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Chambre d’accusation: Mauvaise nouvelle pour Ndella Madior

La chambre d’accusation a confirmé le rejet de la demande de mise en liberté provisoire de Ndella Madior Diouf, décision initialement prise par le juge du premier cabinet d’instruction. Ce matin, son avocat, Me Aboubacry Barro, a plaidé devant la Cour d’appel de Dakar pour contester cette décision.

Cependant, l’avocat général s’est opposé fermement à cette requête . La chambre d’accusation a suivi son avis, validant ainsi la décision du doyen des juges.

Arrêtée le 28 décembre 2023, Ndella Madior Diouf est placée sous mandat de dépôt pour des faits graves liés à la gestion de sa pouponnière Keur Yeurmandé, située à Sacré-Cœur, et fonctionnant sans autorisation légale. Plusieurs décès de nourrissons attribués à de mauvais traitements y ont été signalés, suivis d’inhumations réalisées sans approbation officielle.

Elle est poursuivie pour des charges lourdes : traite de personnesexercice illégal de la médecineprivation de soins ayant entraîné la mortmise en danger de la vie d’autruinon-assistance à personne en danger et obtention illégale de certificats d’inhumation. Ses multiples demandes de libération sous surveillance électronique ont jusqu’ici été rejetées.

En détention, Ndella Madior Diouf attend que son dossier soit transmis aux juridictions de jugement.

AG constitutive : Daniel Gomes élu secrétaire général du Syndicat des Travailleurs de la Musique du Sénégal

L’assemblée générale constitutive du Syndicat des Travailleurs de la Musique du Sénégal (Sytrams) s’est tenue ce lundi 9  décembre à la Maison de la Culture Douta Seck. Cet événement marque une étape décisive dans la structuration et la défense des droits des travailleurs de la musique au Sénégal, dans le cadre du dialogue social. A l’ordre du jour figuraient : la présentation des objectifs et des missions du Syndicat des Travailleurs de la Musique du Sénégal ; l’adoption des statuts et règlement intérieur ; l’élection des membres du conseil syndical ; ainsi que des questions diverses portant sur les perspectives qui s’ouvrent au Syndicat des Travailleurs de la Musique du Sénégal. A l’issue des travaux, les postes du secrétariat national ont été pourvus conformément aux statuts et au règlement intérieur de l’organisation officiellement portée hier sur les fonts baptismaux. Ainsi, le président de l’Association des métiers de la musique du Sénégal (Ams), Daniel Gomes, a été élu secrétaire général du Syndicat des Travailleurs de la Musique du Sénégal. Ses adjoints sont Malal Ndiaye, Moustapha Ndiaye et Jean Tamba. Ramatoulaye Diallo a été élue secrétaire chargée de l’administration avec comme adjoint Ibrahima Gaye Soumah. Outre ces stations, le bureau du Syndicat des Travailleurs de la Musique du Sénégal comporte plusieurs démembrements. Un secrétaire à l’organisation (Habib Franck Vincent), un secrétaire chargé de la santé et de la sécurité au travail (Aboubacry Diallo), un secrétaire chargé des finances (Fatim Sy), un secrétaire chargé des revendications (Ndeye Fatou Tounkara), un secrétaire chargé des affaires sociales (Alioune Badara Béye), un secrétaire chargé de l’information et de la communication (Ibrahima Fall), un secrétaire à la formation (Safouane Pindra), un secrétaire chargé de la syndicalisation et des normes (Ibrahima Joseph Gaye), une présidente du comité des femmes (Claire Mbeng) et un président du comité des jeunes (Babacar Ndao).

Pa Moussa Afro victime de vol

L’artiste a été victime d’un vol à Malika ce matin  alors qu’il revient d’un voyage . Ce jeune talentueux avait aussi donné rendez -vous aux jeunes entrepreneurs chez lui  pour les préparatifs du Festival international Afro culture qu’il va organiser en fin d’année de ce mois à Dakar . Ainsi son véhicule a été cambriolé  ce mardi matin  et l’artiste a vu disparaître une somme d’argent estimée à 550 milles francs cfa  ainsi qu’un ensemble veste , un ordinateur portable et deux montres de valeurs . Pape Moussa Afro a ainsi porté plainte contre x.

Fraude : La Bad sanctionne la Cstp !

La Banque africaine de développement a exclu la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics pour une durée de 12 mois en raison d’une pratique frauduleuse. Ainsi, pendant la période d’exclusion, l’entreprise ne sera pas autorisée à participer aux projets financés par le Groupe de la Banque africaine de développement.

En effet, la banque renseigne qu’une enquête menée par le Bureau de l’intégrité et de la lutte contre la corruption du Groupe de la Banque africaine de développement a révélé que la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics avait eu recours à une pratique frauduleuse. Ce, dans le cadre d’un appel d’offres pour la construction et l’équipements de bâtiments annexes, incluant un centre de données, des installations d’externalisation des processus d’affaires, un incubateur pour entreprises TIC, un centre de formation, un centre de recherche et un centre de production audiovisuelle et de contenu, ainsi que des bureaux administratifs. Ce projet faisait partie intégrante du Parc des technologies numériques au Sénégal.

La banque informe que l’enquête a établi que la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics avait soumis, dans le cadre de son offre, des certificats d’achèvement falsifiés pour des travaux qu’elle prétendait avoir réalisés, ce qui s’est avéré faux. Et donc, pendant la période d’exclusion, l’entreprise  ne sera pas autorisée à participer aux projets financés par le Groupe de la Banque africaine de développement.

Par ailleurs, durant la période d’exclusion, la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics sera tenue de coopérer avec le Bureau de l’intégrité et de la lutte contre la corruption, ainsi qu’avec les autorités judiciaires et réglementaires des pays membres de la Banque africaine de développement dans le cadre de leurs fonctions d’enquête. À l’expiration de la période d’exclusion, la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics devra mettre en œuvre un programme de conformité à l’intégrité conforme aux directives de la Banque, comme condition préalable à toute participation future à des projets financés par le Groupe de la Banque africaine de développement.

Mort de Bassirou Diop : l‘Onlp aussi s’est exprimé

Ce mardi, le magistrat Madiaw Diaw, l’autorité de l‘Observatoire national des lieux de privation des libertés (Onlp) aussi s’est exprimé sur le drame.

“Il y a ce qui est déclaré et ce qui est véritablement la réalité. À la première tentation, on parle toujours de torture. Or, la torture est définie dans les dispositions pertinentes de notre code pénal  par l’article 295-1 répondent à certains critères.  Est-ce qu’on est dans  cette situation ? Je ne saurais répondre par l’affirmative.

Le constat, si on doit véritablement rester dans le constat, le factuel, c’est qu’il y a un détenu qui a perdu la vie. À quelle occasion ? Dans quelle situation ? Dans quelles circonstances ? C’est ça également le travail de profondeur qu’il faudra faire.

Le ministère de la Justice, avec ses organes, est en train de  mener des enquêtes, au niveau interne également les enquêtes se déploient. L’observateur, également, est sur le qui-vive pour observer la situation.”

Saisie par l’avocat Aboubacry Barro, la Cour d’appel de Dakar a refusé à Ndella Madior l’ordonnance de mise en liberté que lui avait refusée le juge du 1e cabinet d’instruction.

Selon les informations de Seneweb, faisant des observations, l’avocat général s’est opposé à la requête de la défense. Finalement, la chambre d’accusation a suivi sa démarche en confirmant l’ordonnance de refus, prise par le doyen des juges.      
 
 
 
Ndella Madior Diouf a été arrêtée et placée sous mandat de dépôt, le 28 décembre 2023. C’était dans le cadre d’une affaire impliquant sa pouponnière Keur Yeurmandé établie à Sacré-Cœur, sans autorisation administrative. Des bébés y sont décédés, des suites de mauvais traitements. Ndella Madior Diouf les aurait ensuite inhumés sans autorisation.       
 
 
 
Elle  est poursuivie pour « traite de personnes, exercice illégal de la médecine, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort, mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à une personne en danger et obtention illégale de certificats d’inhumation ». Son avocat a introduit plusieurs demandes de mise en liberté provisoire sous placement sous bracelet électronique. Mais le juge d’instruction a dit niet. 
Ndella Madior Diouf reste en prison, en attendant que son dossier soit renvoyé devant les juridictions de jugement.

Agroindustrie : le vecteur public-privé

Rien qu’en  2023, le Sénégal a consacré 960 milliards de F Cfa pour l’importation de denrées et produits alimentaires dont le riz et le blé qui constituent 55%  du total des importations alimentaires. Ce montant n’est pourtant que le sixième des 7200 milliards de F Cfa que le pays a consacré en 2023 à ses approvisionnements extérieurs, parmi lesquels les achats de pétrole et produits pétroliers frôlent les 1000 milliards annuels.

Les importations de denrées alimentaires et de produits pétroliers absorbent pres­que  60% de nos devises extérieures et accentuent le déficit commercial de 1200 milliards de l’année 2023 malgré nos exportations soutenues d’or, de produits halieutiques et bien sûr de produits chimiques avec les Ics.

Notre pays ne capitalise aucune chaîne de valeur alimentaire, en tout nous dépendons de l’extérieur, principalement de l’Inde pour le riz, de la France et de la Russie pour le blé, même de l’Union européenne et du Maroc pour les fruits et légumes. C’est un niveau d’extraversion de nos habitudes alimentaires depuis presque un siècle qu’aucune politique n’arrive à inverser et qui se révèle ruineux pour l’économie nationale. N’eut été la mise en commun des devises extérieures de pays de l’Afrique de l’Ouest, notre pays n’aurait pas survécu, tant nos importations annuelles ont atteint le plafond.

C’est le sens du  partenariat entre le secteur privé -Cnes-  et l’Etat  pour la mise en œuvre de magasins de stockage dans les enceintes des agropoles régionaux pour réduire les pertes post-récoltes  qui sont très significatives pour des produits comme  l’oignon, la tomate, la pomme de terre, les mangues,  le lait, et la viande bovine,  en raison de pratiques de récolte inappropriées, du manque d’infrastructures de stockage adaptées, et de la faible industrialisation.

Pour les produits horticoles dans la zone des Niayes, les mangues de Casamance pour cause de désenclavement, l’oignon de la vallée du fleuve, et la pomme de terre de Mbane, nous sommes à presque 600 000 tonnes de pertes annuelles, presque  95 milliards, une estimation minimale.  En l’absence de pré-conditionnement dans des chaînes de froid, et de transformation primaire, notre pays perd presque 2 000 000 de sa production globale, comparé à des pays comme le Maroc qui arrive à limiter les pertes et déperditions post-récoltes à moins de 5% grâce à une meilleure connexion en transport logistique, et une chaîne de froid bien positionnée près des zones  agricoles et horticoles.

A travers ce partenariat secteur privé-secteur public, c’est une économie annuelle de l’ordre de 150 milliards à 200 000 milliards que notre pays peut réaliser avec le maillage du territoire en chaînes de stockage et froid , et permet de mieux intégrer l’énorme potentiel agricole et forestier de la Casamance, sans compter le potentiel illimité de la vallée du fleuve Sénégal et toute la  bande des Niayes qui traverse notre pays d’Ouest en Est dans une zone horticole particulièrement propice avec les micro-climats.

Si une réforme foncière suit et un financement structurant de l’agro-industrie, notre pays brisera bientôt les chaînes de la dépendance extérieure pour sa nourriture et posera ainsi  un acte fort et irréversible vers la sécurité alimentaire.
Moustapha DIAKHATE
Expert Infrastructure et Pol. Energie

Mort de Liam Payne : Liam Payne ne souhaitait pas être dans sa chambre

Tribunal:une célèbre Snapchateuse condamné

La fâcheuse tendance de calomnier d’honnêtes citoyens sur les réseaux sociaux prend de plus en plus d’envergure. Des utilisateurs ne reculent devant rien pour se faire plus de vue allant jusqu’à ternir la réputation des gens. C’est l’exemple de Ndeye Maguette Sané. Cette jeune dame très populaire sur Snapchat, avec plus de 1 million d’abonnés, s’en prend à ses amis et membres de sa famille, tel est l’activité favorite de Ndèye Maguette Sané. Elle affiche les photos de celles-ci avant de lancer un direct où des insanités sont tenues à l’encontre de ces personnes qui le seul tort de la côtoyer. Si à chaque fois elle échappe à une mise en garde à vue du fait de sa supposée démence, cette fois-ci, elle n’a pas échappé à la prison. En effet, suite à une plainte de six de ses victimes pour violences et voies de fait et injures non publiques, Ndèye Maguette Sané a fait l’objet d’une garde à vue avant d’être placée sous mandat de dépôt suite à son passage chez le procureur de la République.

Appelée hier, devant la barre du tribunal d’Instance de Dakar, la prévenue a reconnu partiellement les faits. Toutefois, celle qui refusait de présenter des excuses à ses victimes, a fait son mea culpa à la barre. Mais ses regrets n’ont pas empêché aux plaignantes venues à l’audience hier, de revenir sur les faits. Selon Adji Maimouna Cira Seck, la prévenue qui est son amie depuis plusieurs années a terni son image de la pire des manières. Restauratrice de son état, Ndèye Maguette Sané a affiché sa photo sur Snapchat en la traitant de sorcière.

N’ayant pas échappé à la furie de la prévenue qui aussi était sa copine, Fatou Marie Diagne raconte : «c’est le jour mon anniversaire qu’elle m’a envoyé une message m’accusant à tort et à travers. Dans la foulée, elle a proféré des menaces contre moi. Elle affiche ma photo comme elle a l’habitude de le faire et m’accuse de vendre mon corps à 40 mille francs CFA. Les gens m’appelaient de partout car étant étonné de ses accusations infondées». Cousine de la comparante, Ndeye Fama Sene dit qu’à cause de celle-ci, elle n’est plus respectée surtout par son ex belle famille. Mère d’un enfant, elle affirme que Ndeye Maguette Sane alias Magui ne cesse de la traiter de prostituée alors qu’elles ne sont pas vues depuis plus d’une décennie.

Pour sa part, la prévenue déclare agir de la sorte quand elle est en état de démence. Même si les plaignantes entendues à la barre ne lui ont rien réclamé l’avocat de Sokhna Thiam a demandé la somme de 500 mille francs CFA en guise de dédommagement. La déléguée du procureur de la République estime que les faits reprochés à la prévenue sont suffisamment établies. Elle a requis 3 mois d’emprisonnement ferme pour les violences et voies de faits, 1 mois ferme pour les injures non publiques et une amende de 20 mille francs CFA. Les avocats de la défense qui ont dit qu’ils ne vont pas plaider la démence, ont sollicité une application bienveillante de la loi. Selon eux, ils sont certains qu’elle ne jouit pas de toutes ses facultés mentales.

Relaxée du chef de violences et voies de faits, Ndèye Maguette Sané alias Magui est reconnue coupable du délit d’injures non publiques. Elle a échappé à une peine d’emprisonnement. Toutefois elle est contrainte de payer une amende ferme de 20 mille francs CFA. En sus de cela, le tribunal l’a ordonné à présenter des excuses sur sa plateforme à toutes les parties civiles avant la fin de l’année en cours. Elle doit également allouer la somme de 200 mille francs CFA à Sokhna Thiam en guise de dédommagement.

Acunet avec Aïssatou TALL 

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention