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Nervis aux cotés des forces de l’ordre: le Forum civil saisit Antoine Félix

Hier durant les manifestations, la présence et les agissements de “nervis” aux côtés des forces de l’ordre, a scandalisé l’opinion. Le forum civil n’a pas tardé à saisir le ministère de l’Intérieur sur la question.

Birahim Seck et ses camarades ont fait parvenir une demande d’éclairage sur l’identité des personnes armées de bâtons sur le théâtre des opérations de la police et de la gendarmerie, à Dakar, dans la journée du 3 mars 2021, lors d’opérations de maintien de l’ordre. Ce, durant les manifestations après l’arrestation de ousmane Sonko.

“La presse, couvrant ces événements, a informé de la présence de personnes, s’identifiant comme gardes du Président de la République, en train de prendre à partie des passants. Le Forum Civil souhaite avoir, de votre autorité des éclairages sur la présence des personnes sur le théâtre des opérations de la police et de la gendarmerie”, ont-ils précisé dans leur correspondance. Ci dessous leur document.

Pikine Guédiawaye : Une voiture de police s’est renversée, situation tendue

Une voiture de police, qui pourchassait les manifestants dans les manifestations devant le Tribunal de Pikine Guédiawaye, s’est renversé.

Les manifestations ne faiblissent pas à Dakar. Le tribunal de Pikine Guédiawaye est actuellement attaqué par des jeunes en furie. Et même, une voiture de Police s’est retrouvée les 4 roues en l’air.

Les manifestants  se sont rués sur elle. Et l’ont rouée de pierres. Heureusement pour les forces de l’ordre, ils ont pu s’extirper du véhicule à temps. La situation y est actuellement toujours tendue.

Toujours à Pikine et Guédiawaye, les élèves ont sorti leurs camarades des établissements scolaires durant la matinée. Et ces potaches sont actuellement parmi le smanifestants.

À l’avenue Cheikh Anta Diop aussi les manifestations sont en cours. Les étudiants croisent le fer avec les forces de l’ordre depuis la matinée. idem à BNignona où un mort et plusieurs blessés ont été enregistrés.

Tensions en banlieue : Guédiawaye méconnaissable

La tension est vive au lendemain de l’arrestation d’Ousmane Sonko par la gendarmerie. A Guédiawaye, en banlieue dakaroise, la ville est méconnaissable après les actes de vandalisme perpétrés par les manifestants qui continuent de réclamer la libération du leader de Pastef.

Manifestations pro-Sonko : Un mort et deux blessés graves à Bignona

Les manifestations contre l’arrestation du leader de Pastef virent à la tragédie à Bignona. En effet, Cheikh Coly, un des manifestants aurait perdu la vie ce matin. L’élève aurait succombé à ses blessures sur la route au cours de son évacuation, a-t-on appris de plusieurs sources.
Il y a aussi deux blessés graves évacués à l’hôpital régional de Ziguinchor.

Matam: Un professeur d’anglais démis de ses fonctions pour avoir proposé un sujet sur Sonko

L’affaire Sonko/Adji Sarr continue de faire des victimes. Cette fois-ci, c’est au tour de Khassoum Diop, un professeur d’anglais et Formateur à Matam. Il a été relevé de ses fonctions après avoir proposé une épreuve sur l’actualité. 
 
Selon certaines sources, le texte parlait de l’affaire du présumé viol qui oppose Ousmane Sonko à Adji Sarr.
 
Ses collègues fustigent un manque de respect à l’égard des enseignants.
 
Cette situation suscite ainsi de vives réactions tant du côté de ses collègues que des internautes. En voici quelques unes.
 
Mamadou Fall
 
“Ce qui se passe au Sénégal est vraiment inquiétant avec ce régime, et des marionnettes placées à certaines directions. 
 
Démettre un vaillant professeur de ses fonctions parce qu’il a proposé un sujet d’actualité à ses élèves ? Un abus de pouvoir et un acte vraiment pathétique !
 
Stop à la politisation de nos institutions. Si c’était dans une vraie démocratie, Khassoum Diop aurait reçu des félicitations pour son geste qui facilite la compréhension de l’actualité du pays aux élèves”. 
 
 
Astou Ou La Sophia
 
“Mon ami et collègue Khassoum Diop  vient d’être démis de ses fonctions de référent pédagogique, dans l’académie de Matam.
 
Connaissant, son engagement et son sens de la responsabilité, qui lui a valu d’ailleurs ce poste, je dénonce jusqu’à la dernière énergie cette forfaiture politique.
 
Pour information, il a donné un sujet de composition d’anglais qui a pour thème l’actualité.
 
Ce manque de respect à l’égard des enseignants est à fustiger et combattre.
 
Mon sujet de philo prochain portera sur les concepts: Dictature et État. 
 
Renvoyez-moi, monsieur le Président de la Rue- public”.
 
Adama Daouda Ba
 
Indignez-vous! 
 
Khassoum Diop, un de mes anciens professeurs d’anglais au lycée de Matam, a été démis de ses fonctions de référent pédagogique pour avoir proposé une épreuve de 3ème dont le texte parle de la situation politique du Sénégal (affaire Sonko). 
 
Un enseignant profondément humain. Un fin pédagogue qui a toujours été au service de ses élèves. 
 
De tout cœur avec toi, mon professeur, mon ami. 
 
Je refuse de la fermer!”
Mansour Sy Ndiaye
 
De tout cœur avec mon collègue Khassoum Diop qui a été démis de son poste de référent pédagogique au CRFPE de Matam, pour avoir validé un devoir standardisé portant sur l’actualité.
 
C’est moi même qui lui ai transmis le texte. Je n’ai vu aucun dérapage de sa part. Je suis plus que dépité. 
 
WALLAHOU AHLAM BIMA YOUHOUN.
Ndao Aly
 
“Je dénonce avec la dernière énergie cet excès de zèle dont un collègue professeur d’anglais, Monsieur Khassoum Diop, en même temps formateur à Matam vient de faire l’objet. 
 
Pour avoir validé en compositions une épreuve qui parle de la situation actuelle du pays sur l’affaire SONKO, il est relevé de ses fonctions en tant que formateur en Anglais à l’Inspection d’académie  de Matam.  
Je trouve cet acte hasardeux et injustifiable. J’en appelle aux syndicats d’enseignants et à tous les collègues épris de justice de faire face. 
 
P.S: Ce texte n’est en rien politique et les activités sont pédagogiquement justifiables”.

Ziguinchor : Le domicile du procureur attaqué

Des manifestants ont attaqué dans la nuit de mercredi à jeudi entre 1h et 2 h du matin le domicile du procureur de Ziguinchor sis au Boulevard 54 à Santhiaba. Ses véhicules ont été saccagés par les manifestants. Il a commis un huissier pour faire le constat. La police de Ziguinchor a ouvert une enquête.

Effondrement des bâtiments : Serigne Mbacké Diop donne son avis

Au Sénégal le secteur de la construction est en plein essor. Aujourd’hui, c’est le béton qui est utilisé dans les chantiers mais bien qu’il soit produit localement et pas cher, il s’avère être très polluant. . Pourtant, certains spécialistes , des entrepreneurs veulent construire autrement. Ils s’inspirent des maisons d’autrefois en terre crue et font revivre les savoir-faire locaux. D’après Serigne Mbacké Diop ” Pour qu’il une bonne résistance des bâtiments , il faut l’utilisation des bétons armés . C’est plus résistant et la majeure partie des construction est faite sur la base de c e béton. Et depuis 2003 je suis dans ce métier et à chaque fois que je vois un bâtiment en défaillance c’est par ce que le béton qu’il utilise n’est pas adéquat . Le béton armée marche mieux avec les fers  conformément aux mesures prises par construire que ce soit un bâtiment , les mosquée ou les autoroutes  “. Aussi , ” Il interpelle l’état du Sénégal à veiller sur la qualité du béton et surtout sur le marché pour arrêter les drame”

Manifestations : Questions autour de l’identité des «nervis»

 Souvent cachés derrière des masques, casquettes, lunettes ou capuches et armés de bâtons, gourdins ou même machettes, ils circulent de préférence en véhicules pick-up et sortent à chaque événement politique.

La longue marche de Ousmane Sonko hier, vers le tribunal, a encore été un prétexte pour eux de terroriser, pêle-mêle, militants, habitants, élèves, frondeurs au nez et à la barbe des forces assermentées. De nombreuses photos et vidéos rapportées par les journalistes ont exposé leur violence dans diverses artères de la capitale, de préférence dans les zones où les manifestants étaient agglutinés. Le temps d’un frémissement démocratique, une trentaine de «nervis» embarqués dans au moins trois véhicules, gourdins à la main, se sont octroyé le droit de «casser du manifestant», quitte à s’en prendre à des personnes qui semblent n’avoir rien demandé.

Sur l’une des vidéos mise en ligne sur le site de Senego, un homme en civil, casquette noire, tient au collet deux garçons en sac-à-dos, et finit par balancer une gifle à l’un. Autour de lui, une voiture pick-up blanche transporte d’autres hommes armés de bâtons. Dans le film, aucun élément distinctif ne permet de savoir si ces hommes qui s’adonnent impunément à ces violences, sont des forces de sécurité et de défense. Sur les autres images, c’est le même flou autour de l’identité de ces nervis. Il faut consulter une autre vidéo, mise en ligne sur la plateforme Facebook Senegal 90, pour entendre une voix féminine demander leur identité. «Nous sommes Fox Rivers et nous sommes du côté de Macky Sall, on n’acceptera pas que le pays soit saccagé», entend-on l’un répondre.

Difficile d’authentifier ces dires comme il sera difficile de certifier cette liste des «engagés». Une feuille de recrutement où 30 noms écrits à l’encre et répartis en dizaine pour 3 pick-up, reçoivent 15 000 FCFA la journée. Cette liste, attribuée au directeur du Coud, a alimenté toute la journée d’hier la théorie des nervis recrutés par le pouvoir. Poussant Maguette Sène à publier un démenti sur Facebook. «Je suis sidéré et choqué d’apprendre que mon nom a été cité dans une opération de recrutement de nervis (…) Je tiens à informer l’opinion que ni mon éducation, ni mon parcours ne me permettent aucunement d’être l’auteur d’actes aussi graves pour la stabilité de notre cher pays», a déclaré le directeur du Coud qui a aussi annoncé une plainte.

De la même manière, le ministère de l’Education nationale a dû aussi sur sa page Facebook, apporter des précisions sur l’une des voitures qui transportent ces «nervis» et qui porte le logo de l’institution. «Le ministère précise que ce véhicule sur cette photo a été réquisitionné et mobilisé dans le cadre de la lutte contre les inondations et transporte des agents du service d’hygiène», a signé Mohamed Moustapha Diagne, porte-parole du ministère de l’Education nationale.

Seulement, cette version peut être mise à mal par quelques éléments d’analyse. D’abord en recherche inversée, il n’existe aucune occurrence de cette image sur Internet. Ensuite, les personnes à l’arrière du pick-up blanc, qui ne sont pas habillées de la tenue reconnaissable des services d’hygiène, portent des masques. «Ce qui prouve que ce n’est pas une image très ancienne et qu’elle date au moins de la période Covid-19», analyse Cheikh Fall, coordinateur du réseau des Africtivistes. Enfin, en croisant les photos et vidéos de l’évènement, on peut facilement établir une correspondance d’identité à partir des bonnets, casquettes et masques que portent les mêmes hommes sur le pick-up et sur le terrain en train de s’en prendre aux citoyens.

La direction de la sentv rappelle le « Sens de la Responsabilité » au CNRA 

POUR LE CNRA… AU NOM DU SENS DE LA RESPONSABILITE

«Notre liberté dépend de la liberté de la presse, et elle ne saurait être limitée sans être perdue.» Il y a plus de deux siècles que Thomas Jefferson, Président des Etats-Unis d’Amérique tenait de tels propos. depuis lors, que de chemins parcourus. Depuis notre accession à la souveraineté internationale des sacrifices ont été consentis par des hommes et des femmes qui ont activement participé à la consolidation des acquis démocratiques en s’appuyant sur le rôle joué par les médias. un rôle d’information, d’éducation, d’éveil de conscience qu’ils ne cessent de jouer. De ce point de vue, il apparait clairement que les média sénégalais sont conscients  de leur mission. En ce qui concerne la chaine de télévision privée SEN TV, au nom de la responsabilité et de la mesure, au nom du respect strict de l’éthique et de la déontologie, elle ne fait que donner la bonne information et uniquement la bonne information. Aussi, c’est au nom de cette information juste et vérifiée, que la chaine de télévision privée SEN TV, compte tenu des évènements de ce 03 mars 2021, a organisé une édition spéciale consacrée à la convocation de M. Ousmane Sonko par le juge d’instruction.
Alors, est-il interdit de donner l’information au peuple sénégalais ? Est-il interdit de diffuser avec responsabilité des images de l’événement? Est-il également interdit d’inviter des personnalités politiques à prendre la parole aux côtés de professionnels de l’information et de la communication ? Les questions sont pertinentes et légitimes dans la mesure où, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) ne saurait verser dans l’intimidation par rapport au travail constant que mène une chaine de télévision au nom de la liberté d’information. Pire, lorsque l’organe de régulation parle ‘’d’appel à l’insurrection’’. A quel moment ? surtout que la personne pointée du doigt, a lancé un appel à la résistance citoyenne et républicaine.  Les mots ont leur sens, mais les véritables maux émanent d’un organe qui donne l’impression de chercher la petite bête dans un organe fortement ancré dans la responsabilité de ses actions professionnelles, purement professionnelles. Et, seulement au nom de la responsabilité.

Sonko n’a pas répondu aux questions des enquêteurs

Ousmane Sonko, qui a été interpellé ce mercredi par la section de recherches de la gendarmerie, n’a pas répondu aux questions des enquêteurs.

Ousmane Sonko, qui a été placé en garde à vue ce mercredi, a fait face aux enquêteurs. Mais, lors de l’interrogatoire, le leader de Pastef a, cependant, «usé de son droit de silence». C’est du moins, ce qu’a informé le responsable en charge de la communication de Pastef les Patriotes.

La section de recherche lui a, quelques heures auparavant, notifié son placement en garde à vue ( à 14heurs 45 minutes selon ses avocats). C’est le Capitaine Ndiaye commandant la Compagnie de gendarmerie de Dakar qui a personnellement procédé à l’interpellation selon ses avocats.

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