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Cheikh Bara Doly Mbacké à ses collègues députés : “On ne peut lever l’immunité de Sonko si c’est une plainte contre X”

La question a été posée aux députés membres de la commission ad hoc chargée de statuer sur la levée de l’immunité parlementaire du député Ousmane Sonko. Mais la question est restée sans réponse, selon le député président du groupe parlementaire “Liberté et démocratie “, qui estime qu’ “on ne peut lever l’immunité de Sonko si c’est une plainte contre X”.

Thierno Bocoum sur la levée de l’immunité parlementaire : « c’est uniquement réservé à la plénière de l’Assemblée »

Le leader du mouvement Agir, Thierno Bocoum, considère que la démarche adoptée par l’Assemblée nationale pour lever l’immunité parlementaire d’Ousmane Sonko n’est pas conforme à la loi. En premier ressort, il juge inconcevable le fait que le bureau de l’Assemblée ait « délibéré sur la levée ou non d’une immunité parlementaire » parce que « cet attribut est uniquement réservé à la plénière de l’Assemblée ».
Thierno Bocoum pense que le Bureau s’est permis d’adapter une modification en France de la même loi dans le contexte sénégalais. Chose qui est selon lui « une faute grave de la part du Bureau de l’Assemblée Nationale ».
Autre défaillance notée par le politique, c’est la « saisine de la commission des lois pour mettre en place une commission ad hoc ». Thierno Bocoum indique, en citant l’article 34 du règlement intérieur, qu’en réalité, « une commission ne peut en aucune manière mettre en place une autre commission ». En outre, les membres de ladite commission doivent être choisis par l’Assemblée nationale suivant les dispositions de l’article 34.
Poursuivant, Thierno Bocoum revient, en citant l’article 52, sur la démarche décrite par la loi s’agissant de la levée de l’immunité parlementaire d’un député et précise que dans cette affaire ce sont les législateurs qui violent la loi.

“Je suis la fille d’un pédocriminel, d’un monstre”: Audrey Pulvar brise le silence

Audrey Pulvar, adjointe à la mairie de Paris et candidate aux régionales en Île-de-France, a réagi ce matin aux accusations de pédophilie dont fait l’objet son père, décédé en 2008. Marc Pulvar, grande figure du syndicalisme martiniquais, est accusé d’avoir été un “pédocriminel” par trois femmes de sa famille qui ont expliqué, dans une tribune, vouloir mettre un terme à l’”héroïsation du personnage”.
Ce lundi matin, l’ex-chroniqueuse de l’émission On n’est pas couché, était l’invitée de la matinale de France Inter. Elle a brisé le silence et est revenue sur cette période douloureuse de son enfance.
 
“Évidemment, c’est quelque chose qui est très difficile. Je suis là en tant que moi, et en tant que fille d’un pédocriminel, d’un monstre au sens actuel du mot. Quand vous êtes la fille d’un monstre, forcément vous vous demandez si vous êtes un monstre vous-même”, a-t-elle déclaré, très émue. Et de poursuivre: “C’est un processus presque automatique. Les choses sont un peu moins simples qu’elles n’y paraissent, et je ne suis pas là non plus pour répondre à mes détracteurs, dont je n‘ai pas grand-chose à faire sur ce sujet”.
 
L’ex-compagne d’Arnaud Montebourg a également évoqué des réminiscences de son enfance, à l’époque où les faits avaient eu lieu.
 
“Depuis 45 ans, je sais qu’il s’est passé des choses confusément, c’est à dire que quand j’avais 5 ans, 6 ans, 7 ans – j’étais donc très petite – il s’est passé des choses dont je sentais qu’elles n’étaient pas normales. (…) Je passais les vacances d’été avec mes cousines, sous la garde de mon père. Je sentais qu’il y avait un climat que je ne comprenais pas, mais je ne savais pas ce que c’était”, raconte-t-elle, émue et meurtrie.
 
Et de poursuivre: “Un jour, ma cousine Barbara, m’a dit après une dispute – dans ma mémoire elle avait 7 ans: “Oh, ton père m’a sa main dans ma culotte. Ca m’avait tétanisé. Après, ces souvenirs-là ont été cadenassés dans mon cerveau pendant 25 ans en revenant par flash, celui-là comme d’autres, sans que je sache ce que c’était. Ça prend du temps, vous savez. (…) Les victimes ont mis 25 ans à parler”. (…) Non, il ne m’a pas venu à l’idée de le dénoncer. Je ne savais pas que je savais. Ce n’est pas quelque chose qui est devant vous et que vous identifiez. Il faut du temps pour pouvoir se dire qu’on a vécu ces choses-là”.
 
Une plainte avait été déposée en 2002 par les cousines d’Audrey Pulvar, âgées d’une trentaine d’années à l’époque, mais les faits, survenus 25 ans plus tôt, étaient prescrits. Ses cousines en avaient à leurs parents et à la mère d’Audrey Pulvar. “Je les ai crues parce que je suis toujours du côté des victimes, de celles et ceux qui dénoncent ce type de crimes”, a-t-elle encore expliqué. 

Harry et Meghan annoncent l’arrivée d’un deuxième enfant

Meghan Markle est enceinte de son deuxième enfant avec le prince Harry, a annoncé dimanche soir le porte-parole du couple aux médias britanniques.
“Nous pouvons confirmer qu’Archie” le premier fils du Duc et la Duchesse de Sussex, né en mais 2019, “va être grand frère”, a déclaré le porte-parole du couple, qui s’est mis en retrait de la couronne britannique. “Le Duc et la Duchesse de Sussex sont fous de joie d’attendre leur deuxième enfant”, a-t-il ajouté. Meghan Markle avait révélé en novembre avoir fait une fausse-couche l’été dernier.
Le couple a publié une photo en noir et blanc les montrant tout sourire au pied d’un arbre, Meghan posant sa main sur son ventre rond.
La nouvelle intervient quelques jours après que Meghan Markle, 39 ans, a gagné son procès contre le tabloïd britannique Daily Mail au sujet de la publication d’une lettre qu’elle avait adressée à son père, avec qui elle est brouillée.
 
Contrats avec des plateformes de contenus, dont Netflix
Le prince Harry, 36 ans, sixième dans l’ordre de succession à la couronne britannique, a dénoncé à de multiples reprises la pression des médias sur son couple et en a fait la raison principale de sa mise en retrait de la famille royale, effective depuis avril 2020.
 
Depuis leur installation en Californie, justifiée aussi par leur désir d’indépendance financière, Meghan Markle et son mari ont conclu plusieurs contrats avec des plateformes de contenus, dont Netflix.
 
Des critiques leur ont reproché de chercher à tirer profit de leur appartenance à la famille royale et de leur célébrité tout en refusant d’en assumer les aspects protocolaires. Le couple a lui mis en avant sa volonté d’œuvrer pour des causes humanitaires via une nouvelle fondation.

Shy’m dévoile un étonnant cliché du père de son fils

La chanteuse Shy’m a fait une jolie déclaration à son compagnon sur Instagram dimanche à l’occasion de la Saint-Valentin.
“Pour vivre heureux, vivons cachés”. Si Shy’m refuse toujours de dévoiler l’identité de l’homme qui partage sa vie, elle a fait une petite entorse à ses habitudes en partageant un cliché de lui sur son compte Instagram pour la Saint-Valentin.
Sur la photo, en noir et blanc, on peut la voir sourire à son compagnon, de dos, qui arbore une coupe de cheveux approximative.
 
“Pas seulement parce que tu me laisses te couper les cheveux… Pas seulement parce que tu me laisses me moquer des heures ensuite… Pas seulement parce que notre fils. Pas seulement…”, a-t-elle écrit en légende.

Après le Coronavirus, Ebola à nos portes

Hier, les autorités sanitaires guinéennes ont alerté sur la résurgence de la maladie d’Ebola avec la mort déjà, de quatre personnes. La maladie s’est signalée dans la région de Nzérékoré (sud-est), précisent le Ministre de la santé du pays Rémy Lamah et le responsable de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire (ANSS), le Dr Sakoba Keïta.

De son côté, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été « informée de deux cas possibles d’Ebola en Guinée-Conakry ». Un « dépistage de confirmation est en cours », a ajouté sur Twitter le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus que reprend Jeunafrique.com.

Pourtant, depuis le 7 févier dernier, la République démocratique du Congo (RDC) a alerté sur des cas d’Ebola sur son territoire. Une équipe de l’OMS s’apprête d’ailleurs à lancer une campagne de vaccination dans ce pays.

Ebola est apparu dans ce pays qui s’appelait alors Zaïre en 1976 et est réapparu plusieurs fois y compris en 2020.

Entre 2013 et 2016, il avait atteint une dizaine de pays dont les Etats-Unis et avaient fait 11.300 morts dont les 2500 en Guinée.

Il existe deux vaccins expérimentaux pour ce virus mais il n’y a, pour le moment, aucun traitement.
Le Sénégal, qui est un voisin de la Guinée, avait, à son temps, pris les dispositions qui s’imposent pour ne pas subir l’épidémie qui était en cours chez Alpha Condé.

Le pays est a été épargné malgré quelques frictions diplomatiques qui ont été enregistrées avec nos voisins.

Aujourd’hui, il urge de rester vigilants du fait justement du dynamisme des relations sociales entre les communautés sénégalaises et guinéennes et les déplacements incessants de part et d’autre de la frontière.

Dans ce contexte de pandémie à coronavirus avec l’augmentation des cas de contamination et des cas de décès, il serait dommage de devoir faire face à cette épidémie d’Ebola, qui sévit déjà chez nos voisins même si les premiers cas sont enregistrés au sud de la Guinée.

Toutes les mesures médicales et de santé publiques devront être mises en branle par souci de précaution afin d’éviter que cette maladie n’entre et ne se propage dans notre pays.

Rappelons d’ailleurs, qu’Ebola se manifeste par une forte  fièvre brutale, des maux de tête, des vomissements et diarrhées et qu’elle est mortelle.

Il est à redouter ses effets dévastateurs au moment où tous les systèmes de santé sont rudement mis à l’épreuve par la Covid-19 qui sévit depuis un an et qui beaucoup de victimes.

Etant moins mortelle que le Coronavirus, Ebola n’en reste pas moins dangereuse et mériterait une attention particulière de la part de nos autorités sanitaires et des populations.

Comme tous les virus, il se propage grâce à la transmission animaux/hommes, mais aussi entre les hommes du fait des rassemblements incessants.

Sur le site de l’Oms, il est mentionné que  « La plupart des cas surviennent à la suite de la transmission interhumaine qui se produit lorsque du sang, des liquides biologiques ou des sécrétions (selles, urine, salive, sperme) de sujets infectés pénètrent dans l’organisme d’une personne saine par l’intermédiaire d’une lésion cutanée ou des muqueuses ».

D’ailleurs, en Guinée, c’est lors de l’enterrement de l’infirmière atteinte le 1 er février dernier que huit autres personnes ont présenté des signes de la maladie.

Il faudra envisager malheureusement la fermeture des cas avec la Guinée si les cas s’aggravaient et travailler à plus de respect des mesures barrières dans notre pays.

Djiddah Thiaroye Kaw: Un faux agent du Service d’hygiène arrêté

Le Commissariat d’arrondissement de Thiaroye a mis fin aux agissements d’un faux agent du Service d’hygiène qui écumait les quartiers Sant Yalla et environs de la Commune de Djiddah Thiaroye Kaw. Selon des sources , les faits se sont produits hier vers 15 heures.

C’est un boutiquier du nom d’Ahmed qui reçoit la visite inopinée d’un jeune homme d’une forte corpulence. Le quidam demande alors au jeune boutiquier, en l’absence du propriétaire des lieux, de lui vendre du pain. Mais le jeune boutiquier fait comprendre à son client qui n’est rien d’autre que le faux agent d’hygiène, qu’il n’y a que le pain ordinaire communément appelé « Tapa lapa », qui était disponible.

Sur ce, il sort une carte d’identité floquée aux couleurs nationales pour dire au boutiquier qu’il était employé au Service national d’hygiène. Par la suite, le faux agent, dans son euphorie, prend au collet le jeune boutiquier Ahmed, pour lui dire qu’il était en infraction pour avoir osé vendre illégalement du pain dans son commerce.

Pis encore, il exhibe un couteau pour le sommer de sortir. Paniqué et dépassé par la tournure des évènements, le jeune boutiquer lance des cris de détresse. Les riverains alertés volent à sa rescousse. Voyant que les carottes étaient cuites, le malfrat tente alors de prendre la tangente.

Ce qui ne sera que de courte durée. Puisque les populations vont très vite l’appréhender, pour ensuite, lui faire passer un sale temps avant de le livrer à la Police de Thiaroye, qui l’a placé par la suite en garde-à-vue. Au finish, le faux agent d’hygiène L. D., âgé de 32 ans, a été déféré au parquet, pour usurpation de fonction, tentative de vol avec violence et usage d’arme blanche.

En promettant à de jeunes garçons de signer dans de grands clubs de foot : Ndongo Seck encaisse et écope 6 mois d’emprisonnement ferme

Jouer dans les clubs de football est le rêve de toute la nouvelle génération. Et les parents souhaitent que leurs garçons s’aventurent dans ce sport qui est un moyen d’enrichissement rapide. Raison pour laquelle, Ndongo Seck a décidé de faire fortune aux crochets de ces individus en leur promettant de les aider à matérialiser leur rêve. Il encaissait la fortune de jeunes débrouillards en leur faisant croire qu’il allait les intégrer dans des clubs de foot. Mais tout ceci n’est qu’un mirage. Parmi ses victimes, le vieux Babacar Sarr et Pape Mor Sylla. Ce sont ces derniers qui l’ont traduit en justice pour escroquerie.

Revenant sur les faits, Babacar Sarr a relaté le différend qui l’oppose au prévenu. Celui-ci s’est présenté à lui en tant qu’agent commercial de joueurs. Voulant envoyer son fils concrétiser ses rêves, il a payé les frais du voyage. Mais il n’a reçu que désillusion en contrepartie. «Il m’a dit qu’il pouvait amener mon fils en Belgique pour aller faire carrière dans le football. Il m’a promis qu’une fois là-bas, il va jouer en troisième division. Ainsi, je lui ai remis la somme de 1 300 090 francs. Pour mieux huiler sa machination, il envoyait, chaque jour, à mon fils des photos qui montraient des joueurs sur des terrains de foot», raconte le père désespéré.

Pape Mor Sylla, partie civile : «il m’a amené à Singapour. Mais, arrivé là-bas, la personne avec qui il m’avait mis en rapport était injoignable. Finalement, j’ai été refoulé»

Contrairement au fils de Babacar Sarr qui n’est jamais monté dans un avion, l’autre plaignant Pape Mor Sylla a été conduit jusqu’au pays où il comptait faire une carrière de football. «Je voulais partir à Singapour et il m’a dit qu’il peut m’aider moyennant la somme de 2 millions de francs. Quand je lui ai remis l’argent, il a tout réglé jusqu’à ce que je me rende dans ce pays. Mais, arrivé là-bas, la personne avec qui il m’avait mis en rapport était injoignable. J’appelais le numéro, mais en vain. Finalement, j’ai été refoulé !», désole-t-il.

Pour justifier toutes ces accusations qui pèsent contre lui, Ndongo Seck a apporté des réponses légères, peu convaincantes. Âgé de 47 ans, le prévenu multirécidiviste s’est présenté à la barre comme commerçant international. Pour n’avoir pas honoré ses engagements vis-à-vis de Babacar Sylla, il invoque une absence de licence dans les Fédérations.

«J’ai des contacts dans le foot. Des fois, quand ils veulent des joueurs sénégalais, c’est moi qu’ils appellent. Ce qui a entravé le voyage du fils de Babacar vers la Belgique, c’est que les Fédérations ne disposent pas de licence à cause de la Covid-19. Alors que sans licence, il ne pouvait pas intégrer un club. Je leur avais dit d’attendre le 05 janvier», tente-t-il de s’expliquer.

Pour le cas de Pape Mor Sylla, il dira : «j’ai reçu son argent et j’ai acheté son billet d’avion en sa présence avec une partie de l’argent. Le reste de l’argent il devait le remettre au club. Le club m’a appelé le même jour pour me dire qu’il n’a pas vu Pape Mor Sylla. S’il a été refoulé, c’est peut-être parce qu’il ne disposait pas de test qui certifie qu’il n’est pas porteur de la Covid-19.»

Pour ce qui est du reste de l’argent, il déclare l’avoir dépensé dans les invitations et qu’il avait promis de les payer quand il sera sorti de prison. À la question du procureur de la République de savoir quelle structure l’a agréé pour qu’il prenne l’argent des gens, il répondra : «c’est juste que j’ai des connaissances. En plus, je suis agent d’une Académie.»

Pour Maître Soumaré, conseil de Pape Mor Sylla, il ne doute pas de sa bonne foi quant au remboursement. Mais ce qui les amène ici, c’est parce que ce que son client attendait de lui ne s’est pas réalisé. Pour toute cause de préjudice, il demande la somme de 2 500 000 francs. Babacar Sarr, lui, réclame juste l’argent qu’il lui avait donné, soit 1 300 090 francs.

Quant au représentant du Ministère public, il estime que le prévenu a abusé de la confiance des parties civiles et s’écarte de la loi pour ne pas respecter ses engagements. Il a tenté, dit-il, dans une mauvaise foi, de circonscrire dans un commerce qui, en réalité, n’existe pas. Des faits qui méritent d’être sanctionnés. Ainsi, il a demandé au Tribunal de le reconnaître coupable et de le condamner à 6 mois d’emprisonnement ferme.

L’avocat qui assurait la défense du prévenu a demandé une application bienveillante de la loi pénale. A l’issue des débats, le juge a déclaré Ndongo Seck coupable et l’a condamné à 6 mois d’emprisonnement assorti de sursis. Le Tribunal a reçu la constitution des parties civiles à leur allouer les dommages et intérêts réclamés.

Covid-19 au Sénégal : 6 nouveaux décès, 63 cas graves en réanimation et 268 nouveaux cas positifs

Le virus poursuit sa progression dans le pays. Ce lundi, le ministère de la Santé et de l’Action sociale a annoncé 268 nouvelles infections sur les 2056 prélèvements effectués, soit un taux de positivité de 13,04%. Il s’agit de 119 cas contacts suivis par les services sanitaires et de 149 cas issus de la transmission communautaire, répartis comme suit :

Mbour (16), Maristes (10), Keur-Massar (7), Parcelles-Assainies (7), Amitie-2 (5), Liberté-6 (5), Yeumbeul (5), Khombole (4), Rufisque (4), Tivaouane (4), Bene-Barack (3), Bene-Taly (3), Cambéréne (3), Grand-Yoff (3), HLM-Patte-d’oie (3), Richard Toll (3), Saint-Louis (3), Cité-Elisabeth (2), Dahra (2), Dakar-Plateau (2), Darou-Mousty (2), Dieuppeul (2), Kolda (2). Mamelles (2), Matam (2), Nord-Foire (2), Ouest-Foire (2), Pikine (2), Sicap-Baobab (2), Thiadiaye (2), Thiès (2), Birkilane (1), Cité-Aliou Sow (1), Cité-Fadia (1), Cité-Sococim (1), Cité-Soprim (1), Cité-Taco (1), Diakhaye (1), Diamniadio (1), Fith-Mith (1), Guédiawaye (1), HLM (1), Kaolack (1), Khar-Yala (1), Keur-Mbaye-Fall (1), Koungheul (1), Liberté-4 (1), Liberté-5 (1), Medina (1), Niary-Taly (1), Nioro (1), Ouakam (1), Passy (1), Petit-Mbao (1), Point-E (1), Pout (1), Sacré-Cœur (1), Scat-Urbam (1), Sicap-Foire (1), Thiaroye (1), Yoff (1), Zac-Mbao (1), Zone-A (1) et Zone-de-captage (1).

252 patients ont été testés négatifs et déclarés guéris. 63 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation. 6 nouveaux décès ont été enregistrés. A ce jour, le Sénégal compte 31 275 cas positifs dont 25 635 guéris, 754 décès et 4885 encore sous traitement.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention