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covid-19 : 11 749 Sénégalais déjà vaccinés ; 76 365 personnes inscrites sur la plateforme

A la date du jeudi 25 février 2021, 7662 personnes ont été vaccinées. D’où un total de 11 749 Sénégalais qui ont déjà pris leur première dose. Un chiffre révélé, ce vendredi, par le Directeur de la Prévention Docteur El Hadji Mamadou Ndiaye lors du point journalier sur l’évolution de la pandémie du coronavirus dans le pays.

Toutefois, le porte-parole du ministère de la Santé et de l’Action au-delà du respect des gestes barrières a invité la population à accorder une grande importance à la vaccination surtout pour ceux qui font partie des personnes prioritaires dans le plan de vaccination. Le Comité de Suivi et de Contrôle des Opérations de Vaccination contre la Covid-19 a tenu, ce vendredi, sa première réunion.

La rencontre a été présidée par le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr. Et lors de cette réunion, les gouverneurs et les médecins chefs de régions ont fait le point sur le démarrage de la campagne de vaccination dans les régions. Une campagne qui selon eux débute bien dans toutes les localités avec au total. A ce jour, révèle le ministère de la Santé 76 365 personnes se sont inscrites sur la plateforme de vaccination.

Me Khoureychi Bâ : ” Le Doyen des juges Samba Sall a préféré renvoyer au lundi la comparution de Assane Diouf et Clédor Sène”

Guy Marius Sagna, assisté par Me Moussa Sarr, a été placé sous mandat de dépôt. Le Doyen des juges Samba Sall a préféré renvoyer au lundi la comparution de Assane Diouf et Clédor Sène, le réquisitoire de feu du Procureur ne laissant aucune place au doute sur ses intentions de criminaliser les faits», a indiqué Me Khoureychi Bâ. Il rappelle qu’il leur est reproché les chefs d’inculpation suivants: provocation à des crimes et délits, organisation d’un mouvement insurrectionnel, association de malfaiteurs. Pour rappel Guy Marius Sagna a été placé sous mandat de dépôt. Pour le sort de Clédor Sène et de Assane Diouf, leur avocat ne se fait pas d’illusions au vu du réquisitoire du procureur.

Convocation : Le message d’Imam Kanté à Sonko

« A mon humble avis, Ousmane Sonko serait bien inspiré de répondre à la justice au cas où son immunité parlementaire serait levée. Puis de s’en remettre à Allah (SWT) et au peuple pour la suite », a-t-il posté sur sa page Facebook.

Conacoc : Trois prétendants pour un croissant

Au rythme où vont les divergences, on file droit vers l’extinction de la Conacoc avant le prochain croissant lunaire. Après Imam Oumar Diène, Amadou Cissé Ndiéguène aussi est contesté.
Si on vous explique ce qui se passe actuellement à la Commission nationale de concertation sur le croissant lunaire (Conacoc) et que vous y comprenez quelque chose, c’est qu’on vous a mal expliqué. Le dossier est en effet plus compliqué qu’un litige foncier chez les lébou. En effet, après qu’un groupe a désavoué Imam Oumar Diène et proclamé Amadou Cissé Ndiéguène comme président coordonnateur par intérim, voilà qu’une nouvelle scission s’opère et dément formellement l’intronisation de Ndiéguène.
Dans un communiqué, Daouda Sakho et Bou Konta affirment que lors de la réunion d’hier, il n’a jamais été question de désigner un coordonnateur. Dans ce document, les membres de la Conacoc dénoncent « de toute leur force la dispersion et le désordre que certains usurpateurs de titre ou dissidents font montre dans les médias sans être mandatés par personne ».
Seulement, à la fin du communiqué, il est écrit que Bou Kounta est l’intérimaire choisi. Un vrai imbroglio !
Seneweb a joint Daouda Sakho (représentant Touba) qui se dit porte-parole depuis 4 mois pour en savoir plus. Ce dernier confirme que la réunion a bel et bien eu lieu hier de 15h à 18h, en présence d’Amadou Cissé Ndiéguène, de Bou Mouhamet Kounta, d’Abdou Aziz Dieng (Tivaouane) et de Daouda Sakho, entre autres.
Un seul mot d’ordre : La refondation
Mais d’après ce dernier, l’objectif de la réunion n’était pas de désigner un président par intérim. « Il n’y avait qu’un seul mot d’ordre : la refondation et la relance de la Conacoc », soutient-il.
D’après Daouda Sakho, c’est dans ce cadre qu’il a été décidé de mettre en place un comité préparatoire pour la prochaine assemblée générale. Et c’est ce comité qu’Amadou Cissé Ndiéguène dirige et non la Conacoc.
Par ailleurs, Daouda Sakho dit ne pas comprendre l’attitude de Chérif Moussa Laye. En effet, c’est ce dernier qui a envoyé à la presse le mail qui intronise Amadou Cissé Ndiéguène. Or, soutient Sakho, ce dernier n’était pas à la réunion d’hier.
« Quand on est allé le voir, il nous a répété ce qu’il disait toujours, à savoir qu’il est l’assistant de Serigne Abdoulaye Thiaw Laye, il ne peut pas s’absenter. Mais, comme toujours, il nous a délégué sa parole, Bou Kounta et moi ». Du coup, Daouda se dit surpris d’apprendre que c’est Chérif Moussa Laye qui a envoyé un tel mail. Il l’accuse donc d’avoir un double discours.
D’après Daouda Sakho, la guerre de positionnement a démarré, alors que l’ancien président Ahmed Iyane Thiam était sur son lit d’hôpital. Aujourd’hui, Sakho déclare que les membres de la Conacoc ne permettront plus à personne d’avoir une gestion solitaire comme ce fut le cas.
« Je suis arrivé à la commission en 2011 avec Serigne Sidy Moukhtar Mbacké, mais je n’ai jamais vu de texte, d’instance, de bureau, de trésorerie ou de commission technique ». Une gestion qui, promet-il, ne se répétera plus jamais. A condition d’abord que la commission survive à cette crise !

RDC : deux lanceurs d’alerte risquent leur vie pour dévoiler des malversations

(Paris, le 26 février 2021) – Deux lanceurs d’alerte congolais révèlent que leur ancien employeur, Afriland First Bank RDC, a abrité des réseaux de blanchiment d’argent et de contournement de sanctions internationales, a déclaré la Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF) coordonnée par Fadel Barro.   Ces révélations ont donné lieu à des enquêtes de plusieurs médias internationaux qui seront publiées dans les jours à venir. Les lanceurs d’alerte, Navy Malela et Gradi Koko, ont travaillé pendant plusieurs années au département d’audit d’Afriland First Bank, la filiale congolaise d’une banque camerounaise. Ils ont lancé l’alerte en interne, puis transmis des documents compromettants à des ONG et des journalistes, en prenant d’énormes risques pour leur sécurité personnelle, et celle de leur famille.

Un d’entre eux a été sérieusement menacé et ils n’ont eu d’autres choix que de s’exiler en Europe. L’avocat d’Afriland, Me Eric Moutet, a déclaré lors d’une conférence de presse 25 février 2021 que les deux lanceurs d’alerte avaient été condamnés à mort par un tribunal de Kinshasa en septembre. Le jugement reste introuvable malgré de nombreuses requêtes de PPLAAF et des médias. Si un tel jugement avait été rendu, il l’aurait été au détriment de l’ensemble des droits de la défense des deux lanceurs d’alerte. « Il serait incroyable qu’on puisse condamner à mort des lanceurs d’alerte sans leur donner la possibilité de se défendre, et de ne pas poursuivre ceux qui permettent à l’argent du peuple congolais de disparaitre », a déclaré Navy Malela.

 

En juillet 2020, les informations de MM. Koko et Malela étaient déjà à la source du rapport « Des sanctions, mine de rien », publié par PPLAAF et Global Witness, et de publications de Bloomberg, Le Monde et Haaretz. Ces révélations avaient montré comment l’homme d’affaires Dan Gertler aurait établi un réseau de blanchiment d’argent pour échapper aux sanctions américaines prises contre lui et acquérir de nouveaux actifs miniers en RDC. Après la publication du rapport, des sénateurs américains avaient demandé au Trésor américain de punir les individus sanctionnés qui contournaient les sanctions par la création d’autres sociétés. Plus tard, une quarantaine de députés européens ont exigé que l’Union Européenne adopte un régime permettant de sanctionner des individus comme M. Gertler. « Notre message pour le peuple congolais est celui de la prise de conscience collective », a déclaré Gradi Koko. « Nous devons nous lever pour mettre hors d’état de nuire ces réseaux qui se servent des richesses de notre beau pays ».

Les révélations, auxquelles ont participé Bloomberg, RFI, Haaretz, Africa Confidential, RTS, Actualite.cd et le Mail & Guardian, confirment entre autres qu’Afriland a permis à des proches de Dan Gertler de convertir en liquide des millions de dollars en euros et de les placer sur des comptes d’individus ou de sociétés écran liées à M. Gertler. Une de ces sociétés a reçu des prêts de dizaines de millions d’euros d’Afriland. Le 15 janvier 2021, l’administration Trump a discrètement octroyé une licence permettant à Gertler et ses sociétés d’accéder au système financier américain jusqu’au 31 janvier 2022. Cette mesure de dernière minute du gouvernement américain levant de fait, pendant une année, les sanctions imposées au milliardaire israélien Dan Gertler, s’est attiré les critiques de membres du Congrès américain et de 30 ONG congolaises et internationales. Les révélations montrent également que d’importants politiciens congolais, ainsi que des institutions congolaises, utilisaient Afriland.

Leurs comptes montrent des mouvements allant parfois jusqu’à plusieurs millions de dollars en espèces. Richad Muyej, gouverneur du Lualaba, a retiré des centaines de millions de dollars en liquide. En 2018 et 2019, des millions ont aussi été retirés du compte du Sénat congolais, en plein processus électoral. Plusieurs sociétés soupçonnées d’appartenir à des financiers du Hezbollah, dont certaines sous sanctions américaines, ont également eu des comptes actifs à Afriland. En août 2020, l’ONG The Sentry a montré comment des hommes d’affaires nord-coréens liés au gouvernement de leur pays ont utilisé Afriland pour participer à des opérations qui iraient à l’encontre des sanctions de l’Union européenne, de l’ONU et des États-Unis. Des nouvelles informations montrent que d’autres individus nord-coréens avaient des comptes à la banque. Enfin, les enquêtes montrent que non seulement Afriland avait connaissance de ces agissements, mais que sa direction avait délibérément participé à leur mise en place.

Après avoir été alertée par ces deux employés sur certaines de ces irrégularités en interne, la direction d’Afriland a réagi en suggérant que l’un des lanceurs d’alerte pouvait se faire tirer dessus dans la rue, selon l’un d’entre eux. « Une nouvelle fois, des lanceurs d’alerte risquent leur vie pour combattre l’opacité et défendre les réglementations bancaires », a déclaré Gabriel Bourdon-Fattal de PPLAAF. « Nous appelons les autorités congolaises à déclencher des enquêtes sur ces agissements et le Président Tshisekedi à promouvoir des mécanismes de protection de lanceurs d’alerte comme il l’a annoncé récemment. » « Grace à la révolution silencieuse des lanceurs d’alerte comme Gradi et Navy sur le continent africain, plus aucun délit ne restera secret pour toujours et le changement voulu finira par imposer son propre rythme », a déclaré Jean-Jacques Lumumba, lanceur d’alerte et banquier congolais. « Des actes comme les leurs sont un espoir pour la RDC et pour notre continent. »

Levée de l’immunité parlementaire de Ousmane Sonko : L’opposition s’offusque d’un « énième scandale politique orchestré par un régime agonisant ».

C’est maintenant effectif. Les parlementaires ont adopté aujourd’hui, dans la majorité, le rapport relatif à la levée de l’immunité parlementaire de leur collègue Ousmane Sonko. Ce dernier est accusé de viol et menaces de mort par la jeune masseuse Adji Sarr employée dans un salon de massage dénommé « Sweet Beauté ».

Après la lecture du rapport et l’intervention des différents membres ayant droit à la parole au niveau de la commission Ad hoc qui était chargée d’écouter le député accusé, 98 députés ont donné leur accord pour que l’immunité parlementaire soit levée et que la justice puisse enclencher la procédure lui permettant de tirer cette affaire au clair.

Les membres de l’opposition ont dénoncé ce qu’ils considèrent comme une machination de la part du régime de Macky Sall qui ne veut que museler les sentinelles de la république parmi lesquelles, Ousmane Sonko. 

Moustapha Guirassy, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, Serigne Cheikh Bara Dolly, Mame Diarra Fam et Aida Mbodj ont regretté le déroulement de cette levée de l’immunité de leur collègue et tiennent à témoin, le peuple souverain.

Arrestations en série : Me Khoureychi Ba dénonce une “rafle”

La série d’arrestations constatée depuis quelques jours est assimilée à  « une rafle » par Me Khoureychi, un des avocats du leader de Pastef, Ousmane Sonko.
Guy Marius Sagna, Clédor Sene, Assane Diouf et plusieurs jeunes membres du parti Pastef / Les Patriotes sont arrestés depuis des jours. Certains parmi eux sont placés sous mandat de dépôt tandis que d’autres sont déférés au parquet et attendent d’être fixés sur leur sort.
“Il n’y a pas de doute : on assiste à une “rafle” qui ne dit pas son nom. Alors que Guy Marius Sagna est sous mandat de dépôt pendant qu’Assane Diouf et Clédor Sène sont dans la salle d’attente, Ousmane Wade et 6 autres camarades étudiants de l’Ucad” attendent leurs interrogatoires au commissariat du Point-E”.
La robe noire d’informer que deux jeunes citoyens de Pastef, M. D. Lô et B. Ndiaye (ont) été interpellés à Touba “sur instructions de l’autorité” puis conduits à la Dic.
“L’un d’entre eux aurait été trouvé en possession de chanvre indien”, informe Me Ba selon qui “à Ziguinchor, Madia Diop Sané de Vision citoyenne (a été) capturé alors qu’il devisait avec la presse après avoir déposé une déclaration de marche à la préfecture. Le commissaire central Adramé (Sarr), un historique de la Dic, promet de l’entendre et de le libérer séance tenante”.

Affaire Sonko-Adji Sarr : Le ministre de la Justice prend la défense de Macky Sall

Dans l’affaire de viols et de menaces de mort, Ousmane Sonko a accusé le président de la République, Macky Sall, d’être «l’instigateur» du «complot» ourdi contre lui.
Ce vendredi 26 février, lors de l’examen de la levée de l’immunité parlementaire du député du Pastef, le garde des Sceaux, Ministre de la Justice a blanchi le chef de l’Etat dans ce dossier. «C’est moi qui ai informé le chef de l’État de cette affaire, en plein Conseil des ministres, après avoir reçu une note du procureur. Sa réaction était de désolation et de consternation. Parce qu’il ne saurait souhaiter cela à son pire ennemi. Toute personne poursuivie est présumée innocente», a indiqué Me Malick Sall, au cours de son temps de parole devant l’hémicycle.
L’Assemblée nationale a livré, ce jour, Ousmane Sonko à la justice, dans le cadre de l’enquête enclenchée depuis la plainte de la masseuse Adji Sarr, âgée de 20 ans. Ce, après avoir voté pour la levée de son immunité parlementaire.

Guy Marius, Clédor Sène et Assane Diouf placés mandat dépôt.

L’info vient de tomber. Guy Marius Sagna Clédor Sène et Assane Diouf ont été placés sous mandat de dépôt.

Le ministère public a demandé l’ouverture d’une information judiciaire pour association de malfaiteurs, participation à un mouvement insurrectionnel et actes de nature  à troubler l’ordre public, informe la Rfm. A Touba aussi, les éléments du commissariat spécial ont arrêté Mame Dame Lô et Baba Ndiaye, tous membres de Pastef.

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