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Affaire « Sweet Beauté » : La défense de Ousmane Sonko demande l’exploitation des téléphones de toutes les personnes qui ont eu à échanger avec Adji Sarr.

Dans une correspondance adressée au procureur de la République, les avocats de Ousmane Sonko ont demandé l’exploitation des téléphones de toutes les personnes qui ont eu à échanger avec Adji Sarr. La lettre in extenso…

Monsieur le Procureur,

Un Avocat et un médecin, entre autres, ont été cités dans une procédure judiciaire qui laisse visiblement entrevoir un complot ourdi contre un député, membre de l’Assemblée Nationale du Sénégal.

Il s’agit de l’affaire pour laquelle, vous avez visé une personne non identifiée (X) dans un réquisitoire introductif adressé à Monsieur le Juge d’Instruction du 8e Cabinet près-le Tribunal de Grande Instance Hors-Classe de Dakar, et saisi vous-même l’Assemblée Nationale d’une procédure de levée de l’immunité parlementaire de l’honorable député Ousmane SONKO cité nommément.

L’enquête diligentée par la Section de Recherche de Colobane, bien que révélant qu’un médecin et un Avocat notamment ont été cités pour faciliter le déplacement de la plaignante à l’heure du couvre-feu, n’a pas été poursuivie ; Ce qui est une curiosité car le numéro de la personne ayant cité l’Avocat et le médecin est connu des enquêteurs.

C’est techniquement très facile comme vous le savez. En effet, par des réquisitions faites aux opérateurs de téléphonie mobile, il est bien possible d’identifier les numéros et subséquemment toutes les personnes qui ont eu à échanger entre la présumée victime et les personnes venues la chercher en voiture la nuit du 02 au 03 février 2021, notamment.

Il est également fort curieux que ce médecin n’ait pas été entendu, ni les personnes qui ont accueilli la plaignante à l’hôpital.

Sous un autre rapport, il nous est revenu que suite à un rejet par le Bureau de l’assemblée Nationale de sa saisine par le juge d’instruction du huitième cabinet, vous auriez diligenté une nouvelle saisine, le tout malgré l’existence d’un réquisitoire contre X qui vous dessaisit en vertu de la saisine in rem du Juge d’instruction.

Pire, si ce réquisitoire contre X a pu faire l’objet d’un retrait, ce qui serait une autre violation très grave de la loi, en l’état de l’ouverture d’une information judiciaire sur la base du premier réquisitoire au juge d’instruction du huitième cabinet qui avait déjà saisi l’Assemblée Nationale.

Enfin, pour la première fois, dans l’histoire Judiciaire du Sénégal, un réquisitoire est pris contre X, et sans que le Juge d’Instruction, n’ait pris aucun acte, il s’est attelé à saisir l’Assemblée Nationale pour une levée de l’immunité parlementaire de X, identifié avant l’heure, comme étant Monsieur Ousmane SONKO.

Et le tout, à savoir réquisitoire et saisine de l’Assemblée Nationale, diligenté à une vitesse de météore c’est-à-dire, presque en moins de 24 heures, avec une diligence inouïe. Notre mandant entend en tirer toutes les conséquences de droit.

Thiès : Un nouveau né retrouvé dans un sachet en plastique sur le pont de Fandène.

Une découverte macabre a été faite à Fandène. Un enfant de sexe masculin a été retrouvé sur le pont de Fandène. Le bébé qui venait d’être mis au monde a été mis dans un sachet plastique et jeté sur le pont. Heureusement, il a été sauvé de justesse et transporté à l’hôpital régional Amadou Sakhir Ndiéguène. Une enquête a été ouverte par les limiers pour retrouver l’auteur de cet acte ignoble…

Covid-19 : Dace à l’urgence, le Sénégal va commander les cinq principaux vaccins du marché

Le Comité consultatif pour la vaccination au Sénégal a donné son feu vert pour différents vaccins homologués. Dans l’immédiat, des doses de vaccin AstraZeneca et Sinopharm seront réceptionnées fin février avec un ciblage prioritaire pour les bénéficiaires.

Avec notre correspondant à Dakar, Birahim Toure

D’où qu’elles proviennent, l’essentiel est d’avoir des doses de vaccin. Le Sénégal a mis une option sur cinq vaccins anti-Covid-19 disponibles dans le monde.

La révélation a été faite par le professeur Tandakha Ndiaye Dieye, immunologue, membre du groupe d’experts du Comité consultatif pour la vaccination au Sénégal qui annonce que « la course au vaccin » est déjà lancée.

La situation presse

Il s’agit des vaccins Moderna, Pfizer-BioNTech, Astra Zeneca, Spoutnik V et Sinopharm homologués par les scientifiques. La grande équation reste la disponibilité de doses.

Le Sénégal, pressé par la situation, va dans un premier temps, entre fin février et début mars, recevoir 1,2 million de doses du vaccin AstraZeneca grâce à l’initiative Covax de l’Organisation mondiale de la santé et 200 000 autres du laboratoire chinois Sinopharm déjà dans le circuit.

Sont ciblés comme premiers bénéficiaires 3,5 millions de personnes, soit 20% de sa population. Une campagne de sensibilisation va accompagner les opérations.

Les Lundis de Madiambal : Sonko a donné la verge pour se faire battre

Un mauvais coup du destin ? Une naïveté coupable ? Une grosse connerie ? L’affaire de viol présumé du leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, sur la dame Adji Sarr, pourrait être lue sous diverses coutures. Ousmane Sonko ne manquera pas de payer un lourd tribut de cette histoire. Son image est déjà largement écornée, sans compter d’éventuelles conséquences pénales fâcheuses pour lui. Mais Ousmane Sonko ne pourrait en aucune façon se plaindre de ses propres turpitudes. Il est le seul et unique responsable de ses déboires ; ce qu’il ne semble pas encore avoir compris, car si d’aventure, comme il le prétend, il serait tombé dans un traquenard, c’est justement lui-même qui s’est livré pieds et poings liés.

Qu’ils peuvent être nombreux à ne pas être surpris par cette histoire !

Il doit être clair que si le Président Macky Sall avait voulu faire tomber Ousmane Sonko pour des questions de mœurs, il n’aurait pas attendu aussi longtemps pour réaliser son coup. Ousmane Sonko a laissé assez de traces pour se rendre vulnérable, surtout à la veille de l’élection présidentielle de 2019. Certains médias n’avaient pas voulu verser dans une sordide fouille des poubelles et le Président Sall avait choisi de ne pas permettre que son camp utilise des armes non conventionnelles contre le leader de Pastef. Ousmane Sonko lui-même le savait et pouvait penser que ses petites histoires lui seraient retournées un jour à la figure. De hauts responsables de Pastef partageaient ses craintes, d’autant que quelques anecdotes d’incartades sur sa vie familiale ou de légèretés dans les comportements du chef du parti avaient pu être observées, au cours des pérégrinations auprès de la base dans certaines régions. C’est ainsi que, gagné par la panique, Ousmane Sonko avait cherché à anticiper en annonçant, au cours d’un meeting à la Place de la Nation à Dakar, le 20 janvier 2019, «qu’il ne reste plus aux gens du pouvoir que de l’attaquer sur sa vie privée».

Heureusement, personne ne l’avait fait.

On savait aussi le goût de Ousmane Sonko pour l’argent, et surtout son imprudence. C’est ainsi qu’il acceptait non seulement des subsides provenant de l’étranger, que les services sénégalais avaient fini de tracer, mais aussi Pastef se faisait financer grâce à des transactions sur un foncier obtenu de l’Etat. Aussi, l’affaire dite des 94 milliards de francs Cfa qu’il avait soulevée en était la parfaite illustration. Ousmane Sonko, député de son état, contre toutes les règles éthiques et professionnelles, avait accepté de percevoir des commissions pour porter la bataille des héritiers du Tf 1451/R pour recouvrer leur patrimoine. Nous nous étions permis de le mettre en garde dans ces colonnes en indiquant, dans une chronique en date du 14 janvier 2019, «M. Sonko, quelqu’un qui veut devenir Président ne fait pas ça».

Qu’à cela ne tienne ! Ousmane Sonko s’en tirera à bon compte, en arrivant troisième pour sa première participation à une élection présidentielle, avec plus de 15% des suffrages. Tous les espoirs lui étaient alors permis et cette posture devait lui imposer plus de vigilance et d’exigence vis-à-vis de sa personne, surtout avec son discours de rupture et moralisateur qui pouvait le faire passer pour une alternative crédible. Pour autant, son attitude n’était pas aussi irréprochable qu’elle aurait dû être. Ousmane Sonko, piqué par on ne sait quel démon, continuait à fréquenter des lieux interdits à un homme politique soucieux de son image. Le salon de massage «Sweet beauty» en était un. Cette place présentait, dès sa devanture, des images et des enseignes qui ne la distinguaient en rien d’un lupanar. Mieux, la réclame sur internet présentait les filles qui y officiaient comme des «filles charmantes et sensuelles» et avec à la clé, des photos et vidéos on ne peut plus suggestives. Quiconque fréquentait ces lieux ne pouvait ignorer les pratiques qui y avaient cours et y allait donc en parfaite connaissance de cause. On peut considérer que c’est sans doute cela qui attirait la clientèle, car il existe à Dakar bien d’autres endroits qui pratiquent des activités de massage et qui ne donnent pas cet air de «baisodrome». Comment Ousmane Sonko, qui se voulait prudent et précautionneux, pouvait fréquenter cette place avec candeur ? Il jouait ainsi avec le feu et à force de le faire, il a fini par se brûler. Mais le plus sidérant reste les incalculables risques que Ousmane Sonko prenait, pour sa propre sécurité physique, en fréquentant un lieu interlope. Lui qui pouvait s’imaginer être dans le collimateur d’adversaires politiques qui ne lui voudraient pas que du bien s’exposait gravement dans un contexte où des assassinats d’hommes politiques ont été notés à travers le monde, avec le polonium ou d’autres produits chimiques qui réagissent plusieurs heures ou jours après leur administration à une personne.

L’argent, l’autre péché mignon

Ousmane Sonko en était arrivé à croire qu’il pouvait se permettre tout ce qui restait interdit aux autres hommes politiques. C’est ainsi qu’il lança une campagne internationale de collecte de fonds pour financer les activités de son parti. Le Président Macky Sall semblait chercher à vouloir éviter d’en arriver à une confrontation avec Ousmane Sonko et avait donné des instructions au ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome, d’alerter les responsables de Pastef sur l’illégalité de leur initiative et leur demander d’y mettre un terme. Ousmane Sonko et ses partisans se mettaient dans une logique de défiance vis-à-vis de l’Etat. Nous écrivions, dans une chronique en date du 11 janvier 2021, qu’avec cette campagne de collecte de fonds, «Ousmane Sonko risque de donner le bâton pour se faire battre». En effet, «on peut bien deviner que ce serait un jeu d’enfant, pour un pouvoir politique qui songerait à nuire à un opposant, de trouver le moyen d’identifier, parmi des milliers de donateurs, des citoyens étrangers ou appartenant à des milieux interlopes qui participeraient au financement. Le cas échéant, Ousmane Sonko ne pourrait pas dire n’avoir pas été prévenu».

On a entendu dire que tout cela procède d’erreurs de jeunesse, mais on rétorquerait que confondre une erreur d’une faute est une faute et en politique, une erreur privée constitue une faute politique.

La stratégie de l’enfumage ou l’organisation de la désinformation

La ligne de défense de Ousmane Sonko est empruntée à la logique conspirationniste. Finalement, tout le Sénégal a fait partie d’un complot contre Ousmane Sonko pour l’attraire dans un salon de massage et le faire accuser de viol en vue de ternir son image. On a accusé tour à tour le Président Macky Sall, son ministre de l’Intérieur Antoine Diome, le procureur de Dakar Serigne Bassirou Guèye, le président de l’Assemblée nationale Moustapha Niasse, le député Pape Sagna Mbaye, le président du Conseil économique, social et environnemental Idrissa Seck, la Première dame Marème Faye Sall, le journaliste patron du Soleil Yakham Mbaye, l’avocate Me Dior Diagne, le directeur général de l’Anamo Maodo Malick Mbaye. Il ne reste que les flics et autres barbouzes ainsi qu’une puissance étrangère, pour que le tableau soit complet. Il n’y aurait pas besoin d’aller chercher loin pour impliquer une puissance étrangère, car la France a le dos assez large et constitue toujours le suspect habituel. Déjà, les partisans de Ousmane Sonko, en furie, ont attaqué des commerces portant des insignes de multinationales françaises comme Auchan et Total.
L’homme politique français Charles Pasqua avait déjà théorisé cette façon de faire en laissant à la postérité que «quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien». Notre brillantissime regretté confrère Babacar Touré appelait cela «organiser la désinformation».
C’est dans cet esprit qu’il faudrait comprendre les pseudo-fuites de l’enquête distillées par certains médias bien choisis. Aussi, les défenseurs de Ousmane Sonko font feu de tout bois en lançant simultanément plusieurs polémiques ou des débats religieux sur cette affaire de viol présumé. Des montages audio et vidéo impliquant même des chefs religieux sont balancés dans les réseaux sociaux, et des acteurs totalement étrangers à cette affaire sont aussi convoqués comme des témoins pour disculper le présumé violeur ou accuser la plaignante Adji Sarr de tous les péchés. Il reste que c’est Ousmane Sonko, lui-même, par son bavardage et ses mensonges, qui risque de donner du crédit aux accusations de Adji Sarr.

Ousmane Sonko victime du syndrome de l’hubris

Cette affaire de la plainte de Adji Sarr contre Ousmane Sonko a été rendue publique par la livraison du journal Les Echos, du vendredi 5 février 2021. C’était la stupeur et d’aucuns ne voulaient pas y croire, d’autant que Ousmane Sonko assurait à ses proches n’avoir jamais mis les pieds dans ce salon de massage «Sweet beauty». On saura le lendemain, grâce aux publications des médias, que Ousmane Sonko avait ses habitudes dans les lieux et s’y rendait nuitamment. Le tollé était grand et la convocation envoyée par les enquêteurs à Ousmane Sonko en rajouta à l’émoi. Le leader de Pastef se sentira obligé, dans la nuit du dimanche 7 au lundi 8 février 2021, d’appeler les médias pour faire une déclaration, en direct sur les chaînes de télévision, pour se prononcer sur cette affaire. L’exercice se révéla un exemple parfait de ce qu’il ne fallait pas faire et constitue un catalogue de maladresses. Le mensonge (par omission ?) qui sera le plus remarqué est que Ousmane Sonko avait choisi de ne pas évoquer la question du prélèvement de sperme sur Adji Sarr, après un rapport sexuel (consenti ou forcé ?) alors que ce point était au centre des informations livrées par les médias. Ousmane Sonko montra une obsession de sa propre image. Dans son discours, il ne reconnut aucune faute, aucun tort. Tout était le fait du méchant Macky Sall et de ses partisans. Il n’y avait pas place à du regret, de la contrition ou du repentir, encore moins d’excuses pour ceux à qui il pourrait faire de la peine par son incartade d’avoir eu recours, plus d’une fois, aux prestations de «Sweet beauty». L’homme était apparu trop imbu de sa personne, narcissique, sans le moindre brin d’humilité. C’est ainsi qu’il fabriqua une histoire, à dormir debout, de massages thérapeutiques prodigués par les mains «expertes» des filles de «Sweet beauty». La ficelle s’est révélée si grosse que, plus jamais dans leurs arguments de défense, l’alibi du massage thérapeutique n’a été repris par les partisans de Ousmane Sonko. Ce même Ousmane Sonko a forcé sur sa grande morale religieuse jusqu’à dire avoir préalablement cherché et obtenu la validation de la licéité en islam des massages par d’autres femmes. Peut-être que l’aveu d’une attitude déplacée aurait valu au Pastef de perdre quelques voix qui étaient séduites par l’idée qu’elles se faisaient de Ousmane Sonko d’être un parfait musulman rigoriste. Seulement, à l’opposé, il serait un banal tartuffe qui aurait peut être gagné de nombreuses autres voix de jeunes dames qui percevraient ainsi Ousmane Sonko comme un homme ordinaire, capable de pécher et qui pourraient trouver qu’il y aurait encore de la place, dans son joli cœur, pour deux autres épouses. Ainsi, aurait-il gagné au change ? A tout le moins, il lui serait loisible de demander à celui qui n’a jamais péché de lui jeter la première pierre. Sa défense aurait été plus commode et le dossier du viol aurait pu se dégonfler plus facilement. La bataille de l’opinion publique serait encore plus aisée pour l’opposant Ousmane Sonko. Au demeurant, Adji Sarr ne peut même pas espérer un brin d’empathie de la part des organisations féministes ou humanitaires. Elle se fait même flageller. Par contre, si les accusations étaient portées contre un proche de Macky Sall, l’hallali serait sonnée contre le mis en cause. En effet, on a coutume d’observer au Sénégal que les opposants sont innocents de tout.

La connerie de trop : l’appel à ses partisans de donner leur vie pour le sauver

Ousmane Sonko, qui manquait de sérénité lors de sa déclaration à la presse, n’a pas trouvé plus intelligent que d’appeler ouvertement ses partisans à l’insurrection. Pour sauver leur leader d’un ignoble complot organisé par le régime de Macky Sall, Ousmane Sonko les a exhortés «à aller au-delà de la bataille dans les réseaux sociaux et de descendre dans la rue, quitte à y laisser leur vie». Ces appels répétés étaient sans équivoque et ont été immédiatement suivis d’effets. Quelques hordes de militants ont saccagé des biens publics et privés et ont mis le feu à des installations, des commerces, des domiciles habités et des véhicules. Pour d’aussi graves actes criminels, une enquête judiciaire est ouverte et des dizaines de personnes incarcérées. On ne peut s’imaginer que l’incitateur de telles violences puisse être épargné par le glaive de la justice. Aux Etats-Unis d’Amérique, le Président Donald Trump, qui avait chauffé à blanc ses partisans pour aller à l’assaut du Capitole, n’a pu échapper à la prison, comme du reste les auteurs des actes de vandalisme, que simplement parce qu’il était protégé par son statut de Président des Etats-Unis, au moment des faits ; ce qui lui confère une irresponsabilité pénale. N’empêche, les institutions américaines qui se sont senties humiliées et agressées ont, vaille que vaille, cherché à lui faire payer son forfait. Il appartiendra aux juges de situer les responsabilités des uns et autres sur l’accusation de viol portée contre Ousmane Sonko et son niveau de responsabilité dans les casses menées par ses partisans à travers les rues.

Le ‘’Daaka’’ de Médina Gounass reporté

La Retraite spirituelle de Médina Gounass, dans la région de Kolda, initialement prévue du 27 février au 8 mars, a été reportée au 22 mai, à cause de la pandémie de Covid-19, a appris l’APS.

L’annonce a été faite dimanche à Dakar par le porte-parole du Khalife de Médina Gounass, Thierno Ahmadou Tidiane Bâ.

Le ‘’Daaka’’ est une retraite spirituelle organisée chaque année dans la cité religieuse de Médina Gounass (département de Vélingara).

L’évènement célébré depuis 1942 est marqué par les séances de prière et de lecture du Coran.

CASAMANCE : L’ARMÉE MET LA MAIN SUR DES DOCUMENTS «TOP SECRET» DU MFDC

Le démantèlement de bases rebelles dans le Sud de la région de Ziguinchor n’a pas encore fini de livrer tous ses secrets. Dans son offensive, rapporte Sud Quotidien dans sa parution du jour, l’armée a mis la main sur une pile de documents secrets appartenant au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC).

Surpris par l’offensive militaire, les bandes armées ont tenté de détruire une mallette et un sac contenant des documents récupérés par l’armée nationale dans un puits. Des documents compromettants, très rapidement extraits par les militaires, qui renseignent sur les accointances avec les rebelles et risquent de faire tomber des masques.

«Tous les combattants sont priés de rejoindre leurs bases. Aucun congé ne sera accordé», peut-on lire sur un des nombreux documents saisis par l’armée dans les bases rebelles de Badiong et Sikoun démantelées il y a quelques jours. Certains de leurs messages retraçaient certes le déroulement d’une opération militaire, mais la date restait la grande inconnue.

Ces documents contiennent des informations explosives sur les agissements du MFDC et ses connexions extérieures. Et, comme si cela ne suffisait pas, une source du journal révèle que des noms de certaines autorités figurent dans ces petits papiers des rebelles.
Un décryptage de ces informations permettra, sans doute, aux autorités militaires d’être mieux édifiées sur les ramifications internes et externes du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC) dans cette guerre vieille de plusieurs décennies.

SERIGNE CHEIKHOUNA MBACKÉ : “Nul n’a le droit de dire au Khalife ce qu’il doit faire… Si on veut éviter à ce pays une catastrophe…”

Serigne Cheikhouna Mbacké Sam Ndoulo aura choisi d’y aller franco. Câblant Dakaractu-Touba, le Mbacké-Mbacké a, très vite, fait une mise au point en direction des gens qui se hasardent à prodiguer des conseils  ou indiquer des conduites à tenir au Khalife Général des Mourides.
Cela faisant suite aux sorties de certaines personnes sollicitant du Patriarche de Darou Miname qu’il modifie son entourage. Visiblement écœuré par ces attitudes, le chef religieux de Ndoulo ne se fera pas prier pour marteler que l’affaire “Sweet Beauté” ne saurait en rien intéresser le saint homme.

Dans le même ordre d’idées,  il précisera que ces remous qui défraient la chronique ne sont que l’œuvre de Satan et que le président de la République gagnerait à consentir des sacrifices pour permettre au Sénégal de conserver la paix…

Décès de Serigne Mansour Niass: La date de l’inhumation connue

Rappelé à Dieu dans la nuit du dimanche à lundi, Serigne Mansour Niass sera inhumé , ce mardi 16 Févier 2021 à 17 heures au cimetière de Médina Baye, à côté de son père, Serigne Mamoune Ibrahim Niass. Ce, après la levée du corps prévue dans la matinée du mardi à l’hôpital Principal de Dakar.
Fils aînée feu Serigne Mamour Ibrahima Niass, il était le premier Serviteur du parti Rassemblement pour le peuple (RP). Serigne Mansour Niass était également le patron de presse du groupe Almadina.

La Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala nommée directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce

Son nom était attendu : la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala a été nommée à la tête de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), lundi 15 février, faisant d’elle la première femme et première Africaine à la tête de l’institution.

« Les membres de l’OMC viennent d’accepter de nommer la Dr Ngozi Okonjo-Iweala comme prochain directeur général de l’OMC. La décision a été prise par consensus lors d’une réunion spéciale du Conseil général de l’organisation aujourd’hui », a annoncé l’OMC, une quinzaine de minutes après l’ouverture de la réunion.

Économiste chevronnée, Ngozi Okonjo-Iweala, 66 ans, est une des femmes les plus puissantes du Nigeria. Deux fois ministre des finances et cheffe de la diplomatie du Nigeria durant deux mois, Mme Okonjo-Iweala a commencé sa carrière à la Banque mondiale en 1982, où elle a travaillé pendant 25 ans. En 2012, elle avait échoué à devenir la présidente de cette institution financière, face à l’Américano-coréen Jim Yong Kim.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention