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Affaire des 8 milliards de Bakel : Gueum Sa Bopp, Papa Djibril Fall et Mbaye Dione défient le silence de l’État

 

Le mouvement Guem Sa Bopp informe l’opinion publique nationale que des rencontres de haute portée politique se sont tenues à Dakar, entre une délégation du mouvement conduite par Moussa Niang, Délégué National à la Vie Politique, et l’honorable député Papa Djibril Fall, membre de la coalition Sam Sa Kaddu, le mardi 21 octobre 2025, ainsi qu’avec l’honorable député Mbaye Dione, figure de l’opposition parlementaire, le mercredi 22 octobre 2025.

Ces séances de travail ont porté sur le scandale des 8 milliards de francs CFA destinés aux populations en détresse du département de Bakel et des zones touchées par le débordement du fleuve Sénégal, un dossier explosif qui met à nu de graves soupçons de détournement, de favoritisme et d’enrichissement illicite au sein de l’administration actuelle.

Guem Sa Bopp rappelle qu’une plainte formelle a été déposée devant le Pôle judiciaire et financier, marquant une étape décisive dans la recherche de vérité, de transparence et de justice.

Face à la gravité des faits et à la colère légitime des populations, le mouvement, aux côtés des députés Papa Djibril Fall et Mbaye Dione, exige la création immédiate d’une commission d’enquête parlementaire, afin de :

Faire toute la lumière sur la gestion des fonds alloués ,

Identifier les responsables et leurs complices ,

Rétablir la confiance entre l’État et les citoyens, aujourd’hui gravement entamée.

Cet engagement n’est pas un calcul politique, mais un acte républicain, citoyen et moral, animé par la volonté de protéger les ressources publiques, de défendre les populations de Bakel, et de sauvegarder la crédibilité des institutions.

Guem Sa Bopp salue la démarche patriotique des députés Papa Djibril Fall et Mbaye Dione, symbole d’une opposition lucide, responsable et unie, déterminée à faire triompher la vérité sur le mensonge d’État.

Le mouvement réaffirme sa détermination à poursuivre ce combat sur tous les fronts judiciaire, parlementaire et citoyen jusqu’à ce que la vérité éclate et que les coupables rendent des comptes.

Double taxation : l’injustice du 1 % sur les paiements en espèces

Alors que le pouvoir d’achat des Sénégalais est déjà laminé, le gouvernement a décidé d’enfoncer davantage le clou.
La nouvelle taxe de 1 % sur les paiements en espèces dans les grandes surfaces est une mesure injuste, illégale et économiquement absurde, qui viole les principes élémentaires de fiscalité.

Après la TVA, voilà qu’on veut taxer une transaction déjà taxée.
Une taxe sur une taxe, c’est une double peine pour le peuple.

Cette décision, déconnectée de la réalité sociale, ne vise qu’à remplir les caisses de l’État au détriment des ménages, déjà étranglés par la cherté de la vie.

Guem Sa Bopp ne restera pas spectateur de cette injustice.
Le mouvement :

Engagera des concertations avec les organisations de consommateurs,

Saisira les plateformes citoyennes Nio Lank et Rappel à l’Ordre pour un front commun contre cette mesure abusive,

Constituera un collectif d’avocats, qui déposera dès ce Jeudi un recours devant la Cour suprême pour faire annuler cette taxe fondée sur le principe de la double imposition.

Le message est clair et sans ambiguïté :

Toute mesure qui pèse injustement sur le citoyen trouvera son contrepied dans la mobilisation, la concertation et l’action judiciaire.

Le peuple n’est pas une vache à lait.
Guem Sa Bopp veille. Guem Sa Bopp agit.

Parce que la rupture ne saurait être un slogan, mais une exigence morale.

Parce que le peuple sénégalais mérite la vérité.

Fait à Dakar, le 22 octobre 2025
Cellule de Communication de Guem Sa Bopp

 

Gueum Sa Bopp dénonce : 8 milliards à Bakel et taxe de 1 % sur les paiements en espèces

Le mouvement Gueum Sa Bopp les «Jambaars »dirigé par Bougane Guèye Dany, monte au créneau dans l’affaire des 8 milliards F CFA destinés aux populations sinistrées de Bakel. Face aux soupçons de détournement et de mauvaise gestion, le mouvement annonce avoir déposé une plainte auprès du Pool judiciaire et financier.

Dans un communiqué publié ce mercredi 22 octobre 2025, Gueum Sa Bopp réclame également la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire pour « faire toute la lumière sur l’utilisation des fonds, identifier les responsables et restaurer la confiance entre l’État et les citoyens ». Le mouvement insiste sur le fait que cette démarche relève d’un « acte républicain et moral », et non d’un calcul politique, visant à protéger les ressources publiques et à défendre les populations de Bakel.

Parallèlement, le mouvement s’oppose à la nouvelle taxe de 1 % sur les paiements en espèces dans les grandes surfaces, qu’il juge « injuste, illégale et économiquement absurde », dénonçant une double imposition qui fragilise encore plus les consommateurs.

Pour contrer cette décision, Guem Sa Bopp prévoit des concertations avec les organisations de consommateurs et envisage de saisir la Cour suprême dès ce jeudi 23 octobre 2025 par l’intermédiaire d’un collectif d’avocats. Le mouvement prévoit également la création d’un front citoyen commun avec les plateformes Nio Lank et Rappel à l’ordre.

« Toute mesure qui pèse injustement sur le citoyen trouvera son contrepied dans la mobilisation et l’action judiciaire », avertit Guem Sa Bopp, qui promet de rester vigilant.

Après plusieurs mois d’absence, Diéguy Diop fait son grand retour en politiq

Alhamdoulilahh Alhamdoulilahh Alhamdoulilahh alakouli hal
Chers compatriotes sénégalais, chers amis de la démocratie,

Après une période de réflexion et d’observation , je choisis de reprendre mes activités politiques, non par ambition personnelle, mais par devoir patriotique. La suspension de mes activités n’était ni un caprice comme mon retour n’a rien d’émotionnel. Par devoir et par raison pour répondre devant l’ impérieuse urgence aux défis qui assaillent notre nation bien-aimée.

Je réitère ici fermement mon admiration et mon soutien à Son Excellence le Président Macky Sall, homme d’État visionnaire dont le leadership a marqué l’histoire contemporaine du Sénégal, de l’Afrique et du Monde. À ses côtés, je m’engage à combattre pour deux objectifs prioritaires et complémentaires : d’abord, contribuer.à la promotion de sa candidature au poste de Secrétaire général des Nations Unies, une ambition légitime qui propulserait notre pays et notre continent sur les plus hautes sphères de la gouvernance mondiale. Macky Sall, avec son parcours exemplaire du local au global – de maire de Fatick à président de l’Union africaine –, possède , sans nul doute, l’expérience, la sagesse et la stature pour réformer l’ONU et y insuffler un multilatéralisme juste, équitable et pourvoyeur de prospérité durable. Son engagement pour la paix en Afrique, sa diplomatie inclusive et sa vision d’une Afrique au cœur des décisions mondiales en font le candidat idéal pour succéder à António Guterres. Nous devons mobiliser le Sénégal, l’Afrique et la communauté internationale pour que cette candidature, conditionnée à un large consensus, devienne une réalité triomphante.

Parallèlement, nous nous battrons sans relâche pour la reconquête du pouvoir en 2029. Ces élections présidentielles à venir ne seront pas un simple scrutin, mais un rendez-vous avec l’histoire pour restaurer la stabilité, la croissance et la fierté nationale que Macky Sall a si brillamment incarnées. Sous son ère, le Sénégal a connu une croissance économique soutenue, des infrastructures modernes et un rayonnement diplomatique sans précédent. Des acquis que le régime actuel de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko s’acharne à saper et noyer dans une spirale de revanchisme, de discorde et de dénigrement .

Ce duo, qui se drape de promesses populistes, a transformé la justice en arme partisane, emprisonnant l’opposition et muselant les voix dissidentes dans une « justice des vainqueurs » qui offense notre État de droit. Leur fiscalité punitive et leur gestion chaotique des investissements étrangers relèguent le Sénégal à l’isolement, effaçant la voix forte que Macky Sall avait forgée sur la scène internationale. Leur tentative de discréditer l’héritage de Sall, y compris en refusant tout soutien à sa candidature onusienne, n’est qu’une mesquine vendetta qui trahit leur inexpérience et leur manque de vision.

Nous ne tolérerons plus ces entourloupes ni cette dilution de notre souveraineté. Le Sénégal mérite mieux que des apprentis sorciers qui privilégient les règlements de comptes aux réformes concrètes.

Macky Sall, par contraste, a toujours été un leader pragmatique et unificateur : son Plan Sénégal Émergent a boosté notre économie à plus de 6 % de croissance annuelle, ses médiations en Afrique de l’Ouest ont sauvé des vies, et sa diplomatie a élevé notre pays au rang de puissance régionale respectée. C’est cet héritage que nous défendrons, côte à côte, pour reconquérir en 2029 un pouvoir au service du peuple, non des egos.

J’appelle tous les patriotes, les vrais, tous les citoyens las de la tromperie et de l’arbitraire, à nous rejoindre dans cette croisade. Ensemble, derrière Macky Sall, nous forgerons un Sénégal uni, prospère et influent.

Le moment est venu de transformer la colère en action, le doute en espoir.

Vive le Sénégal ! Vive Macky Sall ! Vive la reconquête de 2029 !

Diéguy Diop

Badara Gadiaga devant le juge !

Le chroniqueur Badara Gadiaga doit comparaître le lundi 27 octobre 2025 devant le juge du premier cabinet du tribunal de Dakar pour son audition au fond.

Il avait été inculpé le 14 juillet 2025 par le doyen des juges d’instruction. Les charges retenues à son encontre comprennent : discours contraires aux bonnes mœurs, diffusion de fausses nouvelles et offense envers une personne exerçant tout ou partie des prérogatives du président de la République.

Festival des films asiatiques : Les couleurs de l’Asie à Dakar

La deuxième édition du Festival des Films Asiatiques (FFA2)  célèbre la richesse et la diversité des cinématographies de cette partie du monde. Initié par le Centre Culturel Russe ‘’Kalinka’, il vise aussi à montrer aux jeunes sénégalais des modèles de réussite. Il se déroule du 17 au 24 octobre sous le thème ‘’Les couleurs de l’Asie à travers le cinéma et la culture’’; avec des projections entièrement gratuites et destinées au grand public, aux jeunes et aux familles. Le festival propose une sélection variée de films incluant des fictions contemporaines primées; documentaires aux histoires vraies; et des films d’animation pour le jeune public. Les œuvres proviennent de divers pays tels que la Chine, le Pakistan, l’Inde, le Kazakhstan, et la Russie. Les films sélectionnés donnent un aperçu de la culture de ces pays, des habitudes des populations et de la manière dont elles gèrent différentes situations.

La présente édition se déroule dans différents lieux culturels à Dakar. Il s’agit de l’Espace Véma (Embarcadère Gorée – Lancement du festival), du Centre Culturel Blaise Senghor, et de la Maison de la culture Douta Seck. SG du Kalinka, Oumy Sène  est revenu sur l’objectif de ce festival. ‘’Notre centre s’est dévoué à montrer la grandeur de la Russie, son étendue de la Russie, etc. La Russie est composée de plus de 150 différents groupes ethniques et différentes religions. Et quand les deux tiers de la Russie sont en Asie, forcément, c’est très logique que l’on veuille faire un festival qui parle spécifiquement de ces régions-là. Mais pourquoi ne parler que d’eux ? Autant parler de toute l’Asie qui est en fait un continent très grand que l’on connaît peu ou pas’’, a-t-elle déclaré, soulignant cette opportunité d’échanges. ‘’Au début, les gens ne comprenaient pas, mais je crois que petit à petit, vu le nombre d’ambassades présentes ici, ça commence à porter ses fruits’’, a-t-elle ajouté.

La Sénégalo-Russe note qu’il s’agit de montrer à la jeunesse sénégalaise d’autres modèles de réussite. ‘’Il n’y a rien de pire que de voir notre jeunesse dépérir et de s’inquiéter en disant qu’il n’y a pas d’avenir. Le fait de pouvoir, par le biais d’un film, ouvrir un autre espace, donner une idée de ce qui se passe ailleurs, très loin de chez nous, je trouve que c’est quelque chose qui doit être motivant. Et peut-être que ça donnera à notre jeunesse une autre orientation sur laquelle ils pourront s’appuyer pour se développer’’, a soutenu Oumy Sène.

Ambassadeur de la République de Chine au Sénégal, Li Zhigang relève que cette festival entre dans le cadre de la diplomatie. ‘’ Le travail du diplomate, c’est justement de permettre ces échanges culturelles. La culture, comme la diplomatie, permet d’aller vers quelque chose de nouveau et d’établir une relation, une correspondance et bâtir un pont. Et donc, que ce soit sur le plan culturel ou sur le plan de la diplomatie, il y a un travail collaboratif qui est en jeu’’, a-t-il déclaré.

Li Zhigang soutient que  grâce au développement de la connaissance culturelle du Sénégal, la Chine compte investir encore plus au Sénégal. Il évoque les rapport des deux pays: ‘’Grâce à la connaissance mutuelle de la culture de chacun, nous sommes en mesure de respecter plus l’autre, et de mieux collaborer. Le respect du prochain est une base fondamentale dans le développement des relations entre les pays’’, a-t-il soutenu. Pour sa part, Ambassadrice du Pakistan au Sénégal depuis 2023, Saima Sayed considère cet événement comme une grande opportunité de reconnecter les pays asiatiques avec le public sénéglaise.  Elle a apprécié cette opportunité pour présenter deux films pakistanais durant ce festival. Pour la prochaine édition, il est envisagé d’impliquer les établissements scolaires pour que les films asiatiques soient montrés dans les écoles, lycées, et collèges.

 

 

Fiscalité : Réformer sans freiner l’innovation

Le gouvernement du Sénégal a réaffirmé son engagement à attirer les investisseurs et à stimuler la croissance portée par le secteur privé lors du forum « Invest in Senegal », tenu les 7 et 8 octobre 2025 à Diamniadio. L’événement a réuni des chefs d’État, des institutions multilatérales et des dirigeants d’entreprises venus d’Afrique et d’ailleurs. Sous le thème « Investir au Sénégal », le message était clair : Faire du Sénégal un hub d’investissement, d’industrie et d’innovation en Afrique de l’Ouest. Cependant, derrière l’accueil réservé aux investisseurs se dessine une inquiétude grandissante : l’augmentation rapide du coût des affaires, largement portée par une hausse des charges fiscales, ce qui pourrait détériorer l’attractivité du pays.

Si la mobilisation des recettes fiscales et la rigueur budgétaire sont des priorités légitimes, l’ampleur et la rapidité de ces augmentations risquent de fragiliser la compétitivité du pays. Une fiscalité trop lourde et imprévisible peut dissuader les investisseurs, décourager la formalisation et rendre la planification à long terme particulièrement difficile.

Parmi les mesures récentes, la hausse des droits d’accise sur les produits du tabac à 100% a retenu l’attention, plaçant ainsi le Sénégal comme le pays le plus taxé de la région dans ce secteur (70% en Côte d’Ivoire, 37% au Mali, 55% au Burkina Faso, 50% au Togo, 40% au Bénin). Il est clair que la fiscalité sur les produits du tabac poursuit un double objectif : d’une part, accroître les recettes de l’État, et d’autre part, contribuer à l’amélioration de la santé publique en réduisant la consommation. Toutefois, dans sa forme actuelle, elle ne distingue pas les produits conventionnels des alternatives technologiques dites « à risque réduit ».

Ces innovations, telles que les dispositifs sans combustion ou à chauffage du tabac, sont pourtant présentées par leurs promoteurs comme des options de réduction des risques pour les fumeurs adultes qui, autrement, continueraient à consommer des cigarettes classiques. Au Sénégal, cette différenciation n’est pas encore prise en compte, ce qui soulève la nécessité d’un débat sur l’adaptation du cadre fiscal aux évolutions technologiques et aux enjeux de santé publique.

« Le Sénégal a tous les atouts pour devenir un pôle d’innovation industriel, mais il faut une fiscalité qui reconnaisse et encourage les alternatives moins nocives », déclare Thierno Diallo, Directeur Général de Philip Morris Sénégal, présent au forum. « Nous ne demandons pas d’exonérations : simplement une prévisibilité et une différenciation fiscale pour les produits qui présentent un profil à risque réduit. » L’innovation représente une opportunité double : améliorer la santé publique et développer des capacités industrielles nouvelles. Les technologies émergentes impliquent de nouveaux investissements, des chaînes de production modernisées et le transfert de compétences. Ceci entraine donc la création de nouveaux emplois qualifiés et le renforcement de la souveraineté industrielle du pays. Le défi pour le Sénégal est d’équilibrer rigueur budgétaire et stratégie industrielle en transformant la fiscalité en levier d’innovation plutôt qu’en frein.

 

Source : https://fr.allafrica.com/stories/202510140639.html 

Le prix Sakharov décerné à deux journalistes emprisonnés en Biélorussie et en Géorgie

EP Plenary session.- Award of the Sakharov Prize 2023

Le prix Sakharov pour la liberté de pensée est attribué aux journalistes Andrzej Poczobut et Mzia Amaghlobeli, emprisonnés en Biélorussie et en Géorgie, a annoncé mercredi 22 octobre la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola.

«Les deux sont des journalistes actuellement en prison (…) simplement pour avoir fait leur travail et dénoncé l’injustice», a-t-elle déclaré dans l’hémicycle.

Discours contraire aux bonnes mœurs : l’influenceuse Adji Mass condamnée à six mois avec sursis

Le tribunal des flagrants délits de Dakar a reconnu coupable l’influenceuse Adji Massamba Guèye, connue sous le nom d’Adji Mass, pour “discours contraire aux bonnes mœurs”.

Poursuivie à la suite d’un live TikTok jugé attentatoire à la morale publique, la trentenaire a écopé d’une peine de six mois assortie du sursis et d’une amende de 100 000 francs CFA.

À la barre, Adji Mass a reconnu les faits, expliquant avoir tenu ces propos sous le coup de la colère, après avoir été victime de body shaming sur les réseaux sociaux.

Placé sous contrôle judiciaire en France: Madiambal Diagne affiche la confiance

Interpellé mardi dans les Yvelines, en région parisienne, le journaliste et homme d’affaires Madiambal Diagne a été entendu par le parquet général de Versailles dans le cadre du mandat d’arrêt international émis contre lui par les autorités sénégalaises. À l’issue de cette audition, il a été placé sous contrôle judiciaire, selon un communiqué publié par son pool d’avocats.

Le premier président de la Cour d’appel de Versailles a jugé inutile de le maintenir en détention, estimant que sa notoriété publique, son statut de journaliste reconnu et l’absence de risque de fuite ne justifiaient pas une privation de liberté.

Dans leur communiqué, ses avocats, dont Me Vincent Brengarth du cabinet Bourdon & Associés, affirment que leur client est pleinement confiant quant à la suite de la procédure. Ils dénoncent une demande d’extradition “infondée et irrégulière”, et assurent qu’ils feront valoir leurs arguments devant la chambre de l’instruction de Versailles, chargée d’examiner le dossier.

Pour rappel, Madiambal Diagne est cité dans une enquête de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) portant sur des flux financiers suspects entre la SCI Pharaon, société immobilière qu’il a fondée, et Ellipse Projects, entreprise française bénéficiaire de marchés publics au Sénégal.

L’affaire a déjà conduit à l’incarcération de son épouse et de ses deux fils, impliqués dans la gestion de la société. Malgré cette situation, le journaliste assure garder un moral d’acier et reste déterminé à démontrer son innocence.

Fièvre de la Vallée du Rift : Dakar et Kaolack enregistrent chacune un deuxième cas

La Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) poursuit sa progression au Sénégal, avec de nouveaux cas signalés dans les régions de Dakar et Kaolack, chacune enregistrant un deuxième cas confirmé.

Depuis le début de l’épidémie, le pays totalise 265 cas confirmés, dont 21 décès et 207 guéris, selon les dernières données publiées le 20 octobre 2025.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention