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REVUE DE PRESSE 30 MARS ELH AHMED AIDARA

Vers un recrutement de 300 Policiers et Gendarmes

Aly Ngouille Ndiaye, ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, a annoncé hier, le recrutement de près de trois mille (3000) policiers et gendarmes. Une révélation faite lors du passage du Gouvernement à l’Assemblée nationale.

Au Sénégal, les problèmes de nature sécuritaire restent un réel problème. S’il est vrai que des efforts sont réalisés pour la sécurité des biens et des personnes, il n’en demeure pas moins que notre pays est assez exposé au grand banditisme et à d’autres difficultés relatives à la sécurité intérieure. Aussi, pour prendre les devants, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique a révélé que près de trois (3000) mille policiers et gendarmes seront recrutés dans le courant de l’année 2018.

«Au total, 3000 nouveaux agents de police et de gendarmerie seront recrutés pour renforcer la sécurité au niveau national», a-t-il déclaré, hier à l’Assemblée nationale, Aly Ngouille Ndiaye qui répondait aux questions que les députés de la treizième législature posaient au Premier ministre et aux membres de son Gouvernement. Interpellés sur les cas d’enlèvement d’enfants, le premier policier du pays a soutenu qu’«ils sont survenus, nous avons pris des dispositions pour renforcer davantage les contrôles».

Non sans faire remarquer que «plus de mille (1000) personnes ont été interpellées dans les grands centres urbains dans le cadre de la mise en œuvre de ces opérations». Pour rassurer les députés de la treizième législature et les populations, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique a également assuré que «d’autres interventions plus ponctuelles sont en train d’être effectuées par les forces de l’ordre et de sécurité», tout en faisant savoir qu’à court terme, trente (30) casernes de gendarmerie et dix (10) commissariats de police seront bientôt construits afin de renforcer le maillage sécuritaire du territoire national. Il soutient que la police, ainsi que la gendarmerie, seront partout présentes pour garantir la sécurité des personnes et de leurs biens.

Parrainage : Rationalisation ou élimination d’adversaires ?

Parrainage : Rationalisation des candidatures ou élimination d’adversaires ?

La décision du pouvoir d’élargir le parrainage aux partis politiques n’en finit pas de susciter des vagues de réprobation et de contestation dans le camp de l’opposition. Si le pouvoir estime que c’est un moyen pour rationnaliser les candidatures, l’opposition, pour sa part, ne l’entend pas de cette oreille et clame à cor et à cri que c’est un prétexte trouvé par le pouvoir pour éliminer des adversaires. Un dialogue de sourds qui reste grosse de lourds dangers.

La volonté du pouvoir d’instaurer le parrainage pour les partis politiques irrite au plus haut point l’opposition qui est décidée à croiser le fer avec le chef de l’État pour qu’il revienne sur sa décision. Pour l’opposition, le parrainage n’est qu’un subterfuge du Président Sall destiné à éliminer des adversaires gênants. Ainsi, depuis que cette question a été agitée, les déclarations incendiaires succèdent aux propos guerriers. Pour Ibrahima Sall, leader du Pur, «le parrainage risque de mettre le pays à feu et à sang». El Hadji Diouf, leader du Ptp émet lui aussi sur la même fréquence : «Si ce régime instaure le parrainage, ce sera un moyen de brûler ce pays. Ce qu’on avait refusé à Abdoulaye Wade, jamais on ne l’acceptera pour Macky Sall», a-t-il averti. Même son de cloche chez Diop Decroix : «S’ils sont prêts à sortir l’armée, la police et la gendarmerie pour massacrer les Sénégalais, nous sommes prêts à aller là-bas et à nous faire massacrer», a-t-il tonné.

Le ton est donc donné, et si l’on se fie à ces différentes sorties de figures de l’opposition, on s’achemine vers des lendemains troubles. Suffisant pour que le ministre de la Justice tente d’apaiser les craintes : «Il faudrait aussi rassurer ceux qui formulent des griefs par rapport au parrainage. Un dispositif sera prévu pour que tous les candidats à la candidature soient représentés pour contrôler les parrainages», a-t-il dit hier face aux députés, non sans ajouter : «Ce ne sera pas le Conseil constitutionnel qui le fera exclusivement. Et deuxièmement, tout candidat disposera d’un droit de recours si sa candidature est rejetée, parce qu’il y a un problème par rapport à ses parrainages».

LE POUVOIR A TOUT SIMPLEMENT DECIDE D’INSTALLER UN CLIMAT DE SUSPICION, DE TENSION PERMANENTE QUI PEUT SEMER A LA CONFUSION CHEZ BEAUCOUP

Au delà des arguments des uns et des autres, il convient aussi de rappeler que le Sénégal n’appartient pas aux seuls politiciens, mais à nous tous. Ils n’ont donc pas le droit de mettre en avant leurs seuls intérêts sournois et inavoués et qui leur sont propres. Ils n’ont pas le droit de mettre en péril ce qui nous est le plus cher : la paix civile et la stabilité politique. Aussi, pour une question aussi sensible, il faut éviter la prise de décisions unilatérales, mais plutôt privilégier la concertation, afin que le consensus prévale dans les grandes décisions à prendre. Rien ne sert de créer des tensions supplémentaires et inutiles à l’approche de cruciales élections présidentielles, en décrétant une période de surenchère où l’on assiste à la montée d’adrénaline de tous côtés.

Si l’opposition se braque, c’est surtout dû aux faits précédents observés lors des dernières législatives. Et comme on a coutume de le dire, «chat échaudé craint l’eau froide». Déjà que les plaies ouvertes pendant les législatives sont encore fraîches, de même que les déboires judiciaires de Khalifa Sall et Karim Wade demeurent en instance, alors qu’ils sont considérés à tort ou à raison comme prétextes pris pour mettre les deux cités hors course, le pouvoir n’a pas droit d’en rajouter avec son système de parrainage.

Certes la pléthore de partis politique au Sénégal, (plus de 250 pour un si petit pays) est une absurdité qu’il faut corriger, mais il faut le faire avec finesse et intelligence. Or en décidant de façon unilatérale d’instaurer ce parrainage, à quelques dix mois de l’élection, avec constat de rupture du dialogue et un manque de confiance qui prévaut dans la classe politique, le pouvoir a tout simplement décidé d’installer un climat de suspicion, de tension permanente qui peut semer à la confusion chez beaucoup.

Saisie record de 41 carapaces de tortue à Mbour

D’après un communiqué, «la Direction des Eaux et Forêts et de la Chasse, renforcée par les éléments du commissaire Lèye du Commissariat central de Mbour, avec l’appui du projet Salf (SénégalApplication de la Loi Faunique) de l’Ong Wara, a arrêté un présumé trafiquant de faune sauvage en flagrant délit de détention, circulation et commercialisation de 41 carapaces de l’espèce tortue verte (Chelonia mydas)». Le texte indique que «c’est une tortue de mer gravement menacée d’extinction dans son milieu naturel, très convoitée des trafiquants pour sa carapace, un objet de luxe en dehors de nos frontières, pouvant rapporter jusqu’à 3000 $ soit 1.500.000 Cfa la pièce».

La même source affirme que «la tortue verte est pourtant intégralement protégée au Sénégal par la loi sénégalaise de 1986 portant code de la chasse et de la protection de la faune et par la Convention de Washington portant sur le commerce international des espèces animales sauvages que le Sénégal a ratifié en 1977». D’après toujours le texte parvenu à Tribune, «à Mbour, dans la nuit du mercredi 28 mars 2018, les agents des eaux et forêts de la ville de Mbour ont procédé à l’arrestation du sieur Fall Birahim, en possession de 41 carapaces de tortues vertes (une saisie exceptionnelle en Afrique de l’Ouest) qu’il s’apprêtait à vendre à des touristes étrangers».

Qui note que «selon un spécialiste international des tortues de mer, Fall Birahim était même en possession d’une très rare espèce de tortue imbriquée ayant presque disparue des profondeurs de nos océans et faisant l’objet d’une inscription alarmante sur la liste rouge officielle des animaux sauvages prêts à s’éteindre de la surface du globe». «Immédiatement, une perquisition à son magasin a été autorisée par M. le Procureur de Mbour et l’objet du crime servant à tuer des centaines de tortues d’un coup de pioche dans la carapace pour perforer les poumons et les laisser mourir par asphyxie a été saisi et ramené au Parquet.

Le prévenu est actuellement en garde à vue et entendu par les Eaux et Forêts et la Police dans le cadre de son présumé macabre commerce illégal d’espèces intégralement protégées qu’il pratique depuis de nombreuses années». Une occasion pour se demander : «combien de tortues marines seraient alors mortes derrière cette boutique ?» Le texte fait remarquer que «cette opération d’arrestation est un signal fort à nouveau envoyé aux trafiquants de tortues marines (une opération similaire avait été menée à Ziguinchor en mai 2016 avec le service des Eaux et Forêts et les éléments du commissaire Diallo, appuyés par le projet Salf)».

Tout en assurant que «c’est aussi un appui salvateur et bienvenu pour de nombreuses Ong qui luttent pour la conservation et la réintroduction de notre tortue verte au Sénégal depuis plus de 15 ans, menant des opérations multiples de sensibilisation auprès des populations et voyant leurs efforts souvent anéantis par un braconnage et un trafic illégal intensif et incessant de la tortue verte sur les côtes sénégalaises du Nord au Sud du pays». La source termine en soulignant qu’«il faut saluer l’excellente collaboration des corps des Eaux et Forêts et de la Police de Mbour pour la réussite de cette saisie record en Afrique de l’Ouest.»

Le Président Idrissa Seck a rendu visite à l’évêque de Thiès Monseigneur André Guèye

Verdict de procès : L’avenir de Khalifa Sall se joue aujourd’hui

À moins d’un renvoi de délibéré tel que le souhaite le Forum de justiciable dans un contexte de grève des travailleurs de la justice, le verdict qui va être rendu ce vendredi par le président Malick Lamotte et ses assesseurs fera date dans les annales de la justice Sénégalaise.

C’est en principe aujourd’hui que le maire de Dakar et ses coinculpés connaîtront la décision du tribunal sur le procès dit de la caisse d’avance de la mairie de Dakar. Un verdict qui intervient dans un contexte de grève des travailleurs de la justice et qui risque d’impacter sur son prononcé. C’est en effet à cause de cette grève que le Forum du justiciable demande le renvoi du procès. Dans le texte rendu public par cette Ong de défense des droits humains, le Forum déclare : «à la grève des greffiers et dans le souci de mieux préserver le droit des justiciables (avant pensant et après le procès), le Forum du justiciable invite le tribunal statuant sur l’affaire Khalifa Sall de renvoyer le délibéré jusqu’à ce que toutes les conditions soient réunies».

Certes en l’absence du greffier, fait remarquer le Forum, «la loi permet au juge de recueillir le concours d’un greffier ad hoc ». Mais, c’est pour ajouter : « il est constaté dans la pratique que les décisions rendues en présence d’un greffier ad hoc soulèvent souvent des difficultés du point de vue administratif: les greffiers ne reconnaissent pas les décisions de justice rendues en présence d’un greffier ad hoc. Ils refusent même de les délivrer aux ayants droit, ce qui porte atteinte au droit de disposer d’un jugement reconnu aux justiciables.»

L’enseignement qu’on peut tirer de la demande du Forum c’est que toute décision qui sera prononcée ce vendredi sur le procès de la caisse d’avance en l’absence d’un greffier sera nulle et de nul effet. Mais différée ou prononcée aujourd’hui, c’est qu’elle fera date dans les annales de la justice du Sénégal. Pour rappel, Khalifa Sall a été Inculpé et placé sous mandant de dépôt à la prison de Rebeuss dans la nuit du 7 au 8 mars. Il est poursuivi dans le cadre de la gestion de la caisse d’avance de la marie de Dakar pour détournement de deniers publics, association de malfaiteurs et faux et usage de faux Mais autant lui que ses partisans dénoncent un règlement de compte politique. En fait, pour la première fois depuis la création de la mairie de Dakar, une mission de l’Inspection générale d’État est envoyée pour fouiller la gestion de la caisse d’avance.

aUne enquête qui couvre la période 2011-2015 et dont le rapport final conclut à l’existence de violation des règles de gestion des fonds en question. En tout cas, après avoir reçu le rapport en même temps que d’autres du même corps de contrôle sur des collectivités locales, le Président Macky Sall l’a transmis à la justice pour suite. Accusé de ne pas pouvoir justifier l’utilisation d’un montant total de 1,8 milliards Cfa, Khalifa Sall est envoyé avec cer

VIDEO: Intégralité OPEN PRESS GRIS BORDEAUX Fass

Eurobond : Le ministre des Finances dévoile ce que l’État a payé

Sénégal : Idrissa Seck a-t‑il encore un avenir ?

Son étoile a considérablement pâli, mais l’ex-enfant chéri d’Abdoulaye Wade croit toujours en son destin présidentiel. Il jouera son va-tout en 2019.

«Lorsque je parcours le pays, ce que les Sénégalais me disent est très clair : “Macky, le problème ; Idy, la solution !” » Selon plusieurs de ses proches aujourd’hui en rupture de ban, la modestie n’a jamais été le principal trait de caractère d’Idrissa Seck, le président du parti Rewmi, même si lui-même l’assure : « J’attendrai humblement les suffrages au soir de l’élection. »
Cette élection, c’est la présidentielle de février 2019. Et de l’avis général, au Sénégal, Idrissa Seck y jouera son va-tout. Si, à 58 ans, l’ancien Premier ministre d’Abdoulaye Wade peut toujours espérer, en cas d’insuccès, faire un come-back en 2024, bien rares sont ceux qui lui prédisent la capacité d’être élu à la tête de l’État après un troisième échec successif (après ceux de 2007 et 2012), et alors qu’une nouvelle génération de leaders politiques se presse déjà à la porte.
Sûr de lui
« Idrissa Seck n’a plus la capacité de peser seul. Aux législatives de 2017, il en était réduit à se diluer au sein d’une coalition de l’opposition qui n’a réuni que 11 % des suffrages, tacle un conseiller du président Macky Sall. Idy se rêvait numéro un : il est devenu numéro rien. »
« Le risque que Macky Sall l’emporte au premier tour est de zéro », rétorque l’intéressé, même lorsqu’on lui fait remarquer que la majorité présidentielle totalisait 49,5 % des suffrages aux dernières législatives. « Quand vous écoutez les Sénégalais, la probabilité que Macky perde 10 % à la prochaine présidentielle est largement supérieure à l’hypothèse qu’il gagne le pourcent qui lui permettrait de passer au premier tour », veut croire l’ancien maire de Thiès.

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Vers le recrutement de 3000 policiers et gendarmes en 2018 (ministre)

Trois mille agents de police et de gendarmerie seront recrutés cette année dans le cadre du renforcement de la sécurité au niveau national, a annoncé le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique.

« Au total, 3000 nouveaux agents de police et de gendarmerie seront recrutés pour renforcer la sécurité au niveau national », a-t-il déclaré, ce jeudi à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la séance des questions au gouvernement.

Aly Ngouille Ndiaye répondait à la question de la député Marie Pierre Paye, relative aux dispositions prises par le gouvernement face au phénomène d’enlèvements d’enfants.

« Quand ces enlèvements sont survenus, nous avons pris des dispositions pour renforcer davantage les contrôles », a déclaré le ministre..

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Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention