jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 2308

Effondrement à Khodaba: L’entrepreneur n’avait pas une autorisation de construire

L”effondrement d’un immeuble en construction à Khodaba, qui a fait cinq (5) morts et plusieurs blessés connaît de nouveaux développements. L’entrepreneur ne dispose d’aucun papier, encore moins d’une autorisation de construire, selon Libération. Il avait utilisé du « fer 6 » alors que pour un immeuble, il fallait au moins du « fer 14 » ou « 16 ».

Le patron de 3 MD Energy entendu, est rentré tranquillement chez lui.

Malgré la gravité des faits avec cinq (5) morts, aucun coupable n’a encore été désigné par les enquêteurs.

Réaménagement des horaires de cours : l’Institut Notre Dame déchire le circulaire de l’IA

L’institut notre Dame dit niet au réaménagement des horaires de cours. Une décision prise afin de freiner la propagation du coronavirus dans les écoles.

L’Inspection d’académie (IA) de Dakar a réaménagé les horaires à l’école élémentaire en suspendant les cours de l’après-midi. La circulaire, envoyée à toutes les écoles, évoque le contexte marqué par la pandémie à Covid-19.

Mais, l’Institution Notre Dame, pourtant infectée par plusieurs cas de Covid-19, a outrepassé la mesure défiant ainsi l’autorité de l’IA. Selon Les Échos, cette école refuse de se plier à cette décision pour ne pas perdre les revenus de sa cantine.

Levée de l’immunité parlementaire d’Ousmane Sonko : la procédure enclenchée

La section recherche de la gendarmerie de Colobane a bouclé son enquête préliminaire et transmis le dossier au procureur de la République. Une enquête menée sans l’audition du mis en cause, Ousmane Sonko. Le député qui a refusé de déférer à la convocation des enquêteurs en invoquant son immunité parlementaire. Selon nos confrères du quotidien le soleil, cette procédure de levée de l’immunité parlementaire du leader du pastef sera enclenchée dès aujourd’hui. Le ministre de la justice va saisir l’Assemblée nationale dans ce sens et celui-ci va convoquer le bureau de l’institution et les membres du bureau ont 48 heures pour se réunir. Si la requête est approuvée, une commission adoptée sera mise sur pied. Une commission composée de 11 membres composée de 8 députés de la majorité, 2 de l’opposition et 1 non aligné. Après quoi, le député Ousmane Sonko doit être entendu par la commission adoptée avant la tenue d’une plénière qui décidera de son sort.
Toute la procédure devrait durer pour tout et en tout huit jours à en croire le journal le Soleil dans sa livraison du jour.

Manifestations à Louga : Le domicile de Mamour Diallo incendié

Le domicile de l’ancien directeur des Domaines, Mamour Diallo, a été incendié par des manifestants. Selon LougaWeb, ces derniers seraient des partisans du leader du Pastef, Ousmane Sonko.

” C’est pendant que je m’étais momentanément absenté de la maison que les flammes ont jailli. Alerté de loin, j’ai rappliqué et appelé les Sapeurs-pompiers qui sont aussitôt venus faire leur travail”, soutient Thierno Mountaga Diallo, jeune frère du leader du mouvement Dolly-Macky.

Avant de poursuivre: “Nous allons porter plainte. Non seulement il y a eu des pertes matérielles non encore estimées, mais aussi et surtout nos vieux parents auraient pu y laisser leur vie si les voisins et forces de sécurité avaient manqué de promptitude dans leur travail. C’est ici le lieu, au nom de la famille, de les remercier tous”.

Ces manifestations, parties de Dakar ce matin, ont lieu à la suite d’accusations de viols  et menaces de mort contre Sonko par une masseuse de 20 ans environ. Convoqué à la Section de recherches, le député qui dénonce une cabale du régime de Macky Sall s’est prévalu de son immunité tout en appelant ses partisans à la résistance.

Soutien à Sonko : Manifestation devant l’ambassade du Sénégal en France

La Diaspora n’est pas en reste dans l’affaire Ousmane Sonko qui défraie la chronique. Plusieurs militants et sympathisants du Pastef se sont mobilisés devant l’Ambassade du Sénégal en France en scandant des slogans hostiles au régime de Macky Sall.
Ce, pour apporter leur soutien à Ousmane Sonko accusé de viols et menaces de mort par une masseuse. Adji Sarr, une jeune femme de 21 ans, employée au Salon Sweet Beauty.
Selon plusieurs médias, ces derniers veulent entrer de force dans l’ambassade pour se faire entendre.

Affaire Diary Sow : Du buzz compassionnel au bad buzz !

De retour au Sénégal au terme d’une « fugue », l’étudiante Diary Sow est confrontée au soupçon d’avoir ourdi un coup promotionnel autour de son prochain roman.

« Il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéienne. » Depuis son retour discret à Dakar, après une fugue entre France et Belgique qui aura suscité l’émoi des Sénégalais pendant près de trois semaines, Diary Sow médite-t-elle cette maxime inspirée du destin funeste du consul romain Marcus Manlius Capitolinus ?

Cinq ans après avoir reçu tous les honneurs pour avoir vaillamment défendu la colline du Capitole contre les Gaulois, celui-ci fut reconnu coupable de vouloir instaurer une tyrannie, puis précipité du haut de la roche Tarpéienne, située sur la même colline. Diary Sow a, elle aussi, connu une gloire éphémère avant de s’exposer à la vindicte de ceux qui l’avaient encensée. En guise de colline : médias et réseaux sociaux.

Lauréate en 2018 et 2019 du concours général, Diary Sow portait en sautoir le titre – officieux – de « meilleure élève du Sénégal » avant de quitter son pays pour le prestigieux lycée Louis-le-Grand, à Paris, où elle était scolarisée en deuxième année de classe prépa scientifique.

Entre-temps, à 20 ans à peine, elle s’est offert le luxe de publier un premier roman chez L’Harmattan, Sous le visage d’un ange. Parrainée par le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam, chargé par son père, malade à l’époque et depuis décédé, de veiller sur l’enfant prodige, elle a même été reçue en audience par le président Macky Sall.

Buzz et mobilisation

Promise à une brillante carrière, la jeune étudiante disparaît sans laisser de traces au lendemain du Nouvel An, après avoir passé un bref séjour à Toulouse durant les vacances. En quelques jours, sur les réseaux sociaux, les Sénégalais sonnent l’alerte. À Paris, la diaspora se mobilise, colle des affiches et distribue des flyers dans le quartier de Paris où elle logeait en cité universitaire.

D’El País au New York Times, en passant par les principaux titres francophones, les médias font écho à cette disparition mystérieuse pour laquelle l’ambassade du Sénégal à Paris, à l’instigation de la présidence, saisit le service de police français en charge des « disparitions inquiétantes ». Qu’est-il arrivé à Diary Sow ? Le buzz et la mobilisation ne cessent d’enfler.

Trois semaines plus tard, la brillante étudiante réapparaît virtuellement. Son parrain publie en effet sur son compte Twitter une lettre d’explications de sa filleule authentifiant que son départ était volontaire : « Ceux qui cherchent une explication rationnelle à mon acte seront déçus, puisqu’il n’en a aucune », résume-t-elle, avant de rentrer discrètement au pays en esquivant prudemment les médias.  “Les Sénégalais attendaient une réponse rationnelle à son départ”

Face à ce dénouement pourtant heureux, l’empathie de ses compatriotes cède alors la place à l’ironie, voire à l’indignation. « Pauvre gamine ! Il lui reste à affronter les regards et les langues. Dure, dure la chute des stars ! », commente, en privé, une personnalité politique sénégalaise qui s’était, parmi d’autres, mobilisée pour alerter les médias européens au moment de sa disparition. « Le ministre Serigne Mbaye Thiam aurait pu lui trouver une ‘jolie » excuse : excès de stress, coup de fatigue extrême, etc. Culturellement, il est difficile d’accepter qu’elle ait pu laisser sa  mère et sa famille souffrir juste parce qu’elle a ‘le droit de disparaître’. C’est une notion très occidentale », ajoute la même source.

« Les Sénégalais attendaient une réponse rationnelle à son départ. Par exemple, qu’elle avait fui avec son copain, analyse une jeune cheffe d’entreprise sénégalaise, féministe revendiquée, active sur les réseaux sociaux. Mais quand elle a réapparu sans fournir cette explication, ils se sont déchaînés. Le concept de choix individuel déconnecté de la communauté n’a pas cours au Sénégal. Ce bashing, c’est en quelque sorte la seule option pour trouver un réconfort face à cette attitude qui, chez nous, est incompréhensible. »

Dans son courrier, la jeune femme ne précise pas clairement si elle entend changer d’existence ou reprendre les études qu’elle avait entamées, évoquant un « répit salutaire dans [sa] vie », à laquelle elle « ne renonce pas » pour autant.

Un livre à point nommé

Mais au Sénégal comme dans la diaspora, l’affaire Diary Sow laisse un goût d’autant plus amer que la réapparition de la jeune femme se combine avec une opération de marketing éditorial jugée largement inopportune par la plupart de ses soutiens d’hier. Le 1er février, la jeune étudiante relançait en effet son compte Instagram en y postant un clip promotionnel – plutôt élaboré – de son prochain roman, que L’Harmattan entend publier sous peu. Il est vrai que dans les deux ouvrages de Diary Sow, la thématique de la fugue d’une jeune femme cherchant à échapper à sa condition est omniprésente.Sous des tonalités un peu bling-bling et sirupeuses, elle y alimente malgré elle les supputations de ses détracteurs, qui dénoncent sans prendre de gants un opportunisme mercantile hors de propos. « L’affaire Diary Sow n’était-elle donc qu’une vulgaire opération de promotion ? » s’interrogent désormais en chœur ses compatriotes.
à lire Affaire Diary Sow : « Le gouvernement sénégalais l’aidera à reprendre une vie normale »

« Elle ne nous doit rien ! pondère notre interlocutrice. Les Sénégalais doivent tirer des questionnements de cette histoire. Sommes-nous libres de faire nos propres choix une fois adultes, sans forcément rendre de comptes à notre famille ou à la communauté ? »

Pour l’heure, si ce n’est sa lettre d’explications à son parrain, amplement relayée sur les réseaux sociaux, Diary Sow garde pour elle l’alchimie, probablement complexe et intime, qui a présidé à cette fugue devenue affaire d’État(s).

Saura-t-elle en ressortir indemne, loin de la roche Tarpéienne ?

Manifestations: Ça chauffe à l’UCAD !

Affrontements entre les étudiants et les forces de sécurité ! Ça se passe actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar. Les soutiens du leader du Pastef se sont mobilisés pour manifester leur colère, suite aux accusations de viols répétitifs et de menaces de mort portées contre Ousmane Sonko.
Les agents de la police usent de lacrymogènes pour disperser les étudiants. C’est le sauve-qui-peut. La circulation est bloquée actuellement sur l’avenue Cheikh Anta Diop.

Images: L’homme qui a incendié les véhicules à la Cité Keur Gorgui arrêté par la BIP

L’homme qui jouait au pyromane lors de la manifestation des Patriotes est arrêté. En participant aux affrontements entre Patriotes et forces de l’ordre, l’homme, vêtu d’un haut rouge blanc et d’un pantalon rouge, détenait par dévers lui une bouteille avec laquelle il incendiait les véhicules des particuliers garés au quartier Cité Keur Gorgui.
Identifié, il vient d’être arrêté par les éléments de la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP) qui l’ont embarqué à bord de leur véhicule.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention