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Marché de réhabilitation du stade Demba Diop : Les choix de la Fsf contestés

L’un des soumissionnaires malheureux dénonce le non-respect des procédures de passation par la Fédé de foot. L’instance déclare n’être liée que par la règlementation de la Fifa.

Le marché de la réfection du stade Demba Diop de Dakar connaît quelques ratés. L’un des perdants, le groupe soumissionnaire Artech-Comete-Atlas, conteste la méthodologie utilisée pour évaluer les offres, et surtout ce qu’ils estiment être un manque de transparence dans l’annonce du groupe adjudicataire. Pour eux, et leur chef de file l’a fait savoir par lettre du 26 décembre 2020 adressée au président de la Fédération sénégalaise de football, il n’était pas normal que leur «offre financière ait été ouverte en (leur) absence». Surtout par le fait que, pour l’offre technique, lors de la présélection, le groupement avait été classé premier.

La Fédération sénégalaise de football (Fsf) avait lancé un Avis à manifestation d’intérêt en procédure d’urgence, pour la présélection d’architectes pour la réalisation de projets d’infrastructures, comprenant notamment, la réhabilitation et la modernisation du stade Demba Diop de Dakar, ainsi que de la première phase de construction du Centre d’hébergement fédéral, au Centre Jules F. Bocandé de Toubab Dialaw, et la conception du nouveau siège de la Fsf.

Tous ces projets sont financés, pour une large part, par la Fédération internationale de football association (Fifa), par le biais de son programme Forward, ainsi que par des fonds de la contrepartie sénégalaise.

Le Groupement Comete avait été retenu à la présélection pour le projet de réhabilitation et de modernisation de «Demba Diop», ayant même été classé en tête. Il faut dire que son offre technique avait été renforcée par le fait que l’un des partenaires du groupe est la société Comete qui, disent-ils, «a construit le stade El Menzah de Tunis», dont les Sénégalais connaissent bien les structures. C’est dire que les références sont on ne peut plus sérieuses.

Même s’il déclare pouvoir comprendre avoir été évincé au bénéfice d’un concurrent, le groupement déclare ne pas comprendre pourquoi ses représentants n’ont pas été appelés lors de la séance de dépouillement des offres. Leur courrier de recours a conduit le Secrétaire général de la Fsf à leur servir une réponse le 14 janvier 2021, où il leur est dit que le recours, gracieux ou autre «n’existe pas dans le Règlement de la consultation architecturale figurant dans le dossier (…). Il est aussi utile de rappeler que vous n’avez pas contesté, ni émis de réserve sur les dispositions dudit règlement tout au long de la procédure de passation». Le document ajoutera que «tous les actes de procédure que nous avons posés… sont conformes à la règlementation du programme de développement Fifa-Forward 2.0 dans lequel le projet du stade Demba Diop est inscrit».

Le signataire de la lettre constate que «les différentes observations formulées vont dans le sens de nous obliger à nous conformer aux dispositions du décret 2007-545 du 25 avril 2007 portant Code des marchés publics. Ce marché n’y est pas soumis». C’est ce dernier point qui est contesté par le requérant. Des spécialistes des marchés publics consultés par Le Quotidien, indiquent sur ce point que, du moment que la contrepartie sénégalaise provient de fonds publics, la Fédération de football pourrait difficilement se soustraire aux contraintes du Code des marchés publics.

Interpellé sur la question, le Secrétaire général de la Fsf, M. Victor Cisse a déclaré ne pas «comprendre pourquoi ces concurrents ont voulu saisir la presse sur cette question, alors que nous leur avions déjà répondu». Quant aux points des griefs de ces soumissionnaires, M. Cisse a affirmé n’avoir «rien de plus à ajouter à ce qui est dit dans la lettre».

Le groupe terroriste Gsim s’est implanté au Sénégal : Kaffrine, Tambacounda et Kédougou sous la la menace

Si on se refère au vingt-septième rapport de l’Équipe d’appui analytique et de surveillance des sanctions, présenté en application de la résolution 2368 (2017) concernant l’État islamique d’Iraq et du Levant (EIIL) (Daech), Al-Qaïda et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés, le Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans, a déjà ses éléments dans un autre pays frontalier du Mali, le Sénégal.

Le rapport renseigne que « des éléments du GSIM, soutenus par des influenceurs islamistes radicaux, se sont implantés au Sénégal, le long de la route de Kayes à Kaffrine, à Bakel, dans la réserve du Ferlo et dans la zone d’extraction aurifère de Saraya ».

Selon les experts de l’Onu, cette stratégie qui s’étend à au moins trois régions (Kaffrine, Tambacounda et Kédougou) peut être comparable aux actions déstabilisatrices de la Katiba Macina au Burkina Faso. « Des phénomènes comparables pourraient se produire dans les secteurs de Kayes, près de la frontière Mali-Sénégal , où le nombre d’attaques a doublé en 2020 et de Sikasso, près de la frontière avec la Côte d’Ivoire où les atteintes à la sécurité se multiplient, alimentées par l’instabilité au Burkina Faso », peut-on lire dans le rapport qui en partie confirme ce qu’on savait déjà des projets de la filiale d’Al Qaïda au Sahel dans l’extrême ouest malien.

Des sources mettaient en lumière comment la Katiba du Macina dirigée par le jihadiste peulh Amadou Kouffa coiffait un projet d’extension de l’idéologie salafiste jihadiste dans l’extrême ouest du Mali, avec sur le long terme, une infiltration du Sénégal.

« La menace ne peut venir que de ce côté», prévient une source sécuritaire. Il est utile de noter qu’un projet s’adosse sur l’exploitation des misères des populations parfois abandonnées à leur sort et dépourvus du minimum vital.

Cependant la manœuvre ne sera pas une partie de plaisir pour les jihadistes, car en face, il y a du répondant.

Côté sénégalais, la machine est mise en branle pour contenir cette menace qui devient de plus en plus évidente pour ne pas dire une réalité. Dans les zones aurifères du département de Saraya, les arrestations se sont multipliées ces derniers jours. Au mois de décembre, plusieurs dizaines d’individus de nationalité étrangère, en majorité des Burkinabé et des Maliens ont été appréhendés pour exploitation illicite de substance minérale et altération du domaine foncier. En outre, des opérations menées par la gendarmerie et des éléments des Eaux et Forêts ont permis de mettre la main sur des individus en conflit avec la loi sur l’exploitation des ressources forestières.

Du 20 au 28 novembre, le « Boundou » (département de Goudiry, dans la région de Tambacounda) est érigé Quartier général des forces de sécurité nationales pour des manœuvres baptisées « Falémé 2020», « en plus, le renforcement des capacités des unités participantes dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, vise à améliorer l’intégration des forces de défense et de sécurité (FDS) dans le cadre de la planification, du soutien, et de la conduite d’opérations asymétriques », renseigne un communiqué de la Direction de l’Information et des relations publiques des armées.

Autrement dit, ces manœuvres qui ont mobilisé, selon le journal Le Quotidien, 608 gendarmes, 2.505 militaires, 260 policiers, 67 sapeurs pompiers, 6 éléments des Parcs nationaux et 6 agents des eaux et forêts ont servi d’occasion aux fds sénégalaises pour se familiariser davantage avec le terrain. Pour le chef d’état-major des forces armées, le Général Birame Diop, il n’est pas possible d’attendre qu’une menace survienne pour découvrir le terrain. Le jour de clôture, une simulation de prise d’otages a été organisée par le Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) pour anticiper sur cette pratique bien connue des groupes jihadistes qui ont déstabilisé le Mali et une partie de ses voisins.

Des sources bien informées soufflent l’arrestation de personnes en lien avec le grand banditisme lors de ces opérations qui ont rassuré la population de l’extrême-Est du Sénégal. À juste titre, car ces dernières années se sont révélées très difficiles pour les communes aurifères de Sabodala, Khossanto et de Missirah Sirmanan où des coupeurs de route venus d’ailleurs sévissent en toute impunité.

Ce à quoi fait allusion le rapport du Conseil de sécurité des Nations Unies pourrait s’apparenter à l’installation de cellules dormantes chargées de poser les premiers jalons de ce qui devrait, dans l’avenir, déboucher sur des actions jihadistes. Une autre manière de faire des groupes armés terroristes liés à Al Qaïda qui appelle des réponses appropriées sur le terrain du renseignement où le Sénégal a des arguments à faire valoir.

En tout cas, voilà un grand défi pour le tout nouveau patron de la Délégation générale au renseignement national. Créée en 2014 et rattachée directement à la Présidence, la DNR chapeaute tous les services de renseignement du pays…

Affaire du bébé mort à la crèche de la “Cigogne Bleue” : Les parents de la victime vont enfin être entendus

L’affaire du bébé S. B. Dia âgé de 10 mois, décédé à la crèche “La Cigogne Bleue”, refait surface. Plus de deux (2) mois après les faits, la famille de la victime qui s’est constituée partie civile, sera entendue le 23 février prochain, par le juge du 8ème cabinet du tribunal de Dakar.

Le père de la victime, Magor Dia, a salué la décision avant de déplorer les lenteurs dans le dossier. « Il y avait une information judiciaire qui avait été ouverte par rapport à l’affaire. Les interrogatoires vont commencer le 23 février. C’est une bonne chose malgré que ça ait pris un peu temps. Je pense que c’est un pas vers la manifestation de la vérité »

Devant se rendre en France et au Qatar pour voir Karim : L’avion de Me Wade bloqué à Dakar

Depuis deux ans, il n’a pas vu son fils Karim Wade exilé à Doha. En effet, Me Abdoulaye Wade avait déjà affrété un avion pour le trajet. Selon le quotidien sénégalais “La Tribune”, l’intervention de Macky Sall  a été sollicité pour une intervention auprès des autorités françaises.  Toute entrée en France et toute sortie de France à destination ou en provenance d’un pays extérieur à l’Union européenne est interdite, sauf motif impérieux, depuis dimanche 31 janvier passé. Pour lutter contre la propagation des variants du Covid-19 en France et éviter un troisième confinement, les voyages depuis ou vers un pays situé en dehors de l’espace européen sont interdits sauf pour “motifs impérieux” familiaux, professionnels ou de santé.

La liste complète des motifs impérieux a été publié par le ministère de l’Intérieur et figure sur les attestations de déplacement devant être fournies, à l’entrée comme à la sortie du territoire.

Parmi ces motifs, on retrouve le décès d’un membre de la famille en ligne directe, la garde d’enfants par le parent investi de l’autorité parentale ou encore une urgence médicale vitale.

Ces restrictions s’appliquent également aux territoires d’Outre-mer, une décision justifiée par “la fragilité des systèmes sanitaires”, selon le ministre des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, interrogé sur Europe 1.

Concrètement, les Français doivent désormais se munir d’un test PCR négatif et d’un justificatif pour quitter l’espace européen – qui comprend les pays de l’UE mais aussi l’Islande, la Norvège, la Suisse, Andorre, le Liechtenstein ou encore Monaco.

Abdoulaye Wade, ne pourra donc pas contourner ces restrictions même s’il bénéficie de son statut d’ancien président de la République du Sénégal.

Covid: 07 décès et 297 nouveaux cas positifs ce lundi

’’Sur 2361 tests réalisés, 297 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 12,58%’’, a annoncé le ministère de la Santé dans son bulletin quotidien sur l’évolution de la pandémie.

Ces nouvelles contaminations sont constituées de 100 contacts suivis et de 197 cas issus de la transmission communautaire recensés à Dakar et dans d’autres endroits du pays.

Sept (07) décès ont été enregistrés, dimanche, a indiqué le ministère.

Il a rapporté que 295 patients ont été par ailleurs contrôlés négatifs et déclarés guéris alors que 58 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.

Les patriotes menacent de brûler les maisons des personnalités

L’affaire Ousmane Sonko est en train de susciter une vive tension dans les réseaux sociaux et dans les groupes affiliés au leader des Pastef. Les supporters de Sonko sont en train d’affiner leur stratégie pour installer la peur dans le camp du pouvoir. Certains se sont ont donné rendez-vous au domicile de leur leader pour lui servir de bouclier contre les pandores au cas où ils viendraient le cueillir. D’autres en revanche proposent simplement qu’ils mettent le feu sur les maisons du procureur Serigne Bassirou Guèye, du haut commandant de la gendarmerie et tout autre haut responsable du pouvoir. Un manière de répondre à l’appel à l’insurrection à peine voilée lancé par Ousmane Sonko hier lors sa déclaration.

Ce que l’on sait sur la fille de 3 ans et son frère de 2 mois brûlés vifs

Deux enfants, plus précisément une fille de 3 ans et son frère de 2 mois, ont été tués dans un incendie. Selon L’Observateur qui donne la nouvelle, le feu s’est déclaré, nuitamment, dans la concession familiale sise au quartier Terme Nord de Yoff.

Les faits remontent au 5er février dernier. Les victimes ont été retrouvées mortes par asphyxie.

D’après le récit du journal, elles étaient endormies en allumant l’encens dans leur chambre.

Le père Boubacar Barry et la mère Ousseynatou Diallo s’en sont tirés avec des brûlures.

Mbao : Rebondissement du meurtre d’un jeune agent municipal

On en sait beaucoup plus sur le décès du jeune agent municipal de la commune de Mbao, habitant la Cité Assurance. Selon des sources de L’AS, son jeune frère du nom d’Amadou, qui était jusque-là en garde à vue dans les locaux de la Brigade de gendarmerie de Keur Mbaye Fall, risque d’être déféré aujourd’hui au parquet pour meurtre.

D’après le journal, c’est à la suite d’une bagarre entre Ousmane et Amadou que l’irréparable s’est produit. Les faits se sont produits, dans la soirée de jeudi dernier, pour une histoire d’argent à la Cité Assurance de la localité. Une dispute entre les deux (2) frères qui a, par la suite, entraîné une vive altercation où le sieur Amadou aurait pris une grosse pierre pour casser la tête de son grand frère Ousmane qui est tombé, la tête ensanglantée. Par la suite, le blessé a été évacué dans une structure sanitaire de la place où il va mourir.

Aussitôt informés, les gendarmes de la Brigade de Keur Mbaye Fall se sont déplacés au niveau de la Cité Assurance de Zac Mbao pour s’enquérir de la situation avant de procéder à l’interpellation du suspect. Ils ont par la suite appelé la structure avant de s’y rendre pour faire une réquisition pour les besoins de l’autopsie du défunt Ousmane. Une autopsie qui a révélé un traumatisme crânien encéphalique avec hémorragie interne.

Interrogé, Amadou Ngom, qui serait passé aux aveux avant d’être placé en garde à vue, devrait être déféré au parquet ce lundi pour meurtre. Ce crime a plongé la famille municipale de Mbao dans la consternation. D’après un agent municipal qui a parlé sous le couvert de l’anonymat, Ousmane Ngom, qui a été inhumé samedi dernier au cimetière musulman de Yoff, était en service au stade municipal de Mbao et a toujours fait preuve d’exemplarité dans le travail.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention