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Déterminé à baptiser l’avenue Général De Gaulle du nom de Macky : Mary Teuw Niane brûle Mansour Faye

“Comment, à la fin de cette année 2020, penser un seul instant donner le nom d’un moment, d’une place, d’une rue, d’une avenue, d’un bâtiment, d’une école, d’une université, etc. à un Président de la République en exercice. Lorsque le Président de la République aura quitté le pouvoir, alors viendra, en toute indépendance, en toute honnêteté et avec le détachement qui sied, le moment de la grande évaluation, de la reconnaissance éternelle, des lauriers, des couronnes serties d’or, de son nom attribué à des infrastructures emblématiques du pays et surtout cet amour, à nul autre pareil, d’un peuple qui porte un Président dans son cœur. Ce cofeel (amour/sympathie) que chacun cherche et que Dieu n’attribue qu’à certaines personnes parmi nous”.

Covid- 19 : 28 nouveaux cas graves

Même si on a noté hier dans le communiqué du ministère de la Santé une baisse des cas positifs, avec 66 nouvelles contaminations, les cas graves ont augmenté. De 26 avant-hier, ils sont passés à 28 ce mardi, selon Diouf Sarr et ses services. Annonçant la guérison de 30 malades et le décès d’un patient lundi dernier, ils affirment que l’état de santé des autres patients hospitalisés est stable. Ainsi, dans le bilan du mardi 22 décembre, sur 953 tests réalisés, 66 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 6,93 pour cent. Les cas positifs sont composés de 22 cas contacts et 44 cas issus de la transmission communautaire. Les cas communautaires sont répartis comme suit : Dahra (4), Richard-Toll (4), Touba (4), Mbour (3), Saint-Louis (3), Dakar Plateau (2), Keur-Massar (2) Ouakam (2), Parcelles-Assainies (2), Almadies (1), Amitié-2 (1), Diourbel (1), Fatick (1) Gossas (1), Gueule-Tapee (1), HLM (1), Kaolack (1), Maristes (1), Matam (1), Mermoz (1). Ngor (1), Nord-Foire (1), Point-E (1), Rufisque (1), Yeumbeul (1), Yoff (1) et Zone-B (1). Khalifa Sall reçu par Hélène Tine Le leader de Taxawu Senegaal poursuit ses rencontres avec les différents responsables politiques de l’opposition. Khalifa Sall a rencontré l’ancienne député Hélène Tine. L’audience a eu lieu en présence du staff de Mme Tine, présidente du Mouvement pour la Sauvegarde de l’Ethique et la Transparence (MSET).

Les Piques

Tout savoir sur le meurtre de la Belge

Aux dernières nouvelles, la dame, soupçonnée d’être de mèche avec son mari, sera déférée au parquet au même titre que son époux.

Pour rappel, (d’après le communiqué   de la gendarmerie nationale) le  lundi 07 décembre 2020, le commandant de la Section de Recherches a reçu la visite d’un prêtre venu déclarer la disparition d’une belge nommée Josée Christiane Tilemans.
Dans sa déposition, il a entre autres, cité des noms de personnes prêtes à témoigner, notamment sur les relations heurtées que la disparue entretenait avec son conjoint, le nommé A. Sarr, alias Mame Gor. Le religieux a cité la dame Binetou comme étant celle qui a été appelée au secours par la disparue juste avant sa disparition. Interpellée, cette dernière confirme et soutient être venue à la maison de la disparue sans pouvoir entrer, puisque personne n’a ouvert la porte. Par ailleurs, elle aurait vainement tenté de joindre le mari de la dame. C’était le dimanche 04 octobre 2020. Depuis lors, plus personne n’a eu des nouvelles de la dame Josée Christiane Tilemans.

Exploitant les renseignements reçus directement ou téléphoniquement des uns et des autres, des investigations techniques ont été initiées. S’étant rendu compte d’une piste sérieuse menant vers le mari de la disparue, le commandant de la SR a saisi le procureur de la République près le TGI de Thiès qui lui a dit qu’une enquête était déjà ouverte par le commissariat de police. Ordre a alors été donné aux enquêteurs de la SR de geler les investigations puisque la police était déjà saisie de l’affaire. Près de  deux (02) semaines après, l’affaire a suscité une vive polémique par presse interposée. La dame Binetou à travers une vidéo qui a fait le tour de la toile s’est indignée de la disparition de celle qu’elle dépeint comme étant son amie, voire sa moitié, sans que personne ne puisse savoir comment cela est arrivé.

Parallèlement, le mari de la dame, principal suspect a répliqué dans une émission radio, évoquant des accusations sans fondement, allant même jusqu’à envisager de porter plainte contre ses accusateurs. Face à cette situation, le commandant de la SR a appelé le procureur de Thiès le vendredi 18 décembre pour lui demander l’autorisation de poser des actes dans le cadre de cette enquête qu’il a confiée au commissaire central de Thiès, ce qu’il a accepté. Le samedi 19 décembre 2020, une équipe d’enquêteurs de la SR a effectué un transport à Thiès pour y installer un PC d’enquête en vue de conduire les investigations relatives à l’affaire en question. À la Brigade de Recherches où ils se sont installés, les enquêteurs ont pris plusieurs auditions de témoins, avant de faire face au principal suspect, en l’occurrence le mari de la disparue. Du fait des multiples incohérences notées dans ses déclarations, notamment sur ses activités le jour de la disparition de sa femme, il a été placé en garde à vue d’abord pour les nécessités de l’enquête.

Le dimanche 20 décembre 2020 à 12 heures, son face à face avec les enquêteurs, au cours d’une seconde audition, a été déterminant. Confondu par le feu roulant des questions posées par les enquêteurs qui l’ont mis devant ses propres contradictions et ses déclarations incohérentes, il a fini par passer aux aveux pour soulager sa conscience. Éclatant en sanglots et déversant de chaudes larmes, il a fini par avouer son crime. Selon lui, c’est lors d’une dispute conjugale le 04 octobre 2020, qu’il a donné à son épouse, un coup de tête qui lui a été fatal. Pris de panique, il a clandestinement transporté le corps sans vie de Josée Christiane Tilemans, pour aller l’enterrer à lisière de Thiès, vers le village de Dakhar Mbaye.

Nanti de cette information, le commandant de la SR en a informé le procureur de la République de Thiès à qui il a demandé d’autoriser l’exhumation du corps. Le magistrat a donné son accord et a assisté personnellement à l’exhumation du corps sans vie de la victime qui était enterrée clandestinement dans des circonstances dramatiques, depuis le 04 octobre 2020 vers 14 heures, selon la version du mis en cause. Les restes mortels ont été déposés à l’hôpital Aristide Le Dantec dont le Directeur a été saisi d’une réquisition aux fins d’autopsie.

Sa co-épouse, première femme du présumé meurtrier, a été arrêtée.
Elle était au courant de la violente dispute conjugale entre la Belge et M. G. Sarr, avant d’aller rendre visite à ses parents à Mbour, sur demande expresse de son mari. Elle et son mari seront déférés, aujourd’hui, au niveau du procureur de la République.
Le quotidien Libération rapporte, pour sa part, que la première épouse du meurtrier a aidé son mari à mettre le corps sans vie de Josée Christiane dans le coffre de la voiture avant de nettoyer la scène du crime.

 

Puits de gaz à Ngadiaga : «Il est indigne de continuer à vivre une situation d’exploitation de nos ressources sans…», (Safiétou Diop)

L’histoire de Ngadiaga (Thiès) remet au goût du jour la responsabilité sociétale de l’entreprise (Rse). Dans cette zone, «on y exploite le gaz, alors que l’entreprise contractante n’a même pas daigné investir sur la santé de la population», selon la présidente du réseau Siggil Jigeen, Safiétou Diop.

«Il n’y a pas de poste de santé à Ngadiaga. Pour vous dire qu’il est indigne de continuer à vivre une situation d’exploitation de nos ressources sans pour autant que ces gens-là puissent contribuer au développement de cette localité, ne serait-ce que pour prendre en charge la question de la santé de ces populations», a-t-elle déclaré ce mardi 22 décembre à Saly (Mbour).

C’était en marge de l’Atelier de concertation, de sensibilisation et de consolidation du Plan d’action pour la mobilisation de ressources domestiques en faveur de la planification familiale (PF) au Sénégal, organisé par la Direction de la santé de la mère et de l’enfant (DSME) et l’Unfpa/Warco.

De plus, la présidente de la Coalition des organisations de la société civile sur le repositionnement de la planification familiale a affirmé : «Aujourd’hui, les populations de Ngadiaga et alentours, peut-être même le Sénégal, sont en train de vivre un grand risque. Alors que ces investisseurs ont peut-être sorti des milliards de F Cfa qu’ils ont renvoyés chez eux, laissant les citoyens à la merci des difficultés et au grand risque que cela peut produire.»

Raison pour laquelle Safiétou Diop est d’avis que l’Etat a l’obligation de réglementer la Rse. «Il doit exiger, en signant des contrats avec ces entreprises, de mettre une clause de respectabilité de la Rse et de surveiller ces engagements afin que cela soit une réalité sur la vie des populations. C’est le plus grand défi. Il faut que ceux qui exploitent nos ressources financent les questions sociales de ces communautés».

Podor : Une fille de 12 ans kidnappée à Ngaole sur le chemin de l’école

vers une destination inconnue devant ses camarades qui sont encore sous le choc.
Selon des informations recueillies sur place par Seneweb, il pourrait s’agir d’une pratique ancestrale peule dénommée “thiaynogol” qui était permis et qui consiste à enlever une fille mariée et dont le mariage n’est pas encore consommé dans le but de le consommer. De sources proches de la famille de M.D., il s’agit bien de cela car la fille dont les parents vivent en Mauritanie, est bien mariée mais attendait toujours son mari. La nouvelle qui s’est vite répandue dans la localité mobilise les autorités scolaires, la Scofi et la Cosydep qui sont à pied d’œuvre pour en savoir plus sur cette affaire qui remet au goût du jour certaines pratiques d’une autre époque.

Lutte contre le covid-19 : Quand le personnel de l’hôpital Maguette Lo travaille sans masques

Les autorités sanitaires de Linguère ont décidé de refuser l’accès au Centre de santé et à l’hôpital Maguette Lo à toute personne ne portant pas de masque.

Insuffisance de moyens

Aucune entrée sans une raison évidente de santé ne sera acceptée. Les personnels soignants sont inquiets de l’insuffisance des ressources humaines, matérielles pour la prise en charge efficace de la pandémie, informe Source A.

Ils fustigent les lacunes notées dans le respect du protocole sanitaire qui les exposent dans les structures de consultations d’urgence et de traitement, selon des informations dignes de foi. Les décès enregistrés ce week-end et la semaine dernière ne sont pas étrangers à l’inquiétude des blouses blanches, qui distillent en privé que les infos sur la situation épidémiologique sont loin de la réalité.

COVID-19 : 10 INFECTIONS ET 5 DÉCÈS À FATICK EN UNE SEMAINE LE PRÉFET PARLE

Le district sanitaire de Fatick a enregistré durant la semaine du 14 au 20 décembre 10 infections au covid-19 et 5 décès, a indiqué mardi le préfet du département de Fatick, Mamadou Khouma.

’’Sur la semaine du 14 au 20 décembre, globalement au niveau du district sanitaire de Fatick, on s’est retrouvé avec 10 nouvelles infections au covid-19. On a enregistré cinq décès au niveau du district de Fatick’’, a dit le préfet du département de Fatick dans un entretien accordé à des journalistes.


’’Cela veut dire que la maladie est là, la seconde vague est bien une réalité’’, a t-il ajouté.


Au niveau régional, il y a 34 cas patients malades pris en charge à domicile ou au Centre de traitement des épidémies (CTE) de Fatick, a t-il indiqué, soulignant que le district de Fatick a le plus grand nombre de cas.


’’Face à une telle situation alarmante, le Comité départemental de lutte contre les épidémies ne pouvait rester sans réagir’’, selon l’autorité administrative.


Il a salué le travail de la police dans le respect des gestes barrières et la sensibilisation menée par les imams et les médias.

OFNAC : UN MEMBRE ESPÈRE, ’’UN JOUR’’, LE SUIVI DES RAPPORTS REMIS À LA JUSTICE

Le vice-président de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC), Cheikh Tidiane Mara, espère que cette institution aura un jour la possibilité d’assurer le suivi des dossiers qu’elle remettra à la Justice.
’’Nous allons continuer à travailler de cette manière, c’est-à-dire remettre les dossiers après enquêtes au Procureur de la République et s’en arrêter là. Cependant, nous espérons un jour, au niveau de l’OFNAC, faire en sorte que les dossiers qui font l’objet d’une enquête soit suivis’’, a-t-il dit.
M. Mara, ancien procureur spécial auprès de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) répondait aux interpellations des élèves officiers de la gendarmerie lors de l’atelier d’information sur la corruption, organisé à l’Ecole nationale des officiers de la gendarmerie par l’OFNAC.
Cette rencontre entre dans le cadre de la quatrième édition de la quinzaine nationale de lutte contre la corruption débutée le 17 décembre.
’’Concernant les rapports, l’OFNAC est indépendante du Procureur de la République, comme ce dernier l’est aussi de notre organe. Une fois que nous remettons les dossiers, l’OFNAC est dessaisie et ne peut faire aucune pression sur le Procureur’’, a précisé le Vice-président.
Il a expliqué que dans d’autres pays, l’organe menant les enquêtes peut suivre les dossiers jusqu’à leur terme comme au Nigéria, au Sierra Léone ou encore au Kenya.
En Côte d’Ivoire, il existe ’’la cogestion’’ entre l’organe qui est en charge des enquêtes et les juridictions chargées de poursuivre les personnes citées, a-t-il relevé.
Le vice-président a également soulevé les ’’difficultés’’ auxquelles l’OFNAC fait face.
Il y a un manque de coopération entre l’OFNAC et la justice surtout sur le suivi des dossiers, ce qui crée, dit-il, ’’un problème d’impunité’’.
Pour sa part, la présidente de l’OFNAC, Seynabou Ndiaye Diakhaté, a soutenu que l’institution ’’ a un champ qui lui est délimité qu’elle ne peut pas dépasser’’.
’’On aurait voulu aller au-delà du fait de remettre juste des rapports. C’est comme un goût d’inachevé. A l’avenir, les textes pourront nous donner l’autorisation de suivre les dossiers que nous remettons au Procureur de la République’’, a dit l’ancienne doyenne des Juges.
Selon elle, cette rencontre est la troisième organisée par l’institution chargée de lutter contre la corruption, après les deux ateliers organisés à l’Ecole nationale d’administration (ENA) et au Centre de formation judiciaire (CFJ).
’’En 2016, une étude faite par l’OFNAC avait révélé l’existence de la corruption dans tous les secteurs d’activité tels que la Gendarmerie, la Police, la Justice’’, a-t-elle rappelé.
’’C’est pour cela que nous avons pensé, dans notre stratégie, qu’il fallait revenir ici discuter avec les élèves officiers en vue de parler avec eux des méfaits de la corruption et du rôle qu’ils doivent jouer pour combattre ce fléau’’, a-t-elle expliqué.
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