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Ucad: Affrontements entre étudiants et forces de l’ordre ce matin

Les étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar sont en front depuis 07 h du matin. Ils ont barré l’avenue empêchant les voitures de circuler. La police qui a rapidement investi les lieux a pollué l’atmosphère de gaz lacrymogène pour disperser les étudiants.

Au moment où ces lignes sont écrites, les limiers contrôlent la situation, les étudiants se sont refusés à l’intérieur du camps social et tente de riposter avec des jets de pierres.

Nous y reviendrons

Pikine-Technopole : le corps sans vie de Serigne Ndiaye découvert dans un canal

Alors que sa famille le recherchait depuis quelques jours, Serigne Ndiaye a été retrouvé avec le corps sans vie dans un canal à ciel ouvert rempli d’eau et d’herbes situé aux abords du Technopole. Le journal Les Échos qui donne l’information indique qu’il est âgé d’une quarantaine d’années.

Porté disparu depuis quatre jours, Serigne Ndiaye, qui souffrait d’un mal chronique, avait l’habitude de se promener pour se dégourdir les jambes et contempler la nature aux abords du Technopole. Samedi dernier, inquiet de son absence prolongée, ses proches avaient signalé sa disparition au commissariat local. Ce n’est que mercredi qu’un corps flottant a été aperçu dans le canal par des passants, qui ont alerté les autorités.

Les pompiers ont récupéré le corps, et les proches l’ont identifié comme étant celui de Serigne Ndiaye. Les premières analyses n’ont révélé aucune trace de blessures. Les enquêteurs privilégient l’hypothèse d’une chute accidentelle suivie d’une noyade, probablement aggravée par les eaux boueuses et les herbes du canal.

Le corps de la victime a été transféré à la morgue de l’hôpital général de Grand-Yoff pour une autopsie, tandis qu’une enquête préliminaire a été ouverte. Les auditions des témoins sont en cours afin d’élucider les circonstances exactes de ce drame.

Pouponnière « Keur Yeurmandé » : Ndella Madior à la Chambre

Les avocats de Ndella Madior Diouf ont fait appel pour contester l’ordonnance qui refuse la mise en liberté provisoire de leur cliente. Selon le journal L’Observateur, qui rapporte cette information, la requête sera examinée par la Chambre d’accusation le 10 décembre.

Ndella Madior Diouf a été arrêtée et placée sous mandat de dépôt en décembre 2023, dans le cadre de l’affaire de la pouponnière « Keur Yeurmandé ». Cet établissement, situé à Sacré-Cœur, fonctionnait sans autorisation administrative. Des accusations graves pèsent sur cette structure, où des enfants auraient subi des mauvais traitements, certains ayant perdu la vie avant d’être enterrés.

Les charges retenues contre Ndella Madior Diouf sont multiples et lourdes : traite de personnes, exercice illégal de la médecine, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort, mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à personne en danger, et obtention frauduleuse de certificats d’inhumation. À ce jour, toutes ses demandes de mise en liberté provisoire ou de placement sous bracelet électronique ont été rejetées.

Cette audience représente une nouvelle opportunité pour la mise en cause de retrouver la liberté en attendant son procès.

Rapport sur la dette internationale : Le Sénégal parmi les pays les plus endettés

La dette extérieure du Sénégal a atteint plus de 39 milliards de dollars. ‘’Le rapport sur la dette internationale a été publiée le mardi 3 décembre par la Banque mondiale. L’institution financière internationale révèle que la dette extérieure du Sénégal a atteint plus de 39 milliards de dollars. Une situation préoccupante pour le nouveau régime, qui récemment disait éprouver des difficultés pour trouver les traces de l’utilisation de ces fonds’’, écrit le journal.

Selon Le quotidien Le Soleil, le rapport renseigne que le Sénégal, l’Ukraine et Maurice ont enregistré les plus fortes augmentations de leur dette en 2023 parmi les pays à faible revenu éligibles à l’IDA. Le Mozambique (38,3%), le Sénégal (25,9%), le Pakistan (13,6%), le Kenya (12,8 %) et la République dominicaine (10,3%) ‘’ont eu les ratios les plus élevés de paiements d’intérêts sur la dette totale par rapport aux recettes d’exportation, une situation qui a affaibli leur situation budgétaire’’, constate le rapport.

Le journal lAs explique comment la dette du Sénégal a explosé en 20 ans. ‘’L’encours total de la dette extérieure du Sénégal est passé de 4,650 milliards de dollars (1 dollar = 622 FCfa au cours actuel du dollar) en 2010 à 39,950 milliards de dollars en 2023. Dans ce stock, la part de la dette extérieure à long terme est passée à 32,826 milliards de dollars en 2023 contre 4,198 milliards de dollars en 2010. La moitié (50%) est constituée de dette multilatérale. Mais, on note une part croissante de la dette privée (33% du total), passant de 1,048 milliard de dollars en 2010 à presque 16 milliards de dollars en 2023’’, écrit le journal.

Il ajoute : ‘’Le stock de la dette extérieure à court terme est estimé à 4,858 milliards de dollars en 2023. Le service de la dette est ainsi estimé à 1,527 milliard de dollars en 2023 contre 101 millions de dollars en 2010. Par créancier, la Banque mondiale arrive en tête (23% du stock de la dette multilatérale du Sénégal), suivie de la Banque africaine de développement (10%), de la Chine (7% de la dette bilatérale) et de la France (6%)’’.

 

 

Sur le même sujet, L’Observateur rappelle que le 26 septembre, ‘’la mèche a été allumée par le chef du Gouvernement, déclenchant l’éclat de la vérité sur une nébuleuse économique jusqu’alors cachée’’.

‘’Lors d’une conférence de presse, à Dakar, consacrée à un état des lieux des Finances publiques, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a jeté un pavé dans la mare en accusant le régime sortant du Président Macky Sall d’avoir maquillé les chiffres pour présenter une image du Sénégal comme une économie +solide+’’, écrit le journal.

Liste polémique des médias reconnus : Anta Babacar Ngom interpelle le ministre Alioune Sall

À peine installée comme députée de la 15e législature, Anta Babacar Ngom a adressé une série de questions au ministre de la comunication des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall.

Dans sa correspondance, la parlementaire s’appuie sur les dispositions du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale pour solliciter des éclaircissements sur la publication récente de la liste des organes de presse dits « conformes » à la réglementation en vigueur.
La députée précise que cette démarche intervient dans un contexte où cette publication suscite « de nombreuses interrogations, tant parmi les acteurs du secteur que dans l’opinion publique ». Elle révèle avoir été interpellée par des professionnels des médias et exprime son souhait d’obtenir « des réponses claires, précises et documentées afin d’éclairer ces préoccupations légitimes ».
La première question posée par Anta Babacar Ngom Diack porte sur les bases légales qui définissent la conformité des organes de presse. Elle demande : « Quels sont les critères spécifiques définis par la législation sénégalaise ou les régulations sectorielles pour déterminer la conformité des organes de presse ? Ces critères ont-ils été validés par les instances compétentes en matière de régulation des médias ? ».
Sur le plan de la transparence, elle interroge les mécanismes garantissant l’impartialité du processus. « Quels mécanismes précis sont en place pour garantir l’impartialité et la transparence dans le processus de sélection des organes de presse dits conformes, en particulier pour ceux éligibles aux partenariats avec les institutions publiques ou aux appuis financiers de l’État ? ».
La députée questionne également la méthode employée pour élaborer la plateforme d’enregistrement des organes de presse. Elle souhaite savoir si cette dernière a été conçue en concertation avec des acteurs clés, notamment le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS).
Par ailleurs, elle s’intéresse au sort des organes jugés non conformes et demande : « Quelles mesures ont été mises en place pour accompagner les organes de presse considérés comme non conformes afin de leur permettre de régulariser leur situation ? Existe-t-il un mécanisme d’appel ou de recours pour ces derniers, et, le cas échéant, quelles en sont les modalités ? ».
Un autre aspect central des préoccupations soulevées concerne la compatibilité des critères appliqués avec la Constitution. « Les critères de conformité appliqués respectent-ils pleinement les dispositions constitutionnelles du Sénégal, notamment en matière de liberté d’opinion, de droit à l’information et de pluralisme des médias ? », interroge-t-elle.
Anta Babacar Ngom Diack s’intéresse également à l’impact global de la réforme sur le paysage médiatique. Elle questionne : « Quel est l’impact attendu de cette réforme sur l’écosystème médiatique national, en particulier sur les médias émergents et les radios communautaires, souvent confrontés à des contraintes financières et organisationnelles ? ».
Enfin, la députée cherche à comprendre les dispositifs prévus pour assurer une mise en œuvre efficace des mesures annoncées. « Quels mécanismes de suivi sont prévus pour s’assurer de la mise en œuvre effective et équitable de ces mesures ? Des évaluations périodiques sont-elles planifiées, et si oui, à quelle fréquence ? », demande-t-elle.

Pétrole : Près de 3 milliards de barils produits en novembre 2024

Le site pétrolier de Sangomar, situé au large des côtes sénégalaises poursuit son essor.  Selon le dernier rapport sur la production, l’ensemble des puits de ce champ pétrolier a été pleinement opérationnel à la fin du mois de novembre 2024. Tous les puits sont désormais disponibles pour alimenter les lignes de production, dans le cadre d’un planning visant à maximiser l’extraction. L’ensemble des puits de production a été mis en service, permettant d’atteindre des niveaux de production optimisés pour chaque puits. Ce développement marque un tournant important pour le secteur pétrolier sénégalais.

En novembre, le site a atteint une production totale de 2,94 millions de barils de pétrole brut. Au cours du mois, trois cargaisons représentant un volume total de 2,89 millions de barils ont été acheminées et commercialisées sur le marché international.

La production annuelle pour 2024 est désormais estimée entre 15 et 16 millions de barils, dépassant nettement l’objectif initial de 11,7 millions de barils fixé pour la première année de mise en exploitation.

Avec une capacité d’extraction quotidienne ciblée à 100 000 barils, le Sénégal renforce sa position sur la scène internationale en tant que futur producteur d’hydrocarbures.

 

France : Le gouvernement de Michel Barnier renversé !

Fin de partie pour Michel Barnier. L’Assemblée nationale a adopté, mercredi 4 décembre, la motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire (NFP). Le texte a été voté par 331 députés, soit 43 de plus que la majorité absolue de 288 voix qui était requise pour son adoption. Ce vote contraint le Premier ministre à la démission.

La motion de censure avait été déposée à la suite du déclenchement de l’article 49.3 de la Constitution par Michel Barnier, lundi, pour faire adopter sans vote le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Une deuxième motion avait été déposée par le Rassemblement national, mais elle devient sans objet du fait de l’adoption de la première.

Un saut dans l’inconnu

Cette situation politique est inédite depuis plus de soixante ans. Avant le vote de mercredi, une seule motion de censure avait été adoptée, en octobre 1962. Celle-ci avait entraîné la démission du gouvernement de Georges Pompidou. A l’époque, le général de Gaulle avait immédiatement réagi en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale. Mais aujourd’hui, Emmanuel Macron ne peut pas faire de même. La Constitution lui interdit de dissoudre avant l’expiration d’un délai d’un an après les élections législatives.

Avant le vote, Emmanuel Macron avait dit ne “pas croire au vote de la censure”, pointant un “cynisme insoutenable” du RN s’il joignait ses voix à celles du NFP. Michel Barnier avait, lui, souligné, sur TF1 et France 2, que chaque député avait “une part de responsabilité”, espérant que prévale “l’intérêt supérieur du pays”. Les députés en ont décidé autrement en renversant le gouvernement, à peine trois mois après l’arrivée à Matignon de Michel Barnier.

Sénégalais Pétrole : Ce qu’il faut savoir sur les ventes du mois de novembre

Au niveau du champ Sangomar, la production et la commercialisation des barils de pétrole continue. Le ministère a dévoilé le volume qui a été vendu pour le mois de novembre.

Le ministère du Pétrole et des énergies a fait son point habituel, sur les ventes de cargaisons de pétrole brut  sénégalais. La production totale du site de Sangomar, pour le mois de novembre 2024, s’est placée à 2,94 millions de barils de pétrole brut, informe-t-il.

Le ministère du Pétrole renseigne qu’au cours du mois, «trois (3) cargaisons d’un volume total équivalent à 2,89 millions de barils ont été enlevées et commercialisées sur le marché international.»

La bonne nouvelle, c’est qu’en 2024, la production annuelle devrait s’établir autour de 15 à 16 millions de barils de pétrole brut. «Ce nouvel objectif est au-dessus de la cible initiale de 11,7 millions de barils», indique le ministère du Pétrole.

Et jusqu’au 1er Décembre de cette année, ce sont 14 millions de barils de pétrole qui ont été produits au niveau du champ pétrolier de Sangomar, selon les chiffres publiés ce mercredi par le ministère du Pétrole.

Et à la fin du mois de novembre, l’ensemble des puits de production a pu être démarré, informe-t-il. L’objectif étant d’extraire 100 000 barils de pétrole par jour.

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