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Malick Gakou : « Khalifa Sall est blanc comme neige »

La condamnation du Maire de Dakar n’est pas du goût du leader du Grand Parti. Selon Malick Gakou, le verdict qui a été récemment rendu par le tribunal correctionnel de Dakar est la résultante d’un procès politique. À l’en croire, le régime en place qui n’a rien trouvé de mieux à faire que d’instrumentaliser la justice, est aujourd’hui aux abois. Dans la foulée, il a également déclaré que tous les démocrates et l’ensemble des forces vives de la nation vont se mobiliser comme un seul homme pour combattre cette forfaiture. «Debout avec le peuple sénégalais, nous mènerons la bataille pour la libération de Khalifa Ababacar Sall», a-t-il souligné.

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Voici ce qu’il y aura au défilé du 4 avril 2018

Quelque 8160 civils ainsi que 3949 militaires et paramilitaires vont participer ce mercredi au défilé commémorant le 58ème anniversaire de la fête de notre indépendance nationale, à Dakar, a-t-on appris de sources sécuritaires. Neuf aéronefs, 385 véhicules, 94 motos, 75 chevaux et 25 quads seront également mobilisés pour ce défilé qui va se dérouler sur le Boulevard du Général de Gaulle, précise-t-on des mêmes sources.

Le public sera accueilli dès 7 heures sur les lieux du défilé, précise la Direction des relations publiques des Forces armées (Dirpa). Les festivités marquant l’anniversaire de l’indépendance du Sénégal vont porter cette année sur le thème : «Contribution des forces de défense et de sécurité à la paix et à la stabilité internationale». La manifestation sera présidée par le chef de l’État Macky Sall, attendu à partir de 10 heures à la Place Nation (exObélisque), où il sera précédé par les plus hautes autorités civiles et militaires.

Le défilé à pied va comporter, pour l’édition 2018, un détachement de l’armée, de la gendarmerie et de la police avec des attributs de l’Organisation des Nations unies (Onu), de l’Union africaine (UA) et de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), autorités pour lesquelles ils effectuent des missions. Selon les organisateurs, une revue navale sera diffusée lors du défilé qui verra la participation pour la première fois des paramilitaires de l’École nationale de l’administration pénitentiaire.

L’École inter-États des sciences et médecine vétérinaire de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) va, pour sa part, défiler pour la première fois. Le programme prévoit par ailleurs un “quadrillé des baïonnettes” des élèves de l’École des officiers de la gendarmerie (Eogn), comme l’année dernière, sans compter la prestation des majorettes du collège Notre-dame-du-Liban et du lycée John Fitzgerald Kennedy.

 

 

 

 

 

La presse fustige la descente de la Police à Dakaraktu

La Coordination des associations de presse (Cap) condamne l’attaque des éléments de la Gendarmerie dans les locaux de Dakaractu, le vendredi 31 mars passé, en fin d’après-midi. Un communiqué de cette organisation fait allusion à «une descente musclée perpétrée par des agents armés jusqu’aux dents pour arrêter Barthélemy Dias». Le texte indique que «cette arrestation a créé une tension indescriptible qui a conduit à l’interpellation du Directeur de Dakaractu, Serigne Diagne et trois de ses agents, sous le simple prétexte qu’ils ont voulu prendre des images de l’arrestation».

Autant de raisons pour s’insurger «contre cette nouvelle atteinte à la liberté de presse et aux droits des journalistes. Convaincue que les locaux d’une entreprise de presse sont comme un sanctuaire», elle estime qu’«il est inadmissible que les forces de défense et de sécurité violent non seulement les principes sacro-saints de liberté, mais aussi l’intimité professionnelle des médias». Non sans dire que «quel que soit le délit commis par M. Dias, la gendarmerie pourrait l’arrêter chez lui ou partout ailleurs sauf dans les lieux de culte ou dans les locaux d’une entreprise de presse.»

Poursuivant, la même source fait savoir que «dans un contexte pré-électoral très tendu, un tel acte constitue un dangereux précédent. Tous les journalistes et responsables des médias sont en sursis, parce que, si rien n’est fait, les forces de défense et de sécurité peuvent, à leur souhait ou pour créer le spectacle, comme il a été le cas, vendredi dernier, assiéger les locaux des différents organes pour y guetter et arrêter n’importe quel quidam. Cela pourrait, à cet effet, mettre en danger les journalistes et techniciens des médias».

Montant au créneau, la Cap clame : «Espérant que cet acte de provocation ne se reproduira plus, la Cap appelle les autorités en général, et les forces de défense et de sécurité, en particulier, à plus de retenue et de professionnalisme, dont elles ont souvent fait montre. La Presse et lesdites forces sont deux maillons essentiels de la démocratie et de la stabilité de notre pays», constate-t-on. Par ailleurs, les membres de la Cap appellent à la responsabilité et au professionnalisme à tous les confrères pour non seulement éviter la surenchère, mais surtout relayer des propos pouvant créer des troubles ou saper la stabilité du Sénégal.

Macky “encourage” un enfant batteur de Tam-tam

Décidément, le Président Macky Sall est un vrai chambreur. Il sait bien quelle ficelle tirer pour faire rire son public. Samedi dernier, lors du lancement de la Semaine nationale de la jeunesse, à Pikine, «Kor» Marième Faye a fait rire plus d’uns. Dans la délégation de Kaffrine, le tambour major est un enfant âgé de moins de 10 ans (Sinon un peu plus). Mais il savait bien battre le Tam-tam. D’ailleurs, ses manières de faire et ses gestes n’ont laissé personne indifférent. Même le Président Sall. L’enfant se signale en plein discours du chef de l’État. Le Président Macky Sall marque un arrêt de quelques secondes. Le sourire aux lèvres, il lance ces mots : «Je suis étonné par ce jeune tambour major». Et d’ajouter en Wolof : «Ki mom soxlo wul formation professionnelle» (Traduction : “celui-ci n’aura certainement pas besoin d’une formation professionnelle”). De quoi faire marrer l’assistance, avant de poursuivre son allocution…

Abdoulaye Bathily tance Macky Sall

Le procès de Khalifa Sall est un procès politique, a soutenu le professeur Abdoulaye Bathily au grand Jury de la Rfm. Pour étayer son argumentaire, il dit s’être renseigné à différents niveaux, et le déroulement du procès et les péripéties de cette affaire montrent très clairement qu’ils’agit d’une affaire politique. Rappelant qu’il a eu à participer à toutes les luttes politiques pendant 40 ans, Bathily de relever que la Justice, comme tous les corps de métier, a ses brebis galeuses, et très souvent, dans les luttes politiques, les pouvoirs en place instrumentalisent la Justice. Dans le même tempo, Abdoulaye Bathily estime avoir dit plusieurs fois à Abdou Diouf qu’il était contre l’incarcération d’Abdoulaye Wade qu’il avait défendu bec et ongles, non sans rappeler qu’il était en ce temps là ministre dans le gouvernement de majorité présidentielle élargie.

Il soutient avoir dit à Diouf que l’incarcération de Wade était politique, et finalement, la raison a prévalu et il a été libéré. Il en était de même pour Abdoulaye Wade quand il a commencé ses dérives. «Nous étions les premiers à la Ld à avoir alerté de l’intérieur au niveau du Fal, Front pour l’Alternance. Et quand il ne nous a pas écoutés nous avons pris nos responsabilités, et publiquement nous avons dénoncé ses dérives, l’instrumentalisation de la Justice contre Idrissa Seck, contre Macky Sall», a encore rappelé le Jallarbiste. Qui soutient avoir été nombre de fois traîné devant les tribunaux pour des raisons politiques et il porte encore dans son corps les «stigmates de ces brimades, de ces brutalités policières de ces emprisonnements».

«ET LES MILLIERS DE GENS QUI N’ONT PAS ENCORE LEURS CARTES ?»

Et Bathily de poursuivre : «Chaque fois à la veille des grandes élections, on faisait des lois d’amnistie pour nous permettre d’être candidats». Revenant à l’affaire Khalifa Sall, Bathily de déclarer qu’il n’est pas pour des poursuites et qu’il l’avait dit à plusieurs fois à qui de droit. Tout le monde sait comment cette caisse fonctionnait, et il a dit à Macky Sall qu’il était soucieux de l’image du pays, de l’héritage des luttes démocratiques… plus jamais d’arbitraire. Donc le Président Sall qui fut ministre de l’Intérieur savait comment fonctionne cette caisse. Pour le Pr Bathily tout le monde doit rendre des comptes, mais celui qui doit le faire ne doit pas le faire de manière sélective. Abordant la question du parrainage qui fait débat, le professeur Bathily de clamer sans détour que le parrainage est antidémocratique. Selon lui, il ne voit pas les modalités pratiques de son application. Normalement, l’élection c’est l’occasion, avec la confrontation libre des programmes, de faire décider les populations. Si 1% décide que tel mérite ses voix c’est bien sinon on constatera. Il dit avoir émis des réserves concernant les 10 mille voix.

D’ailleurs, se demande t-il, quelle est la structure qui peut, de manière transparente, authentifier ces millions de signatures ? Qui le fera ? Le ministère de l’Intérieur ou le Conseil constitutionnel ?». «Comment va t-on faire ? Sont-ils outillés pour le faire ?», s’est-il encore interrogé. «Et les milliers de gens qui n’ont pas encore leurs cartes ?» Suffisant pour que Bathily en appelle à la raison : «Je pense qu’il faut que la raison prévale, car ce sont ces genres de frustrations accumulées, qui petit à petit conduisent les gens à la révolte, car les mêmes causes produiront les mêmes effets. Le Psl’a payé très cher. La volonté populaire finit toujours par balayer tous les subterfuges qui sont utilisés. Nous avions tous les outils en 2012. Je n’avais jamaissouhaité et je n’espérais pas qu’on serait dans ces situations», a regretté le professeur Bathily

Malick Gakou : “Khalifa Sall est blanc comme neige”

La condamnation du Maire de Dakar n’est pas du goût du leader du Grand Parti. Selon Malick Gakou, le verdict qui a été récemment rendu par le tribunal correctionnel de Dakar est la résultante d’un procès politique. À l’en croire, le régime en place qui n’a rien trouvé de mieux à faire que d’instrumentaliser la justice, est aujourd’hui aux abois. Dans la foulée, il a également déclaré que tous les démocrates et l’ensemble des forces vives de la nation vont se mobiliser comme un seul homme pour combattre cette forfaiture. «Debout avec le peuple sénégalais, nous mènerons la bataille pour la libération de Khalifa Ababacar Sall», a-t-il souligné.

Pour le président du Grand Parti, le jour où l’édile de la capitale et Cie ont été condamnés restera à jamais gravé dans les annales de l’histoire de la justice sénégalaise. «Ce jour-là est un jour triste pour le Sénégal. Ce jour là est un jour sombre pour la démocratie», a-t-il martelé. C’est la raison pour laquelle, Malick Gakou estime que le maintien de Khalifa Ababacar Sall dans les liens de la détention pour 5 hivernages, relève d’une injustice notoire que rien ne saurait justifier. «J’ai eu l’opportunité d’assister à toutes les audiences dans le cadre de cette affaire. Au terme de ce procès, mon intime conviction est que Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus sont blancs comme neige», a-t-il conclu.

Macky Sall ouvre la semaine nationale de la jeunesse

Le Président Macky Sall a lancé le week-end dernier au Stade Alassane Djigo de Pikine le démarrage officiel des activités de la Semaine nationale de la jeunesse. C’était en présence de nombreux jeunes venus des quatorze (14) régions. Du rond-point de la Cité Lobat Fall au Stade Alassane Djigo, le Président Sall a été accueilli par une foule immense. La Semaine nationale de la jeunesse est un cadre d’expression, d’échanges et de fraternité entre jeunes venus de divers endroits. Ils vont développer des actions citoyennes. «Nous jeunes, nous nous engageons à restaurer les valeurs du Sénégal pour un Sénégal émergent», ont-ils clamé en chœur devant Macky Sall.

Cependant, les jeunes ont exposé leurs doléances qui ont pour nom : manque de formation, insertion, emploi des jeunes, absence dans les instances de décision etc. Revenant sur les efforts consentis à l’endroit de la jeunesse, le Président Sall a rassuré les jeunes que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour les permettre de construire leur avenir à la hauteur de leurs espérances. «Pour ma part, je veillerai à ce que chaque jeune puisse réaliser ses rêves», a-t-il laissé entendre. Selon le chef de l’État, l’option de faire du capital humain un levier important du Plan Sénégal émergent (Pse), a pour objectif d’offrir à la jeunesse une éducation et une formation de qualité, en vue de lui garantir une insertion socio professionnelle.

Dans cette perspective, le Président Sall a indiqué que des mesures sont prises pour renforcer et moderniser le secteur de l’éducation nationale (dont le budget est de 603 milliards Cfa), de l’Enseignement supérieur (avec un budget de 191 milliards pour l’année 2018). «Si je donne ses indications, c’est pour vous dire que l’avenir de la jeunesse passe par son éducation et sa formation. Je dois ajouter que nous avons aujourd’hui la construction de centres de formation et de lycées professionnels, ainsi que l’affectation d’un montant de 20 millions Cfa à ce secteur de la formation professionnelle pour donner aux jeunes un emploi durable et décent», a-t-il ajouté.

LA DELEGATION A L’ENTREPRENARIAT RAPIDE (DER) DEMARRE SES ACTIVITES DURANT CE MOIS D’AVRIL

Au Sénégal, l’emploi des jeunes est un casse-tête cornélien. Malgré les efforts, de nombreux jeunes chôment encore. Ne pouvant pas recruter tous les diplômés dans la fonction publique, l’État multiplie les stratégies pour permettre aux jeunes de s’autoemployer. «(…) Dans le cadre de l’auto emploi, le fonds de financement de l’Anpj sera substantiellement renforcé. La délégation à l’entreprenariat rapide a été mise en place avec un fonds de 30 milliards Cfa. La Der va commencer ses financements au courant de ce mois pour permettre aux jeunes porteurs de projets à assumer leur avenir avec plus de confiance et de sérénité».

Balla Gaye : Le “Nguimb” de Gris Bordeaux m’a empêché de…

Balla Gaye 2 s’est fixé à nouveau l’objectif de reconquérir le titre de roi des arènes. 48 heures après son sacre par décision arbitrale (3-2), le fils de Double Less se dit prêt pour affronter tous les lutteurs.

Avez-vous marqué votre retour avec la manière, vu que vous avez été déclarés vainqueur par décision arbitrale ?

J’ai marqué mon retour à travers le combat que j’ai livré. J’ai déclenché toutes les actions du combat durant une trentaine de minutes. Ce qui a obligé Gris Bordeaux à se rendre chez Ardo (ndlr : médecin de l’arène) à deux reprises.

Les supporters de Gris Bordeaux ont jubilé disant qu’il vous aurait fallu vaincre votre adversaire avec la manière comme vos précédentes victoires

C’est normal qu’un adversaire devant Balla Gaye 2 jubile, même ayant concédé une défaite. J’ai fait ce que je devais faire. Je lui ai fait mordre les balises de l’enceinte à maintes reprises. Ce qui lui a valu des avertissements. Gris Bordeaux avait beaucoup misé sur la bagarre. Je lui ai répondu sur ce volet puisqu’il n’avait pas son «ngimb» normal. Ce qui m’empêchait de saisir et de mener action. Je l’ai battu jusqu’à le faire sortir de l’enceinte, cela est clair. Gris n’était pas homme à lutter avec moi.

Vous avez disputé pour la première fois un combat qui a duré 30 minutes. Beaucoup disent que vous aviez misé sur la boxe…

J’étais sur les dunes pour des contacts. Mais si vous regardez mes dernières vidéos qui ont été postées, vous allez vous rendre compte que j’étais prêt pour la bagarre. J’ai même contracté une blessure durant les contacts. C’est ce qui m’a empêché de faire certaines choses. C’est la raison pour laquelle je me bagarrais avec lui.

Quelle note vous vous accordez pour votre retour ?

Je suis satisfait. Seulement, mon adversaire n’était pas dans les dispositions de lutter. J’ai lutté avec le cœur. Gris Bordeaux avait dit qu’on devait consommer le combat. Ce que j’ai fait.

Après avoir marqué votre retour, quel sera l’objectif de Balla Gaye 2 ?

Je vise devant. Je suis à la reconquête de la couronne de roi des arènes. Je n’attends aucun lutteur. Je n’ai même pas leur temps.

Boy Niang 2 fait partie des jeunes qui vous ont défié…

Ce n’est pas un débat.

Modou Lô aurait reçu une avance pour vous affronter…

Si Dieu fait qu’on doit s’affronter ça ne sera pas un problème. Je suis prêt pour tous les lutteurs. Je n’ai pas le choix. Je ne vise que la couronne de roi des arènes.

Chargé par le Procureur, Barthélémy Diaz déféré aujourd’hui

Après le délibéré du procès de la caisse d’avance et les commentaires acerbes de Barthélemy Dias, très en colère contre la justice, le procureur a saisi la Section de recherche de la Gendarmerie nationale qui a procédé à son arrestation. Dans le chef d’accusations qui vaut au maire de Mermoz d’être gardé à vue depuis vendredi et d’être déféré au parquet ce mardi, est mentionné : «Offense au chef de l’État, outrage à magistrat et appel à l’insurrection».

Le procureur a ainsi lourdement chargé Barthélemy Dias qui a fait une sortie musclée contre la justice et Macky Sall. Ce proche de Khalifa Sall qui sera déféré au parquet ce mardi, est depuis vendredi en garde à vue et risque de rejoindre le maire de Dakar en prison. Le maire de Mermoz Sacré-Cœur a été arrêté depuis vendredi par les éléments du lieutenant colonel Issa Diack de la Section de recherche de la Gendarmerie. Il est depuis lors entre leurs mains à Colobane. Pour rappel, Barthélemy Dias qui a reçu samedi la visite de Me El Hadji Diouf, a piqué une colère noire après la publication du délibéré qui condamne Khalifa Sall à 5 ans de prison ferme. Le maire de Mermoz Sacré-Cœur a déversé sa bile sur le Président de la République Macky Sall, sur la justice et les magistrats, en usant de propos qualifiés par le parquet «d’offensant au chef de l’État, d’outrage à magistrat et d’appel à l’insurrection». Le fils de Jean Paul Dias qui ne semble visiblement pas craindre d’être emprisonné a été cueilli lors d’une émission du journal en ligne Dakar actu. Avant de se rendre vendredi à l’émission, Dias fils s’est déplacé à Grand Yoff où il a rendu visite à la mère de Khalifa Sall. Très en colère, il a tiré à boulets rouges sur les magistrats avant d’en faire plus, lors de l’émission, contre la justice et le président. Toujours contre le verdict du procès de Khalifa Sall, Barth a laissé entendre : «ce cirque ne passera pas. Tous ceux qui y sont impliqués, au moment venu, seront invités à avoir le courage parce qu’ils feront face à l’histoire». Furax, le maire de Mermoz poursuit : «ce pays va changer et il changera par tous les moyens», prévient-il. Il ajoute : «Tout le monde sait que ce que nous avons entendu, aujourd’hui (vendredi), n’est pas du droit. Et personne ne pourra démontrer le contraire. Le seul objectif que le pouvoir s’est fixé c’est de pouvoir obliger Khalifa Sall à la négociation. Je voudrais dire à Macky Sall qu’on ne négociera pas, ni aujourd’hui ni demain», at-il assuré en réaction à la condamnation de son mentor

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