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Coupe d’Afrique des clubs : Ville de Dakar s’impose après prolongation

Les filles de Tapha Gaye étaient longtemps menées avant de revenir dans la partie pour amener l’adversaire en prolongation (53-53). C’est dans les cinq dernières minutes que les joueuses de l’ASC Ville de Dakar ont renversé (61-57) le REG (Rwanda), vendredi soir au stadium Marius Ndiaye. Au moment où les Rwandaises n’y étaient plus. En étouffant le REG, Ville de Dakar file en demi-finales. Demain, le club sénégalais retrouvera Al Ahly du Caire qui l’a déjà battu en phase de poules.

Ce que Barthélémy Dias et le Commissaire de Dakar se sont dit

Pour dénoncer son éviction à la mairie de Dakar, Barthélémy Dias a convoqué la presse pour une rencontre à 16 heures, dans les locaux de la Ville de Dakar.

Mais la séance d’explications n’aura pas fait long feu. À peine entamée, la rencontre, qui se tenait au premier étage de la mairie, a été interrompue par la police.

Malgré la détermination passive de Barthélémy Dias à poursuivre son face-à-face avec la presse, la situation a rapidement pris une autre tournure.

Journalistes, militants, le maître des lieux et son staff sont sommés de quitter les lieux. Une sommation qui ne passe pas. Des partisans de Dias fils tentent de s’y opposer, lançant des propos et slogans hostiles au pouvoir en place.

Afin d’éviter le pire, le Commissaire central de Dakar s’invite dans la salle de conférence, noire de monde, et invite le maire de Dakar à le rejoindre, rapporte L’OBS.

L’objectif est d’entamer, dans l’urgence, une médiation afin de désamorcer la situation.

Barthélémy Dias, qui a clairement exprimé son désir d’éviter tout incident malheureux pouvant nuire aux journalistes et militants présents, accepte la main tendue du Commissaire central.

Entourés des membres de son staff, Barthélémy Dias et le responsable de la sécurité régionale de Dakar entament alors une discussion calme, qui tranche avec l’atmosphère électrique qui régnait encore dans la salle.

Les minutes d’un aparté décisif

Le maire de Dakar a martelé au Commissaire central qu’il est un républicain et que la loi lui permet d’être dans la salle de conférence de la mairie.

Il a ajouté que, malgré la notification du Préfet de Dakar qui le démet de son poste de maire, il reste l’édile de la capitale sénégalaise.

Barthélémy Dias précise également que la loi lui accorde un délai de 10 jours pour interjeter appel de cette décision, un appel étant suspensif.

Il souligne alors qu’il n’est pas disposé à quitter les lieux. Le maire insiste sur le caractère illégal des instructions reçues par les policiers, qui tentaient d’évacuer la salle.

Cette position est partagée par de nombreux partisans et soutiens présents à la séance d’explications.

Visiblement serein, le responsable de la sécurité régionale de Dakar, arborant un léger sourire, lui suggère de saisir la Justice s’il estime l’intervention de la police illégale.

Puis, sur un ton plus ferme, le Commissaire central prévient qu’il ne souhaite pas être contraint d’utiliser la force pour évacuer tout le monde de l’institution municipale.

Déterminé, Barthélémy Dias réplique en rappelant qu’il est dans son bon droit et qu’il compte tenir sa conférence de presse.

Le Commissaire, soucieux de prévenir une issue fâcheuse, insiste sur la configuration de la salle, située au premier étage, et appelle à une compréhension mutuelle pour éviter toute situation regrettable.

Fidèle à sa ligne, Barthélémy Dias défend sa position et invite son interlocuteur à signaler au Préfet que sa décision est illégale et qu’il ne se laissera pas faire.

Cherchant à tempérer la situation pour éviter tout débordement, le Commissaire central prend acte de ses propos, mais annonce qu’il va procéder à l’évacuation de la salle.

Finalement, conciliant, Barthélémy acquiesce, sourit et se dirige vers les escaliers, escorté par ses partisans jusqu’au rez-de-chaussée.

Alors que la foule de journalistes avait été évacuée à l’extérieur du bâtiment, Barthélémy Dias choisit de faire un détour par son bureau, suivi de sa garde rapprochée et de certains de ses collaborateurs.

La police s’oppose à ce que tout ce monde entre dans l’intimité du bureau du maire. Une vive altercation éclate alors entre la garde rapprochée de Barthélémy Dias et les policiers.

Le Commissaire central intervient et menace d’arrêter toute personne entravant le travail des forces de l’ordre.

Barthélémy Dias, calme, demande au chef de la police de lui permettre d’accéder à son bureau avec au moins l’un de ses gardes du corps.

L’interlocuteur accède à sa requête. Le maire de Dakar et quelques-uns de ses proches restent ainsi dans le bureau pendant plus de dix minutes.

Finalement, Barthélémy Dias et sa suite quittent les lieux à bord d’un convoi. Le dispositif de sécurité mis en place demeure jusqu’à 19 heures, avant d’être levé.

Vie de couple : Faire chambre à part signifie-t-il la fin de votre couple ?

Renoncer à partager le même lit avec son conjoint afin de profiter pleinement de ses nuits, de la luxueuse sensation d’un lit frais, et d’une couette rien que pour soi… Alors que certains rejettent totalement l’idée de faire chambre à part, pour d’autres – tels que Sybille, âgée de 33 ans et occupant un poste de chargée de marketing en région parisienne – c’est un rêve agréable… malheureusement rendu impossible par les prix immobiliers.

Effectivement, afin de considérer la possibilité de faire chambre à part, il est nécessaire d’avoir au moins deux chambres. En dépit de ces contraintes pratiques, qui peuvent constituer une barrière pour ceux et celles qui souhaitent franchir le cap, le choix de dormir séparément n’est pas toujours bien compris.

La naissance du lit conjugal

Si aujourd’hui le fait de dormir auprès de son ou sa partenaire semble aller de soi, cela n’a pas toujours été le cas. “L’idéal conjugal existe dans la Grèce antique, mais les habitudes de polygamie et l’astreinte au gynécée font que le lit ne sert pas vraiment à dormir ensemble. Dans la Rome antique non plus, l’homme et la femme ne se retrouvent pas tous les soirs.

C’est l’Eglise catholique qui va théoriser très tôt la question du lit conjugal”, explique l’historienne Michelle Perrot dans une interview donnée au journal Le Monde en octobre 2012. Toujours dans la même interview, elle poursuit en citant le théologien Thomas d’Aquin, qui a déclaré “le couple doit avoir son lit et sa chambre”, et François de Sales qui a le lit conjugal, “lieu d’un amour tout sain, tout sacré, tout divin”. Depuis lors, faire chambre à part n’est pas approuvé par le Clergé, donc plus globalement par la société.

Mais cette norme religieuse n’est pas le lot de tous en réalité. Le roi par exemple dort seul et peut décider d’aller rendre visite à sa femme ou à une de ses maîtresses. De même, dans l’aristocratie, on sépare généralement les appartements du maître et de la maîtresse de maison.

Comme dans Downton Abbeypar exemple, pour ceux et celles qui n’arriverait pas à se représenter cette délimitation des espaces. Mais cette pratique reste minoritaire dans l’ensemble de la population et le lit conjugal devient le symbole du couple uni, notamment dans la bourgeoisie. Dès lors, l’ameublement suit ces changements sociétaux, qui se pose alors en norme de la vie de couple.

Faire chambre à part : Intimité versus confort

Mais alors que le sommeil devient de plus en plus fragile et que la notion de couple ne cesse d’évoluer, afin de respecter les individualités de chacun des partenaires, ce fameux lit conjugal ne s’érige plus pour certains comme impondérable de la vie amoureuse.

Pour le Dr Anne-Marie Lazartigues, le fait de faire chambre à part découle “du refus de compromis” qui est la règle commune des couples d’aujourd’hui. “Un compromis est toujours un renoncement, à une part de son désir, de son envie”, explique-t-elle. Ainsi on préfère faire passer son confort personnel avant l’intimité.

“Pour moi, faire chambre à part c’est préserver sa tranquillité, mais aussi préserver sa vie d’avant, quand on était seul, ou encore donner aux moments à deux une saveur spéciale : on n’est avec l’autre que quand on a envie de l’être, ce qui rend ces moments spéciaux”, explique la spécialiste. Enfin, c’est un moyen pragmatique de préserver ses rythmes et ceux de son partenaire.

Affaire inceste à Guédiawaye : tout une famille déférée au parquet

Selon les infos de L’OBS, tout est parti d’une bagarre qui a mis aux prises des membres d’une même famille, les Ndir, au quartier Sam de Guédiawaye.

Les hostilités ont démarré le 10 décembre dernier dans l’enceinte de la maison familiale. Ayant hérité cette maison de leur grand-mère décédée, A. N., M. F. N. et leur jeune frère en proie à des problèmes psychiques, y vivent en chiens de faïence.

Marié à B. N. avec qui il a une fille, A. qui exerce le métier de menuisier métallique, est souvent en bisbilles avec sa sœur au tempérament belliqueux.

La femme célibataire ne manque pas non plus de passer ses nerfs sur l’épouse de son frère. Ce fut le cas ce mardi 10 décembre.

Pour une question de ménage, les deux femmes échangent propos aigres-doux et insanités. Les échanges virent vite au corps à corps et les deux femmes se livrent à un véritable pugilat.

A. N. qui n’était pas encore parti au boulot, intervient vite pour séparer son épouse et sa sœur, mais se fait violemment rejeter par cette dernière qui l’humilie en l’insultant.

Ce que le père de famille n’a pas supporté, s’en prenant à son tour à sa sœur qu’il corrige devant sa fille, B. G., qui s’était mêlée à la bagarre.

K., fille du couple N., entre également dans la danse et s’attaque à sa cousine. La bagarre devient générale et les coups de poings et de pieds s’accompagnent de jets de pierres et d’autres projectiles.

Dans cette cacophonie, M. F N. jette à la figure de sa belle-sœur, B. N., qu’elle devrait apprendre à mieux veiller sur son époux.

Profitant du méli-mélo ambiant, elle accuse son frère, A. N., d’être le père de sa fille, B. G., âgée aujourd’hui de 22 ans.

Ces mots résonnent comme un coup de fusil aux oreilles des membres de la famille et des voisins venus séparer les belligérantes.

Finalement, les deux femmes au foyer se dirigent chacune au centre de santé où les blouses blanches leur prodiguent des soins avant de leur délivrer à chacune, un certificat médical attestant pour chacune d’une Itt de 7 jours.

M. F N. a été la première à se présenter au commissariat de police de Guédiawaye où elle dépose une plainte contre son frère, A N., son épouse et leur fille, Khoudia, pour coups et blessures volontaires.

Convoqués tous les trois, B. N. se présente également au commissariat, munie d’une plainte pour les mêmes motifs contre la sœur de son mari.

Tour le monde déféré au parquet sauf…

Au cours de son audition en présence de sa fille, M. F. N. réitère ses accusations lancées au cours de la bagarre contre son frère de sang.

La plaignante jure que ce dernier la violait depuis sa petite enfance et est bien le père de sa jeune fille de 22 ans, à l’allure déséquilibrée.

Au terme de leur garde-à-vue, tout ce beau monde, à l’exception de B. G., a été déféré jeudi dernier, pour Cbv réciproques, au parquet du tribunal de Pikine-Guédiawaye, où ils devront s’expliquer devant le juge.

 

Sûreté Urbaine: Madiambal libéré mais retourne à la police lundi

Le journaliste et patron du groupe « Avenir Communication », Madiambal Diagne est reparti chez lui libre après plusieurs heures d’audition à la sûreté urbaine de Dakar.

Il répondait à une convocation qui fait suite à une plainte du Premier ministre Ousmane Sonko.

Le journaliste a, lui-même, annoncé la nouvelle sur sa page X profitant de cette publication pour remercier ses soutiens. Il retourne à la police lundi prochain

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention