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Pour avoir dérobé l’iPhone de M. Sall : le vigile de Sen’Eau se tape un séjour en prison

Le jeune homme Mouhamed Sylla a été attrait à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, hier. Il répondait des faits de vol commis avec violence au préjudice de Marème Sall. Les faits se sont déroulés dans les locaux de la Sen’Eau de Rufisque où le gars officiait en tant que vigile. Ce jour-là, la plaignante était venue solliciter les services des agents de ladite société pour lui réparer son compteur qui ne cessait de couler. Une fois sur les lieux, elle assistait à une altercation entre le prévenu et un autre vigile. C’est ainsi que Mouhamed Fall s’est retourné vers elle lui disant de lui donner son téléphone. La jeune femme, submergée par la peur, s’est enfuie vers son véhicule. Le jeune homme l’a suivie et a pris de force son téléphone portable de marque iPhone, lui reprochant d’avoir filmé la bagarre. Le jeune homme s’est acharné sur la dame et a pris son téléphone.

Comme si ce n’était pas suffisant, il monte dans un bus, lui faisant croire qu’il se rendait à la Police afin que les vidéos soient supprimées. C’est ainsi que la femme a barré la route au bus pour crier au voleur. Ils se sont ensuite rendus ensemble à la Police pour régler leur problème. Le jeune garçon, suspecté d’avoir voulu dérober le téléphone, a été arrêté.

Devant la barre, Mouhamed Sylla, âgé seulement de 23 ans, a réfuté les faits. Comme à la Police, il a voulu faire croire au tribunal qu’il voulait que les vidéos soient effacées du téléphone de la dame. Mais le tribunal ne l’a pas cru. D’autant plus qu’il s’est montré très insolent et malpoli dans ses paroles et gestes. «Je suis parti à l’Agence de Sen’Eau Rufisque. J’ai confié mon sac à un autre agent pour aller prendre mon petit déjeuner. À mon retour, j’ai trouvé cette femme et l’agent me demandait le numéro du service. Je lui ai dit que je ne le connaissais pas. Ensuite, on a échangé des paroles et on a commencé à se bagarrer.  J’ai vu qu’elle était en train de me filmer. Je l’ai contrainte de supprimer la vidéo, mais elle a pris ses jambes à son cou», a-t-il relaté devant la barre. Selon lui, c’est la raison qui l’a poussé à s’emparer de force du téléphone de la dame.

Marème Sall, partie civile : «en me suivant, il avait l’intention de voler mon téléphone. Il m’a violentée. Il m’a serré la gorge et m’a tordu la main»

Marième Sall a contesté le récit du prévenu. À l’en croire, la bagarre n’était juste qu’une manigance pour lui soustraire son téléphone. «Il se battait avec l’autre gars. J’ai alerté les gens qui étaient là-bas. Du coup, il a commencé à s’en prendre à moi. Il m’a chargée d’insultes. Il était très violent. J’ai couru vers ma voiture et il m’a suivie. Il avait l’intention de voler mon téléphone. Il m’a violentée. Il m’a serré la gorge et a tordu ma main », s’est-elle plainte. Non sans traiter le prévenu de délinquant ambulant. Très volubile, elle poursuit : «au Commissariat, les policiers ont constaté qu’il n’y a aucun film dans le téléphone. Avant cela, il a voulu lui-même me remettre le téléphone en main propre».

Selon Me Baba Diop, avocat de la partie civile, si sa cliente a saisi la justice, c’est parce qu’elle craignait pour sa sécurité.  À titre de dommages et intérêts, elle réclame le franc symbolique.

Le Parquet, quant à lui, n’a pas raté le prévenu. Il a vivement déploré son impolitesse. Il a demandé qu’il soit condamné à 6 mois d’emprisonnement ferme.

Mais, de l’avis de l’avocat de la défense, son client n’avait aucune intention délictuelle en prenant le téléphone. Pour lui, il n’y a que le délit de voie de fait qui peut être reconnu contre le prévenu. La robe noire reconnaît que si son client est attrait devant la barre, c’est parce qu’il a commis une erreur. Ainsi, il a demandé à Mouhamed de présenter ses excuses à la plaignante. Ce qu’il a aussitôt fait.

Finalement, le Tribunal a reconnu Mouhamed coupable et l’a condamné à 2 ans dont 15 jours ferme.

Politique : L’opposition s’indigne après la présentation des trois auditeurs du fichier électoral

Les membres de la Commission politique du Dialogue national se sont réunis ce vendredi 5 février  pour se pencher sur la validation de la pré-sélection de l’expert en biométrie électorale qui vient de succéder à celui qui avait démissionné. En effet le  représentant du Cabinet Era a présenté, document à l’appui, les résultats du nouvel appel d’offre de l’expert en biométrie électorale, suite à la démission de celui qui avait été préalablement sélectionné.

Mise au courant de la présentation des trois experts chargés de l’audit du Fichier électoral à la Direction générale des élections, rapporte le journal, l’opposition présente au sein de la Commission politique du Dialogue national n’en est pas contente. Et a exigé du représentant du Cabinet ‘’Era’’ de prendre toutes les dispositions pour que les trois experts à Dakar arrêtent tout contact avec les acteurs, y compris l’Administration.

Vol de deux chèvres : M. Mbaye écope 6 mois

Mouhamadou Mbaye est poursuivi pour tentative de vol au préjudice de Djibril Dia. Mais au tribunal hier, le juge a requalifié le délit en vol simple. Emmitouflé dans un jezner de couleur vert folio, de forte corpulence, le prévenu a nié le vol. Selon lui, il n’a pas vu de chèvres dans son poulailler. Mais le juge lui a rétorqué qu’il a été pris la main dans le sac et que lors de son audition à la gendarmerie, il avait confié que les chèvres s’étaient introduites dans son poulailler à son insu. Mais le prévenu a campé sur sa décision malgré le rappel du magistrat. Pour le parquetier, les faits sont constants. Il a requis 2 ans de prison dont 3 mois ferme. Quant à la défense, elle estime qu’il n’existe aucun délit car les deux chèvres ont été restituées à leur propriétaire. Le juge qui a requalifié les faits en vol simple, a condamné Mouhamadou Mbaye à 6 mois assortis de sursis.

Effondrement à Khodaba: L’entrepreneur n’avait pas une autorisation de construire

L”effondrement d’un immeuble en construction à Khodaba, qui a fait cinq (5) morts et plusieurs blessés connaît de nouveaux développements. L’entrepreneur ne dispose d’aucun papier, encore moins d’une autorisation de construire, selon Libération. Il avait utilisé du « fer 6 » alors que pour un immeuble, il fallait au moins du « fer 14 » ou « 16 ».

Le patron de 3 MD Energy entendu, est rentré tranquillement chez lui.

Malgré la gravité des faits avec cinq (5) morts, aucun coupable n’a encore été désigné par les enquêteurs.

Réaménagement des horaires de cours : l’Institut Notre Dame déchire le circulaire de l’IA

L’institut notre Dame dit niet au réaménagement des horaires de cours. Une décision prise afin de freiner la propagation du coronavirus dans les écoles.

L’Inspection d’académie (IA) de Dakar a réaménagé les horaires à l’école élémentaire en suspendant les cours de l’après-midi. La circulaire, envoyée à toutes les écoles, évoque le contexte marqué par la pandémie à Covid-19.

Mais, l’Institution Notre Dame, pourtant infectée par plusieurs cas de Covid-19, a outrepassé la mesure défiant ainsi l’autorité de l’IA. Selon Les Échos, cette école refuse de se plier à cette décision pour ne pas perdre les revenus de sa cantine.

Levée de l’immunité parlementaire d’Ousmane Sonko : la procédure enclenchée

La section recherche de la gendarmerie de Colobane a bouclé son enquête préliminaire et transmis le dossier au procureur de la République. Une enquête menée sans l’audition du mis en cause, Ousmane Sonko. Le député qui a refusé de déférer à la convocation des enquêteurs en invoquant son immunité parlementaire. Selon nos confrères du quotidien le soleil, cette procédure de levée de l’immunité parlementaire du leader du pastef sera enclenchée dès aujourd’hui. Le ministre de la justice va saisir l’Assemblée nationale dans ce sens et celui-ci va convoquer le bureau de l’institution et les membres du bureau ont 48 heures pour se réunir. Si la requête est approuvée, une commission adoptée sera mise sur pied. Une commission composée de 11 membres composée de 8 députés de la majorité, 2 de l’opposition et 1 non aligné. Après quoi, le député Ousmane Sonko doit être entendu par la commission adoptée avant la tenue d’une plénière qui décidera de son sort.
Toute la procédure devrait durer pour tout et en tout huit jours à en croire le journal le Soleil dans sa livraison du jour.

Manifestations à Louga : Le domicile de Mamour Diallo incendié

Le domicile de l’ancien directeur des Domaines, Mamour Diallo, a été incendié par des manifestants. Selon LougaWeb, ces derniers seraient des partisans du leader du Pastef, Ousmane Sonko.

” C’est pendant que je m’étais momentanément absenté de la maison que les flammes ont jailli. Alerté de loin, j’ai rappliqué et appelé les Sapeurs-pompiers qui sont aussitôt venus faire leur travail”, soutient Thierno Mountaga Diallo, jeune frère du leader du mouvement Dolly-Macky.

Avant de poursuivre: “Nous allons porter plainte. Non seulement il y a eu des pertes matérielles non encore estimées, mais aussi et surtout nos vieux parents auraient pu y laisser leur vie si les voisins et forces de sécurité avaient manqué de promptitude dans leur travail. C’est ici le lieu, au nom de la famille, de les remercier tous”.

Ces manifestations, parties de Dakar ce matin, ont lieu à la suite d’accusations de viols  et menaces de mort contre Sonko par une masseuse de 20 ans environ. Convoqué à la Section de recherches, le député qui dénonce une cabale du régime de Macky Sall s’est prévalu de son immunité tout en appelant ses partisans à la résistance.

Soutien à Sonko : Manifestation devant l’ambassade du Sénégal en France

La Diaspora n’est pas en reste dans l’affaire Ousmane Sonko qui défraie la chronique. Plusieurs militants et sympathisants du Pastef se sont mobilisés devant l’Ambassade du Sénégal en France en scandant des slogans hostiles au régime de Macky Sall.
Ce, pour apporter leur soutien à Ousmane Sonko accusé de viols et menaces de mort par une masseuse. Adji Sarr, une jeune femme de 21 ans, employée au Salon Sweet Beauty.
Selon plusieurs médias, ces derniers veulent entrer de force dans l’ambassade pour se faire entendre.

Affaire Diary Sow : Du buzz compassionnel au bad buzz !

De retour au Sénégal au terme d’une « fugue », l’étudiante Diary Sow est confrontée au soupçon d’avoir ourdi un coup promotionnel autour de son prochain roman.

« Il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéienne. » Depuis son retour discret à Dakar, après une fugue entre France et Belgique qui aura suscité l’émoi des Sénégalais pendant près de trois semaines, Diary Sow médite-t-elle cette maxime inspirée du destin funeste du consul romain Marcus Manlius Capitolinus ?

Cinq ans après avoir reçu tous les honneurs pour avoir vaillamment défendu la colline du Capitole contre les Gaulois, celui-ci fut reconnu coupable de vouloir instaurer une tyrannie, puis précipité du haut de la roche Tarpéienne, située sur la même colline. Diary Sow a, elle aussi, connu une gloire éphémère avant de s’exposer à la vindicte de ceux qui l’avaient encensée. En guise de colline : médias et réseaux sociaux.

Lauréate en 2018 et 2019 du concours général, Diary Sow portait en sautoir le titre – officieux – de « meilleure élève du Sénégal » avant de quitter son pays pour le prestigieux lycée Louis-le-Grand, à Paris, où elle était scolarisée en deuxième année de classe prépa scientifique.

Entre-temps, à 20 ans à peine, elle s’est offert le luxe de publier un premier roman chez L’Harmattan, Sous le visage d’un ange. Parrainée par le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam, chargé par son père, malade à l’époque et depuis décédé, de veiller sur l’enfant prodige, elle a même été reçue en audience par le président Macky Sall.

Buzz et mobilisation

Promise à une brillante carrière, la jeune étudiante disparaît sans laisser de traces au lendemain du Nouvel An, après avoir passé un bref séjour à Toulouse durant les vacances. En quelques jours, sur les réseaux sociaux, les Sénégalais sonnent l’alerte. À Paris, la diaspora se mobilise, colle des affiches et distribue des flyers dans le quartier de Paris où elle logeait en cité universitaire.

D’El País au New York Times, en passant par les principaux titres francophones, les médias font écho à cette disparition mystérieuse pour laquelle l’ambassade du Sénégal à Paris, à l’instigation de la présidence, saisit le service de police français en charge des « disparitions inquiétantes ». Qu’est-il arrivé à Diary Sow ? Le buzz et la mobilisation ne cessent d’enfler.

Trois semaines plus tard, la brillante étudiante réapparaît virtuellement. Son parrain publie en effet sur son compte Twitter une lettre d’explications de sa filleule authentifiant que son départ était volontaire : « Ceux qui cherchent une explication rationnelle à mon acte seront déçus, puisqu’il n’en a aucune », résume-t-elle, avant de rentrer discrètement au pays en esquivant prudemment les médias.  “Les Sénégalais attendaient une réponse rationnelle à son départ”

Face à ce dénouement pourtant heureux, l’empathie de ses compatriotes cède alors la place à l’ironie, voire à l’indignation. « Pauvre gamine ! Il lui reste à affronter les regards et les langues. Dure, dure la chute des stars ! », commente, en privé, une personnalité politique sénégalaise qui s’était, parmi d’autres, mobilisée pour alerter les médias européens au moment de sa disparition. « Le ministre Serigne Mbaye Thiam aurait pu lui trouver une ‘jolie » excuse : excès de stress, coup de fatigue extrême, etc. Culturellement, il est difficile d’accepter qu’elle ait pu laisser sa  mère et sa famille souffrir juste parce qu’elle a ‘le droit de disparaître’. C’est une notion très occidentale », ajoute la même source.

« Les Sénégalais attendaient une réponse rationnelle à son départ. Par exemple, qu’elle avait fui avec son copain, analyse une jeune cheffe d’entreprise sénégalaise, féministe revendiquée, active sur les réseaux sociaux. Mais quand elle a réapparu sans fournir cette explication, ils se sont déchaînés. Le concept de choix individuel déconnecté de la communauté n’a pas cours au Sénégal. Ce bashing, c’est en quelque sorte la seule option pour trouver un réconfort face à cette attitude qui, chez nous, est incompréhensible. »

Dans son courrier, la jeune femme ne précise pas clairement si elle entend changer d’existence ou reprendre les études qu’elle avait entamées, évoquant un « répit salutaire dans [sa] vie », à laquelle elle « ne renonce pas » pour autant.

Un livre à point nommé

Mais au Sénégal comme dans la diaspora, l’affaire Diary Sow laisse un goût d’autant plus amer que la réapparition de la jeune femme se combine avec une opération de marketing éditorial jugée largement inopportune par la plupart de ses soutiens d’hier. Le 1er février, la jeune étudiante relançait en effet son compte Instagram en y postant un clip promotionnel – plutôt élaboré – de son prochain roman, que L’Harmattan entend publier sous peu. Il est vrai que dans les deux ouvrages de Diary Sow, la thématique de la fugue d’une jeune femme cherchant à échapper à sa condition est omniprésente.Sous des tonalités un peu bling-bling et sirupeuses, elle y alimente malgré elle les supputations de ses détracteurs, qui dénoncent sans prendre de gants un opportunisme mercantile hors de propos. « L’affaire Diary Sow n’était-elle donc qu’une vulgaire opération de promotion ? » s’interrogent désormais en chœur ses compatriotes.
à lire Affaire Diary Sow : « Le gouvernement sénégalais l’aidera à reprendre une vie normale »

« Elle ne nous doit rien ! pondère notre interlocutrice. Les Sénégalais doivent tirer des questionnements de cette histoire. Sommes-nous libres de faire nos propres choix une fois adultes, sans forcément rendre de comptes à notre famille ou à la communauté ? »

Pour l’heure, si ce n’est sa lettre d’explications à son parrain, amplement relayée sur les réseaux sociaux, Diary Sow garde pour elle l’alchimie, probablement complexe et intime, qui a présidé à cette fugue devenue affaire d’État(s).

Saura-t-elle en ressortir indemne, loin de la roche Tarpéienne ?

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