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Loana aurait été hospitalisée d’urgence après une overdose de GHB: “Elle était dans un état lamentable”

Ce lundi, l’ex-star de télé-réalité Loana aurait été hospitalisée d’urgence à Hyères, près de Toulon, après une overdose de GHB, selon les informations de StarMag. Inconsciente pendant plusieurs heures, son état aurait été jugé grave par les médecins lors de son admission à l’hôpital. 
Loana Petrucciani semble être au plus mal. Selon StarMag, l’ancienne candidate du “Loft” aurait fait une overdose suite à une consommation massive de GHB dans une chambre d’un hôtel du Lavandou. Elle aurait été hospitalisée dans un hôpital de Hyères, dans le sud de la France. 
Ce lundi soir, Guillaume Genton, un journaliste médias qui faisait partie de l’équipe de tournage d’un documentaire consacré à la star, a donné plus de détails sur le plateau de “Touche pas à mon poste”. “On était en train de tourner un documentaire avec Loana. Tout se passait bien”, a-t-il indiqué, illustrant ses propos avec des images d’un tournage où l’on voit Loana au bord de la mer. 
 
Transférée dans un hôpital psychiatrique?
“Ce dimanche soir, Loana a été raccompagnée à son hôtel par son chauffeur qui est à sa disposition. Ce lundi matin, Guillaume Garnier, notre rédacteur en chef, a retrouvé Loana dans un état lamentable. Sa chambre était sens dessus dessous. Les poubelles ont été fouillées. Elle a été emmenée aux urgences à 9h du matin. Elle était dans état très grave, mais elle peut encore parler. Elle va être transférée en hôpital psychiatrique”, a-t-il ajouté.
 
Le chroniqueur de TPMP a poursuivi ses explications en indiquant que Loana avait toujours avec une bouteille d’Oasis avec elle durant le tournage. Selon lui, elle mélangeait la boisson sucrée avec du GHB liquide. “On s’est rendu compte que dès qu’elle buvait dans cette bouteille, elle changeait d’état. Elle aurait pris cette substance cette nuit”.
 
Sur Twitter, Cyril Hanouna a témoigné son soutien à la star. “Je pense très fort à Loana en ce moment même, je suis de tout cœur avec elle”, a-t-il écrit. “On essayera de vous donner de ses nouvelles ce soir dans l’émission. On fera notre max pour l’aider!”
Le 9 février dernier, dans un témoignage à TPMP, Loana s’était livrée sur sa descente aux enfers et sa consommation excessive de drogue. Elle avait raconté ses tentatives de suicide. “On regarde le soleil pour la dernière fois, on fait un câlin à son chien pour la dernière fois; et on prend des médicaments pour en finir avec la vie. Je n’ai pas essayé qu’une fois, j’ai essayé sept fois, j’ai fait deux arrêts cardiaques et trois comas”, avait-elle confié.

Mimie Mathy se confie sur son désir de maternité: “On a essayé et ça n’a pas fonctionné”

Mimie Mathy, une des personnalités préférées des Français, s’est confiée sur son désir de maternité dans une interview accordée à l’émission “Sept à huit” dimanche 21 février. “On a essayé et puis ça n’a pas fonctionné”, a-t-elle notamment raconté.
 
Lorsqu’elle était plus jeune, Mimie Mathy a beaucoup souffert de la solitude. L’actrice consultait régulièrement des voyantes pour se rassurer sur son avenir amoureux. “J’avais beaucoup d’amis, j’avais ma famille, mais je n’avais pas un amoureux. Je consultais des voyantes qui me disaient: ‘Ne vous inquiétez pas, vous allez le rencontrer un peu plus tard, vous allez fonder une famille, vous allez être heureuse, vous allez avoir un homme qui va vous aimer.’ Alors ça rassure, on ressort, on se dit: ‘Je vais rencontrer quelqu’un’”, a-t-elle confié dans “Sept à huit”. 
 
En 2003, l’interprète de “Joséphine ange gardien” rencontre Benoist Gérard, qui deviendra son grand amour, lors d’un de ses spectacles. En 2005, ils se marient et commencent à réfléchir à l’éventualité d’avoir des enfants. Son époux, lui, avait déjà quatre enfants âgés à l’époque de 7 à 17 ans. “On a essayé et puis ça n’a pas fonctionné donc je n’allais pas à tout prix en avoir un à partir du moment où dans la corbeille du mariage, il m’avait amené 4 enfants délicieux, ce n’était pas grave.” 
 
“Le monde est dur”
L’actrice craignait également de mettre au monde un enfant de petite taille. “Il y a un risque, c’est une chance sur 4. Je devais prendre le risque à 45 ans d’attendre l’échographie décisive au bout de 4 mois et de me dire: ‘Qu’est-ce que je fais? Est-ce que je le garde ou est-ce que je ne le garde pas? Est-ce qu’il m’en voudra si je le mets au monde et qu’il est comme moi?’ On ne peut pas consciemment ne pas se poser la question. Le monde est dur et moi, je n’avais pas envie que mon futur enfant puisse morfler si jamais il se trouvait dans la même situation que moi. Est-ce que j’aurais été aussi forte que l’ont été mes parents? Je ne sais pas.”

Bras de fer entre médias et GAFAM : qu’en est-il en France ?

Le commissaire européen en charge de la régulation des services numériques, Thierry Breton, a critiqué lundi le blocage de contenus par Facebook en Australie en représailles à un projet de loi qui contraindrait le géant américain à rémunérer les médias. Une passe d’armes qui rappelle le bras de fer entre les médias français et Google, qui a débouché le mois dernier sur un accord qualifié de “belle avancée” par l’avocate Christiane Féral-Schuhl.
 
Entre les médias et les GAFAM, la guerre se poursuit. Le commissaire européen en charge de la régulation des services numériques, Thierry Breton, a sévèrement critiqué, lundi 22 février, le blocage de contenus d’actualité par Facebook en Australie en représailles à un projet de loi qui le contraindrait à rémunérer les médias. Jeudi dernier, le réseau social avait en effet empêché des millions d’internautes de lire et de partager des articles sur la plateforme.
 
L’événement n’est pas sans rappeler l’épreuve de force qui oppose Google à la presse française. Après des négociations mouvementées, les deux parties ont néanmoins annoncé, le 21 janvier dernier, la signature d’un accord ouvrant la voie à la rémunération de la presse hexagonale par le moteur de recherche américain au titre des “droits voisins”. Selon l’Apig, qui représente les quotidiens nationaux et régionaux, “une étape majeure” a été franchie, qui est “l’aboutissement de nombreux mois de négociations dans le cadre déterminé par l’Autorité de la concurrence”.
 
Contactée par France 24, Christiane Féral-Schuhl, avocate spécialiste en propriété intellectuelle et informatique, revient sur l’intérêt de mettre en place de telles mesures, à une époque où les GAFAM sont incontournables.
 
France 24 : Quel est l’objectif du projet de loi australien vis-à-vis des géants du Net ?
 
Christiane Féral-Schuhl : En Australie, le gouvernement veut obliger Google et Facebook à rémunérer les groupes de presse : les deux groupes américains, qui captent une large majorité du marché public sur le Web, devront verser plusieurs millions de dollars aux médias locaux. L’Australie va adopter dans les mois à venir une loi contraignant Google et Facebook à partager leur revenus publicitaires avec les groupes de presse, et cette rémunération tournerait autour de plusieurs millions de dollars annuels.
 
C’est compréhensible que Google crée de la valeur en constituant une revue de presse. Pourquoi passe-t-on par Google ? Parce que Google nous permet d’identifier immédiatement toutes les informations en lien avec un sujet. Quand je clique sur un contenu, Google est rémunéré à chaque passage grâce à la publicité, là où moi je ne paie pas parce que je suis lecteur. Mais celui qui a fourni l’article, et donc la matière grise – que ce soit l’auteur, le journaliste ou le rédacteur –, ne gagne rien.
 
En France, le bras de fer entre Google et les agences et éditeurs de presse a débouché sur un accord. Un accord-cadre dans lequel Google s’engage à négocier individuellement avec les 300 titres de presse concernés.
 
Comment en est-on arrivé là en France ?
 
La loi du 24 juillet 2019 a cherché un rééquilibrage des rapports de force entre les plateformes en ligne et les agences et éditeurs de presse. Son objectif était notamment d’empêcher les moteurs de recherche comme Google d’effectuer un pillage des contenus. Cette loi visait donc à favoriser les négociations entre les parties, et c’est sur le fondement de cette loi qu’agences et éditeurs ont demandé une rémunération dès lors que leurs contenus éditoriaux sont réutilisés par Google dans le cadre des services que le moteur de recherche propose.
 
Avant l’entrée en vigueur de cette loi, Google avait annoncé qu’il n’entendait pas rémunérer les agences et éditeurs de presse pour la reprise de leurs contenus. Le moteur de recherche avait menacé de ne plus afficher d’aperçu du contenu en France pour les éditeurs de presse européens, sauf pour ceux ayant fait des démarches pour indiquer que c’était leur souhait. Le géant américain avait également menacé de ne plus procéder au référencement de ces contenus sauf si les éditeurs lui accordaient une licence à titre gratuit pour pouvoir inclure les extraits et les miniatures des contenus sur les pages de résultats (ce qui rappelle la polémique en Australie, après que Facebook a fait disparaître tous les contenus éditoriaux de sa plateforme, NDLR).
 
L’Autorité de la concurrence a donc été saisie par les éditeurs, qui ont allégué de l’abus de position dominante et de l’abus de dépendance économique vis-à-vis de Google et ont sollicité des mesures conservatoires d’urgence pour contraindre Google à renégocier avec eux.
 
Dans une décision d’avril 2020, l’Autorité de la concurrence a jugé que le comportement de Google était susceptible de constituer un abus de position dominante parce qu’il avait imposé des conditions de transaction inéquitables. Elle a donc contraint Google d’entrer en négociation ‘de bonne foi’ avec les agences et éditeurs pour définir la rémunération associée au référencement des publications de presse protégé par le droit voisin. Tout cela nous conduit aujourd’hui à un accord-cadre en cours de négociation depuis un certain temps (dont la signature a été annoncée le 21 janvier dernier, NDLR).
 
Ces accords peuvent-ils avoir un impact sur la liberté de la presse ?
 
Plus qu’un impact sur la liberté de la presse, c’est son modèle économique qui est touché.
 
Aujourd’hui, la logique veut que pour identifier les articles qui vous intéressent, Google est une mine formidable, mais il est anormal qu’économiquement, ceux qui produisent le contenu ne bénéficient pas des revenus perçus par Google, alors que n’importe quelle revue de presse donne lieu à des droits.

Devant les enquêteurs de la Dic, Guy Maruis Sagna et Assane Diouf refusent de parler !

’est la Rfm qui donne l’information dans son édition de ce mardi: les activistes Assane Diouf et Guy Maruis Sagna, arrêtés hier par les limiers de la Division des investigations criminelles (Dic), refusent présentement de répondre aux questions des enquêteurs. Ils estiment qu’il n’y a aucune raison de les arrêter car ils ne font que défendre leur pays.
Quant à Clédor Sène qui a été arrêté ce mardi, les policiers le soupçonnent d’avoir planifié un mouvement insurrectionnel qui devait passer par l’instrumentalisation de certains jeunes.

Sonko répond à Macky Sall sur sa page Facebook

acky Sall et son complot.

COMPLOT ! Ça y est, le mot est lâché, et de la bouche de son principal instigateur : Macky Sall lui-même.

Que peut-il dire d’autre lorsque que le Procès-verbal d’enquête de la gendarmerie, étayé par les témoignages et le rapport médical, après avoir écarté toute preuve d’un présumé viol, donne des pistes claires d’un sombre complot politique, maladroitement ourdi ?

Que peut-il dire d’autre lorsque sa vaste campagne de désinformation et de terreur n’a pas permis de convaincre l’opinion du mensonge et donner légitimité à son projet de liquidation ?

Que peut-il dire d’autre lorsque, dans un procès-verbal d’enquête de gendarmerie portant sur une affaire fomentée contre son ennemi (pardon “adversaire“), il est clairement mentionné l’implication d’un responsable de sa coalition BBY ?

La simple mention de l’acronyme BBY suffit au classement de ce dossier grossier et au déclenchement d’une procédure en destitution contre lui, comme ce fut le cas pour le Président Nixon avec l’affaire “Watergate“ ;

Que peut-il dire d’autre lorsque son procureur a interrompu l’enquête dès lors que celle-ci s’acheminait vers la piste et la convocation probable dudit responsable de BBY, d’un médecin et d’un avocat cités dans l’affaire ?

Que peut-il dire d’autre lorsque l’État, dans une affaire supposée privée, kidnappe et isole la présumée victime, à l’insu même de son père et de sa famille qui sont sans nouvelle d’elle depuis le déclenchement de cette mascarade.

Monsieur Macky Sall, vous ne pouvez convaincre aucun Sénégalais. Tous savent que votre seule compétence, c’est le complot politique contre vos adversaires.

Chers compatriotes, je vous donne rendez-vous dans les prochaines heures pour une importante déclaration.

Sénégal

Resistance

Mbour – Emigration clandestine : Une mère de famille condamnée à deux ans avec sursis

Une mère de famille de six enfants, R. Thiam, a offert pendant plusieurs mois le gîte et le couvert à des candidats à l’émigration clandestine. Pis, elle aurait recruté des personnes pour le compte du convoyeur Talla Mangassa. Ce dernier en fuite, elle a comparu seule. Elle a été condamnée à 2 ans avec sursis. Une peine qui la sauve de la vie carcérale. Et c’est grâce à ses six enfants de bas-âge que le juge a été aussi clément.

A la barre du tribunal des flagrants délits du tribunal de grande instance de Mbour, elle se défend : “ce sont juste des accusations. Talla a encaissé l’argent des candidats et s’est enfui. J’ai été témoin quand les candidats remettaient l’argent à Talla. Après qu’il a reçu l’argent, il m’a une fois offert 5000 frs. Je ne suis en rien impliquée dans cette affaire”.

Le juge de lui lancer : “vous êtes allée à Yarakh pour recruter 15 personnes. Lors du voyage, vous étiez sur les lieux du départ”.

Acculée par les questions et la lecture du procès-verbal, Rokhaya Thiam craque et fond en larmes.

Son avocat, Me Tall affirme que sa cliente qu’elle connaît bien et qui est de très bonne foi a été piégée par Talla Mangassa.

“Son propre frère a versé 600.000 frs à Talla Mangassa. Elle est victime au même titre que les autres. Depuis son arrestation, c’est une atmosphère de deuil qui règne dans son foyer. Je vous demande de lui faire bénéficier de votre magnanimité et de votre pardon. Sa mère est venue de Yarakh afin de surveiller ses six enfants avec qui elle vit seule. Car son mari est parti à l’étranger. R. Thiam vend des légumes devant sa maison pour prendre en charge ses enfants”.
Et c’est grâce à ces derniers que le juge a été clément en la condamnant au sursis.

Menaces de mort contre des autorités : Birame Soulèye Diop, son épouse et Cie édifiés aujourd’hui

Les mis en cause dans l’affaire des menaces de mort présumées contre des autorités étatiques seront édifiés ce mardi.

D’après Libération, le parquet a transmis, hier, au Doyen des juges, un réquisitoire introductif dans lequel il requiert le mandat de dépôt contre l’administrateur de Pastef Birame Soulèye Diop et Dahirou Thiam.

Le procureur a aussi réclamé, par la même occasion, l’inculpation, sous le régime du contrôle judiciaire, de Patricia Marième Gandoul, Abass Fall, Fatima Mbengue et Bawar Dia, agent de la Sonatel.

Covid-19 aux États-Unis : 500 000 morts, un bilan “déchirant” pour Joe Biden

Le président américain Joe Biden a présidé lundi une cérémonie d’hommage aux plus de 500 000 victimes du Covid-19 dans le pays. Le démocrate a aussi ordonné une mise en berne des drapeaux sur l’ensemble des bâtiments fédéraux pendant cinq jours.

Le bilan de l’épidémie de Covid-19 aux États-Unis, qui a dépassé 500 000 morts lundi 22 février, est “déchirant”, a déclaré d’une voix émue le président américain Joe Biden lors d’une allocution depuis la Maison Blanche.
 
“Nous devons résister à la tentation de voir chaque vie comme une statistique […]. Nous devons le faire pour honorer les morts”, a-t-il ajouté avant d’observer une minute de silence en présence de son épouse, Jill Biden, de la vice-présidente, Kamala Harris, et de son époux, Doug Emhoff. “Je demande aussi que nous agissions, que nous restions vigilants, que nous gardions nos distances, que nous portions des masques, que nous nous fassions vacciner”, a-t-il ajouté.
Après l’allocution, les deux couples de l’exécutif américain sont apparus devant la Maison Blanche, où ils se sont recueillis quelques instants, d’abord silencieux, puis accompagnés dans cet hommage par le très populaire cantique “Amazing Grace”, joué par un orchestre de marines.

Joe Biden s’est ensuite signé, entouré de 500 bougies pour symboliser les 500 000 morts disposées sur le balcon de la Maison Blanche et sur les escaliers qui y mène, avant de disparaître aux regards et aux caméras.
 
Le président démocrate a aussi ordonné une mise en berne des drapeaux sur l’ensemble des bâtiments fédéraux pendant cinq jours. 
 
Avec 500 159 personnes ayant succombé au virus et plus de 28 millions de cas de contaminations, les États-Unis sont le pays le plus touché au monde en valeur absolue par la pandémie. Le rythme actuel des vaccinations (1,7 million d’injections quotidiennes en moyenne) donne cependant espoir. “Je crois que nous allons nous rapprocher de la normalité d’ici à la fin de cette année”, a ainsi affirmé vendredi Joe Biden.
 
Un timide optimisme auquel faisait écho, lundi, l’annonce de la réouverture des cinémas de New York, prévue le 5 mars, avec une jauge maximum de 25 % de la capacité d’accueil habituelle et une limite de 50 spectateurs par salle.

Immunité parlementaire de Sonko : révélations sur les travaux de la commission ad hoc

usmane Sonko sera bientôt fixé sur son sort. La commission ad hoc chargée d’examiner la demande de levée son immunité parlementaire vient de boucler son travail. Malgré son refus de déférer à la convocation et la démission des députés Cheikh Bamba Dièye et Moustapha Guirassy de l’opposition, ladite commission a poursuivi ses travaux en présence de la députée, Aïda Mbodj, désignée pour défendre Ousmane Sonko et le président du groupe parlementaire « Libéraux et Démocrates », Serigne Bara Doly.

La commission ad hoc devra, ensuite, rédiger son rapport et l’envoyer à la séance plénière prévue dans la semaine. Celle-ci devrait décider de la levée ou non de l’immunité parlementaire de Sonko.

Tribunal de Dakar : Retour de parquet pour Biram Soulèye Diop et Cie

Biram Soulèye Diop, son épouse Patricia, Mariame Ngandoul, Abass Fall, Fatima Mbengue, Bawar Dia et Dahirou Thiam ont bénéficié d’un retour de parquet. Ils ont été déférés ce lundi. Les mis en cause sont poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles et images contraires aux bonnes mœurs. Ils devront encore attendre avant d’être édifiés sur leurs sorts.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention