Ousmane Tounkara des appels à brûler les maisons d’autorités lors des dernières manifestations survenues au Sénégal. Arrêté par la police américaine, Ousmane Tounkara risque gros aux Etats-Unis, où il avait déjà été arrêté en 2015 pour des faits de vol de voiture. Avant lui, Assane Diouf, dans des conditions similaires, avait été rapatrié au Sénégal où il a enchainé les déboires avec la justice.

Sénégal : Ino Kayemor un caïd du braquage, s’évade du poste de Keur Ayib, avant d’être cravaté à Mbour

Activement recherché en Gambie après le braquage du bureau de Change Limited de la société Forex établie à Sukuta, l’un des quartiers proches de Brusubi, INO Cayemor avait réussi à s’évader juste après que la police a mis la main sur certains membres de la bande. Depuis le 21 février dernier, l’homme était activement recherché en Gambie.

Alors que les policiers procédaient à l’audition du délinquant, ils étaient loin de se douter de l’identité de l’individu qui était en face d’eux. Et ce manque de vigilance sera payé cash, car dans la même nuit, INO Cayemor s’évadera des locaux du commissariat, créant une stupeur générale. Car, la police gambienne, avertie de l’arrestation du Public Ennemy No1, prendra langue avec les autorités de Keur Ayib pour leur apprendre que l’individu interpellé s’était évadé du commissariat de Bakoteh, où lui et ses complices étaient en garde-à-vue après le braquage de l’agence de change.

Heureusement, à force d’investigations, le fugitif sera rapidement localisé à Mbour, où habite l’une de ses épouses . Aussitôt, les limiers du commissariat urbain de Mbour sont mis à contribution pour arrêter Ino Kayemor. Ce sera chose faite et il sera transféré au commissariat de Keur Ayib. C’est ce lundi qu’il fera face au Procureur de la République pour les faits d’association de malfaiteurs, cambriolage, tentative de corruption à agent et évasion.

Pour Abdoulie Touray, un officier des services de sécurité gambiens, « quand nous avons été informé de l’arrestation du nommé Ino Kayemor, nous avons contacté le commissaire de Keur Ayib pour le mettre en garde sur la dangerosité de l’individu mais également l’informer de ce qui lui est reproché ». Et l’officier de poursuivre, « le commissaire de police ne nous a pas pris au sérieux et la même nuit, Ino s’est fait la malle pour se réfugier à Mbour où il a été arrêté par la police, selon des informations reçues de manière officielle ».

« La Gambie a récemment connu une flambée du taux de criminalité. Les petits vols et les vols à main armée sont en augmentation », confie Abdoulie Touray.

Mesures d’urgence pour l’employabilité : «Le président a réajusté la boussole du navire» (responsable Apr)

La problématique de l’emploi des jeunes est et demeure un sentier immense, au Sénégal. D’ailleurs, pour beaucoup d’observateurs, c’est l’une des principales causes des violentes manifestations qui ont secoué le pays, suite à l’affaire Sonko-Adji Sarr.

Un message qui semble être très bien perçu par le président de la République, qui a annoncé, la semaine dernière, un nouvel arbitrage budgétaire en vue de mobiliser 350 milliards de F Cfa pour un plan d’urgence de l’employabilité des jeunes.

Selon Driss Junior Diallo, responsable de l’Alliance pour la République et Directeur général de l’Organe de régulation du système de récépissé d’entrepôt du Sénégal (Orsre) Macky Sall vient de réaffirmer son dévouement à la cause de l’emploi des jeunes.

«Par cette formule, il sera possible de répondre à la demande de cette frange jeune pour booster davantage son employabilité», déclare-t-il.

«Le président de la République, ce faisant, vient ainsi réajuster la boussole du navire Sénégal. C’est cela le pragmatisme dont fait montre un père de famille, père de nation», ajoute Driss Diallo.

Pour ce dernier, ces revendications populaires ne remettent pas en cause les acquis du bilan du président Macky Sall, mais sont plutôt une demande supplémentaire de consolidation et d’élargissement des efforts consentis depuis 2012.

«C’est cela le message véhiculé par les jeunes, et pas autre chose, comme veulent le faire croire ces néo-opposants», conclut-il.

Cheikh Oumar Hanne sur la normalisation des Masters : “Le système ne marche pas”

Orienter progressivement les étudiants, développer la professionnalisation des études supérieures et les possibilités d’insertion de l’étudiant dans le tissu
socio-économique, mobilité nationale et internationale des étudiants et mettre en place des parcours de formation souples et performants, tels étaient les objectifs du système LMD (Licence, Master et Doctorat). Il se trouve qu’une décennie après sa mise en œuvre, une évaluation du système s’impose.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a confié que le système LMD est confronté à un certain nombre de problèmes.
En effet, 295 masters sont enregistrés dans le système d’enseignement supérieur public. 26.000 étudiants en master, ainsi le nombre de masters professionnels est très limité, a assuré le ministre.
“Les étudiants qui viennent faire un master passent 5 ans dans le système. Aucun étudiant ne réussit son master 2 en une année. Tous les étudiants qui viennent en master 2 redoublent en master avant de réussir. Ce dispositif n’est pas performant, il n’est pas ce que nous attendons de nos systèmes d’enseignement supérieur. Il faudra normaliser”, a expliqué Cheikh Oumar Hanne.
Pour plancher sur la question, une conclave de trois jours s’est ouverte à Saly. Elle regroupe les chefs d’établissements qui ont en charge le volet académique.
Hanne a fait un diagnostic sans complaisance du système. Il confie : “le système ne marche pas. Dans un système d’enseignement où nous avons 195 masters pour 800 professeurs de rang A et 26.000 étudiants, il y a énormément de dysfonctionnements qui ont conduit à cela. Si tous les étudiants en licence veulent aller faire un master, c’est parce qu’ils n’ont pas une formation qui leur permette d’accéder à l’emploi. Il faudra normaliser tout cela”.
Le ministre d’ajouter : “Il faut professionnaliser les filières et travailler pour l’employabilité des diplômés. La finalité c’est pour qu’ils puissent trouver un emploi et contribuer au développement économique et social de notre pays”.
Au cours de la rencontre, le ministre a affirmé que “l’offre des formations s’est heurtée à la réalité de l’efficacité interne (taux de diplomation) et surtout externe, à savoir l’employabilité des  diplômés.
L’incertitude d’une insertion professionnelle après le diplôme de Licence (avec une prédominance des licences classiques au détriment des licences professionnelles) pousse la majorité des étudiants à postuler au master. Les capacités d’encadrement notamment le rapport avec le nombre et le profil des enseignants restent relativement très faibles”.
Il s’y ajoute, d’après le ministre, que les récents événements douloureux survenus dans le pays interpellent et nécessitent un diagnostic profond et de nouvelles réorientations des formations.
“L’efficacité du système est plombée par les difficultés d’insertion des diplômés”, dit-il.

Coronavirus : La France suspend l’utilisation du vaccin AstraZeneca jusqu’à un avis européen mardi

La France, à son tour, a décidé lundi de « suspendre par précaution » l’utilisation du vaccin anti-coronavirus AstraZeneca, en attendant un avis de l’autorité européenne du médicament qui sera rendu mardi, a annoncé Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse à Montauban.

Le chef de l’Etat a dit « espérer reprendre vite » la vaccination avec ce sérum « si l’avis de l’autorité européenne le permet », alors que plusieurs pays européens ont eux aussi suspendu ce vaccin, dont l’Allemagne et l’Italie ce lundi. De son côté, l’Agence européenne du médicament (EMA) a annoncé qu’elle ferait jeudi une « réunion extraordinaire » sur le vaccin.

« Le comité de sécurité de l’EMA examinera plus en détail les informations demain (mardi) et a convoqué une réunion extraordinaire le jeudi 18 mars pour conclure sur les informations recueillies et sur toute autre mesure qui pourrait être nécessaire », a déclaré l’agence basée à Amsterdam dans un communiqué.

« De nouvelles décisions » dans les jours qui viennent

« Nous aurons à prendre dans les jours qui viennent sans doute de nouvelles décisions » pour lutter contre l’épidémie de Covid, a indiqué le chef de l’Etat, en revendiquant des restrictions prises « de manière adaptée et proportionnée ».

Interrogé sur un possible reconfinement de l’Île-de-France, où les services hospitaliers de réanimation subissent une forte pression, le chef de l’Etat a appelé à regarder « la réalité de l’épidémie, ville par ville, territoire par territoire : c’est ce que nous faisons », a-t-il ajouté.

Guy sursoit à sa grève de la faim suite au “Ndigueul” de Serigne Mountakha

Guy Marius Sagna a décidé de sursoir à la grève de la faim qu’il avait prévue d’entamer ce lundi. La cause ? Son avocat Me Moussa Sarr l’a expliquée. Et elle est liée à la requête du khalife général des mourides.

«Guy Marius Sagna avait annoncé une grève de la faim pour la libération de toutes les personnes qui ont été arrêtées durant ces évènements. Mais, entretemps,  Serigne Mountakha a envoyé une délégation qui a discuté avec les différentes parties pour surseoir à toutes manifestations. Guy Marius aussi s’est approprié ce Ndigueul du Khalife général des mourides», a expliqué Me moussa Sarr.

Pour le transfèrement de l’activiste à la prison de Sébikhotane, l’avocat explique que c’est une chose normale. Car, depuis le début de la pandémie, les détenus, à leur arrivée, sont logés au cap manuel pour 15 jours avant d’être transférés dans d’autres prisons. «C’est pourquoi il est à Sébikhotane. Il n’a pas été sanctionné», précise-t-il.

Mali: la cour d’assises de Bamako ordonne la fin sans verdict du procès d’Amadou Sanogo

La procédure contre Amadou Sanogo est donc déclarée « éteinte » au Mali. La cour d’assises de Bamako l’a annoncé ce lundi 15 mars au matin. Le capitaine putschiste de 2012, devenu général, est donc totalement libre.

Amadou Sanogo n’est plus poursuivi pour l’assassinat des 21 militaires bérets rouges retrouvés dans une fosse commune près de Bamako. Même chose pour ses coaccusés. Cela ne veut pas dire qu’ils sont déclarés innocents ou acquittés, mais qu’il n’y a plus de procès

Peu après neuf heures du matin ce lundi, lorsque les accusés ont fait leur entrée dans la salle d’audience de la cour d’appel de Bamako, le général Amadou Sanogo était bien reconnaissable : costume et lunettes noires, il a souri, comme s’il s’attendait à la bonne nouvelle. Après les formalités d’usage, le président de la cour a donc pris la parole et a annoncé l’arrêt des poursuites.
Sa décision est motivée par la loi d’entente nationale. Cette loi, votée en 2019 par l’Assemblée nationale et promulguée sous l’ancien régime, permet dans le cadre de la réconciliation nationale d’arrêter, dans certains cas, des poursuites contre des personnes accusées de crimes contre, notamment, le dédommagement des victimes ou de leurs parents.

Manifs au Sénégal : Comment les chancelleries étrangères se sont préparées au pire

Le Sénégal a frôlé le pire ces derniers jours ! Et c’est est le moins qu’on puisse dire à la suite de l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko par la gendarmerie dans le cadre d’une affaire de viol et de menaces de mort dans laquelle il est cité.

Des jeunes en furie ont tout cassé sur leur passage, n’épargnant ni grandes surfaces, ni stations-service encore moins des brigades de gendarmerie qui ont fait l’objet d’attaques sans commune mesure. Des scènes dignes d’une guérilla urbaine qui ont mobilisé tout ce que le pays a compté comme forces d’intervention pour contenir cette colère. La situation était devenue incontrôlable au point que des représentations diplomatiques ont pris en main leur propre sécurité et celle de leurs ressortissants.

Il nous revient de sources bien informées que suite au saccage du supermarché Auchan des Almadies le vendredi 5 mars, l’ambassade des États-Unis qui se trouve à quelques jets de pierre a dépêché sur les lieux une force d’intervention composée d’hommes armés se déplaçant à bord de véhicules banalisés. Il a été signalé parmi ces hommes des tireurs d’élite.

Leur mission ne consistait pas à empêcher l’attaque de la grande surface française, mais de sécuriser les alentours où l’inquiétude commençait à gagner du terrain chez les diplomates occidentaux. Les forces de sécurité sénégalaises préposées au maintien de l’ordre se faisaient désirer dans les parages car elles étaient à court d’effectif. Ce qui veut dire que cette zone d’intervention de la gendarmerie était laissée à la merci des manifestants et des casseurs.

Dans un contexte de menace terroriste qui hante le sommeil des dirigeants de la sous-région, les américains ne voulaient pas prendre de risque. Depuis quelques années, il faut noter que les Almadies sont placés sous haute sécurité. Peuplé d’hôtels, ce quartier chic dakarois est prisé par les représentations onusiennes et où se reveille la majorité des diplomates occidentaux.

À ce protocole bien huilé mis en branle que lorsque les choses deviennent ingérables pour les autorités locales, s’est ajoutée la mise à disposition de téléphones satellitaires aux diplomates. C’était pour contourner les perturbations que connaîtraient les télécommunications.

Aux premiers jours des manifestations, les réseaux sociaux ont connu quelques perturbations à l’image de Youtube qui était devenu inaccessible pendant au moins une demi-journée. Il était également impossible d’envoyer ou de recevoir des messages vocaux via WhatsApp. Craignant une généralisation de ces restrictions, les chancelleries étrangères ont préféré prendre les devants pour organiser leur « fuite » quand les choses partiraient en vrille. Car, il était prévu que certains d’entre eux prennent le large quand ils auront constaté le naufrage du Bateau Sénégal. Déjà, des messages ont été envoyés aux expatriés français et américains pour leur demander de limiter leurs déplacements.

Dakaractu a appris qu’au moment où la situation se dégradait de plus en plus, des plans d’évacuation étaient déjà prêts à être déployés pour sauver ce qui pouvait l’être.

Preuve de cette inquiétude, les ambassades de l’Union européenne et de ses États ont sorti un communiqué le dimanche 7 mars pour appeler les différentes parties à la retenue et à éviter la violence. Le communiqué signé également par les États-Unis, le Canada, la Corée du Sud, le Royaume Uni et la Suisse, a insisté sur la nécessité de protéger les personnes et leurs bien ainsi qu’à la restauration pacifique du calme et du dialogue.

Heureusement, la raison a prévalu et le chaos tant craint ne s’est pas produit. Les uns et les autres se sont arrêtés à temps et sont revenus à de meilleurs sentiments pour préserver la paix au Sénégal même si des pertes en vies humaines ont été déplorées lors des troubles qui ont au moins duré une semaine.

célébration de la 141e édition de l’Appel : « Le rôle de l’éducation dans la lutte contre l’extrémisme »

Pour cette 141e édition de l’Appel de Seydina Limamou Lahi Al Mahdi, la célébration se fera en famille, Covid-19, oblige. Le thème de la 140ème édition qui n’a pu se tenir à cause de la Covid-19, a été reconduit cette année encore, à savoir : « Le rôle de l’éducation dans la lutte contre l’extrémisme » . Cet évènement majeur de la communauté layène du Sénégal et de la diaspora, est l’occasion de remettre au goût du jour les enseignements du saint maître Seydina Limamou Lahi Al Mahdi (PSL).

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention