jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 233

Liste polémique des médias reconnus : Anta Babacar Ngom interpelle le ministre Alioune Sall

À peine installée comme députée de la 15e législature, Anta Babacar Ngom a adressé une série de questions au ministre de la comunication des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall.

Dans sa correspondance, la parlementaire s’appuie sur les dispositions du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale pour solliciter des éclaircissements sur la publication récente de la liste des organes de presse dits « conformes » à la réglementation en vigueur.
La députée précise que cette démarche intervient dans un contexte où cette publication suscite « de nombreuses interrogations, tant parmi les acteurs du secteur que dans l’opinion publique ». Elle révèle avoir été interpellée par des professionnels des médias et exprime son souhait d’obtenir « des réponses claires, précises et documentées afin d’éclairer ces préoccupations légitimes ».
La première question posée par Anta Babacar Ngom Diack porte sur les bases légales qui définissent la conformité des organes de presse. Elle demande : « Quels sont les critères spécifiques définis par la législation sénégalaise ou les régulations sectorielles pour déterminer la conformité des organes de presse ? Ces critères ont-ils été validés par les instances compétentes en matière de régulation des médias ? ».
Sur le plan de la transparence, elle interroge les mécanismes garantissant l’impartialité du processus. « Quels mécanismes précis sont en place pour garantir l’impartialité et la transparence dans le processus de sélection des organes de presse dits conformes, en particulier pour ceux éligibles aux partenariats avec les institutions publiques ou aux appuis financiers de l’État ? ».
La députée questionne également la méthode employée pour élaborer la plateforme d’enregistrement des organes de presse. Elle souhaite savoir si cette dernière a été conçue en concertation avec des acteurs clés, notamment le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS).
Par ailleurs, elle s’intéresse au sort des organes jugés non conformes et demande : « Quelles mesures ont été mises en place pour accompagner les organes de presse considérés comme non conformes afin de leur permettre de régulariser leur situation ? Existe-t-il un mécanisme d’appel ou de recours pour ces derniers, et, le cas échéant, quelles en sont les modalités ? ».
Un autre aspect central des préoccupations soulevées concerne la compatibilité des critères appliqués avec la Constitution. « Les critères de conformité appliqués respectent-ils pleinement les dispositions constitutionnelles du Sénégal, notamment en matière de liberté d’opinion, de droit à l’information et de pluralisme des médias ? », interroge-t-elle.
Anta Babacar Ngom Diack s’intéresse également à l’impact global de la réforme sur le paysage médiatique. Elle questionne : « Quel est l’impact attendu de cette réforme sur l’écosystème médiatique national, en particulier sur les médias émergents et les radios communautaires, souvent confrontés à des contraintes financières et organisationnelles ? ».
Enfin, la députée cherche à comprendre les dispositifs prévus pour assurer une mise en œuvre efficace des mesures annoncées. « Quels mécanismes de suivi sont prévus pour s’assurer de la mise en œuvre effective et équitable de ces mesures ? Des évaluations périodiques sont-elles planifiées, et si oui, à quelle fréquence ? », demande-t-elle.

Pétrole : Près de 3 milliards de barils produits en novembre 2024

Le site pétrolier de Sangomar, situé au large des côtes sénégalaises poursuit son essor.  Selon le dernier rapport sur la production, l’ensemble des puits de ce champ pétrolier a été pleinement opérationnel à la fin du mois de novembre 2024. Tous les puits sont désormais disponibles pour alimenter les lignes de production, dans le cadre d’un planning visant à maximiser l’extraction. L’ensemble des puits de production a été mis en service, permettant d’atteindre des niveaux de production optimisés pour chaque puits. Ce développement marque un tournant important pour le secteur pétrolier sénégalais.

En novembre, le site a atteint une production totale de 2,94 millions de barils de pétrole brut. Au cours du mois, trois cargaisons représentant un volume total de 2,89 millions de barils ont été acheminées et commercialisées sur le marché international.

La production annuelle pour 2024 est désormais estimée entre 15 et 16 millions de barils, dépassant nettement l’objectif initial de 11,7 millions de barils fixé pour la première année de mise en exploitation.

Avec une capacité d’extraction quotidienne ciblée à 100 000 barils, le Sénégal renforce sa position sur la scène internationale en tant que futur producteur d’hydrocarbures.

 

France : Le gouvernement de Michel Barnier renversé !

Fin de partie pour Michel Barnier. L’Assemblée nationale a adopté, mercredi 4 décembre, la motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire (NFP). Le texte a été voté par 331 députés, soit 43 de plus que la majorité absolue de 288 voix qui était requise pour son adoption. Ce vote contraint le Premier ministre à la démission.

La motion de censure avait été déposée à la suite du déclenchement de l’article 49.3 de la Constitution par Michel Barnier, lundi, pour faire adopter sans vote le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Une deuxième motion avait été déposée par le Rassemblement national, mais elle devient sans objet du fait de l’adoption de la première.

Un saut dans l’inconnu

Cette situation politique est inédite depuis plus de soixante ans. Avant le vote de mercredi, une seule motion de censure avait été adoptée, en octobre 1962. Celle-ci avait entraîné la démission du gouvernement de Georges Pompidou. A l’époque, le général de Gaulle avait immédiatement réagi en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale. Mais aujourd’hui, Emmanuel Macron ne peut pas faire de même. La Constitution lui interdit de dissoudre avant l’expiration d’un délai d’un an après les élections législatives.

Avant le vote, Emmanuel Macron avait dit ne “pas croire au vote de la censure”, pointant un “cynisme insoutenable” du RN s’il joignait ses voix à celles du NFP. Michel Barnier avait, lui, souligné, sur TF1 et France 2, que chaque député avait “une part de responsabilité”, espérant que prévale “l’intérêt supérieur du pays”. Les députés en ont décidé autrement en renversant le gouvernement, à peine trois mois après l’arrivée à Matignon de Michel Barnier.

Sénégalais Pétrole : Ce qu’il faut savoir sur les ventes du mois de novembre

Au niveau du champ Sangomar, la production et la commercialisation des barils de pétrole continue. Le ministère a dévoilé le volume qui a été vendu pour le mois de novembre.

Le ministère du Pétrole et des énergies a fait son point habituel, sur les ventes de cargaisons de pétrole brut  sénégalais. La production totale du site de Sangomar, pour le mois de novembre 2024, s’est placée à 2,94 millions de barils de pétrole brut, informe-t-il.

Le ministère du Pétrole renseigne qu’au cours du mois, «trois (3) cargaisons d’un volume total équivalent à 2,89 millions de barils ont été enlevées et commercialisées sur le marché international.»

La bonne nouvelle, c’est qu’en 2024, la production annuelle devrait s’établir autour de 15 à 16 millions de barils de pétrole brut. «Ce nouvel objectif est au-dessus de la cible initiale de 11,7 millions de barils», indique le ministère du Pétrole.

Et jusqu’au 1er Décembre de cette année, ce sont 14 millions de barils de pétrole qui ont été produits au niveau du champ pétrolier de Sangomar, selon les chiffres publiés ce mercredi par le ministère du Pétrole.

Et à la fin du mois de novembre, l’ensemble des puits de production a pu être démarré, informe-t-il. L’objectif étant d’extraire 100 000 barils de pétrole par jour.

AN : Les députés sont convoqués pour une plénière vendredi

Les députés convoqués vendredi afin de parachever la mise en place des organes parlementaires. La plénière, qui commencera à 10 heures, sera consacrée à la « ratification des listes des membres des Commissions permanentes», lit-on dans la note qui leur est adressée.

Et si on interdisait aussi la météo critique ? Alors, voilà !

 Le régime pastefien commence fort : une liste officielle des médias « agréés » vient de tomber, et comme par hasard, tous ceux qui osent ne pas chanter les louanges du gouvernement se retrouvent dehors. Une manière subtile de dire : « Si tu veux parler, parle de nous en bien, ou tais-toi pour toujours. »
Mais soyons optimistes, peut-être que la prochaine étape sera d’interdire aussi la météo si elle annonce des nuages sur Dakar au lieu du soleil permanent promis par le gouvernement. Après tout, qui a besoin d’opinions diverses quand une seule vérité suffit ? La leur, bien sûr. On pourrait en rire, mais c’est franchement inquiétant. La liberté de la presse, ce n’est pas juste des journalistes qui parlent dans des micros, c’est la voix des citoyens, le miroir d’une société, le garde-fou contre les abus de pouvoir. En muselant les médias critiques, ce n’est pas seulement des rédactions qu’on fait taire, c’est tout un peuple qu’on prive de son droit à la vérité. Alors, à quoi devons-nous nous attendre maintenant ? Une application officielle pour valider nos conversations privées ?
Une liste des pensées autorisées ? On rigole, mais la pente semble glissante, et le bas de la descente n’a rien d’amusant. Il est temps de rappeler que gouverner, ce n’est pas contrôler, c’est convaincre. Une démocratie où tout le monde applaudit, c’est juste une pièce de théâtre mal jouée. Et pour le Sénégal, un pays fier de ses traditions de liberté, c’est une mauvaise plaisanterie qu’il faut arrêter avant qu’elle ne devienne une tragédie. Alors, pastefiens et critiques, libérez les micros. Le peuple sénégalais a besoin de toutes les voix, pas juste d’un solo. Ibrahima Thiam, Président du mouvement Un Autre Avenir #senegalkese

Babacar Gaye sur l’adoption de deux projets de loi mardi : “Le Président de la République et son gouvernement se sont tirés une balle dans le pied”

Babacar Gaye, a tenu à rappeler que : « Dans un Etat de droit, la loi s’impose à tous dans toute sa rigueur, et l’administration doit s’y conformer même si elle ne lui convient pas ».

« En annonçant l’adoption du projet de loi de finances rectificative 2024 et la loi de finances initiale de 2025, le 3 décembre 2024, après avoir préalablement fixé la date de l’ouverture de la première session ordinaire de la 15eme législature, le 2 décembre 2024, le Président de la République et son gouvernement se sont tirés une balle dans le pied soit par précipitation, soit par ignorance », a écrit M. Gaye dans un post sur Facebook.

De l’avis de Babacar Gaye, en adoptant les deux projets de loi, « le gouvernement s’est fourvoyé dans la précipitation ».

« En effet, en vertu des dispositions de la Constitution (article 68, alinéa 2) rappelées par celles de l’article 57 1er alinéa de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), “LE PROJET DE LOI DE FINANCES DE L’ANNÉE, QUI COMPREND NOTAMMENT LE BUDGET, EST DÉPOSÉ SUR LE BUREAU DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE, AU PLUS TARD LE JOUR DE L’OUVERTURE DE LA SESSION ORDINAIRE UNIQUE”. Manifestement, le gouvernement s’est fourvoyé dans la précipitation », a-t-il estimé.

Pour M. Gaye, ce cas de figure est prévu par la Constitution : « Qu’à cela ne tienne ! Ce cas de figure est prévu par la Constitution qui en fixe les modalités. En effet à l’article 68 alinéa 4, il est clairement mentionné que la survenance d’un “cas de force majeure” induit la prolongation de droit de la session prévue pour examiner le projet de loi de finances afin respecter le délai de 60 jours ».

« Que fera le Conseil constitutionnel face à une telle forfaiture ? », s’est interrogé M. Gaye qui a rappelé : «  La loi est dure, mais c’est la loi ».

Pour rappel en Conseil des ministres mardi, deux projets lois ont été adoptés. Il s’agit du Projet de Loi de Finances rectificative 2024 et le Projet de Loi de Finances initiale 2025, qui devraient être remis à la nouvelle Assemblée nationale, pour approbation en vue d’assurer le bon fonctionnement des affaires publiques.

Glucides : Comment freiner les envies ?

Pourquoi nous avons envie de glucides transformés ?

Plusieurs facteurs influencent nos envies de glucides transformés, comme les collations sucrées, les pâtisseries et les céréales raffinées. Ceux-ci incluent des éléments biologiques, psychologiques et sociaux. Voici plusieurs raisons pour lesquelles ce beignet vous appelle.

Grandir avec des aliments malsains

Une fois que vous avez pris goût aux aliments riches en sel, en sucre et enrichis en MSG , cela déclenche des envies de plus. Cela est particulièrement vrai en période de stress, de tristesse ou d’ennui, qui nous amènent à nous tourner vers des aliments réconfortants familiers. Ces aliments peuvent fournir un regain émotionnel ou une distraction temporaire. En fin de compte, cela peut conduire à des envies lorsque des émotions similaires surgissent.

Influences culturelles et sociales

Les préférences et les envies alimentaires sont également influencées par des facteurs culturels et sociaux. Pensez simplement à certaines de nos activités culturelles. Si vous allez à un match de baseball, vous achetez un hot-dog. Allez à la foire du comté et vous aurez envie d’une oreille d’éléphant ou de barbe à papa.

La publicité, les normes sociétales et les rassemblements sociaux impliquent souvent des aliments transformés riches en glucides. Ces influences peuvent également contribuer aux fringales et aux habitudes alimentaires.

Un besoin d’un regain d’énergie rapide

Les glucides transformés sont souvent riches en sucres simples, qui sont rapidement digérés et absorbés par l’organisme. Cette absorption rapide provoque une augmentation rapide du taux de sucre dans le sang. Bien que cela puisse procurer un regain d’énergie temporaire et des sentiments positifs, cela peut entraîner davantage de fringales malsaines.

Alimentation émotionnelle (réponse dopaminergique)

Dans le même ordre d’idées, les glucides hautement transformés peuvent déclencher la libération de dopamine dans le cerveau. La dopamine est un neurotransmetteur associé au plaisir et à la récompense. Cette réponse dopaminergique peut créer un cycle de fringales alors que le cerveau cherche à recréer la sensation agréable.

 

Comment aller à la racine du problème et freiner les envies ?

Identifier et traiter la ou les causes profondes des envies de glucides peuvent nous aider à mieux les gérer. Voici quelques stratégies qui peuvent vous aider :

Résoudre les problèmes de santé mentale

La surconsommation de glucides et d’aliments transformés est souvent un moyen de gérer ses émotions. Les sentiments d’anxiété ou de dépression peuvent déclencher une consommation excessive d’un pot entier de glace ou d’un sac entier de chips. Manger des glucides et du sucre augmente les niveaux de sérotonine pour nous aider à nous sentir mieux temporairement. Mais la prise de poids et les problèmes de santé qui en découlent peuvent entraîner davantage de problèmes de santé mentale. Et le cycle se répète.

Une meilleure façon de gérer les hauts et les bas émotionnels consiste à recourir à la thérapie et/ou à l’activité physique. L’exercice augmente également les endorphines et la sérotonine, un neurotransmetteur de bien-être. C’est bon pour le bien-être général et peut contribuer à une perte de poids saine en cas de besoin.

Détox au sucre

S’engager dans une cure de désintoxication au sucre peut aider à réinitialiser vos papilles gustatives. Il peut également aider à stabiliser la glycémie et à réduire les envies de sucre et autres envies de malbouffe. Voici comment en démarrer un :

  • Fixez-vous un objectif de désintoxication au sucre : décidez de la durée de votre désintoxication au sucre. Cela peut prendre une semaine, deux semaines, voire plus. Un calendrier spécifique vous aide à rester concentré et engagé.
  • Supprimez les aliments sucrés : débarrassez votre maison et votre environnement de travail de tous les aliments et boissons sucrés. Il peut s’agir de bonbons (même biologiques), de sodas, de pâtisseries, de pains et de snacks transformés. Restreindre ces aliments de votre espace vous aidera à rester sur la bonne voie.
  • Concentrez-vous sur les aliments entiers : privilégiez les aliments entiers et non transformés pendant la détox. Magasinez dans l’allée extérieure ! Recherchez des fruits, des légumes, des protéines nourries à l’herbe, en liberté ou capturées dans la nature, des graisses saines et des glucides complexes. Ces aliments fournissent des nutriments essentiels et des fibres tout en minimisant le sucre.
  • Lisez les étiquettes : lorsque vous faites vos courses, lisez attentivement les étiquettes pour identifier les sucres ajoutés dans les produits. N’oubliez pas que le sucre peut se cacher sous différents noms comme saccharose, fructose, sirop de maïs, dextrose et autres. Choisissez des aliments avec peu ou pas de sucres ajoutés.
  • Gérer les fringales : Vous pouvez avoir des fringales pendant la détox sucrée. Lorsque cela se produit, distrayez-vous avec des activités engageantes. Pratiquez une alimentation consciente et recherchez des alternatives plus saines. Optez par exemple pour un fruit pour satisfaire votre gourmandise.

Lorsque vous avez atteint la fin de votre cure de désintoxication au sucre, continuez à limiter votre consommation de glucides simples. Suivez un régime globalement faible en glucides pour maîtriser les envies de sucre à long terme.

Optez plutôt pour des glucides complexes

Vous n’êtes pas obligé de supprimer tous les glucides et de consommer pleinement du sucre pour être en bonne santé. Opter pour des glucides complexes sains au lieu de glucides simples peut éloigner les fringales. Voici des exemples de glucides complexes :

  • Patates douces
  • Courge (surtout courge d’hiver)
  • Gruau
  • Les légumineuses
  • Pois chiches (houmous)
  • Fruits, y compris les plantains
  • Légumes racines

Si vous vous concentrez en premier lieu sur les glucides complexes sains, vous êtes moins susceptible d’avoir envie de glucides malsains.

Mangez des graisses saines

Une alimentation saine inclut les graisses ! Manger des graisses comme les avocats, l’huile d’olive et les poissons gras est une autre stratégie pour éliminer les envies de glucides. Les graisses ajoutent non seulement de la richesse et de la saveur aux aliments, mais augmentent également la satiété. Lorsque les repas sont savoureux et satisfaisants, vous êtes moins susceptible d’avoir envie d’aliments riches en glucides pour le goût ou le plaisir.

Consommer des graisses saines avec des aliments riches en glucides peut également ralentir la digestion et l’absorption du glucose. Cela aide à prévenir les pics et les baisses rapides du taux de sucre dans le sang, qui peuvent déclencher des envies de glucides. Inclure des graisses saines à chaque repas peut favoriser une glycémie équilibrée et réduire les envies de glucides transformés.

N’oubliez pas les protéines !

Consommer suffisamment de protéines peut également aider à maîtriser les fringales. La recherche montre que les protéines rassasient notre appétit. Une étude publiée dans Obesity a suivi des hommes en surpoids qui ont augmenté leur apport en protéines à 25 % de leurs calories quotidiennes. Ils ont rapporté que l’augmentation de la teneur en protéines réduisait leurs envies.

Une étude sur des adolescentes en surpoids qui sautaient habituellement le petit-déjeuner a essayé un petit-déjeuner riche en protéines pour lutter contre les fringales. Manger au moins 35 grammes de protéines au petit-déjeuner réduit les envies d’aliments sucrés ou salés tout au long de la journée.

Restez hydraté

Buvez beaucoup d’eau tout au long de la journée pour rester hydraté. Évitez les boissons sucrées comme les sodas, les jus de fruits et les boissons énergisantes. Si vous avez envie de quelque chose de sucré, optez pour une tisane ou infusez chaque verre d’eau avec des fruits frais pour plus de saveur.

Planifier des repas et des collations

Préparez vos repas et collations à l’avance pour vous assurer de disposer d’options saines à portée de main. Avoir un plan de repas en place aidera à prévenir les choix impulsifs comme les croustilles et la crème glacée. Cela facilitera également le respect de votre plan de désintoxication.

Lire aussi: Les meilleurs types de jeûne intermittent pour perdre du poids rapidement et durablement

Donner la priorité au sommeil

Ne pas dormir suffisamment a de nombreux effets néfastes sur la santé, notamment l’augmentation de l’appétit. Selon un essai clinique réalisé en 2004, le manque de sommeil entraîne une baisse de la leptine (l’hormone de la satiété). La ghréline (l’hormone de la faim) augmente. Cela signifie que vous pourriez avoir faim même si vous mangez beaucoup de calories. Quand vous vous réveillez le matin, vous mourez déjà de faim.

Le manque de sommeil peut vous amener à consommer trop de calories le lendemain. Et lorsque nous sommes fatigués, nous avons envie de glucides simples et sucrés pour un regain d’énergie rapide.

Obtenir de l’aide

Partagez vos objectifs de désintoxication au sucre avec vos amis, votre famille ou un groupe de soutien. Un système de soutien peut fournir des encouragements, des responsabilités et de la motivation tout au long du chemin. Certaines personnes peuvent également souhaiter l’aide d’un nutritionniste ou d’un diététiste professionnel pour obtenir des conseils et des responsabilités.

Certains suppléments peuvent également aider. Une plante appelée gymnema aide à réduire les envies de sucre. Le chrome (un oligo-élément) aide à réguler les niveaux de sucre dans le sang et d’insuline.

Surveillez vos progrès

Gardez une trace de ce que vous ressentez tout au long de la cure de désintoxication. Notez les changements dans votre niveau d’énergie, votre humeur, vos envies et votre bien-être général. Cela peut servir de rappel des effets positifs de la réduction de la consommation de sucre.

N’oubliez pas qu’une cure de désintoxication au sucre n’est qu’une réinitialisation temporaire. Après avoir terminé la détox, réintroduisez progressivement les sources naturelles de sucres comme les fruits. Restez néanmoins vigilant et faites attention aux sucres ajoutés dans les aliments transformés. Visez à maintenir une approche équilibrée et durable de votre alimentation sur le long terme.

Conclusion

En somme, maîtriser ses pulsions sucrées demande de la détermination et une stratégie adaptée. Pour y parvenir, diversifier son alimentation est essentiel, en privilégiant les aliments à faible indice glycémique. L’hydratation régulière et un peu d’exercice physique sont aussi des alliés précieux. Enfin, écouter son corps et reconnaître les signaux de satiété contribue à un meilleur contrôle des fringales. Ainsi, une approche holistique et personnalisée s’avère être la clé pour modérer ses envies de sucre.

 

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention