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Mandat de dépôt pour 20 des partisans de Sonko arrêtés

Une vingtaine de partisans de Sonko, qui avaient été arrêtés lors des manifestants de lundi, ont fait face au procureur ce vendredi. Ils sont finalement placés sous mandat de dépôt.

Les 20 partisans de Sonko, qui avaient fait face au procureur ce vendredi, ont finalement été envoyés en prison. Ils ont été placés sous mandat de dépôt pour organisation d’un mouvement insurrectionnel, violence et voie de fait sur agent de la force publique dans l’exercice de leur fonction, incendie criminelle dégradation de biens appartenant à l’Etat, entre autres.

«Ils ont tous nié les faits et expliqué largement qu’ils ne sont pas auteurs de ces troubles à l’ordre public ni de ces destructions qui ont été constatées à l’issue des évènements lu lundi passé. C’est pourquoi nous sommes confiants, la vérité éclatera», a confié, à la rfm, l’un de leur avocat, Me Babacar Ndiaye.

Il s’est dit surpris que le parquet ait retenu le chef d’incendie criminel pour tous les accusés. Pour lui et ses collègues avocats, l’objectif visé est de décourager les partisans de Sonko, «parce qu’ils savent que les militants de Pastef sont engagés.»

Covid-19 : Le Sénégal franchit la barre des 30 000 personnes contaminées

La courbe ne fléchit point. Elle a atteint, officiellement, la barre des 30 000 cas positifs au coronavirus, ce vendredi 12 février. Pire, elle est accompagnée par un nouveau record de nouvelles contaminations. Du jamais vu, depuis l’apparition de la pandémie de Covid-19 sur le territoire national. En fait, le ministre de la Santé et de l’Action sociale a annoncé, aujourd’hui, 462 nouveaux cas infectés.
De ce fait, les autorités sanitaires ont répertorié, depuis le 2 mars dernier, 30 376 cas positifs au coronavirus. Ils sont répartis entre 24 890 cas guéris, 735 décédés, 1 évacué (finalement décédé en France) et 4 750 malades sous traitement.
Mais face à la propagation rapide de cette maladie, l’Etat déroule, depuis quelque temps, un plan de riposte. C’est ainsi que lors du dernier Conseil des ministres tenu en visioconférence, le président de la République, Macky Sall, au regard des effets de la pandémie de Covid-19 sur notre économie, a «souligné la nécessité d’anticiper et d’agir en modes ‘’Diligence’’ et ‘’Fast-Track’’».
Il s’agit, dit-il, d’accélérer les procédures, de mobiliser toutes les ressources humaines et financières requises, afin de vacciner, dans les meilleurs délais, les populations cibles prioritaires identifiées.
De plus, le chef de l’Etat demande, à ce titre, au ministre de la Santé et de l’Action sociale, en relation avec le ministre des Finances et du Budget et les ministres concernés, de prendre toutes les dispositions sanitaires, logistiques, financières et de mobilisation sociale nécessaires au lancement sur l’ensemble du territoire national des campagnes de vaccination, à la fin du mois de février 2021, au plus tard.

Accusation de viols: Ahmed Khalifa vole au secours de Sonko

La position de Dr Ahmed Khalifa Niasse est sans équivoque. “Je ne cautionne pas l’emprisonnement de Ousmane Sonko”, martèle le guide religieux, dans une note transmise à Seneweb.
Pour le marabout et homme politique, les accusations portées à l’encontre du leader du Pastef sont “invraisemblables”. Une position qui peut surprendre plus d’un, puisque le président du parti Fap a souvent été en désaccord politique avec le député mis en cause.

Médina Baye : Une importante déclaration du Khalife est attendue ce vendredi

 Le Khalife général de médina Baye , Cheikh Mahi Ibrahim Niass fera face à la presse aujourd’hui après la prière du vendredi à la grande mosquée de médina Baye. Il va se prononcer sur l’actualité. T

Braquage agence Crédit mutuel à Kaolack : Le militaire Lamine Keita condamné à la perpétuité

La chambre criminelle de Kaolack a vidé hier une affaire d’association de malfaiteurs, vol en réunion commis avec violences, infraction, usage d’armes et de véhicules, violences et voies de fait, détention d’armes sans autorisation administrative. L’accusé, Lamine Keita, a été condamné à perpétuité.
Perpétuité, c’est le verdict prononcé par la chambre criminelle de grande instance de Kaolack contre le militaire Lamine Keita né le 27 septembre 1975 à Dakar, poursuivi pour les chefs d’accusation précités.
Des crimes commis le 27 juillet 2017 de concert avec des personnes. Ce jour-là, vers 10 h, la brigade de recherches avait été informée par un particulier de l’attaque à main armée par trois individus perpétrées à la caisse de Crédit mutuel située à Niaty Gouye dans la commune de Kaolack.
Un transport avait été effectué sur les lieux où la police avait relevé des traces de sang et de brisures de verres un peu partout dans les locaux. Le vigile et la caissière ont été trouvés pieds et poings liés.
La caissière Ndeye Penda Fall renseignait avoir vu trois individus entrer dans l’agence avant qu’elle ne s’aperçoive que l’un d’entre eux s’en prend au vigile. Un autre brisait la vitre pour accéder à un bureau verrouillé alors qu’un troisième assommait le vigile. Ils avaient emporté une somme de 9.000.000 FCFA avant de disparaître.
Gaoussou Keita, le gardien confirmant la déposition de la caissière, indiquait avoir été assommé au cours de sa bagarre avec l’un des assaillants. Il s’est réveillé entouré de policiers alors qu’il était ligoté de même que la caissière. Il renseignait avoir reconnu l’un des malfaiteurs, clients de la caisse et militaire de son état.
L’enquête subséquente aboutissait ainsi à l’interpellation de Lamine Keita, militaire en service au 3ème Bataillon de Kaolack, comme étant le chef de file de la bande responsable de l’attaque. Ce dernier contestait toute implication dans les faits en faisant valoir qu’il se trouvait aux Parcelles assainies, le jour de leur commission, pour traiter ses maux de tête.
Par ailleurs, Gaoussou Keita, gardien de la banque, a formellement identifié Lamine Keita par le fait qu’il avait parfois discuté avec ce dernier en tant qu’ancien militaire, celui-ci étant un client fréquent de la caisse. Il avait également identifié le type d’arme qu’il possédait.
Les enquêteurs découvraient au cours de la perquisition du domicile de l’inculpé, une paire de gants noirs, une hache, un pistolet automatique Mac 35,50 munitions de 5,56mm outre 3 munitions de 9mm, un jean bleu ainsi qu’une somme de 2.096.800F CFA et une autre somme de 37.500 CFA tachetée de sang au même titre un jean et une chemise carrelée.
Lamine Keita, pour sa part, a nié les faits qui lui sont reprochés devant les enquêteurs. Il a soutenu que ce jour-là, il avait des maux de tête qui l’empêchaient même de travailler. Concernant l’argent trouvé chez lui, Lamine explique qu’il avait l’habitude d’épargner.
La chambre criminelle du tribunal de grande instance a prononcé la réclusion à perpétuité et la restitution de 9 millions soutirés à la banque et 3 millions au préjudice causé aux victimes.

Nouveaux rebondissements dans l’affaire Mbour 4

L’affaire Mbour 4 extension, marquée récemment par de violentes manifestations suite à des opérations de démolition de constructions dites irrégulières, connaît de nouveaux rebondissements, avec beaucoup d’arrestations. Il s’agit de personnes impliquées dans la spéculation des parcelles lit-on dans les colonnes du journal “L’As”.

Et cette fois-ci, c’est la tête du collectif des propriétaires de parcelles à Mbour 4 extension, qui porte le combat de la régularisation depuis quelques années, qui risque d’être décimée. En effet, le vice-président Amadou Dia qui était allé répondre à une convocation de la Brigade des Recherches, a été placé en garde à vue alors que le président du collectif, Souleymane Diémé dit Jules, est convoqué ce vendredi à la Direction de la Surveillance et du Contrôle de l’Occupation des Sols (DSCOS). Il en est de même pour Malang Badji dit Vieux Badji. A ce jour, il y a au total 8 arrestations dans le cadre de cette affaire.

TAMBACOUNDA Plus de 642.000 personnes à vacciner contre la fièvre jaune

Quelque 642.459 personnes âgées de plus de neuf mois seront vaccinées contre la maladie de la fièvre jaune dans la région de Tambacounda, a annoncé jeudi, la responsable du bureau régional de l’éducation et de l’information pour la santé de la région médicale, Mabinta Sambou Coly. «Nous avons enregistré des cas de fièvre jaune dans les régions de Tambacounda et Kédougou. Donc, il faut organiser une riposte dont l’objectif principal est de réussir une couverture vaccinale d’au moins de 95% sur toute l’étendue de la région», a-t-elle dit lors d’un atelier sur la fièvre jaune à l’intention des journalistes. La maladie de la fièvre jaune est réapparue dans la région de Tambacounda, précisément dans le district sanitaire de Kidira, où 4 cas, dont deux décès, ont été recensés.

«La fièvre jaune est une maladie avec un taux de létalité très élevé. Près de 50% des personnes atteintes décèdent de la maladie. Ce qui fait que personne ne doit être négligé dans la lutte» contre cette pathologie, a expliqué Mme Coly. Pour lutter contre la maladie, le ministère de la Santé et de l’action sociale a lancé une vaste campagne de vaccination. Et, pendant 10 jours, la région médicale de Tambacounda va dérouler ses activités à partir de trois stratégies mises en place, a-t-elle souligné.

Selon la responsable du bureau régional de l’éducation et de l’information pour la santé, il s’agit, dans un premier temps, de mettre en place des équipes composées chacune d’un agent de santé et d’un volontaire pour vacciner les populations avec un objectif d’au moins 400 personnes par jour. «Ce dispositif sera suivi par la stratégie dite avancée où les équipes se déplacent et auront comme objectif de faire vacciner au moins 250 personnes par jour», a-t-elle ajouté. «La dernière et pas des moindres est celle appelée stratégie mobile qui va se déporter dans les contrées les plus reculées pour vacciner les populations», a précisé Mabinta Sambou.

Avec Tribune

Il se faisait passer pour un agent de joueurs : Ndongo Seck écope 6 mois

Alors qu’il traine un lourd passé pénal à cause de 3 précédentes condamnations, le commerçant Ndongo Seck a encore récidivé pour les mêmes faits. Ce prévenu, pour escroquer des tierces personnes, leur faisait croire qu’il est non seulement agent de joueurs, mais qu’il pourrait les faire voyager vers des clubs de troisième division à l’étranger. Malheureusement, les nommés Boubacar Sarr et Pape Mor Sylla sont tombés dans son piège. Ces derniers lui ont respectivement remis 1 million 390.000 F Cfa et 2 millions F Cfa pour requérir ses services. Cependant, le sieur Seck n’a ni honoré le marché qui le liait à ses clients encore moins remboursé leurs dus. Ainsi, pour des faits d’escroquerie, il a été traduit hier devant le juge des flagrants délits de Dakar où il a contesté les faits. «Je suis commercial et agent de joueurs. Je travaille dans ça depuis 20 ans. Je fais du commerce international. S’il y a des clubs extérieurs qui ont besoin de joueurs au Sénégal, c’est moi qu’ils contactent. S’agissant de leurs cas, j’ai  discuté avec mon partenaire qui est un président de club en Belgique. Puisque celui-ci m’avait dit qu’il avait besoin de joueurs, je devais les convoyer. Le fils de Babacar n’est pas parti à cause de la pandémie. Mais, j’ai investi l’argent dans les frais d’invitation que mon partenaire m’avait envoyée. Toutes ces invitations sont dans mes dossiers. Concernant Pape Mor Sylla, j’étais avec lui à l’aéroport avant qu’il ne rallie Singapour», a-t-il avancé.
Des propos que conteste la partie civile, Boubacar Sarr : «il m’avait dit qu’il était un agent de joueurs. Il devait convoyer mon fils en Belgique pour des tests puisque, selon lui, il avait des partenaires là-bas. Il m’avait promis que le gosse allait jouer en troisième division et gagnerait 2000 euros chaque fin du mois». Ainsi, il a réclamé à titre de préjudice le montant d’1 million 390.000 F Cfa. Quant au joueur Pape Mor Sylla, il soutient : «il devait me faire voyager à Singapour puisqu’il m’avait confié qu’il avait un partenaire là-bas. Mais, une fois là-bas, j’ai été refoulé puisque lorsque j’ai appelé sur le numéro qu’il m’a remis, personne n’est venu me chercher alors que c’est ce qui était convenu».
Me Souleymane Soumaré a demandé un dédommagement de 2 millions 500.000 F Cfa. Le parquet, très remonté par l’attitude du prévenu, de lui rétorquer : «quelle est la structure qui t’a agréé pour faire cela ? La Fifa ou la Caf ? C’est à toi que je m’adresse ! Jusqu’à présent tu parles en essayant de nous leurrer. Tu essaies de nous tromper». Puis le parquetier a requis 6 mois ferme contre le prévenu, qui n’a daigné répondre à aucune de ses questions. Sollicitant une application bienveillante de la loi, Me Ndiack Ba a révélé au tribunal qu’on ne leur a pas produit un jugement attestant que son client a fait l’objet d’une condamnation par le passé. N’empêche, il a été condamné à 6 mois de prison assortis du sursis. Aussi, il doit payer aux plaignants les sommes qu’ils ont réclamées.

11 décès et 462 nouveaux cas positifs ce vendredi

Les nouveaux cas de coronavirus ont été détectés à la suite de 2.688 tests virologiques, indique le docteur Mamadou Ndiaye, le directeur de la prévention.

Le rapport du nombre d’infections nouvelles sur celui des tests effectués donne un taux de positivité de 17,19 %, a-t-il précisé en publiant le dernier bulletin de la pandémie de coronavirus.

Il a signalé 201 cas contacts déjà suivis par le corps médical et 261 cas dits communautaires, des contaminations dont la source n’a pas été identifiée.

Cinquante-six (56) cas graves de coronavirus sont pris en charge dans les centres de réanimation des hôpitaux, selon M. Ndiaye, qui a annoncé 11 nouveaux décès causés par la pandémie.

Depuis l’apparition du Covid-19 au Sénégal, le 2 mars, 30.376 personnes ont été infectées, 24.890 patients ont recouvré la santé, selon le bulletin.

Le coronavirus a fait 735 morts dans le pays, et 4.750 patients sont sous traitement.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention