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Affaire Sonko: Niasse accélère la levée de l’immunité parlementaire

Le député Ousmane Sonko va voir son immunité parlementaire levée dans les prochains jours. Première étape de cette procédure, le Parquet a saisi l’Assemblée nationale dont le président, Moustapha Niasse, a convoqué les membres Bureau ainsi que ceux de la Conférence des Présidents, ce jeudi 11 février 2021, respectivement à 12 heures et 13 heures.

L’ordre du jour de la réunion n’est pas explicite selon la lettre de convocation des membres du Bureau, mais tout indique qu’il sera question de la demande de levée de l’immunité parlementaire de l’opposant Ousmane Sonko, accusé de viols et menaces de mort par une masseuse (Adji Sarr, 21 ans) qui a porté plainte à la Section de recherches de la gendarmerie sise à Colobane.

Convoqué hier, lundi, par les enquêteurs de la SR, Sonko avait clairement indiqué qu’il n’allait pas répondre tant que la procédure de levée de son immunité parlementaire ne serait pas respectée.

Le Bureau de l’Assemblée nationale comprend, outre le Président : huit (8) vice-présidents, six secrétaires élus et deux (2) questeurs. À noter également que les présidents de groupe parlementaire siègent au Bureau et ont les mêmes rangs et prérogatives que ses membres. Dans la présente législature, il n’y a que deux présidents de groupe parlementaire que sont Aymérou Gningue, président du groupe Benno Bokk Yakaar (majorité) et Serigne Cheikh Mbacké, président du groupe Liberté et Démocratie (opposition). Les autres députés, non membres de ces deux groupes, sont des non-inscrits.

La Conférence des présidents, convoquée par Niasse pour l’examen des affaires en instances comprend le Président et les vice-présidents de l’Assemblée nationale, les Présidents de Commission et le Rapporteur général de la Commission de l’Economie générale, des Finances, du Plan et de la Coopération économique, les Présidents de Groupe parlementaire et le représentant des non-inscrits.

Affaire Sonko-Adja Sarr : Le Collectif pour la promotion et la protection des droits des femmes et des filles s’inquiète sur le sort de la jeune femme.

Suite aux accusations de Mme Adja Sarr contre M. Ousmane Sonko pour des faits de « viols répétés et de menaces de mort », le collectif pour la promotion et la protection des droits des femmes et des filles s’indigne du traitement partisan qui est fait de cette affaire. Le collectif condamne fermement le déséquilibre et le parti pris flagrant.

En effet, tout comme l’accusé est présumé innocent, conformément aux principes généraux qui guident toute procédure pénale, la plaignante mérite des égards et protection de par la loi.

À travers un communiqué sorti ce mardi, le collectif soutien que Mme Adja Sarr doit dans cette affaire jouir de tous ses droits, notamment l’accès à une justice équitable.

« Nous avons malheureusement constaté que l’attention est plus tournée vers le présumé auteur que vers la présumée victime, et que des tentatives de décrédibilisation de sa parole vont même jusqu’à porter atteinte à sa dignité. »

Ainsi, les membres du collectif, en leur qualité de militantes en contact permanent avec les victimes de violences sexuelles, disent qu’il est  inconcevable que Mme. Sarr subisse ce lynchage médiatique qui nuit à sa sécurité physique et à sa santé mentale. Elles demandent que l’affaire soit élucidée en toute transparence conformément aux lois et règlements en vigueur.

Covid-19 : L’engagement collectif des ministres africains de la Santé pour venir à bout de la maladie.

Les ministres africains chargés de la santé ont pris un engagement qui devrait sonner la fin de la transmission du coronavirus, en Afrique. Ils ont accepté ”collectivement, de s’engager à adopter une approche normalisée pour accélérer correctement la prise de décisions réglementaires sur l’utilisation des vaccins contre la Covid-19 en Afrique. Et ce, en tant que membres du Groupe de travail réglementaire pour l’Afrique et des autorités réglementaires nationales africaines’’, informe un communiqué rendu public le 8 février dernier et parcouru par Dakaractu. 

Cet engagement pris, résulte de la rencontre des autorités réglementaires nationales africaines, convoquées par le Groupe de travail réglementaire pour l’Afrique. Des personnalités qui s’étaient ‘’réunies le 12 janvier 2021 pour discuter du besoin urgent d’établir des processus correctement rapides pour examiner et prendre les décisions relatives à la sécurité et à l’efficacité des vaccins contre la Covid-19. Un projet d’orientation a été, à cette occasion, présenté aux ARN. Quant à sa révision et sa finalisation, elles étaient prévues dans la semaine du 18 au 24 janvier 2021, renseignent ledit document.

D’ailleurs, il ressort de ce document que ‘’la réunion ministérielle a salué le lancement de ce dit Groupe’’ qu’elle considère comme ‘’un effort conjoint réalisé par les Centres africains de prévention et de contrôle des maladies (Africa Cdc), l’Agence de développement de l’Union africaine (Audanepad), l’Initiative de l’harmonisation de la réglementation des médicaments en Afrique (Amrh) et le Forum africain de réglementation des vaccins (Avaref) de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) pour permettre et soutenir l’établissement d’un Cadre réglementaire efficace pour le vaccin’’. Un cadre qui comprend la mise en place d’une indemnisation pour les fabricants de vaccins, des approbations réglementaires dûment accélérées à l’échelle des pays, et une infrastructure robuste pour la surveillance continue de l’efficacité et de la sécurité des vaccins’’. 

Plaidoyer pour le respect des ‘’plus hautes exigences de surveillance de la sécurité’’

Il a été rappelé que ‘’le Groupe de travail réglementaire pour l’Afrique, composé d’autorités réglementaires nationales, a été mandaté par l’Union africaine pour accélérer le processus d’autorisation réglementaire d’utilisation d’urgence des vaccins contre la Covid-19 en Afrique. Pour ce faire, indique-t-on dans ledit communiqué, ‘’les dossiers des vaccins doivent être soumis sans retard au Groupe de travail réglementaire pour l’Afrique. Ce dernier convoquera, pour l’examen des dossiers, un groupe consultatif d’experts composé d’experts techniques les plus prééminents de l’évaluation réglementaire du continent et de l’extérieur. Ce Groupe examinera les dossiers des vaccins contre la Covid-19 destinés à être utilisés en Afrique et complétera les processus EUL/PQ de l’Oms et/ou Covax avant la livraison des vaccins’’. À charge alors pour ledit groupe de travail de partager les conclusions et les résultats de l’examen avec les communautés économiques régionales afin d’accélérer les examens réglementaires et de promouvoir les principes de relai et de partage du travail.

Les ministres engagés ont aussi estimé que ‘’cette approche doit être coordonnée par l’Union africaine et les communautés économiques régionales, en s’appuyant sur les principes de relai et de partage du travail pour l’examen et l’approbation des dossiers. Il a été également préconisé, la nécessité ‘’de respecter les plus hautes exigences de surveillance de la sécurité, en collaboration avec les fabricants et les programmes de vaccination, afin d’assurer le lancement sûr des vaccins contre la Covid-19 en Afrique’’. 

En effet, dans le document parcouru par Dakaractu, intitulé ‘’orientations sur le processus accéléré d’autorisation réglementaire d’utilisation d’urgence des vaccins contre la Covid-19 en Afrique’’, il est évoqué l’historique de la flambée de ladite maladie déclarée ‘’urgence de santé publique de portée internationale (Usppi) par l’Oms le 30 janvier 2020, puis ‘’pandémie le 11 mars 2020’’. Une pandémie qui, aujourd’hui, a infecté plus de 91 millions de personnes et causé plus de 2 millions de décès dans le monde – dont plus de 3 millions de cas et 73 400 décès sur le continent africain.

3 000 dirigeants politiques et experts techniques réunis pour discuter des besoins en matière de vaccin pour l’Afrique

Une réunion d’urgence tenue le 22 février 2020, avait permis aux ministres africains de la santé d’approuver la Stratégie continentale commune de l’Afrique pour la riposte à la flambée de Covid-19, y compris l’attribution du rôle de leader de la coordination de l’intervention sur le continent, à Africa CDC. Cette dernière structure, 4 mois après, a convoqué plus de 3 000 dirigeants politiques et experts techniques pour discuter des besoins en matière de vaccin contre la Covid-19 sur le continent et des possibilités régionales de développement, de fabrication, de distribution et d’utilisation, et a traduit les résultats de la discussion dans sa Stratégie de développement et d’accès aux vaccins contre la Covid-19. Et c’était une rencontre de 48 heures tenue les 24 et 25 juin 2020.

Pour leur part, le Bureau des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, présidé par le président Cyril Ramaphosa de l’Afrique du Sud, a approuvé la Stratégie continentale de développement et d’accès aux vaccins contre la Covid-19. C’était à la date du 20 août 2020. Cette stratégie se veut un moyen pour ‘’réussir à immuniser une masse critique de la population africaine avec un ou plusieurs vaccins sûrs et efficaces contre la Covid-19.’’

La réunion ministérielle a reconnu, dans le même sens, ‘’les efforts déployés par les États membres de l’Union africaine en réponse à la pandémie de Covid-19, en mettant l’accent sur la manière dont le continent peut se préparer à la recherche et au développement, à la fabrication, à l’achat, au financement, à l’examen réglementaire, à la livraison et à l’utilisation d’un éventuel vaccin contre la Covid-19’’. Cette dite assemblée note avoir pris conscience que ‘’la Covid-19 se propage rapidement sur notre continent, notamment la nouvelle souche du virus qui se propage encore plus rapidement, ce qui va aggraver les problèmes de santé auxquels l’Afrique est déjà confrontée’’.

France : La présence du virus de la Covid-19 détectée dans les eaux usées, des spécialistes rassurent…

Les craintes des autorités françaises qui portent sur la présence du virus de la Covid-19 dans les eaux usées ont été finalement bien fondées. Et le travail abattu, au cours du mois de janvier dernier, par le réseau de laboratoires Obépine l’a prouvé.  Cette dernière structure qui était à la recherche des traces du coronavirus responsable du Covid-19 dans les eaux usées de 150 stations d’épuration de l’Hexagone, a rendu publiques certaines de ses données. Des données sur lesquelles il est apparu que ‘’les derniers prélèvements disponibles pour la station de Toulouse-Ginestous, depuis la mi-janvier jusqu’au 31 janvier, montre une nette progression du virus, a indiqué, hier, le site français la dépêche qui a exploité les données de ce dit réseau-Obépine.

‘’Lancé en avril 2020 à l’initiative de trois équipes de recherches, cet observatoire épidémiologique, financé par la Sorbonne, le Cnrs et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a montré la pertinence de ses analyses. Avec les eaux usées, c’est toute la population, personnes non testées et asymptomatiques comprises, qui est prise en compte. Et l’indicateur possède ainsi plusieurs semaines d’avance sur les autres signaux d’alerte retenus par les pouvoirs publics que sont le nombre de nouveaux cas dans la population et celui des hospitalisations’’.

La détection du coronavirus dans les eaux usées de la station d’épuration de Toulouse-Ginestous a montré, selon la même source, une forte augmentation depuis la mi-janvier. Et ce, ‘’pour atteindre un niveau au-dessus de celui de novembre dernier’’ informe ledit site qui rappelle qu’au mois de mars, la corrélation entre la présence du virus dans les eaux usées et l’évolution de la maladie a été démontrée. Un réseau de surveillance national, Obépine, est en train de se mettre en place et apporte ses premiers résultats. Objectif : établir des modèles prédictifs pour mieux combattre l’épidémie’’.

L’avantage des recherches menées dans les eaux usées

Selon les résultats rendus publics par le réseau-Obépine, ‘’cette surveillance des eaux usées importe, c’est qu’elle constitue l’un des rares indicateurs macro-épidémiologiques permettant un suivi à peu près en temps réel de l’épidémie, voire parfois avec un coup d’avance. En effet, si le Sars-Cov-2, le virus responsable de l’épidémie de covid-19 est un virus principalement respiratoire, il y a une réplication dans le tube digestif. Il est ensuite excrété dans les selles qui se retrouvent dans les eaux usées’’.

Cependant, des assurances ont été données pour ne pas stresser davantage les populations. ‘’Bien que nous retrouvions des traces du virus dans les eaux usées, celui-ci est très largement non-infectieux’’, a rassuré Vincent Maréchal, virologue à Sorbonne Université et cofondateur d’Obépine. ‘’Nous trouvons essentiellement des traces du génome, mais le passage dans les selles et l’environnement des eaux usées malmènent le Sars-CoV-2’’.

À son tour, Laurent Moulin, microbiologiste au laboratoire Eau de Paris a confié, à nos confrères, l’apport positif de cette recherche sur les eaux usées. ‘’Certaines données nous donnent une prédiction assez fidèle de la hausse du nombre de cas 5 à 6 jours avant de les dépister’’. Cela, comme pour dire que l’analyse de ces traces du virus dans les systèmes de traitement des eaux est particulièrement intéressante, car elle pourrait permettre de prédire presque une semaine à l’avance la dynamique de l’épidémie.

Le bureau de Douane de Bignona incendié

Les manifestants à Bignona se sont attaqués au bureau de Douane de Bignona. Un véhicule a été calciné, le bâtiment incendié. Les sapeurs-pompiers sont appelés à la rescousse pour circonscrire le feu

Stade Rennais : Ben Arfa a tenté d’attirer Mbaye Niang !

lOuest-France nous apprend ce mardi que Ben Arfa a essayé de séduire son ex-coéquipier en Bretagne, Mbaye Niang, pour un transfert à Bordeaux.

Une tentative de séduction échouée !

Cause perdue, puisque l’attaquant sénégalais a officiellement été prêté à Al Ahli en Arabie Saoudite. Sans surprise, l’équipe de Ben Arfa ne s’agissait pas d’un premier choix pour l’international sénégalais qui a connu une fin de mercato agitée.

Le khalif de Mame Cheikh Khady Mbacke Darou Mousty en visite à touba

Le khalif de Mame Cheikh Khady Mbacke Darou Mousty en visite à touba
En effet le guide spirituel de Ousmane sonko a été reçu par le Khalif Général des mourides serigne Mountakha Mbacke cet après-midi au cours d’un long entretien

Nous y reviendrons

Bignona – Manif pro Sonko : deux blessés graves et deux personnes arrêtées lors des manifestations de ce matin

Après Dakar, Louga ou encore Ziguinchor, Bignona a pris le relais des manifestations dans ce qu’il convient d’appeler l’affaire Ousmane Sonko. Ça a débuté en début de matinée lorsque les militants de Sonko sont allés déloger les élèves des établissements de la commune. Ces derniers ont mené la première salve en bloquant les différentes voies de trafic.
Les manifestants s’en sont ensuite pris à la station Total en saccageant la boutique de produits.  La Gendarmerie de Ziguinchor est venue à la rescousse. Deux arrestations ont été opérées par les forces de l’ordre dont le Coordonnateur Départemental des jeunes patriotes Lamine Badji. Deux blessés graves ont été aussi enregistrés. Il s’agit d’un gendarme et d’un élève. Les manifestants étaient déterminés à mettre à sac la maison du maire de Bignona, Mamadou Lamine Kéïta. L’effectif des forces de l’ordre était insuffisant pour contenir la furie des jeunes. C’est la raison pour laquelle l’armée a été aussi déployée dans une logique de dissuasion.

Usa : Ouverture du procès de Trump en destitution pour ‘’incitation à l’insurrection’’ dans l’assaut meurtrier du Capitole.

Moins de trois semaines après avoir quitté la Maison Blanche, Donald Trump est encore au-devant de la scène.  Pour cause, c’est ce mardi 9 février 2021 que s’ouvre au Sénat, son procès en destitution doublement historique, pour «incitation à l’insurrection» dans l’assaut meurtrier du Capitole.

Une accusation que les avocats de l’ancien président américain qualifient d’absurde. À quelques heures de l’ouverture de ce procès prévue à 18h GMT dans l’hémicycle même où des manifestants pro-Trump avaient fait irruption le 6 janvier, il est retenu que 100 sénateurs vont faire office de jurés après avoir été les témoins et victimes, de l’attaque, a constaté Dakaractu.

Les images fortes de ces moments de tension et le discours de Donald Trump à ses partisans quelques minutes auparavant, devraient occuper un rôle central dans l’accusation, selon la presse américaine. 

Vivant désormais en Floride, le milliardaire ne se rendra pas au procès. Et il fait peu de doute qu’il sera, à son terme, acquitté, informent des sources médiatiques qui rappellent que ‘’la Constitution impose une majorité des deux tiers pour un verdict de culpabilité. Même si des sénateurs républicains ont vertement critiqué le rôle du 45e président américain dans ces violences, il semble peu probable que 17 joignent leur voix aux 50 démocrates pour condamner D. Trump, encore très populaire auprès de sa base’’.

Pour l’heure, les deux camps veulent aller vite et un vote final pourrait avoir lieu dès le début de la semaine prochaine. Les républicains parce qu’ils ne veulent pas s’attarder sur une séquence qui divise leurs rangs; les démocrates parce qu’ils veulent que le Sénat puisse de nouveau rapidement se concentrer sur leur priorité: approuver les candidats et les lois de Joe Biden.

L’acte d’accusation adopté après l’assaut sur le Capitole est « anticonstitutionnel à plusieurs titres, et un seul suffirait à le déclarer immédiatement nul et non avenu », ont écrit les avocats de l’ex-président, Mes David Schoen et Bruce Castor, dans un argumentaire de 78 pages transmis à la chambre haute du Congrès à la veille de l’ouverture des débats.

Il est en effet, reproché à Donald Trump de s’être livré à ‘’la pire violation de la Constitution jamais commise par un président américain” en incitant ses partisans à attaquer le Capitole. Des arguments défendus hier, par les élus démocrates qui servent de procureurs à son procès. 

Des confrères de la presse étrangère qui ont eu à se prononcer sur cette affaire ont aussi signalé que la probable relaxe de l’ex-Président américain ne signifiera pas forcément la fin de ses ennuis. En effet, dans leurs argumentaires, les démocrates ont légitimé la nécessité de tenir ce ‘’procès pour le droit et pour l’histoire’’. Ils estiment que ‘’laisser impunie cette attaque contre la Constitution, par celui qui avait prêté serment de la protéger, saperait la démocratie’’.

De son côté, replié dans sa résidence de Floride, Trump, 74 ans, a rejeté jeudi une invitation à s’exprimer au procès. Sa défense avance que le successeur de Barack Obama est redevenu un simple citoyen et que, donc, la procédure est illégale. D’ailleurs, il a été précisé qu’il faudrait pour le condamner les voix de 67 sénateurs sur 100. Or, lors d’un vote de procédure, il y a une dizaine de jours, seuls cinq républicains modérés se sont joints aux cinquante démocrates.

Premier président américain à être «impeaché» deux fois, sera-t-il aussi le premier à sortir deux fois blanchi d’un procès en destitution? Donald Trump sera bientôt fixé sur son sort. En attendant, alors qu’il a rejeté l’invitation des procureurs démocrates à témoigner sous serment, il a eu de la peine à constituer son équipe de défense. Cinq avocats l’ont lâché à quelques jours du procès qui démarre mardi. Il s’est donc rabattu un peu à la dernière minute sur Bruce Castor et David Schoen, rompus aux polémiques et cas difficiles.

Relativement à la durée du procès, il est signalé qu’il pourrait bien ne pas excéder une semaine.

Guirassy chez Ousmane Sonko ce matin : « Cette élimination systématique des opposants n’est pas une bonne chose pour le gouvernement »

Le député Moustapha Guirassy est venu soutenir son collègue Ousmane Sonko ce matin, au lendemain des manifestations de ses partisans, à son domicile sis à la cité Keur Gorgui. Dakaractu s’est entretenu avec lui à sa sortie de cette visite de courtoisie.
Selon lui, le leader accusé de viol est dans un bon état d’esprit.
Il a touché quelques mots en ce qui concerne la levée de l’immunité parlementaire de Ousmane Sonko.
Guirassy déclare que cela ne serait pas du tout « conforme » et que cela ressemble effectivement à un complot dans le but d’éliminer un opposant redoutable.
Il poursuit « Je m’adresse aux collègues de la majorité, cette élimination systématique des opposants n’est pas une bonne chose pour le gouvernement », avant de souligner que les propos qu’il a tenus vont dans le sens d’un appel à la sérénité.  « Il faut être inintelligent pour refuser de voir la réalité en face.  »
Le député Guirassy en parfaite concordance avec sa fonction, a parlé au nom du peuple. « On condamne la violence et un appel à l’insurrection, mais depuis longtemps Sonko est pris pour cible, le problème c’est comment les choses ont pu en arriver là.  »
Très neutre dans sa position, le député n’a pas essayé de prendre parti, mais il est manifestement confus de la tournure prise par les événements. Il soutient que lui personnellement condamne tout acte de violence perpétré, mais estime néanmoins que « c’est le peuple qui s’est manifesté de manière spontanée… »

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention