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(03 photos): Bass Thioune et Fatou Ndiaye en total blanc plus amoureux que jamais

Bass Thioung et Fatou Ndiaye sont de plus en plus amoureux. Le couple ne cesse de le montrer aux yeux des Sénégalais. 

Sur ses nouvelles images, les deux tourtereaux s’enlacent et se font des bisous et câlins. Des clichés qui ont fait réagir les internautes.

Quand les artistes sénégalais trouvent refuge… en Guinée

Depuis quelque temps, le président de la transition guinéenne, Mamady Doumbouya, semble tendre la main aux artistes sénégalais. Alors que certains d’entre eux se disent mis à l’écart ou ignorés par les nouvelles autorités à Dakar, c’est en Guinée Conakry qu’ils trouvent aujourd’hui un espace d’expression et de reconnaissance.

Tout a commencé avec Wally Ballago Seck, qui a dédié une chanson au colonel-président, saluant son leadership et sa vision pour la Guinée. Ce geste a visiblement ouvert une brèche, puisqu’à son tour, la diva sénégalaise Viviane Chidid s’est invitée dans cette dynamique en offrant également un morceau à la gloire de Mamady Doumbouya.

Cette attention particulière du chef de la transition guinéenne ne passe pas inaperçue. Elle est perçue par beaucoup comme une manière de séduire et valoriser les artistes sénégalais qui, depuis l’avènement du nouveau régime au Sénégal, peinent à retrouver leur place ou leur proximité avec les autorités.

Ainsi, là où certains ressentent un vide ou un désintérêt de la part de Dakar, Conakry apparaît comme une terre d’opportunités et de reconnaissance. Mamady Doumbouya, en accueillant et en mettant en avant ces figures de la musique sénégalaise, réussit non seulement à renforcer l’image culturelle de son pays, mais aussi à tisser des liens symboliques avec le peuple sénégalais à travers ses artistes.

Eumeu Sène se tourne déjà vers la saison prochaine : « On m’a proposé Ada Fass…»

Sa défaite subie contre Franc le 3 août n’a pas entaché sa réputation ni impacté sur sa côte de popularité. Eumeu reste un produit qui intéresse et les amateurs de lutte et les promoteurs.

Ainsi en marge de son dernier face à face avec Franc ce lundi soir, l’ancien roi des arènes a fait savoir que certains promoteurs s’activaient pour organiser son prochain combat face à un jeune lutteur.

Deux promoteurs m’ont appelé pour mon combat contre Ada Fass. On va en parler avec le staff et prendra une décision” a fait savoir Eumeu Sène.

Son manager Landiang d’ajouter que son poulain est prêt à affronter deux jeunes lutteurs. L’un en début de saison et l’autre en fin de saison prochain.

Eumeu est prêt pour Ada Fass. Personne ne peut refuser de l’affronter car le jeune a fait ses preuves. C’est un technicien et il a une grosse côte de popularité. Nous somme prêts pour lui mais aussi pour un autre jeune qui nous sera proposé”.

ACTUNET AVEC Wiwsport.com

Le FMI en mission à Dakar du 19 au 26 août pour examiner l’exécution budgétaire et la préparation de la LFI 2026

Dans le cadre de ses discussions  avec le Sénégal, une staff-visit du Fonds monétaire international (FMI) se déroulera à Dakar du 19 au 26 août 2025, annonce un communiqué du ministère des Finances et du Budget.

Cette visite de travail permettra aux équipes techniques du FMI de suivre l’avancement des dossiers en cours et de renforcer les échanges avec les autorités sénégalaises. Les discussions porteront notamment sur l’exécution budgétaire de 2025, la préparation de la Loi de finances initiale (LFI) 2026 et les réformes envisagées.

Le ministère précise qu’à l’issue de la mission, une communication officielle sera publiée afin de partager les conclusions et les perspectives retenues.

Agroécologie: le projet Radius pour transformer durablement les systèmes alimentaires

Pour réfléchir sur les aspects liés au suivi-évaluation et aux outils d’analyse genre du projet Réseau en agroécologie pour la durabilité des systèmes alimentaires (Radius), un atelier réunit, du 18 au 22 août à Dakar, les parties prenantes du projet.

Le projet Réseau en agroécologie pour la durabilité des systèmes alimentaires (Radius) ambitionne de renforcer la résilience des exploitations agricoles tout en valorisant les pratiques respectueuses de l’environnement. Financé par l’Union européenne à hauteur de cinq millions d’euros (3,27 milliards de FCfa), il cible un large éventail d’acteurs : exploitations familiales, groupements de femmes, coopératives, Pme agroalimentaires, etc. Pour réfléchir sur les aspects liés au suivi-évaluation et aux outils d’analyse genre du projet, un atelier réunit, du 18 au 22 août à Dakar, les parties prenantes du projet.

Selon la coordonnatrice du projet, le Dr Fructueuse Ouidoh, Radius a été lancé pour accompagner producteurs et institutions vers une agriculture plus respectueuse de l’environnement et économiquement viable sur le long terme. « Radius s’appuie sur des pratiques ancestrales, enrichies par la recherche scientifique, pour reconstruire les écosystèmes agricoles et garantir une productivité durable », a-t-elle expliqué.

Le projet identifie, valide et diffuse des innovations agroécologiques à travers la plateforme Mita, des formations universitaires et des démonstrations sur le terrain. Il couvre une grande diversité de systèmes de production : vivriers (céréales, légumineuses, racines, tubercules, légumes), fruitiers, cultures de rente (cacao, café, coton, anacarde…), élevage (petits ruminants, volailles, pisciculture), ainsi que des systèmes mixtes ou agroforestiers.

« Nous voulons accompagner les producteurs vers une rentabilité durable, fondée sur des pratiques respectueuses de l’environnement », insiste le Dr Ouidoh, rappelant les effets néfastes de l’usage intensif d’intrants chimiques sur la biodiversité et les sols. Sur ce, elle invite les producteurs à renouer avec certaines pratiques traditionnelles ancestrales, sources d’équilibre et de durabilité.

« Avec les autres partenaires, nous allons mettre en place un dispositif capable de capter toutes les innovations agroécologiques sur le terrain et de les mesurer de manière uniforme », a précisé Ismaïla Diatta, conseiller technique au Catholic Relief Services (Crs) et point focal du projet Radius.

Ce dispositif, appelé Smiler (Simple Measurement of Indicators for Learning and Evidence-based Reporting), permettra de collecter des données harmonisées dans les cinq pays concernés. « Ainsi, dès qu’un bailleur ou un coordinateur demandera des informations, nous pourrons les fournir à temps », a-t-il ajouté.

Porté par sept structures universitaires et de recherche, dont le Coraf, le projet Radius est mis en œuvre dans cinq pays : Sénégal, Bénin, Côte d’Ivoire, Cameroun et Burkina Faso. D’une durée de quatre ans, il entend capitaliser sur ses résultats afin de consolider ses acquis et d’amplifier son impact au-delà de cette première phase.

Avec le soleil

Sénégal – Pakistan: la diplomatie économique du riz

Renforcer les échanges commerciaux et consolider les partenariats scientifiques, tel est l’objectif du « Pakistan Rice Road Show » dont l’étape dakaroise coïncidera avec la célébration des 65 ans de relations diplomatiques entre le Pakistan et le Sénégal.

Les secteurs privés sénégalais et pakistanais, ainsi que des institutions de recherche agricole, prendront part à cette rencontre. Lors d’une conférence de presse, organisée hier, lundi 18 août, à Dakar, l’ambassadrice du Pakistan au Sénégal, Saima Sayed, a indiqué que cette campagne de promotion s’inscrit dans une tournée ouest-africaine qui débutera au Ghana, passera par la Côte d’Ivoire et s’achèvera à Dakar. Le choix de la capitale sénégalaise, souligne-t-elle, traduit la volonté d’intensifier la coopération avec les pays francophones de la région. Au-delà de l’économie, le rendez-vous mettra aussi en avant la dimension culturelle, le riz occupant une place centrale dans la gastronomie sénégalaise.

Le « ceebu jën », classé patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, est ainsi cité comme un symbole des échanges possibles entre le Pakistan, grand producteur de riz, et le Sénégal, grand consommateur de cette céréale. Pas moins de 28 entreprises pakistanaises spécialisées dans l’exportation de riz sont attendues à Dakar. Elles rencontreront des acteurs du secteur privé sénégalais ainsi que des institutions comme l’Institut sénégalais de Recherches agricoles (Isra). Cette coopération devrait non seulement renforcer le commerce, mais contribuer aussi à la sécurité alimentaire à travers un approvisionnement fiable en riz de qualité.

« L’objectif de cette tournée régionale est de promouvoir les liens entre entreprises, favoriser les partenariats commerciaux agricoles et soutenir les initiatives de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest grâce à un approvisionnement fiable en riz pakistanais de haute qualité », a déclaré l’ambassadrice. En 2024, le Pakistan a exporté vers le Sénégal pour plus de 83 milliards de FCfa de riz. L’ambition est désormais de dépasser ce volume, en proposant des produits de qualité à des prix compétitifs, afin d’impacter positivement le panier de la ménagère.

 

Banque: Bosquet Investments rachète 21,2 % du capital d’Ecobank à Nedbank

Le véhicule d’investissement privé Bosquet Investments Ltd entre dans le capital du groupe Ecobank Transnational Incorporated (Eti) en rachetant la participation de 21,22 % du groupe sud-africain Nedbank.

Le nouveau venu appartient à Alain Nkountchou, ancien président du Conseil d’administration d’Eti, maison mère d’Ecobank basée à Lomé (Togo), indique un communiqué daté le 15 août. Cependant, ajoute le document, « cette transaction reste soumise à l’approbation des autorités réglementaires ».

Nedbank a cédé sa participation pour réorienter sa stratégie vers ses marchés en Afrique australe et orientale où il possède et contrôle des entreprises.

Le principal bénéficiaire de cette acquisition, Alain Nkountchou, exprimant son enthousiasme, a déclaré : « Je suis très heureux d’être arrivé à cette étape avec le groupe Ecobank et je me réjouis de continuer à soutenir cette institution dans la réalisation de ses objectifs stratégiques de croissance, de transformation et de rendement. Je suis convaincu qu’ensemble nous saurons saisir les opportunités à venir et conduire l’organisation vers une nouvelle ère de succès durable ».

Pour le directeur général d’Eti, Jeremy Awori, l’arrivée de Bosquet Investments Ltd en tant qu’actionnaire significatif du groupe bancaire constitue « un vote de confiance fort dans [leur] stratégie de croissance, de transformation et de rendement, dans [leurs] performances et dans [leurs] équipes », lit-on dans le communiqué.

Le groupe de M. Nkountchou, dont les actifs sous gestion s’élèvent à 1,2 milliard de dollars, gère des fonds d’investissement alternatifs et traditionnels à travers l’Afrique.

Avec le soleil

Co-créer un meilleur avenir pour l’Afrique : une nouvelle ère de partenariat à la TICAD9

Il y a vingt-cinq ans, en 2000, j’ai fait mes premiers pas en Afrique en visitant le Sénégal.. J’ai été subjugué par le dynamisme des jeunes étudiants et le fort potentiel du continent, qui m’ont convaincu que l’Afrique avait un brillant avenir devant elle. Aujourd’hui, cette conviction devient une réalité.

En effet, l’année 2025 est essentiellement l’année de l’Afrique, soulignée par la synergie dynamique entre deux forums internationaux majeurs axés sur l’Afrique : le Japon accueillant la 9e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9) à Yokohama du 20 au 22 août, et l’Afrique du Sud assumant la présidence du G20.

Initialement créée en 1993, la TICAD reste une conférence pionnière axée sur le développement africain depuis trois décennies, se démarquant par son accent unique sur «l’appropriation par l’Afrique» et « le partenariat international ». De plus, le caractère inclusif et ouvert de la TICAD, qui permet d’engager un large éventail de parties prenantes – telles que les organisations internationales, les pays tiers, les entreprises, le monde universitaire et les ONG – souligne ses atouts uniques. En adoptant cette philosophie, le Japon restera un partenaire indéfectible de l’Afrique.

La TICAD 9 se tiendra sous le thème « Co-créer des solutions innovantes avec l’Afrique », où le Japon vise à explorer des solutions innovantes aux défis auxquels l’Afrique est confrontée en tirant parti de ses technologies et de son expertise de pointe. Il est mutuellement bénéfique de combiner les solutions locales développées en Afrique avec les solutions présentées par le Japon.

L’Afrique possède des ressources abondantes, une population jeune et dynamique et un potentiel d’innovation remarquable. Parallèlement, elle est confrontée à des défis importants : pauvreté, conflits, chômage, maladies infectieuses et changement climatique. La TICAD9 abordera ces problèmes de front en se concentrant sur trois approches transversales clés :

1. Stimuler une croissance économique durable grâce au leadership du secteur privé 

Le Japon accélérera la transformation économique de l’Afrique en encourageant les investissements du secteur privé. Cela inclut l’amélioration de l’environnement d’investissement et l’exploitation de technologies de pointe dans des domaines tels que l’IA, la numérisation, le programme d’écologisation et l’utilisation de données satellitaires. Cela créera de nouvelles opportunités économiques et améliorera les impacts. L’expertise et les ressources du Japon seront exploitées pour soutenir la croissance des entreprises africaines et le développement d’écosystèmes industriels solides.

2. Autonomiser les jeunes et les femmes 

L’avenir de l’Afrique repose sur les épaules de ses jeunes et de ses femmes. Le Japon s’engage à autonomiser les jeunes et les femmes grâce à des programmes complets de développement des ressources humaines, ciblant le développement des compétences dans les secteurs à forte croissance. En cultivant leur potentiel, nous pouvons stimuler une croissance inclusive et créer une société plus durable.

3. Renforcer l’intégration régionale et la connectivité 

L’intégration régionale est cruciale pour la prospérité de l’Afrique. Le Japon soutiendra fermement la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) en facilitant le commerce et les investissements transfrontaliers et en construisant des chaînes de valeur. Conformément à l’initiative d’un Indopacifique libre et ouvert annoncée par le Japon lors de la TICAD VI à Nairobi, au Kenya, le Japon continuera à améliorer la connectivité, les institutions résilientes et le développement des ressources humaines en Afrique.

Pour parvenir à un développement durable et à une société inclusive grâce à ces approches, la promotion de la paix et de la stabilité est cruciale. Le Japon continue de s’associer aux pays africains, soutenant vigoureusement les initiatives africaines visant à renforcer la paix et la stabilité sur le continent.

Pour conclure, la TICAD9 est plus qu’une conférence ; c’est une plateforme dynamique et vivante pour forger des partenariats plus approfondis, générer des solutions innovantes et construire une vision commune d’un avenir prospère et durable pour l’Afrique et le monde ; en outre, l’importance du partenariat Japon-Afrique dépasse de loin son impact sur l’Afrique seule. Le Japon souhaite travailler avec l’Afrique pour renforcer une gouvernance mondiale inclusive et responsable qui garantisse la paix et la prospérité de la communauté internationale.

Shigeru ISHIBA
PREMIER MINISTRE DU JAPON

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